Analytique 2/Service mémoire
L’analytique au service de la remémoration 1/w
modifier L’analytique ne possède pas de pouvoir de remémoration, s’il le pouvait il ne ferait pas la différence entre ses produits p2 post-e et p2 non post-e, alors que 1/ le fait. La remémoration passe nécessairement par 1/w et n’est réalisable que si deux conditions sont remplies :
• une condition de charge, w doit être suffisamment chargé.
• une condition de nature de w, il doit être post-conscient.
Une remémoration peut être accidentelle, mais en général elle est intentionnelle D7d(rem.p6)/ déclenchée par la concentration dans le cadre d’une synergie Y(1 2 5 6 7) (voir annexe 6). Quand la concentration se porte sur du sens, celui-ci appartient nécessairement au groupe de sens d’une case et sa catégorie que 2 peut retrouver très rapidement en fouinant dans ses tableaux généraux de sens et leurs architectures rattachées (sapins de noël) tels que le TGM et l’AFM et au besoin son Ta(SGS). Une fois trouvé il duplique ce groupe de sens, sa catégorie voire tout le contenu de sa case et le transfère à 1 qui le restitue en conscience. Cette opération est immédiate et automatique.
{ p6 Є G(w)post-e }
Si { et } ⇒ 2/Du G(w), 1/G(w) ⇒ G(w)e
{ D7d(p7:(rem.p6))/Y(21) }
Cela ne fonctionne que si p6 est suffisamment clair, un signe par exemple car celui-ci est un miroir de sens et c’est l’utilité des tableaux mnémotechniques. Il ne faut pas grand chose mais si c’est trop flou il est inexploitable par 2. Avec du sens 6 voyage facilement dans le sens, par contre avec du sens il n’est pas toujours facile de trouver du signe surtout si le p8 de celui-ci est fortement dégradé.
