Clivage gauche-droite/Les indicateurs du déclin
Les enquêtes d'opinion
modifierLa part des monismes augmente (moins de 40%) : en 2006, 37 % ne se sentent ni de gauche ni de droite ; en 2007, ils sont 61 %.
L'indécision
modifierDe plus en plus de personnes sont indécises sur leur intention de vote (en 2002, 14% se décident dans l'isoloir ; en 2007, 22% hésitent jusqu'à la dernière semaine de campagne ; en 2012, 3 semaines avant l'élection, 46% n'avaient pas encore choisi le candidat pour qui elles allaient voter).
La volatilité électorale
modifierUn tiers des personnes changent de parti d'un vote à l'autre et 12% changent de camp.
L'abstention
modifierElle augmente, dans le jeu politique et hors du jeu politique, c’est stable. Hausse de 13 points pour les élections présidentielles depuis 1970, 17 points pour les législatives, 19 points pour les élection européenne ; en 2002, l'abstention atteint 27,5 % au premier tour et pour les législatives de 2012, elle atteint 43%. En 2007, le centre ne se place ni à gauche, ni à droite.