Histoires pour apprendre le français/Pre-intermédiaire

Histoires pour apprendre le français - Novice (Pre-intermédiaire)


Département
Alphabétisation
 

Les Contes de Grimm

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Les deux pièces de monnaie

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Il était une fois un couple. C’était un homme et une femme bizarres.  Ils avaient une maison hantée.

Un jour,  ils invitent un ami chez eux.  Le couple et l’ami mangent un dîner délicieux quand soudain, l’ami voit une fille. La fille est complètement blanche. Elle flotte dans les airs. Elle traverse le mur et POOF !  Elle disparaît.

“Regardez, une fille !” dit-il. Mais la fille disparaît. Elle disparaît dans le mur.

“Une fille ?  Impossible ! Il n’y a pas de fille ici,” dit l’homme. L’homme est triste.

Le lendemain, l’ami revient chez ses amis.  Il est à table avec le couple et ils mangent ensemble un bon dîner. Soudain, il voit la fille.  Il dit : “Regardez, une fille! Elle a traversé le mur!”

L’homme et la femme sont surpris. Ils insistent : ” Non! Il n’y a pas de fille. “

Le troisième soir, la fille réapparaît.  L’ami dit : ” Voila la fille. Je vous promets… elle est réelle. ”

Frustré, l’homme dit: ” Non! Il n’y a pas de fille !  Arrête de dire ça!”

L’ami est très très surpris.  Il inspecte le mur.  Derrière le mur, il y a une chambre. C’est une chambre sombre et triste.  Dans la chambre, il y a une fille. La fille est triste.  Elle a deux pièces de monnaie dans la main. Puis, elle traverse le mur et disparaît.

L’ami dit: “J’ai vu la fille!  La fille avait deux pièces de monnaie.  Elle était dans cette chambre.”

L’homme tremble.  Il est très nerveux et surpris.  Il dit : «Cette pièce était la chambre de ma petite fille.  Elle est morte.  Un jour avant de mourir, je lui ai donné deux pièces de monnaie.  Elle est allée acheter des chocolats, mais elle était trop malade.  Elle n’a rien acheté.  Elle est morte avec les pièces à la main. “

Le couple entre dans la chambre de la fille.  Dans la chambre, il voit les deux pièces de monnaie. La famille donne les deux pièces de monnaie aux pauvres.

Maintenant, on ne voit plus de fille. La maison n’est plus hantée.  La fille est en paix.

Les étoiles

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Il était une fois une petite fille. Elle n’avait pas de papa, elle n’avait pas de maman. Elle n’avait pas de petit frère. Elle n’avait pas de petite sœur. Elle était seule.

La petite fille n’avait pas d’argent, elle était pauvre. Elle était très pauvre. Elle n’avait pas de maison, elle n’avait pas de lit. Elle avait seulement son bonnet, ses vêtements et un peu de pain. Mais c’était une gentille petite fille avec un grand cœur.

Un jour, la petite fille va dans la forêt. Elle voit un homme. Il est pauvre, il n’a pas d’argent. L’homme dit à la fille : « J’ai faim, j’ai très faim. Donne-moi à manger »

La petite fille lui donne son pain et dit « bon appétit » et s’en va.

Ensuite, la petite fille voit un petit garçon. Le petit garçon dit : « j’ai froid à la tête ! » La petite fille lui donne son bonnet.

Plus tard, elle voit un autre petit garçon. Le petit garçon n’a pas de chemise. Il a froid. La petite fille lui donne sa chemise.

Plus tard, elle voit une petite fille. La petite fille n’a pas de jupe. Elle lui donne sa jupe.

Plus tard, la nuit tombe. La petite fille n’a plus rien et porte seulement un sous-vêtement. Elle a faim et elle a froid. Soudain, les étoiles tombent du ciel et se transforment en monnaie. Il y a beaucoup de monnaie ! La petite fille met la monnaie dans sa poche et maintenant elle est très très riche !

Le Loup et les sept petites chèvres

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Il était une fois sept petites chèvres. Elles aimaient leur mère.  Un jour, la mère a dit:

–« Au revoir!  Je vais au village.  Je reviendrai dans une minute. » A dit Mère Chèvre.

–« Au revoir, maman ! » ont dit les bébés.

–« Mais n’ouvrez pas la porte.  C’est dangereux ! »

–« Oui, maman ! » Ont dit les bébés.

La mère est partie.  Un moment plus tard, il y a eu un TOC TOC TOC !  Un loup terrible a frappé à la porte.

–« Bonjour ! C’est moi, Maman. Ouvrez la porte ! » A dit le loup à voix basse.

Les bébés étaient surpris. Une voix basse ? Maman n’avait pas la voix basse. Alors ils ont dit :

— « Non ! Nous n‘ouvrons pas la porte ! »

–« Je vous promets : c’est moi, Maman ! » A dit le loup.

— « Non tu n’es pas notre mère. Ta voix est trop basse ! » Ont dit les bébés.

Le loup a décidé de changer sa voix. Il est allé à la pharmacie. Le docteur lui a prescrit un médicament pour calmer la gorge.

Le loup est retourné à la maison des chèvres. Il a frappé à la porte. Il a dit :

— « Mes bébés, ouvrez la porte. »

— « Non ! Tu n’es pas notre mère. Tu as les pattes noires. » Ont dit les chèvres.

Alors, le loup a décidé de changer la couleur de ses pattes. Le loup est allé à la boulangerie. Le loup a placé ses pattes dans de la farine. La farine blanche a changé la couleur de ses pattes. Le loup avait les pattes blanches comme Maman Chèvre.

Le loup est retourné à la porte et a dit :

— « Ouvrez la porte ! C’est moi, Maman ».

–« Oh … oui ! Voilà la voix douce de Maman. Voilà les pattes blanches de Maman. C’est Maman ! » ont dit les chèvres.

Les sept petites chèvres ont ouvert la porte. Sans hésitation, le loup terrible a mangé six petites chèvres. Une chèvre s’est échappée.

Dix minutes plus tard, Maman chèvre est revenue. « Mes bébés, ouvrez- la porte » elle a dit. Mais un seul bébé lui a ouvert la porte. Le bébé a expliqué l’horrible situation.

La mère et le bébé sont allés chercher le loup, « le loup ! » a crié la mère. Le loup dormait. En silence la mère a coupé l’estomac du loup. Les bébés se sont échappés de l’estomac du loup.

Le vieux grand-père et son petit-fils

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Il était une fois un vieil homme. Il était grand-père. Il vivait avec sa famille : son fils et sa femme et son petit-fils.

Le vieil homme avait quatre-vingt-dix ans ( 90 ans ).  Il avait une mauvaise vision.  Il avait des difficultés à voir.

Un jour, il s’est assis à table pour manger. Ses mains tremblaient.  Il avait des difficultés à prendre le bol de soupe. A table, il a mangé sa soupe mais la soupe a débordé.

–« Pourquoi est-ce que tu manges la soupe comme un animal ? » A dit la jeune femme, sa belle-fille méchamment.

–« A mon âge, c’est difficile de contrôler mes mains. Elles tremblent et je ne vois pas bien. » A répondu l’homme, son beau-père.

C’était une excuse valide, mais son fils et sa femme étaient furieux ! Son fils a dit :

— Va manger dans le coin !

Le vieil homme était humilié … mais il est resté silencieux. Le reste de la famille mangeait à table.  Il mangeait seul dans un coin.

Mais le même problème a continué. Le vieil homme avait des difficulté à prendre le bol. Le bol était fragile. Les mains du vieil homme tremblaient.  Le bol est tombé et il s’est cassé.

« Pourquoi est-ce que tu as cassé le bol ? » A dit la femme furieusement.

La femme a donné au vieil homme un bol en bois. C’était humiliant pour le pauvre vieil homme.

Les jours ont passé.  Son fils et sa femme avait un enfant de quatre ans ( 4 ans ).  Il jouait avec une pièce en bois. La famille mangeait… et le garçon jouait avec le bois.

« A quoi est-ce que tu joues, mon fils ?»  A demandé son père.

Le petit garçon a dit : « Je ne joue pas.  Je prépare un bol en bois.  C’est un bol pour vous, Papa et Maman.  C’est pour quand vous serez vieux ».

La femme et l’homme étaient genés.  Ils ont invité le vieux grand-père à table. La femme lui a donné la place d’honneur et un vrai bol pour le reste de sa vie.

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Le petit âne

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Il était une fois un roi et une reine qui étaient très tristes parce qu’ils n’avaient pas d’enfants. La reine pleurait beaucoup et le roi priait pour avoir un enfant. Un jour, ils ont eu un enfant mais ce n’était pas un enfant comme les autres, c’était un âne.

” Mon enfant est un âne ! ” a crié la reine. Et elle a refusé de toucher le bébé.

Les années ont passé. Le pauvre petit âne était seul. Ses parents ne l’aimaient pas.  Ils ne le touchaient pas. Personne ne le touchait. Mais le petit âne jouait très bien de la guitare. Et sa musique était si belle qu’elle rendait les gens heureux.

Un jour, le petit âne marchait au bord d’un lac et il a vu son reflet dans l’eau. Il a pensé : ” Mes parents sont tristes. Ils ne m’aiment pas parce que je suis laid. Je vais partir.” Et il est parti avec sa guitare.

Il était seul et il n’avait pas d’argent. Il a marché longtemps. Il est arrivé devant un château et il s’est assis pour jouer de la guitare. Le roi qui habitait dans ce château a entendu la musique et il est sorti sur son balcon.

“Âne! Ta musique est magnifique. Entre dans le château et joue pour ma file. Ma fille est très triste. Ta musique va l’aider. ” a dit le roi.

Le petit âne a accepté. Il est entré dans le château et il a joué de la guitare.

“Âne! Ta musique est magnifique” a dit la princesse. Et elle a sourit. Ils ont parlé et parlé et ils sont devenus amis. La princesse a caressé l’âne et oh! La peau de l’âne est tombée. Il y avait un jeune homme dans l’âne! Le prince et la princesse sont restés amis.


Dame Méline

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Il était une fois une princesse qui s’appelait Méline.   Elle était belle et gentille. Elle aimait un prince et le prince l’aimait aussi. Mais son père était cruel. Le prince a demandé la princesse Méline en mariage mais le père de Méline a refusé. Pour punir sa fille, il l’a enfermée dans une tour.   La tour n’avait pas de portes. Méline était emprisonnée dans la tour.

Sept ans ont passé. Il n’y avait plus de quoi manger et Méline était affamée.

Méline a essayé de s’échapper de la tour. Elle a creusé et creusé.  Après trois jours, elle a réussi à détruire des briques de la tour. Elle est sortie de la tour.Elle était libre. Elle a marché dans la forêt mais elle s’est égarée. Elle n’avait pas de maison et pas de destination. Finalement, elle est arrivée à un château.

Méline avait faim. Elle voulait manger alors elle est entrée dans le château et elle a demandé à parler au châtelain. Elle a demandé du travail en échange de nourriture.

Méline a commencé à travailler comme servante pour la princesse du château. Cette princesse était la fiancée d’un prince. Le jour de leur mariage arrivait rapidement. La fiancée était nerveuse. Elle était laide. Elle avait peur que le Prince voie son visage qui était laid. Elle avait peur qu’il la voie et la refuse en mariage.  Alors, la princesse a dit à Méline : « Va en ma place à la cérémonie de mariage. Tu es belle, le prince ne te refuseras pas en mariage.” Mais Méline hésitait alors la princesse lui a dit : ” Vas-y, Sinon je te fais exécutée !  »

Méline s’est preparée pour la cérémonie de mariage. Elle n’avait pas d’autre choix. Elle a mis la belle robe de mariée de la princesse et elle est allée à la chapelle.

Par coïncidence, le prince était le même prince qu’elle aimait. Quand le prince a vu Méline s’avançait dans la chapelle, il l’a reconnue. Son cœur était rempli de joie ! Méline a vu le prince et son cœur était aussi rempli de joie ! Ils se sont mariés.

Méline s’est finalement mariée avec son amour, son prince.

La délicieuse purée

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Il était une fois une petite fille. Elle habitait avec sa maman dans une maison.  Elle était très pauvre et n’avait rien à manger. Elle avait faim tous les jours.

Un jour la petite fille va dans la forêt et elle voit une vieille dame. La vieille dame lui dit : « ma petite fille, j’ai un cadeau pour toi : c’est une casserole magique. Quand tu diras « casserole, cuisine », la casserole prépareras une délicieuse purée. Quand tu diras : « casserole, arrête ! » la casserole s’arrêtera.

La petite fille se sent heureuse et rentre à la maison et elle prepare à manger avec la casserole magique. Elle mange beaucoup et elle n’a plus faim.

Quelques jours plus tard, la maman est à la maison. La petite fille n’est pas à la maison. La maman a faim, et elle dit : « casserole, cuisine ! » Et la casserole prépare la délicieuse purée. La maman mange et mange et mange la délicieuse purée. Quand elle a fini de manger, elle oublie de dire la phrase pour arrêter la casserole ! Et la casserole continue de préparer la délicieuse purée. Il y a de la délicieuse purée partout dans la maison, dans la rue et dans toute la ville !

La petite fille rentre à la maison et crie : « casserole, arrête ! » Et la casserole s’arrête. Il y a de la purée partout ! Quand quelqu’un veut entrer dans la ville, il doit manger la délicieuse purée.

Partir en voyage

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Il était une fois une mère et un garçon.  La mère était très pauvre.  Elle n’avait rien à offrir à son petit garçon.  Il n’y avait rien à manger.  La mère était très triste.  Elle était si désespérée.

Un jour elle a dit au garçon :

-Pars ! Pars, mon petit.  Il n’y a rien à manger.  Il faut partir en voyage.  Peut-être qu’un Bon Samaritain aura pitié de toi.

-Partir ?  A dit le garçon triste.  Non !

-Si, mon petit.  Pars.  Il n’y a rien à manger… rien.

La mère répétait « rien, rien » et pleurait.

Le garçon est parti.  Il est parti en voyage.  Il était triste.  Il répétait « rien, rien » et il pleurait.

Eventuellement, il a vu un monsieur.  C’était un pêcheur.  Il pêchait.

-Bonjour !  A dit le monsieur.

Mais le garçon était trop triste.  Il n’a pas dit « Bonjour ».  Il a juste répété « rien, rien ».

A ce moment, le pêcheur a inspecté son filet de pêche.  Il n’y avait rien !  Rien à manger !  Il a pensé que c’était de la faute du garçon.  Il a dit au garçon :

-Oh non !  Ne dis pas « rien ».  Dis « le maximum possible » .  Répètes après moi : « le maximum possible ».

-Le maximum possible, le maximum possible, a répété le garçon.


Le garçon a continué son voyage…et il a continué à répéter «le maximum possible, le maximum possible ». Il a vu une grande exécution publique.  Il y avait un prêtre. Le prêtre a observé le garçon. Le garçon pleurait.  Le prêtre a eu pitié de lui.  Il a dit :

– Bonjour mon petit.

Mais le garçon était trop triste.  Il n’a pas dit « Bonjour ».  Il a répété « Le maximum possible, le maximum possible ».

Le prêtre était choqué ! Il a dit :

-Le maximum d’exécutions ? Mais non !  Dis « pitié, pitié ».  Répètes après moi : « Pitié, pitié ».

-Pitié, pitié, A répété le garçon.

Le garçon a continué de voyager et a répété « Pitié, pitié ».  Il était si triste.  Il n’avait pas de famille.  Il n’avait rien à manger.

Éventuellement, il a vu un monsieur : c’était un boucher.  Le boucher coupait un cochon. Il  préparait le cochon pour le manger.

– Bonjour mon petit.

Le petit garçon pleurait et pleurait.  Il n’a pas dit « Bonjour ».  Il pleurait et répétait « Pitié, pitié ».

Le boucher était très touché.  Il a eu pitié du petit garçon.  Il a dit :

-Tu manges du porc ?

-Le maximum possible. A dit le garçon avec un grand sourire.

Alors, le boucher était très généreux.  Il a offert tout le cochon au garçon.  Le garçon a dit « Merci, merci » et il est retourné chez lui.  Sa mère était joyeuse.  Son petit garçon était retourné à la maison et il avait un cochon énorme !

Ils répètent encore aujourd’hui « Merci, merci ».

Barbe-Bleue

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Barbe-Bleue était un homme très riche. Il avait une grande maison. Mais il était seul. Il n’avait pas de famille. Barbe-bleue s’est marié avec 10 belles femmes. Mais elles sont mortes.

Barbe-bleue s’est remarié et remarié et remarié. Avec chaque mariage, sa femme a disparu mystérieusement.

La rumeur était que Barbe-Bleue avait torturé et exécuté les 10 mariées innocentes. Les femmes du village était nerveuses. Elles refusaient de se marier avec Barbe-Bleue.

Une famille avait deux belles filles. La famille était pauvre : c’était la pauvreté totale. Un jour, Barbe-Bleue a dit au Papa de la famille : ” Je t’offre une vaste fortune … si ta fille se marie avec moi. “

Le Papa était désespéré. Il a accepté l’offre. Il a forcé une de ses filles à se marier avec Barbe-Bleue en échange de sa fortune.

Barbe-Bleue avait une fortune énorme. “Oh non ! Je suis la femme numéro 11 de Barbe-Bleue ! C’est terrible ! ” A dit la femme.

Elle était dévastée… mais elle avait une consolation : elle était riche. Elle avait une grande maison. La maison avait de multiples chambres. La majorité du temps, elle avait son indépendance !

Barbe-Bleue passait de longues périodes à voyager. Barbe-Bleue voyageait… normalement à une longue distance de la maison.

Durant les longs voyages, la femme était en charge. Barbe-Bleue lui a donné les clés. Barbe-Bleue a dit :

“ Voilà les clés. Les clés te donnent accès à toutes les chambres… sauf une chambre. La chambre dans la cave est pour MOI ! Tu n’y es pas permise ! Ne touche pas cette chambre ! ”

“ Oui, je promets. Je ne touche pas à la chambre dans la cave, ” A dit la femme.

Barbe-Bleue est parti.

Mais la femme était curieuse. Elle suspectait que la chambre était importante. ” Je suspecte que la chambre secrète révèle le mystère des femmes #1-10, ” S’est dit la femme.

Elle est allée dans la chambre. Elle avait la clé… et elle l’a tournée. Elle est entrée dans la chambre secrète. Immédiatement elle a crié de terreur ! Il y avait 10 cadavres. 10 squelettes de 10 femmes mortes pendaient dans la chambre. De plus, il y avait des instruments de torture.

Au même instant, Barbe-Bleue est revenu. Il a remarqué que sa femme était entrée dans la chambre secrète. Il a crié et il s’est préparé à attaquer et à exécuter la femme numéro 11.

Par chance, le Papa de la fille est arrivé. Il était très nerveux pour sa fille. Il a vu l’attaque et rapidement, il est entré dans la chambre. Il a défendu sa fille. ” Papa, merci ! Tu m’as sauvée !” A dit la fille. Elle a embrassé son Papa.

Finalement, Barbe-Bleue a été forcé de payer pour ses crimes.

Et la fille et le Papa étaient saufs. De plus, la femme de Barbe-Bleue avait une grande maison : elle et son Papa étaient riches.

Le pauvre garçon à la tombe

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Un conte de Grimm

Il était une fois un garçon. Ses parents sont morts. Le garçon était orphelin. Le juge a déclaré :

- « Le garçon n’a pas de famille. Alors, la famille la plus riche du village adoptera le garçon. »

La famille la plus riche était un homme et une femme terrible. L’homme a fait travailler le garçon. Le garçon était un servant. Si son travail n’était pas absolument parfait à 100%, l’homme était brutal. L’homme abusait le garçon.

Le garçon avait une existence pathétique. L’homme et la femme mangeaient les diners splendides ! Mais le garçon ne mangeait pas beaucoup. Le garçon était faible et mince.

Un jour, l’homme a dit :

--« Garçon, va au juge. Il est un client. Il veux 20 grappes de raisins. »

--« Oui monsieur. » A dit le garçon.

Le garçon transportait les raisins. Le fruit était délicieux. Le garçon avait très faim. Alors il a mangé une grappe de raisins.

Quand il est arrivé, le juge a dit :

--« Merci. Tu aimes ta famille adoptive ? »

Mais le garçon était silencieux. Il était supposé dire « oui » … mais ce n'était pas vrai.

Pour le juge, le silence était confirmation de ses suspicions : ses parents adoptifs étaient cruels. Finalement, le juge a dit :

--« 15, 16, 17, 18…mais… le reste ? »

--« Oh pardon, monsieur. J’ai mangé le reste. Je n’ai pas mangé depuis 24 heures. » A dit le garçon.

--« Tu n’as pas mangé ? Mais ta famille est riche ! »

Le juge a écrit une lettre. La lettre a dit que le garçon avait mangé quelques grappes. Le juge a dit que le garçon devait manger plus.

Le juge était nerveux pour le garçon.

L’homme et la femme ont lu la lettre. Ils étaient furieux et ils ont torturée le garçon. Son petit corps souffrait. C’était urgent emmener le garçon au docteur… mais le docteur alerterait le juge.

Alors la famille refusait d’aller au docteur. Le garçon souffrait en silence.

Soudain, le garçon a entendu une conversation. L’homme a dit :

--« Je déteste ce garçon ! »

--« Tu nécessites la bouteille sur la table. C’est fort ! C’est toxique ! » A dit la femme.

L’homme a ri : HA HA HA !

Le garçon avait entendu toute la conversation. « Poison ? Toxique ? Mes parents vont me tuer ! » S'est dit le garçon. Le garçon était si triste et si souffrant. Il s’est décidé de prendre le poison toxique immédiatement. Alors, le garçon est allé à table. Il a pris le bouteille… mais il n’est pas mort.

Les minutes passaient. Le garçon était surpris. Il n'est pas mort.

Le a inspecté la bouteille. Ce n’était pas de poison toxique. C’était d’alcool. La femme n’était pas sérieuse, et elle n'allait pas tuer le garçon.

Mais le garçon n’était pas supposé toucher l’alcool. L’homme aurait été furieux !

Le garçon était horrifié. Il souffrait et l’alcool était bon pour son estomac vide. Le garçon a fini le reste de la bouteille.

Tragiquement, le garçon était trop petit. Son corps était dans une condition terrible. Il avait consumé une vaste quantité d’alcool.

--« Je mors. » A dit le garçon.

Le garçon est allé au cimentaire. Il s'est allongé dans une tombe.

Le lendemain, le juge passait voir le garçon. Il cherchait chez lui. Mais le garçon n'était pas là. Le juge était très anxieux. Il avait une mauvaise pressentiment. Alors, il est allé au cimentaire. Là, au tombe, il a vu le garçon. « Est-ce qu'il est mort ? » S'est dit le juge. Il n'était pas certain. Alors, il a testé sa pulse. Et le garçon était...


Les Contes d'animaux

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La cigale et la fourmi

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Adapté d’une fable de La Fontaine

Il était une fois une forêt. C’est l’été. Il fait beau. Dans la forêt habite une fourmi. La fourmi travaille beaucoup. Elle construit une superbe maison. Elle plante un jardin. Elle arrose le jardin. Elle s’occupe des plantes. Elle ramasse de la nourriture. Elle stocke de la nourriture dans sa maison pour l’hiver.

Une cigale habite dans la même forêt. La cigale est paresseuse. Elle n’aime pas travailler. Elle n’a pas une maison, elle dort dehors. La cigale aime chanter et danser.

Un jour, la fourmi travaille. Elle ramasse une énorme carotte de son jardin. La carotte est très lourde. La fourmi porte la carotte vers sa maison. C’est très lourd, très très lourd.

La cigale regarde la fourmi. La cigale ne comprend pas. Pourquoi est-ce que la fourmi travaille aussi dur?

La fourmi fait tomber la carotte. Elle a besoin de souffler. Pendant qu’elle souffle la fourmi voit la cigale. La fourmi dit, “Cigale, j’ai besoin d’aide. La carotte est très grande est très lourde. Est-ce que tu peux m’aider à porter la carotte à ma maison?”

La cigale est surprise. Elle dit, “Moi? Travailler? Je n’aime pas travailler! Désolé petite fourmi.” Puis la cigale dit, “Mais je vais chanter une chanson pour toi.” La cigale chante, et la fourmi ramasse la carotte et marche vers sa maison.

Les semaines passent. La fourmi a bien travaillé. Elle a beaucoup de nourriture, et une superbe maison. La cigale chante et danse.

Un jour, c’est l’hiver. Il fait froid. Il neige. La cigale n’est pas contente. Elle a froid. Elle a faim. La cigale va à la maison de la fourmi. Elle frappe à la porte. La fourmi ouvre la porte. Elle voit la cigale. La cigale dit, “Petite fourmi, j’ai faim. Je n’ai rien à manger. J’ai froid. Je n’ai pas de maison. Est-ce que tu peux m’aider?”

La fourmi dit, “Non, désolé. Moi, j’ai travaillé. Toi, tu as chanté et dansé. Tu n’as pas travaillé. Tu ne m’as pas aidé. Au revoir.”

La fourmi ferme la porte.

Le faucon, le héron, la tortue et le lion

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Fable de Douala (Cameroun- Afrique)

Le faucon et le héron vivent ensemble en toute amitié. Ils chassent ensemble et mangent ensemble. Un jour, le faucon mange toute la viande de la journée.

Le héron est en colère et attaque furieusement le faucon. La tortue, qui entend cette affreuse bataille, intervient pour les séparer.

A la fin du combat, le faucon a perdu un œil. Il a seulement un œil! Le héron en colère accuse la tortue : “c’est toi qui as blessé le faucon !”, mais la tortue accuse le héron : “non, c’est toi qui as blessé le faucon !”.

Ils décident d’aller voir le lion pour lui demander son opinion. Le lion écoute l’histoire du faucon, du héron et de la tortue et décide:

– La tortue est innocente. Il n’y a pas assez de preuve, ni dans un sens, ni dans l’autre. Il est probable que ce soit toi, héron, qui as blessé le faucon avec ton bec. De plus, c’est toi qui te battais ; la tortue, elle, voulait seulement vous aider à faire la paix.

La grue et le renard

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Il était une fois une grue. La grue habitait dans une forêt. Elle était grande, avec un long bec, un long cou et de longues jambes. La grue était gentille.

Dans la même forêt habitait un renard. Le renard était rusé. Il aimait rigoler. Le renard aimait se moquer de la grue, “Haha! Tu es moche! Regarde ton bec, c’est trop long! Regarde ton énorme cou! Regarde tes jambes, elles sont tellement longues! Haha!”

Un jour, le renard s’ennuyait. Puis il a eu une idée amusante. Le renard a invité la grue, “Viens dîner chez moi ce soir.” La grue était très contente. Elle a dit, “Oui, avec plaisir!”

Le soir, la grue est arrivée chez le renard. Elle avait très faim. Le renard a cuisiné une soupe. La soupe sentait très bonne. Le renard a servi la soupe dans une assiette peu profonde. La grue n’arrivait qu’à tremper le bout de son bec. Elle ne pouvait pas manger. Le renard a rigolé. “Haha! Ton bec est trop long! Tu n’arrives pas à manger de la soupe! Dommage, la soupe est délicieuse! Haha!” La grue n’était pas contente. Mais elle ne se fâchait pas. Elle est rentrée chez elle.

Le lendemain, la grue a invité le renard à dîner chez elle. La grue a pêché du poisson.

Le soir, le renard est arrivé chez la grue. Le renard avait très faim. La grue a cuisiné le poisson. Le poisson sentait très bon. La grue a servi le poisson dans un vase avec une petite ouverture. Le renard avait un petit museau. Il n’arrivait pas à attraper le poisson au fond du vase. Il pouvait seulement lécher le bord du vase. La grue, avec son long bec, a pu manger son poisson au fond du vase. Le renard s’est fâché. Il a crié, “J’ai faim! Je veux manger du poisson!”

La grue a répondu, “Il ne faut pas se moquer de tes voisins si tu n’aimes pas quand ils se moquent de toi.”

Le Loup et le grue

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Il était une fois un loup.  Loup avait faim.  Il a mangé un grand steak.

Il mangeait et mangeait le plus rapidement possible.  Il a mangé tout le steak …et il a mangé un os.  L’os était très long.  L’os s’est bloqué dans sa gorge.

Il était impossible d’enlever l’os.

Loup a paniqué, et il a crié “Au secours!  Au secours !”  Il a crié et crié et a attiré l’attention d’une grue.

La grue a remarqué le loup paniqué.

“Ahhh, ce pauvre loup souffre.  C’est pathétique.” Et elle a eu pitié du Loup.

“Tu veux de l’aide, Monsieur Loup?”  a demandé Grue.

–Oui ! Au Secours !  Aide-moi !  Si tu m’aides, je t’offre un grand payement.

–C’est quoi le problème ?

–Un os est bloqué dans ma gorge !

–Dans ta gorge ?   Je t’aide … mais je suis anxieuse.  Si j’approche, tu me promets de ne pas me manger ?

— Oui, je te promets.

–Et tu me promets de me payer ?

–Oui, un grand payement !  Mais aide-moi !  Je souffre !

Loup a pointé frénétiquement vers sa gorge.

Loup a ouvert la bouche pour que la grue inspecte sa gorge.  La bouche avait des dents terrifiantes.   Grue détestait l’idée d’approcher la bouche terrifiante.  C’était dangereux, mais Loup avait promis…

Nerveusement, Grue s’est approchée.

Elle a inspecté la gorge de Loup.  Grue a remarqué un long os .

Grue avait un long bec.  Il était possible d’expulser l’os… mais c’était nécessaire de placer son bec et son visage à l’intérieur de la bouche de Loup.  Grue était anxieuse.  Elle hésitait.

–Tu me promets que tu ne me mangeras pas ?

–Oui, c’est une promesse !

Finalement, Grue a placé son long bec dans la bouche de Loup.   Elle a enlevé l’os avec son bec. Rapidement, Grue a enlevé son bec de la bouche de Loup.  Grue s’est éloignée du Loup terrifiant.

D’une distance, Grue dit, “Voilà ! C’est fini ! Alors, c’est quoi le payement ?  Mille euros ?  Des diamants ou des rubis ?

— Non ! Absolument pas !Absolument rien !

–Mais tu as promis.  Tu as dit, ” Je te donnerai un payement. ”

–Un payement ?  Le payement est simple : je ne te mange pas.  Les animaux entrent dans ma bouche régulièrement.  Tu es l’unique animal qui en soit ressorti.

Loup a insisté. Il a dit que c’était sa décision finale. Loup a fait un “Grrrr” sérieux pour indiquer que la conversation était finie.

Pauvre Grue est retournée chez elle … sans payement.


La souris de la ville & la souris des champs

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Un conte d'Aesop


Un jour, une petite souris qui vivait à la campagne invite une petite souris de la ville à lui rendre visite. Quand la petite souris de la ville arrive, elle embrasse son amie.

Les deux souris vont à la table, mais il y a peu à manger.  La souris de la ville est surprise, et elle dit :

- Oh non, la table est vide !  Il y a juste un peu de grain.

- Vraiment ?  dit la souris des champs

- À New York, on mange beaucoup!  J’ai toutes sortes de choses délicieuses à manger tous les jours !

- Vraiment ?  dit la souris des champs

- Absolument ! Passe donc me rendre visite, et tu verras que la vie en ville est splendide.

Après un temps, la souris des champs rend visite à la souris de la ville.  La souris regarde dans le frigo de la cuisine de la maison. Il y a toutes sortes de mets délicieux.  La petite souris des champs est très impressionnée !

La petite souris des la ville présente à son amie une table couverte de fromage !  Elle suggère :

-Mange ce fromage suisse. C’est délicieux !

-Oh, merci beaucoup ! dit la petite souris des champs.

Et les amies mangent un dîner superbe.


La souris des champs dit, «  Je n’ai jamais rien mangé d’aussi délicieux de ma vie. »   Soudain, elles entendent un « RRRAAR !! ».

À ce moment, la porte s’ouvre violemment.  Un chat avec des dents terribles est entré.  « Cours! » crie la souris de la ville.

Les deux souris paniquent et courent rapidement.

Frénétiquement, elles courent et se cachent.  Elles sont de nouveau en sécurité, mais la petite souris des champs tremble de terreur.

La petite souris de la ville n’a pas de réaction.  Calmement, elle dit:

- Ce n’est rien.  Le chat va quitter la maison.  Nous retournerons à table dans une minute.  Tu aimes la soupe ?

-La soupe ?  La soupe n’est pas importante !  Un chat  énorme a failli me manger!

-Mais ce n’est pas sérieux.

-Pas sérieux ?  Si, c’est très dangereux. J’insiste que tu retournes avec moi à la campagne.  Retourne au calme et à la tranquillité.


La petite souris de la ville aime la ville. Elle ne désire pas quitter sa maison en ville.  Elle est très intelligente, et elle réfléchit un moment.  Puis, elle dit :

- Tu aimes la campagne; je préfère la ville. Nous avons deux préférences différentes.  Mais nous restons amies quand même.


Les deux amis s'embrassent.  La petite souris de la ville continue à vivre en ville. La petite souris des champs continue à vivre à la campagne.  Mais elles s’aiment et elles restent de bonnes amies pour la vie.


Qui est le meilleur ?

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Adapté d’une Fable d’Afrique orientale

Les animaux, un jour, discutent de savoir qui est le meilleur d’entre eux.

Le lion dit : “ je suis le meilleur parce que je suis le plus courageux ! ”

L’éléphant dit : “ je suis le meilleur parce que je suis le plus gros ! ”

La vipère dit : “ je suis la meilleure parce que je suis la plus dangereuse ! ”

Le guépard dit : “ Mais non, je suis le meilleur parce que je suis le plus rapide !”


Et la discussion a continué ainsi longtemps :

La girafe a dit qu’elle était la meilleure parce qu’elle était la plus grande.

Le python a dit qu’il était le meilleur parce qu’il était le plus long.

Etc. [You could come up with more examples using cognates]


Pour finir, ils décident de demander à l’homme son opinion.

Les animaux disent : “ Homme ! Qui est le meilleur des animaux ? ”

L’homme dit : “ Le meilleur des animaux ? C’est la vache, parce qu’elle m’est la plus utile.


Le Renard et le chat

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Un chat se promène dans la forêt. Sur son chemin, il rencontre un renard. Le chat pense : « Le renard est un animal très intelligent. Il est expérimenté, il sait beaucoup de choses. En plus, il est respecté de tous les animaux. Je vais lui dire bonjour. »

La chat s’approche du renard et lui dit : « Bonjour, monsieur le renard. Comment allez-vous ? Il fait un temps superbe aujourd’hui. »

La renard regarde le chat d’un air méprisant. Après un moment, il dit au chat : « Mais qui es-tu, toi ? Petit chat idiot et insignifiant, toi qui sait seulement chasser des souris ? Tu sais qui je suis, moi ? Je sais faire beaucoup de choses et je sais très bien les faire. Et toi, qu’est-ce que tu sais faire ? »

Le chat est tout confus. Il répond : « Et bien… C’est vrai que je ne sais pas faire beaucoup de choses ! » Le chat est embarrassé. Il a honte. Il dit : « Mais il y a quelque chose que je sais très bien faire. »

Le renard s’exclame : « Ah bon ? Et c’est quoi ? Qu’est-ce que tu sais très bien faire ? »

Le chat lui répond : « Et bien, je sais monter aux arbres très rapidement. Je peux monter très vite monter aux arbres quand les chiens me poursuivent. Cela m’a sauvé la vie deux fois. »

Le renard commence à rire. Il se moque du chat : « Ah, ah, ah ! C’est vrai ? C’est tout ce que tu sais faire ? Moi, je connais plus de cents (100) trucs pour me sauver des chiens. Mais toi, tu n’es qu’un simple chat ! Je suis sûr que tu ne peux rien apprendre ! »

A ce moment-là, un chasseur arrive avec quatre chiens de chasse qui aboient comme des fous : « Ouaf, ouaf, ouaf !!! »

Le chat crie : « Vite, monsieur le renard, courez, courez ! » Et le chat monte rapidement à l’arbre le plus proche. Pendant ce temps, les cents trucs du renard ne lui servent à rien pour s’échapper. Les chiens sont plus rapides que le renard et ils l’attrapent !


Les deux coqs

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D’après une fable de Jean de La Fontaine.

Une fois, dans une ferme, il y avait deux coqs. Les deux coqs habitaient en paix dans le poulailler. Ils s’aimaient bien. Ils étaient amis.

Mais un jour, une poule est arrivée dans le poulailler. Elle était belle. Elle était charmante. Les deux coqs on vu la belle poule. Ils étaient charmés. Les deux coqs sont tombés amoureux de la poule. Ils ont attiré l’attention de la poule. Ils sont entrés en compétition pour attirer l’attention de la poule. Ils sont devenus jaloux. Ils ne s’aimaient plus. Ils se détestaient. Ils n’étaient plus amis. Ils étaient ennemis.

Les deux coqs ont commencé à se battre. Il combattaient pour la poule. Ils se sont battus un jour. Ils se sont battus un autre jour. Les autres animaux de la ferme : les vaches, les cochons, le chien, le chat sont arrivés pour regarder le combat. Ils ont assisté à la bataille entre les deux coqs pour la poule.

Après des jours de combat, un coq a gagné. Il était victorieux. Il avait enfin l’attention de la belle poule ! Il criait : “ Cocorico ! J’ai gagné ! Je suis victorieux ! Je suis le plus fort ! “ La poule admirait le coq. Elle était impressionnée. Elle est tombée amoureuse du coq.

L’autre coq avait perdu. Il n’était pas victorieux, il était perdant, il était vaincu. Il était embarrassé d’avoir perdu. Il avait honte alors il a disparu. Il est allé se cacher dans le poulailler. Il pleurait de rage. Il pleurait de honte. Il pensait à la vengeance. Il pensait : “ Quelle honte ! Je veux me venger. Je veux la revanche. “ Alors il a décidé de s’entraîner. Il s’est entraîné à combattre. Il s’est entraîné tous les jours. Il voulait prendre sa revanche. Il a aiguisé son bec. Il a durci ses ailes. Elles étaient dures et fortes. Il était très jaloux du coq victorieux. Mais en réalité, il n’avait pas besoin de s’entraîner.

Un jour, le coq victorieux était sur le toit du poulailler. Il chantait : “ Cocorico ! “ Il chantait sa victoire. Un vautour était dans le ciel. Il volait au-dessus du poulailler. Il a entendu le coq qui chantait : “ Cocorico ! “. Le vautour avait faim. Il a vu le beau coq qui chantait sur le toit. Immédiatement, il l’a attaqué. Il a capturé le coq et il l’a pris avec lui. Il l’a emporté dans le ciel pour le manger. Le coq victorieux a disparu. Adieu les amours et la gloire.

Immédiatement, le coq vaincu est sorti du poulailler. Il n’avait plus honte, il n’était plus embarrassé. Il n’avait plus d’ennemi. Il est allé voir la belle poule pour la charmer. Les autres poules du poulailler ont encerclé le coq et l’ont salué. Elles étaient impressionnées. A présent, le coq vaincu était devenu le coq victorieux.

Attention ! Après une victoire, il ne faut pas être arrogant, il faut rester modeste.

…Prenons garde à nous

Après le gain d’une bataille.


La petite grenouille à grande bouche

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C’est l’histoire d’une petite grenouille qui avait une grande bouche. Un jour, elle regarde son bol de mouches et elle dit : « j’en ai assez de manger des mouches. Je mange des mouches le matin, le midi et le soir. Je ne veux plus manger de mouches ! »

Alors elle décide d’aller voir ce que les autres animaux mangent. Et hop, hop, hop, elle saute et elle arrive à la ferme. À la ferme, elle voit une poule.

Elle demande : « qui t’es, toi ? »

La poule répond : « je suis une poule »

Elle demande à la poule : « qu’est-ce que tu manges, toi ? »

La poule lui répond : « je mange des vers de terre.»

La petite grenouille dit : « pouah ! Je n’aime pas les vers de terre. C’est bon pour toi, pas pour moi »

Et hop hop hop, elle saute et voit un cheval.

Elle demande : « qui t’es, toi ? »

Le cheval lui répond : « je suis un cheval »

Elle demande au cheval :  « qu’est-ce que tu manges, toi ? »

Le cheval répond : « je mange du foin. »

La petite grenouille dit : « pouah ! Je n’aime pas le foin. C’est bon pour toi, pas pour moi »

Et hop hop hop, elle saute et voit un cochon.

Elle demande : « qui t’es, toi ? »

Le cochon lui répond : « je suis un cochon »

Elle demande au cochon :  « qu’est-ce que tu manges, toi ? »

Le cochon répond : « je mange une chaussure. »

La petite grenouille dit : « pouah ! Je n’aime pas les chaussures. C’est bon pour toi, pas pour moi »

Et hop hop hop, elle saute et voit un grand serpent.

Elle demande : « qui t’es, toi ? »

Le serpent lui répond : « je suis un ssssssserpent »

Elle demande au serpent :  « qu’est-ce que tu manges, toi ? »

Le serpent répond : « je mange des petites grenouilles à grande bouche… »

La petite grenouille fait une toute petite bouche et dit : « oh! Mais il n’y a pas de grenouille à grande bouche ici. »

Et hop hop hop elle saute vite jusqu’à sa maison. Ouf ! Finalement, elle préfère manger des mouches !

Le lapin et le loup

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Une fable du Venezuela

Il était une fois un petit lapin qui habitait dans les montagnes. Un jour, le lapin marchait à côté d’une colline. Une colline, c’est un petite montagne. Soudain, il a vu un loup féroce. Le loup a vu le lapin, il avait très faim et il a pensé “Miam, je veux manger du lapin pour le déjeuner” Il a dit au lapin: “Je vais te manger, lapin”

Le lapin tremblait, il était terrifié. Il a répondu : “Loup, je suis un pathétique petit lapin, ne me mange pas s’il te plait !

Mais le loup a ouvert sa grande bouche et il a dit : “Je vais te manger.”

Le lapin a cherché de l’aide. Il a vu de gros rochers tout en haut de la colline. Il a eu une idée : “Regarde, loup, il y a des vaches en haut de la colline. Ces vaches sont très grosses. Tu ne veux pas me manger, tu veux manger ces vaches, non? Regarde!”

Le loup était très bête. Il a regardé les rochers et il a pensé que c’était des vaches! Ces vaches étaient très grosses… Il a commencé à monter la colline.

“Non, repose-toi Loup”, a dit le lapin. “Je peux monter sur la colline. Ouvre tes bras. Je vais te jeter une vache!”

Le loup n’était pas intelligent. Il était très bête. Le lapin a monté la colline. Tout en haut de la colline, le lapin a poussé un gros rocher et il a crié : “voilà une délicieuse vache!”

Le loup a ouvert les bras. Le rocher était très lourd mais le lapin était désespéré, il a poussé et poussé et poussé.

Et finalement, BOOM! Le gros rocher a frappé le loup et il est mort. Le lapin est parti, très heureux et fier de lui.

Deux chèvres

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Une fois, il y avait deux chèvres. Les deux chèvres étaient amies. Elles jouaient joyeusement au soleil. Les chèvres habitaient à la montagne. Un jour, les deux chèvres ont marché jusqu’à un arbre qui était tombé. L’arbre était tombé. En tombant, il était devenu un pont qui reliait deux montagnes. Mais c’était dangereux. L’arbre-pont n’était pas sûr. L’arbre était fragile. Même un bébé chèvre ne pouvait pas marcher sur l’arbre en sécurité. Les deux chèvres étaient de grandes chèvres. Elles étaient lourdes.

Les chèvres on vu que l’arbre était trop fragile pour deux grandes chèvres, mais elles n’ont pas traversé à tour de rôle.

“ Je n’ai pas peur. Je vais marcher sur l’arbre la première, ” a dit une chèvre. L’autre chèvre voulait être la première et elle a dit “ Non, reste de ce côté. Je vais marcher sur l’arbre la première ! ” Les deux voulaient marcher sur l’arbre en premier.

Une chèvre a posé son pied sur l’arbre. L’autre chèvre a aussi posé son pied sur l’arbre. L’arbre a résisté. Il a tremblé à cause des deux chèvres. Elles étaient lourdes. Craaaac ! L’arbre a craqué bruyamment. Les chèvres étaient nerveuses, mais elles ont continué.

Au milieu de l’arbre, les deux chèvres étaient face à face. “ Bouge ! Tu bloques le passage,” a dit une chèvre. “ Non, tu es dans le passage ! ” a crié l’autre chèvre. Elles ont continué de se disputer quand elles ont entendu un Craaaac ! L’arbre a craqué. L’arbre est tombé avec les chèvres.

Un petit loup très mignon

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Il était une fois un petit loup. C’était un petit loup très mignon. Il était tout petit et très mignon. Un jour, il s’est perdu dans la forêt.

Heureusement, un petit garçon marchait dans la forêt. Il a vu le petit loup très mignon. Il a dit : ” Oh ! Un tout petit loup très mignon qui s’est perdu. Viens, je vais trouver quelqu’un pour s’occuper de toi et te protéger. ”

Le petit garçon est allé avec le petit loup chez Madame Luzerne. Il a frappé à la porte de la maison de Madame Luzerne ” Toc, toc, toc “. Madame Luzerne a ouvert la porte et le petit garçon a dit : ” Bonjour Madame Luzerne, pourriez-vous vous occuper de ce tout petit loup très mignon qui s’est perdu dans la forêt ? “. Madame Luzerne a regardé le petit loup et elle s’est exclamée : ” Mais tu es fou ! Ce loup va me manger. Sortez vite tous les deux de ma maison ! “.

Alors, le petit garçon est allé avec le petit loup chez Monsieur Grignon. Il a frappé à la porte de la maison de Monsieur Grignon ” Toc, toc, toc “. Monsieur Grignon a ouvert la porte et le petit garçon a dit : ” Bonjour Monsieur Grignon, pourriez-vous vous occuper de ce tout petit loup très mignon qui s’est perdu dans la forêt ? “. Monsieur Grignon a regardé le petit loup et il s’est exclamé : ” Mais tu es fou ! Ce loup va me manger. Sortez vite de ma maison ! “.

Alors, le petit garçon est allé avec le petit loup chez Mademoiselle Coquelicot. Il a frappé à la porte de la maison de Mademoiselle Coquelicot ” Toc, toc, toc “. Mademoiselle Coquelicot a ouvert la porte et le petit garçon a dit : ” Bonjour Mademoiselle Coquelicot, pourriez-vous vous occuper de ce tout petit loup très mignon qui s’est perdu dans la forêt ? “. Mademoiselle Coquelicot a regardé le petit loup et elle a crié : ” Mais tu es fou ! Ce loup va me manger. Sortez vite de ma maison ! “.

Alors, le petit garçon est allé avec le petit loup chez Monsieur Ogre. Il a frappé à la porte de la maison de Monsieur Ogre ” Toc, toc, toc “. Monsieur Ogre a ouvert la porte et le petit garçon a dit : ” Bonjour Monsieur Ogre, pourriez-vous vous occuper de ce tout petit loup très mignon qui s’est perdu dans la forêt ? “. Monsieur Ogre a répondu : ” Mais bien sûr ! Entrez vite et installez-vous confortablement ! “. Mais le petit loup très mignon a senti le danger. Il a senti que Monsieur Ogre voulait les manger. Alors rapidement, il a sauté sur le dos de Monsieur Ogre pour le mordre. Monsieur Ogre a crié : ” Aaaah ! ” et le petit garçon et le petit loup se sont échappés.

Le petit garçon a dit au petit loup très mignon : ” Finalement, c’est moi qui vais m’occuper de toi. Et toi, tu me protégeras.”


Holiday Stories

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Saint Valentin

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Il y a très longtemps, au temps des Romains, il y avait un homme qui s’appelait Valentin de Terni. Il était chrétien. Valentin était prêtre. Cependant, l’empereur romain Claude II n’aimait pas les chrétiens. Il les persécutaient. Claude II était un empereur cruel et il n’aimait pas que les gens se marient. En réalité, il avait besoin de soldats pour aller se battre et il n’aimait pas que les hommes se marient au lieu de partir à la guerre. Il pensait que le mariage était une distraction pour les jeunes hommes. Par conséquent, Claude II a décidé d’abolir le mariage. Il a interdit aux couples de se marier !

Valentin n’était absolument pas d’accord avec cette interdiction. Il voulait que les gens continuent de se marier alors il a décidé de défier l’autorité de l’empereur. Il a continué de célébrer des mariages en secret. Mais l’empereur a découvert ce que faisait Valentin et il était furieux. Les gardes de l’empereur ont arrêté Valentin et l’ont emprisonné. Il l’ont enfermé dans une géôle.

Quand Valentin était enfermé dans une geôle, il rencontré la fille du geôlier, la gardienne de la geôle. Elle s’appelait Julia. Malheureusement, elle ne pouvait pas voir. Elle était aveugle. Julia a commencé à parler à Valentin. Elle lui a demandé : ” S’il te plaît, Valentin, je suis aveugle, je ne peux pas voir les personnes, la nature ou les animaux. Je voudrais voir le monde. Est-ce que tu peux me décrire le monde ? “. Valentin a accepté parce qu’il avait un bon cœur. Chaque soir, Julia apportait à manger à Valentin dans sa geôle et Valentin lui décrivait la beauté du monde. Peu à peu, Valentin et Julia sont tombés amoureux.

Un soir, Julia a apporté de la nourriture à Valentin. Quand elle est arrivée à la geôle, il y a eu une forte lumière. Julia s’est exclamée : ” Maintenant, je vois ! Je vois le monde comme tu me l’as décrit, Valentin ! “. Julia voyait, elle n’était plus aveugle ! C’était un miracle !

La rumeur qu’un miracle était arrivé dans la geôle de Valentin s’est répandue. Bientôt, la rumeur est arrivée aux oreilles de l’empereur, Claude II. Quand il a appris que Julia, la fille du geôlier n’était plus aveugle grâce à Valentin, il était fou de rage. Alors il a décidé de condamner à mort Valentin de Terni. Juste avant son exécution, Valentin a donné à Julia un papier en forme de cœur. Il avait écrit ” de ton Valentin ” sur le papier. Le quatorze février, Valentin a été frappé par les légionnaires romains puis il a été décapité. Il est mort en martyr.

Julia et toute sa famille se sont convertis à la religion chrétienne. Pour honorer la mémoire de Valentin, Julia a planté un amandier près de sa tombe. Depuis ce jour, cet arbre est le symbole de l’amour.

un conte d’Italie

Il était une fois une sorcière.  Elle s’appelait Befana. Elle n’était pas une sorcière cruelle.  Elle était gentille.

Les villageois n’étaient pas gentils avec Befana. Ils n’aimaient pas Befana parce que c’était une sorcière. Ils ont attaqué et maltraité Befana.

Befana avait peur des villageois, elle était très nerveuse. Elle restait seule dans une petite maison.

Un jour, Befana était dans sa petite maison.  Befana a entendu des  bruits, des “toc toc toc” à sa porte. C’était trois hommes sages de l’Orient. Ils ont dit:

–“ Madame, nous cherchons un bébé né le 25 décembre. C’est un prince.  Mais nous sommes perdus.  Bethléem est dans quelle direction ? ”

Mais Befana était nerveuse. Elle avait peur que les hommes l’attaquent et la maltraitent. Elle n’a pas ouvert la porte.  Elle s’est dit : “ Non, c’est dangereux. Ces personnes vont m’attaquer et me maltraiter ! ”

Befana est restée silencieuse.  Elle n’a rien dit.

Alors, les trois hommes sages sont partis.

Le temps a passé. C’était janvier.  Il faisait très froid.  Soudain Befana a hésité, elle a douté.  Elle a pensé aux trois hommes sages venus d’Orient. Ils étaient gentils.  Befana a eu de la pitié pour eux.

Elle est retournée à la porte.  Elle a cherché les trois hommes sages. Mais ils étaient partis.  Elle regrettait sa décision.  Elle voulait offrir de quoi manger et des cadeaux aux trois hommes sages.

Alors, elle a cherché des cadeaux.  Elle a mis les cadeaux dans un sac.  Elle est partie.  Elle est allée dans tout le village et elle a cherché les trois hommes.  Mais elle n’a pas vu les trois hommes.

Soudain, Befana a vu un enfant qui avait froid.  Il tremblait.  Alors, elle lui a offert un cadeau de son sac.  C’était une couverture.  L’enfant n’avait plus froid.  Il a souri et dit  « merci ».

Puis, Befana a vu un enfant qui avait faim.  Il n’avait rien à manger.  Alors, elle lui a offert un cadeau du sac.  C’était du pain délicieux !  L’enfant a dit : « Merci, vous êtes gentille. »

Alors, Befana a continué dans tout le village.  Elle a passé le reste de la nuit à offrir des cadeaux à tous les enfants du village.

Tous les enfants aimaient les cadeaux.

Finalement, Befana a gagné la réputation d’être gentille et généreuse.  Les enfants aimaient Befana. Ils sont arrivés chez Befana pour lui dire “ Merci.”   Elle n’était plus seule.

Dans le futur, le village l’a traitée avec respect.

La légende de Saint Nicolas

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Il y a beaucoup de légendes sur la vie de Saint Nicolas. Voici la légende la plus célèbre en Europe :

Un jour, trois enfants sont allés dans les champs et se sont perdus. Ils ont vu une maison avec de la lumière alors ils ont frappé à la porte. Un gros homme a ouvert la porte et a dit : « Entrez, entrez petits enfants ! Je vais vous donner à souper ». Mais en fait, il les a tués, les a coupés en petits morceaux et les a stockés et salés comme de la viande ! Cet homme était un boucher cruel.

Sept ans plus tard, un autre homme est arrivé à la maison et a frappé à la porte, c’était Nicolas. Le boucher cruel a ouvert la porte et Nicolas est entré pour souper.

Le boucher a demandé : « Voulez-vous un morceau de jambon ? » Nicolas a répondu : « Je n’en veux pas, il n’est pas bon. »

Le boucher a demandé : « Voulez-vous un morceau de veau ? » Nicolas a répondu : « Je n’en veux pas, il n’est pas bon. »

Nicolas a demandé : « Je veux la viande salée que tu as stockée il y a sept ans. » Le boucher, très effrayé, est parti.

Saint Nicolas a cherché les trois enfants, il a dit une prière et les enfants sont ressuscités. C’était un miracle !

Le premier enfant a dit : « J’ai bien dormi ! », le deuxième a dit : « Moi aussi ! » et le troisième a dit : « J’étais au paradis> »

Saint Nicolas a gardé le boucher avec lui : c’est aujourd’hui… le Père Fouettard qui punit les vilains enfants !


Frigga et le solstice d’hiver

Une légende Norse


Il était une fois une déesse : Frigga. Frigga était belle et gentille.   Elle était spéciale. Frigga avait la capacité de voir le futur.  Elle était incapable de changer le futur…. mais elle voyait le futur.

C’était la déesse de l’amour. Frigga était très contente en avril et mai, en juin et juillet. C’était la saison d’amour.  Mais en novembre, décembre, et janvier, en hiver, Frigga était triste.

Un jour, Frigga a vu le futur.  Elle a eu une vision.  « Une tragédie arrivera le 21 décembre. Mais en même temps… la joie arrivera le 21 décembre. » A dit Frigga.  Le 21 décembre était le solstice d’hiver : le jour le plus court de l’année.  C’était un jour triste pour Frigga.

Les saisons passaient et elle a eu une surprise splendide !  Elle attendait un bébé. Elle était joyeuse !  Mais le docteur a dit :  « Le bébé arrivera le 21 décembre. »

Frigga était terrifiée.  C’était un mauvais signe !

Le 21 décembre est arrivé.  C’était le solstice d’hiver.  Il faisait nuit. Il n’y avait pas de soleil.  Alors, Frigga a allumé les bougies.

Le moment est arrivé.  Frigga a accouché du bébé. Elle a nommé le bébé Baldur.  Elle était joyeuse. Finalement, elle voyait son bébé !  Comme dans la vision : la joie est arrivée le 21 décembre.

En l’honneur du bébé, le soleil s’est levé. Mais rapidement, le soleil est descendu très bas sous l'​horizon..

Mais la vision avait une seconde prédiction : une tragédie.

Quand Frigga a vu le bébé, elle a vu son futur.  Dans le futur, Baldur mourrait.  Frigga a eu une vision de sa mort.  Sa mort était dans un futur distant : dans 60 ans.  Mais c’était une mort violente.

Frigga était triste.  Tragiquement, elle n’était pas capable de changer la mort de Baldur. Elle a pleuré et pleuré. Elle n’arrêtait pas de pleurer. Elle pleurait sans cesse. Normalement, elle avait un visage rosé.  Mais son visage avait changé de couleur.  Frigga était pâle.

En son honneur,  une plante a changé de couleur.  Le gui avait des baies rouges, mais les baies rouges se sont changées en baies blanches.


Frigga s’est calmée.  Elle a donné un bisou à son précieux bébé.

Elle a dit : « Il est impossible de changer le futur.  Mais je peux apprécier le présent.  Quand je verrai le gui, je donnerai un bisou à mon bébé. »

A présent, les mères allument les bougies pendant le solstice d’hiver.  De même, quand on voit le gui, on se donne un bisou.

Contes traditionnels

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Le caillou et l'arbre

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Il y a longtemps, il y avait un caillou. Le caillou était seul et il était heureux. Il aimait être seul.

Un jour, un écureuil s’est assis sur le caillou avec une noisette dans les mains. Mais soudain, quelque chose a fait peur à l’écureuil. Il est parti en courant et il a laissé tomber la noisette à côté du caillou.

« Non, non et non ! » a crié le caillou « Je ne veux pas que cette noisette se transforme en arbre ! »

Beaucoup de temps a passé et la noisette s’est transformée en arbre. L’arbre était très grand. L’arbre était très très grand. Le caillou n’était pas content. Il n’aimait pas l’arbre. Il le détestait.

L’été, l’arbre bloquait les rayons du soleil. Le caillou disait à l’arbre : « Je te déteste, arbre. Je te déteste ! Tu ne laisses pas les rayons du soleil briller sur moi. »

L’hiver, quand il commençait à neiger et que les feuilles tombaient de l’arbre, le caillou disait à l’arbre : « Je te déteste, arbre. Je te déteste ! Tes feuilles s’accumulent sur moi et elles se couvrent de neige ! »

Un jour, il a beaucoup plu. Il y a eu un orage terrible. Un éclair a frappé l’arbre qui est tombé. Ce jour là, l’arbre est mort.

L’été suivant, le caillou a senti les rayons du soleil. Il a eu très chaud et il a dit : « Tu me manques, arbre. Tu me manques ! Ton ombre me manque ! »

L’hiver suivant, quand la neige s’est accumulée sur le caillou, il a dit : « Tu me manques, arbre. Tu me manques ! Tes feuilles me manquent ! »

Le caillou a attendu et attendu. Il a attendu qu’un autre écureuil s’assoit sur lui avec une noisette dans les mains. Mais aucun écureuil n’est jamais venu. Jamais plus. Le caillou est resté seul. Cette fois, le caillou était malheureux.

Qui peut m’aider ?

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D’après un conte du Sénégal.

Il était une fois une femme enceinte. Elle est allée chercher du bois dans la forêt. Elle a ramassé le bois et elle était très fatiguée. Elle avait besoin de mettre la charge de bois sur sa tête mais elle était très fatiguée. Alors la femme a crié :

– Qui dans la forêt peut m’aider à mettre la charge de bois sur ma tête ?

Un lézard s’est présenté pour aider la femme enceinte. Mais la femme a dit sèchement :

– Tu ne peux pas m’aider, va-t-en !

La femme a crié encore une fois :

– Qui dans la forêt peut m’aider à mettre la charge de bois sur ma tête ?

Le lion est arrivé. La femme enceinte a dit :

– Toi, tu peux m’aider.

Mais le lion lui a demandé :

– Si je t’aide, qu’est-ce que tu me donnes en retour ?

Alors la femme lui a répondu :

– Le bébé que j’ai dans mon ventre.

Le lion a accepté. Il a aidé la femme à mettre la charge de bois sur sa tête. La femme est retournée au village. Le temps a passé. La femme a accouché d’un petit garçon du nom de Samba.

La lion était impatient mais il a attendu quelques années. Puis un jour, il a décidé d’aller au village. Quand il est arrivé au village, il est allé voir la femme et son fils. Il a demandé à Samba :

– Est-ce que je peux te manger maintenant ?

Mais la femme, la maman de Samba, a dit :

– Non, attends encore un peu !

Le lion est retourné dans la forêt. Il a attendu encore quelques années. Puis, il est retourné au village et il a demandé à Samba :

– Est-ce que je peux te manger maintenant ?

– Non, attends encore un mois, a répondu la mère.

Un jour, Samba est allé faire paître le troupeau de moutons. Le lion est allé au village et il a demandé à la mère de Samba :

– Est-ce que je peux manger Samba maintenant ?

– Il est allé faire paître le troupeau de moutons, a répondu sa mère.

Le lion est allé voir Samba. Il a demandé :

– C’est toi Samba ?

– Oui, c’est moi, a répondu Samba.

– Est-ce que je peux te manger maintenant ? A demandé le lion avec impatience.

– Oui, tu peux me manger, a dit Samba.

Samba et le lion ont commencé à se battre. Ils se sont battus et Samba a tué le lion. Il a coupé une griffe du lion et il est retourné au village avec la griffe.

Quand il est arrivé au village, sa mère lui a servi du couscous à manger. Samba a mangé un peu du couscous et il a caché la griffe du lion dans le couscous. La mère de Samba a mangé un peu de couscous. Elle n’a pas vu la griffe dans le couscous et elle a mangé la griffe.

La griffe est restée bloquée dans sa gorge. La mère de Samba ne pouvait pas respirer. Alors Samba lui a donné une grande tape dans le dos et la griffe est sortie de sa bouche. Samba a dit à sa mère :

– Voilà le lion à qui tu m’avais donné en échange !

La mère de Samba était couverte de honte.

Comorre

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un conte de Bréton

Il était une fois une princesse belle et intelligente. Elle s’appelle Tréphine. Son père, le roi, aime sa fille. Elle aime son père aussi. Un jour, un homme riche et important arrive. Il s’appelle le comte Comorre. Il voit la belle princesse. Rapidement, Comorre demande en mariage la princesse Tréphine.

Discrètement, un conseiller royal dit : « Majesté, le comte Comorre a une réputation terrible. Il est cruel et violent. La rumeur est qu’il a tué ses 4 ex-femmes ». Le conseiller est le saint Gildas, un homme très intelligent et religieux.

Le roi refuse le mariage. Il aime sa fille, Tréphine. Mais Comorre est un tyran cruel. Il exclame : « Vous me refusez ? Alors, c’est la guerre ! »

La princesse Tréphine prend une décision difficile : un mariage terrible ou la guerre. Tristement, elle accepte le mariage. Tréphine se marie avec le comte Comorre.

Elle va au palais de Comorre. C’est un palais isolé –loin de sa famille.

12 mois passent. Un jour, Tréphine tombe enceinte. Comorre est horrifié ! Il a eu une vision du futur. La prédiction dit que Commore mourra le jour où son bébé est né. Secrètement, il concocte un plan pour tuer la princesse Tréphine.

Ce jour-là, Tréphine est seule dans sa chambre. A ce moment, 4 fantômes arrivent. Ils disent :

– Tréphine, Tréphine, attention ! Comorre va te tuer ! Va t’en rapidement! Quitte le palais !

– Oh non ! C’est impossible ! Le voyage est long et difficile ! Dit Tréphine.

– Voilà une canne. Il m’a tué avec cette canne, dit un fantôme. Le fantôme donne la canne à Tréphine.

– Voilà une corde. Il m’a tué avec cette corde, dit un seconde fantôme. Il lui donne la corde.

– Voilà une lampe. Il m’a tué avec ses flammes, dit un troisième fantôme. Il lui donne la lampe.

-Voilà une cape. Il m’a étranglé avec cette cape, dit le fantôme final. Et il donne la cape à Tréphine.

Trephine dit « merci » et elle quitte le palais. Avec la corde, elle passe les hauts murs du palais. Avec la lampe, elle voit dans la forêt.

Elle s’en va rapidement. Mais durant le voyage, il y a un problème : le bébé arrive !

Tréphine est courageuse. Avec la canne, elle continue son long voyage.

Finalement, elle arrive au palais de son père. Mais il y a un grand mur ! C’est impossible de continuer. Rapidement, son bébé est né, et la princesse est très, très contente. Elle dit « Je t’aime » à son bébé précieux.

À cet instant, le comte Comorre arrive. Il crie : “Princesse, j’arrive ! Donne-moi le bébé ! ” Rapidement, la princesse cache le bebe sous la cape. Tréphine s’approche de Comorre. Elle dit : “ Le bebe est mort ». Mais Comorre suspecte qu’elle a caché le bebe.

Furieux, Comorre crie : « Où est le bebe ? Dis-moi ! Sinon, je vais te tuer ! » La princesse courageuse refuse de confesser où elle avait caché le bebe. Alors, Comorre attaque et tue la princesse. Tréphine est décapitée.

À ce moment, le saint Gildas arrive. Gildas voit la princesse. Il est très touché par la scène tragique. Il touche la princesse. Immédiatement, la princesse Tréphine est réanimée. C’est un miracle ! Le comte Comorre est tué. Avec son bébé, la princesse Tréphine retourne à son père.


Le vieil homme et les fées

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Un conte du Pays de Galles

Il y a très, très, très longtemps, il y avait beaucoup de fées dans la montagne galloise.

Les gens avaient l’habitude de sortir au clair de lune pour les voir danser. Ils savaient exactement où aller parce qu’il y avaient des cercles verts dans l’herbe.

À l’époque, il y avait un vieil homme qui allait toujours aux foires des villages de la montagne.

Un beau jour, il a traversé la montagne pour aller à une foire. C’était très dur de traverser la montagne. Il s’est assis pour se reposer. C’était dans une vallée très isolée. Il était très fatigué. Il s’est couché par terre et il s’est endormi. Son sac est tombé à côté de lui.

Pendant qu’il dormait, les fées sont arrivées et elles les ont emportés, lui et son sac. Elles les ont emportés sous le sol. Quand il s’est réveillé, le vieil homme était dans un grand palais en or, entouré de fées qui chantaient et qui dansaient.

Elles l’ont pris par la main et lui ont tout montré. Elles lui ont fait tout visiter: la salle splendide en or et les jardins et elles ont continué à danser autour de lui jusqu’à ce qu’il se soit rendormi.

Quand il était endormi, elles l’ont reconduit au même endroit où elles l’avaient trouvé. Quand il s’est réveillé, il pensait qu’il avait rêvé. Alors il a cherché son sac. Quand il l’a trouvé, il n’a pas pu le soulever. Quand il a regardé dans le sac, il a découvert qu’il était rempli d’or.

Il s’est levé et il est rentré chez lui.

Quand il est arrivé chez lui, sa femme Kaddy, lui a dit, «  Qu’est-ce qui t’a pris, pourquoi tu n’as pas été à la foire ?»

Il a dit : « J’ai quelque chose ici » et il lui a montré son sac rempli d’or.

« Comment ça ? Où l’as-tu trouvé ? »

Mais il n’a pas voulu lui expliquer. Il a mis l’or dans une boîte sous le lit.

Comme elle était très curieuse comme toutes les femmes, elle a insisté toute la nuit. Il a fini par lui raconter l’histoire des fées.

Le lendemain, lorsqu’il s’est réveillé, il a voulu aller à la foire pour acheter beaucoup de choses. Il a ouvert la boîte, mais il a trouvé la boîte remplie des coquilles.

Le faerie queene

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Adapté de Edmund Spenser

Il  était une fois trois amis. Ils étaient chevaliers et ils voyageaient sur leur chevaux dans la forêt. Mais il y avait une grosse tempête. Il faisait froid et il pleuvait beaucoup. Les chevaliers avaient froids et ils étaient mouillés. Soudain, ils ont vu un château. C’était le château d’un homme riche. L’homme les a invités à entrer dans le château.


Dans le château, il y avait un feu dans la cheminée et les trois chevaliers se sont reposés. Soudain, ils ont entendu un bruit -toc -toc -toc. C’était un autre chevalier. UN chevalier mystérieux. Le chevalier avait une armure et un casque.

  • Qui es-tu? ont demandé les trois amis

Mais le chevalier mystérieux n’a pas répondu.

  • Nous voulons voir ton visage. Montre-nous ton visage, on dit les trois amis

Mais le chevalier mystérieux n’a pas répondu. Il a sorti son épée. Les trois amis se sont battus contre le chevalier mystérieux. Le chevalier mystérieux a gagné la bataille ! Les trois amis étaient impressionnés.Qui était ce chevalier mystérieux?

Le chevalier a enlevé son casque… Ce n’était pas un homme. C’était une femme!

Hermès et le bûcheron

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D’après un mythe grec.

Il était une fois un bûcheron. Il travaillait dans la forêt et il avait une hache pour couper les arbres et pour couper le bois.

Un jour, le bûcheron se promenait au bord d’une rivière. Comme il allait travailler, il avait sa hache dans les mains quand tout à coup, sa hache est tombée dans la rivière.

Le bûcheron était désolé. Il avait besoin de sa hache pour travailler. C’était son outil de

travail. Sans sa hache, le bûcheron ne pouvait pas couper du bois et il ne pouvait pas gagner d’argent.

Le bûcheron était désespéré ! Il avait besoin de sa hache. Le bûcheron s’est assis au bord de la

rivière et il a pleuré. Il ne savait pas quoi faire. Il avait vraiment besoin de sa hache. Il pleurait et pleurait quand tout à coup Hermès est apparu. Hermès était un dieu. C’était le messager des dieux. Hermès a vu le bûcheron qui pleurait au bord de la rivière et il lui a demandé :

– Pourquoi pleures-tu ? Qu’est-ce qui ne va pas ?

Le bûcheron lui a répondu :

– Ma hache est tombée dans la rivière ! J’ai besoin de ma hache. Sans ma hache, je ne peux pas travailler.

Alors Hermès a dit au bûcheron :

– Pas de soucis, pas de problème ! Je vais ramener ta hache. Je peux plonger dans la rivière et

je peux aller chercher ta hache au fond de la rivière.

Hermès a plongé dans la rivière et après un moment, il est remonté avec une hache en or ! Il

n’est pas remonté avec la hache du bûcheron, il est remonté avec une hache superbe toute en

or. Hermès a demandé au bûcheron :

– Est-ce que cette hache est ta hache ?

Alors le bûcheron a regardé la hache en or et il a dit :

– Non, ce n’est pas ma hache, je n’ai pas de hache en or. J’ai une hache normale.

Hermès a plongé encore une fois dans la rivière et après un moment, il est remonté avec une hache en argent. Hermès a demandé au bûcheron :

– Est-ce que cette hache est ta hache ?

Mais le bûcheron a répondu :

– Non, ce n’est pas ma hache. Je n’ai pas de hache en argent. J’ai une hache normale.

Alors Hermès a plongé encore une fois dans la rivière et cette fois, il est remonté avec la bonne hache. Il avait la hache normale du bûcheron. Hermès a demandé au bûcheron :

– Est-ce que cette hache est ta hache ?

Le bûcheron a fait un grand sourire. Il ne pleurait plus. Il a souri et il a dit :

– Oui, c’est ma hache. Merci, merci beaucoup !

Hermès était heureux. Il était heureux de voir que le bûcheron avait été honnête. Le bûcheron

était un homme sincère. Pour récompenser le bûcheron d’avoir dit la vérité, Hermès lui a offert la hache en or et la hache en argent. Il lui a dit :

– Tiens, la hache en or et la hache en argent sont pour toi. C’est pour ton honnêteté.

Le bûcheron était heureux.

Il est retourné au village et il a raconté à tout le monde ce qui lui était arrivé. Il a montré à

tout le monde la hache en or et la hache en argent. Il a dit :

– Hermès est un dieu si bon, il m’a offert une hache en or et une hache en argent. C’est

formidable !

Un villageois a écouté le bûcheron. Il a vu les deux magnifiques haches. Il voulait avoir une hache comme ça lui aussi.

Le jour suivant, le villageois est allé au bord de la rivière avec sa hache dans les mains. Quand il est arrivé à la rivière, il a jeté sa hache dans la rivière. Aussitôt que sa hache est tombée dans la rivière, il a appelé Hermès. Il a crié :

– Dieu Hermès !

Hermès est aussitôt apparu et il a demandé :

– Qu’est-ce qui ne va pas ?

Le villageois a répondu :

– Ma hache est tombée dans la rivière. C’est horrible ! J’en ai besoin pour travailler !

Hermès a dit :

– Pas de soucis, pas de problème ! Je vais ramener ta hache. Je peux plonger dans la rivière et

je peux aller chercher ta hache au fond de la rivière.

Hermès a plongé au fond de la rivière et après un moment, il est remonté avec une hache en or.

Hermès a demandé :

– Est-ce que cette hache est ta hache ?

Aussitôt, le villageois s’est exclamé :

– Oh oui, cette hache est ma hache ! Merci, merci beaucoup !

Mais Hermès savait que cette hache n’était pas la hache du villageois. Aussitôt Hermès a disparu avec la hache en or !

Thor et son marteau

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un mythe nordique

Thor est un dieu Nors. Il est fort et intelligent. Thor a un objet magique. C’est un marteau magique. Avec son marteau, Thor est très, très fort!

Un jour, un géant arrive au palais de Thor. “Bonjour ! Je m’appelle Thor,” dit Thor. “Entrez et mangez !” Thor invite le géant à un grand dîner. Thor est généreux avec le géant.

Mais le géant est malhonnête. En secret, il vole le marteau magique. Avec le marteau magique, le géant quitte le palais. Le géant est très content avec l’objet magique. Il se dit, “HA HA! Avec ce marteau, je suis aussi fort que Thor!”

Rapidement, Thor voit que le géant a volé le marteau. Thor est furieux ! Mais il n’a pas son marteau précieux. Alors Thor n’est pas assez fort pour prendre le marteau par force.

Thor est humilié. Il envoie un message au géant. Il demande le marteau !

Le géant refuse. Il dit, “J’aime ce marteau. C’est précieux. Seule la princesse Freya est plus précieuse.”  Le géant confesse qu’il aime Freya.

La princesse Freya est une amie de Thor. Le géant désire se marier avec Freya. Dans un message à Thor, le géant dit : “Thor, tu es persuasif. Encourage la princesse à me marier. Si la princesse me marie, je te donne le marteau.”

Thor va au palais de la princesse. Thor est anxieux pour son amie, la princesse. “Freya, il y a un géant. Il désire se marier avec toi. Mais le géant est malhonnête,” dit Thor. Thor déteste le terrible géant. Il n’encourage pas Freya à se marier avec lui.

Freya est intelligente. Elle a une solution. Elle dit à Thor : “ Voilà ma robe. Et voilà ma voile. Va au palais du géant. Déguise-toi dans ma robe. Prétend d’être la princesse Freya, et le géant t’invitera dans son palais. Là, tu peux voler le marteau.”

Alors, Thor se déguise comme la princesse. Il mets la robe et la voile. Mais Thor est très embarrassé.

Thor voyage une longue distance. Finalement, il arrive au palais du géant. Là, Thor dit : “Bonjour! Je suis la princesse Freya.” Rapidement, un garde escorte la princesse au géant.

Le géant voit la princesse et il est content. Le géant fait des compliments et dit : “Freya, tu es si belle!” Il encourage “la princesse” à enlever la voile. Mais elle refuse. En réalité, c’est Thor déguisé comme la princesse.

Puis le géant lui fait visiter le palais. “Freya, voilà mon palais!” dit le géant.

“Je désire voir le marteau de Thor,” insiste la princesse.

Le géant est très amoureux. Il ne questionne pas la princesse. Le géant l’escorte à un grand salon. Là, le marteau est exposé.

“C’est un objet magnifique, non?” dit le géant.

Immédiatement, Thor vole le marteau. Il révèle son identité et dit : “Je suis Thor. Et ce marteau est à moi.” Enfin, Thor a son marteau. Il en est très content !

Le géant est terrifié et il crie : “Pardon, Thor! Ne me tue pas!”

Thor exile le géant. Il fait un ordre : “Quittez ce royaume! Et aucun contact avec la princesse Freya !” Le géant quitte le palais immediatement, et il n’y retourne jamais.

Le loup

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De Guy de Maupassant


Il était une fois deux frères nobles. Ils s’appelaient Jean et François. Ils habitaient un grand château.

Un jour, les villageois sont arrivés au château. “ Majestés, le village est en danger. Il y a un loup terrible. Il terrorise le village. S’il vous plaît, tuez le loup. ”

Jean et François ont accepté. Ils sont allés dans la forêt pour tuer le loup.

Jour après jour, les deux frères cherchaient le loup. Mais nuit après nuit, le loup attaquait le village.

François était frustré et il a dit : ” C’est impossible. “

Jean a dit : “ Mais si, François. On va réussir. On va trouver ce loup et on va le tuer ! “ .

Une nuit, le loup est arrivé au château de Jean et François. Le loup a tué deux animaux !

François a dit : “ Il nous poursuit ! ”

Alors, les deux frères ont cherché et cherché.  La nuit est tombée, mais Jean et François ont continué. Ils ont continué de chercher le loup. Les heures passaient.  Mais le loup avait disparu.

François a dit : “ On rentre chez nous.  Sinon, les chevaux vont mourir de fatigue “.

A ce moment-là, au moment où les deux frères allaient partir, le loup est arrivé !

Ils ont crié : “ Le loup !  .  Immédiatement, ils ont poursuivi le loup.  Ils sont allés très rapidement.

Jean se concentrait sur le loup.  Il n’a pas fait attention et il n’a pas vu une branche d’un arbre.

François a crié : “Jean, la branche ! ”

Mais c’était trop tard. La branche a frappé Jean.  L’impact a tué Jean.

François a couru vers son frère. Il a embrassé son frère. Il a crié “ NON ! “ … mais c’était trop tard.

Il rentré chez lui, au château. En route, François a murmuré : “ Pas toi, Jean…pas mon frère “.

Soudain, François s’est trouvé face à face avec le loup !  François tremblait. Il était furieux et il a crié  “ Pour Jean ! ”. Il a attaqué le loup. Dans sa furie, il a tué le loup.

Aux funérailles de Jean, François a dit ” Au revoir ” à Jean. François avait tué le loup pour Jean.

Le Pari

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D’après un conte populaire espagnol.

Dans le wagon d’un train, un physicien est assis en face d’un fermier. Le physicien s’ennuie. Il pense : « Oh, que ce voyage est long et ennuyeux ! ». Le physicien s’ennuie tellement qu’il propose au fermier de jouer.

Le physicien propose au fermier de jouer au jeu du question-réponse. Il lui explique les règles du jeu : « Je vais vous poser une question. Si vous ne répondez pas correctement à ma question, vous devrez me donner un Euro. Ensuite, vous allez me poser une question mais si je ne répond pas correctement à votre question, je devrai vous donner cents Euros. »

Le fermier réfléchit. Ce jeu lui semble intéressant alors il accepte. Le jeu commence. Le physicien demande au fermier : « Regardez par la fenêtre. Quelle belle nuit étoilée, n’est-ce pas ? Comme s’appellent les étoiles que vous voyez dans le ciel ? » Le physicien montre au fermier les étoiles qui se nomment les Pléiades. Le fermier réfléchit. Il ne sait pas la réponse. Il réfléchit mais il ne connaît pas le nom des étoiles alors il donne un Euro au physicien.

C’est au tour du fermier de poser une question. Le fermier demande au physicien : « Quel est l’animal qui monte la colline à quatre pattes et qui la descend à trois pattes ? » Le physicien réfléchit. l ne sait pas la réponse. Il réfléchit mais il ne sait vraiment pas. Il continue de chercher la réponse correcte. Finalement, il ne trouve pas de réponse alors il donne cents Euros au fermier.

Une heure plus tard, le train s’arrête. C’est la fin du voyage. Les deux hommes descendent du train. Sur le quai, le physicien, qui veut savoir la réponse, demande au fermier : « Alors, quel est cet animal qui monte la colline à quatre pattes et qui la descend à trois pattes ? »

Le fermier, sans rien dire, donne un Euro au physicien.


De la musique pour les nuages

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Il y avait une fois un tout petit pays qui souffrait de la sécheresse. Il ne pleuvait pas depuis très longtemps. Il faisait très sec. Il ne pleuvait pas depuis si longtemps que les récoltes étaient mauvaises. Il n’y avait plus de quoi manger. Les habitants du pays avaient faim.

Un groupe de musiciens voyageait à travers le pays pour donner des concerts. Mais à cause de la sécheresse, des mauvaises récoltes et de la faim, personne n’avait envie d’aller à un concert de musique. Personne n’avait envie d’écouter de la musique. Tout le monde avait faim et était préoccupé parce qu’il ne pleuvait pas. Un musicien a dit : ” La musique peut aider à surmonter les problèmes. ” Mais personne n’écoutait le musicien, il y avait trop de problèmes !

Alors les musiciens ont cherché pourquoi il ne pleuvait pas. C’était très bizarre parce qu’il y avait beaucoup de nuages dans le ciel mais il ne pleuvait pas. Personne ne comprenait pourquoi. Les habitants disaient aux musiciens : ” Il y a beaucoup de nuages dans le ciel depuis des mois mais pas une seule goutte de pluie n’est tombée.  Pas de pluie ! ” Alors les musiciens ont dit : ” Ne vous inquiétez pas ! Il va pleuvoir ! Nous allons amener la pluie ! ” Et ils ont commencé à répéter un concert au sommet de la plus haute montagne du pays.

Les habitants ont entendu de la musique au sommet de la montagne. Ils se sont demandés : ” Qu’est-ce que c’est ? “. La musique a piqué leur curiosité alors ils sont tous montés en haut de la montagne. Les musiciens ont commencé à jouer de la musique. Des notes de musique sont sorties de leurs instruments. Elles sont montées au ciel. Les notes de musique sont montées jusqu’aux nuages dans le ciel. Les notes de musique étaient joyeuses. Elles ont touché les nuages dans le ciel. Les notes de musique étaient joueuses aussi. Elles voulaient jouer avec les nuages alors elles ont commencé à chatouiller les nuages. Les nuages ont commencé à rire parce que les notes de musique les chatouillaient.

Les musiciens ont continué à jouer de la musique et de plus en plus de notes de musique sont sorties de leurs instruments et sont montées jusqu’aux nuages dans le ciel. Elles chatouillaient les nuages et les nuages riaient et riaient. Quelques minutes plus tard, les nuages pleuraient de rire. Leurs larmes sont tombées. Les nuages pleuraient tellement de rire que leurs larmes ont inondé le pays. Les habitants étaient heureux. Enfin, il pleuvait !

En honneur des musiciens et de la pluie musicale, tous les habitants du pays ont appris à jouer d’un instrument. Chaque jour, chacun à leur tour, ils montent au sommet de la plus haute montagne du pays et ils jouent de la musique pour faire rire les nuages.


Les vaches de Monsieur Lapin

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Conte folklorique vénézuélien.

Il était une fois un lapin nommé Monsieur Lapin.

Monsieur Lapin vivait dans les Andes vénézuéliennes.

Un jour, Monsieur Lapin se reposait tranquillement au pied d’une colline.

Soudain, un tigre est apparu. Le tigre s’appelait Monsieur Tigre.

Monsieur Tigre avait très faim et voulait manger Monsieur Lapin.

Monsieur Lapin a ouvert les yeux et a vu Monsieur Tigre.

Monsieur Lapin savait que Monsieur Tigre avait faim et qu’il voulait le manger.

Mais Monsieur Lapin était un lapin très intelligent. Il était malin.

Monsieur Lapin s’est levé et il a fait face à Monsieur Tigre.

Monsieur Tigre a déclaré: ” Monsieur Lapin ! Je vais vous attraper et je vais vous manger ! ”

Mais Monsieur Lapin a dit: ” Monsieur Tigre ! Vous allez me manger ? Mais … Mais … je suis très maigre ! Regarde-moi ! Je suis très maigre. Je suis un lapin maigre. ”

Monsieur Tigre a regardé Monsieur Lapin. Il l’a regardé très attentivement. ” Monsieur lapin a raison”, a pensé Monsieur Tigre. ” Monsieur Lapin est très maigre! Maigre, maigre! ”

Monsieur Lapin a vu qu’il y avait de très grosses pierres sur la colline.

Monsieur Lapin a pensé à un plan.

– ” Monsieur Tigre ! Regardez, il y a beaucoup de vaches sur la colline. Il y a beaucoup de grosses vaches en haut de la colline, des vaches bien potelées. Je peux vous en donner une. Les vaches sont potelées et je suis un lapin très maigre. ”

Monsieur Tigre a accepté car il préférait manger une vache potelée plutôt qu’un lapin maigre.

Monsieur Lapin était très content et a dit à Monsieur Tigre “Attendez-moi ici ! ” Et il est monté sur la colline.

Monsieur Tigre est resté en bas, au pied de la colline.

Maintenant, Monsieur Lapin était sur la colline et il a crié à Monsieur Tigre :

– ” Monsieur Tigre ! Ouvrez vos bras ! Voilà une vache potelée ! ”

Monsieur Tigre a ouvert ses bras et il a attendu.

Monsieur Lapin a poussé une pierre très grosse et très lourde.

Monsieur Lapin l’a poussée.

La pierre était énorme et très lourde mais Monsieur Lapin l’a poussée avec une grande force.

Monsieur Tigre attendait en bas en pensant à la grosse vache qu’il allait manger.

Monsieur Tigre avait tellement faim et il était tellement excité à l’idée de manger une grosse vache qu’il n’a pas vu l’énorme pierre qui l’a écrasé.

Monsieur Lapin était très content et il s’est enfui en sautant joyeusement.

La Soupe au caillou

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un conte français

Il était une fois un jeune soldat. La guerre est finie et le soldat retourne chez lui. Il marche, il marche, il voyage sur une longue distance. Le soldat a faim et il désire manger. Soudain, il voit un petit village au loin, dans la distance. Il arrive au village. Il frappe à une porte. Il dit : “ S’il vous plaît, je voyage et j’ai faim ! “

“ Non ! “ Dit un homme.

Il arrive à une autre maison. Il frappe à la porte. Avec respect, il dit : “ Monsieur, je suis un pauvre soldat. J’ai faim. Vous avez de la soupe ? “

“ Non ! Va-t-en ! “ Dit une femme.  

Les villageois ne sont pas généreux avec le pauvre soldat. Finalement, le soldat est désespéré. Il a très faim.  

À ce moment, le soldat voit un caillou. Il a une idée lumineuse ! Il se dit : “ HA ! Avec ce caillou, je vais manger ! “

Le soldat frappe à la porte d’une autre maison. Une femme ouvre la porte. Le soldat dit : “Bonjour Madame. Je suis un soldat. Je désire célébrer une victoire militaire. Je veux préparer une soupe spéciale : la soupe au caillou. C’est une soupe délicieuse… Mais je n’ai pas de pot. ”

Immédiatement, la femme accepte.  Elle dit : “ Ah ! Pas de problème. J’ai un pot pour la soupe. “ La femme apporte le pot au soldat avec de l’eau dedans. Puis, le soldat ajoute le caillou au pot. Il teste la soupe. Il dit :

–“MMMM ! La soupe est bonne !

Mais la femme est surprise. Elle dit :

— Ah non ! Il faut d’autres ingrédients … Comme des carottes par exemple.

— Des Carottes ? C’est une idée splendide. Ajoutons une carotte !

La femme ajoute une carotte. Quand la carotte est dans le pot, l’odeur est délicieuse !

À ce moment, un monsieur arrive. L’odeur de la soupe est délicieuse. Curieux, il dit bonjour. Le soldat dit :

–” Bonjour Monsieur. Je suis un soldat. Je désire célébrer une victoire militaire. Je prépare une soupe.

— Une soupe ? Mais dans la soupe, j’aime des tomates.

— Des Tomates ?  C’est une idée splendide ! Ajoutons une tomate, dit le soldat.

Le monsieur ajoute une tomate. Avec la carotte et la tomate, l’odeur est délicieuse !  

À ce moment, une mère arrive avec son bébé.

— “ Bonjour Madame. Je suis un soldat. On célèbre une victoire militaire. On prépare une soupe. Vous êtes invités.

La mère teste la soupe. Elle dit :

— Merci, c’est bon. Mais  il faut ajouter du céleri.

— Du céleri ? Excellent ! Ajoutons du céleri s’il vous plaît, dit le soldat.

La mère ajoute du céleri. Avec la carotte, la tomate, et le céleri, la soupe est délicieuse !

Finalement, l’odeur est succulente. Tous les villageois arrivent.  Il y a une grande célébration dans le village et tout le monde mange la soupe au caillou du soldat.


Kézako, le petit hérisson

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Un petit hérisson habitait dans la forêt. Ses parents l’avaient appelé Kézako. Malheureusement, Kézako n’était pas un hérisson normal. Il n’était pas comme les autres hérissons. Kézako était frisé ! On n’avait jamais vu un hérisson pareil. A la place d’avoir des piquants comme tous les autres hérissons, il était frisé. Kézako était aussi gentil qu’il était frisé. Mais tous les autres animaux de la forêt se moquaient de lui. Ses frères hérissons lui disaient : « Alors, Kézako le mouton, quand vas-tu bêler ? » ou alors : « Ma parole, il a mis des bigoudis ! ». Kézako était triste. Ces paroles lui faisaient mal au cœur.

Un jour, il y a eu la panique dans la forêt parmi les hérissons. Braco, le vagabond, était revenu avec un grand sac dans lequel il jetait les pauvres hérissons pour les manger.

Braco était méchant. Il était chauve aussi. Il n’avait pas de cheveux. A la place de ses cheveux, il portait des faux cheveux. Il portait une perruque. Braco marchait dans la forêt avec le grand sac. Dans le sac, il y avait tous les hérissons qu’il avait capturés. Mais le sac était lourd et Braco a trébuché. Quand il a trébuché, il a perdu sa perruque. Elle est tombée par terre. A la place de ramasser sa perruque, Braco a attrapé Kézako qui était caché dans les herbes. Braco n’a pas bien regardé, il a pris Kézako et l’a posé sur sa tête.

Kézako a compris que Braco l’avait posé sur sa tête à la place de sa perruque. Alors, il a griffé Braco et il l’a mordu. Tant et si bien que Braco a fini par lâcher le sac.  Il poussait d’affreux hurlements. Il s’est enfuit rapidement et il n’est plus jamais revenu dans la forêt.

Quant à Kézako, il a été traité en héros. Personne ne s’est plus jamais moqué de lui. Son exploit est raconté de génération en génération et le rêve de chaque famille hérisson est d’avoir un petit bébé hérisson tout frisé que l’on appellerait évidemment Kézako.

Source: http://pedagogite.free.fr/lecture_fiches_1/kezako.pdf

Dame Saule

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Un conte de japon

Il était une fois un samouraï. Il venait du Japon. Il était japonais. C’était un samouraï courageux et loyal.

Au Japon, il était une célébrité importante. Il était considéré comme un héros. Il était chargé de missions dangereuses.

Un jour, Sa Majesté, l’empereur lui a ordonné : “ Samouraï, viens ! J’ai une mission pour toi.”

Le samouraï n’a pas hésité. Il s’est approché de sa Majesté, l’empereur. L’empereur lui a dit :

– Voilà ta mission. Voyage à travers le Japon. Livre cette lettre à mon ami, le général qui vit à Kyoto. C’est un message urgent ! N’hésite pas, et ne t’arrête surtout pas !

– Oui, Majesté. Je suis à votre service, a répondu le samouraï.

– Oh non ! Attention Samouraï, c’est terrible. J’ai eu une vision. C’était une vision bizarre. Dans la vision, la lettre n’arrivait pas à Kyoto. Le messager était arrêté.

-Pourquoi ? A demandé le samouraï.

– C’était bizarre. Le messager était arrêté à cause d’un arbre. C’était un arbre magique. Mais les arbres magiques n’existent pas. C’était trop bizarre !

– Majesté, je suis votre serviteur loyal. La fatigue ne m’arrête pas ; la famine ne m’arrête pas ; les forces de la nature ne m’arrêtent pas. Et à l’évidence, un simple arbre ne m’arrête pas non plus, a dit le samouraï.

Satisfait, l’empereur a donné la lettre au samouraï. Il lui a dit ” Au revoir “. Puis, le courageux samouraï a commencé le voyage. Le voyage était long et difficile.

Le samouraï a voyagé longtemps. Après trois jours, il était fatigué. Mais il était très déterminé et il ne s’est pas arrêté.

Puis cinq jours ont passé. Le samouraï était très, très fatigué, mais il a continué son voyage, il ne s’est pas arrêté pour l’empereur.

Après sept jours, il voyageait toujours. Il était épuisé mais il ne s’est pas arrêté. Il était déterminé à livrer la lettre.

Après dix jours, le samouraï continuait son voyage, mais il était harassé. Il n’était pas capable de continuer.

À ce moment, il a vu une cabane. A l’extérieur de la cabane, il a vu une femme. Elle lui a dit ” Bonjour “. Elle a vu que le samouraï était exténué. Elle lui a dit : “ Oh là là ! Vous semblez extrêmement fatigué ! Restez ici, Monsieur “.

Le samouraï est entré dans la cabane. La femme a préparé un dîner. C’était simple mais délicieux.  Le samouraï a dit : “ Merci, Madame “. Il était à table et il mangeait.

À ce moment, une jeune fille est entrée. Le samouraï était stupéfié ! En choc, il s’est écrié : “ Quelle beauté ! Quelle grâce ! “ La jeune fille était très surprise !  Le samouraï était embarrassé. Rapidement, il lui a dit : “ Oh, excusez-moi. ” Il avait honte de ce qu’il avait dit à la fille.

Mais la fille a souri et lui a dit : “ Merci, Monsieur. C’est un compliment romantique “.

Le samouraï était très curieux alors Il a dit à la belle jeune fille : “ Comment vous appelez-vous ? “

La fille lui a dit : “ Je m’appelle Dame Saule. “  Un saule est un type d’arbre. C’est un arbre élégant.

Au dîner, le samouraï a longuement conversé avec la belle fille. Rapidement, il est tombé amoureux de la fille. Puis, il s’est rappelé : “ Oh, non. Je dois me concentrer. Je suis en mission pour l’empereur !“.  

À ce moment, Dame Saule est tombée. La femme s’est exclamée : “ Oh non, ma précieuse fille ! C’est sérieux. Si elle ne vas pas chez le docteur, elle mourra. Mais le docteur est à Kyoto. ”

Rapidement, le samouraï a offert d’escorter la fille à Kyoto. En réalité, il aimait la fille.  Sa mère a accepté. Immédiatement, Dame Saule et le samouraï ont commencé le long voyage jusqu’à Kyoto.

Le samouraï avait une mission : livrer la lettre de l’empereur au général de Kyoto. Mais à présent, Dame Saule était plus importante.

Le samouraï a voyagé avec la belle jeune fille. Durant le voyage, le couple avait de longues conversations romantiques.  Finalement, la jeune fille est tombée amoureuse du samouraï. C’était une personne loyale et noble.

Le samouraï n’allait pas rapidement. Il désirait passer le maximum de temps possible avec la fille. Il était supposé livrer la lettre rapidement, mais le samouraï ne l’a pas fait. Il était trop amoureux.

Le couple voyageait main dans la main quand finalement, ils sont arrivés à Kyoto. Le samouraï était triste. Il était temps de dire “ Au revoir ” à Dame Saule. Soudain, elle est tombée. Elle a dit au samouraï : “ Mon amour, je meurs. Je t’aime. Au revoir !”

Le samouraï a crié : “ Docteur ! Est-ce qu’il y a un docteur ? ”  Mais Dame Saule est morte.

Le samouraï était dévasté. Soudain, la belle fille s’est transformée en arbre. Elle s’est transformée en saule.  L’arbre a poussé et finalement il était très grand et élégant. Le pauvre samouraï est resté avec Dame Saule… pour le reste de sa vie. Il n’a jamais livré la lettre. Il n’a jamais abandonné l’arbre où était son amour.

La Modeste Fleur

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Quand Dieu a créé le monde, il a aussi créé les fleurs. Dieu a donné des noms et des couleurs à toutes les fleurs.

Il nommé la rose et il lui a donné des couleurs différentes. Il a dit à la rose : ” Tu t’appelleras rose ” et il lui a donné les couleurs rose, rouge, jaune et blanche aussi.

De la même manière, il a nommé la tulipe. Il lui a dit ” Tu t’appelleras tulipe ” et il lui a donné des couleurs différentes. Il a donné à la tulipe les couleurs rose, rouge, jaune, orange et violette aussi.

De la même façon, il a nommé la violette. Il lui a dit ” Tu t’appelleras violette ” et lui a donné la couleur violette. Il a aussi créé une grande fleur jaune qu’il a appelé tournesol parce qu’elle tournait en direction du soleil.

Mais Dieu a oublié une fleur. C’était une fleur très petite.

La fleur a supplié Dieu d’une voix tremblante et répétitive : ” Ne m’oublie pas ! Ne m’oublie pas !

La fleur a insisté mais comme sa voix était très douce et inaudible, Dieu ne l’entendait pas.

Finalement, quand Dieu a terminé sa tâche, il a entendu la voix si douce et inaudible de la petite fleur. Il s’est tourné vers elle.

Malheureusement, tous les noms étaient déjà donnés ! La plante pleurait et pleurait. Elle ne s’arrêtait pas de pleurer. Dieu a pensé : ” Quel dommage ! La pauvre plante n’a pas de nom et je ne sais pas comment l’appeler ! ”

Alors Dieu a réfléchit. Il a regardé la plante et il l’a consolée ainsi : “Je suis désolé. je n’ai pas de nom pour toi mais tu t’appelleras ” Nemoubliepas “. Je vais te donner la couleur bleue comme le ciel et la couleur rouge comme le sang. Ainsi tu consoleras les vivants et tu accompagneras les morts.

Etc’est comme ça qu’est née la petite fleur bleue et rouge ” nemoubliepas ” ou mysosotis.

Le doigt de pied poilu

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Version 1:

(Adapted from S.E. Schlosser)

Il était une fois une vieille femme. Elle habitait dans un petit village à côté d’une forêt. Un jour, elle va dans la forêt pour chercher du bois pour son feu. Soudain, elle voit quelque chose de bizarre par terre, sous les feuilles. Elle s’assied par terre et creuse dans la terre. Elle découvre un gros doigt poilu. C’est un doigt de pied géant et tout poilu ! Il y a beaucoup de viande dans ce doigt de pied… Le vieille femme pense : “Mmmm, peut être je peux mettre ce doigt de pied dans ma soupe ce soir!”

Alors la vieille femme décide de prendre le doigt de pied et de le rapporter chez elle.  Dans sa sa petite maison, elle prépare un feu, elle prépare une soupe et elle met le gros doigt de pied poilu dans la soupe, et elle mange toute sa soupe. Miam! C’est délicieux!

La vieille va se coucher et elle s’endort rapidement. A minuit, un vent très froid souffle sur la maison. Un gros nuage noir arrive et cache la lune. Tout est sombre (obscur).  Dans la forêt, on entend une grosse voix : “Mon doigt de pied ! Mon doigt de pied ! Où est mon doigt de pied ? Je veux mon doigt de pied !” A l’intérieur de la maison, la vieille femme tremble, se retourne dans son lit et tire les couvertures sur elle.

La grosse voix se rapproche de la maison : “Mon doigt de pied ! Mon doigt de pied ! Où est mon doigt de pied ? Je veux mon doigt de pied !” A l’intérieur de la maison, la vieille femme tremble, se retourne dans son lit et tire les couvertures sur elle.

La grosse voix est maintenant dans le jardin : “Mon doigt de pied ! Mon doigt de pied ! Où est mon doigt de pied ? Je veux mon doigt de pied !” A l’intérieur de la maison, la vieille femme se réveille, elle est effrayée, elle court vers la porte et la barricade. Puis, elle retourne dans sa chambre et se couche dans son lit, sous les couvertures.

Soudain, la porte de la maison s’ouvre dans un gros “BOOM”. On entend des grands pas dans la maison et dans la chambre de la vieille femme. La vieille femme se cache sous les couvertures. Elle est effrayée. Elle entend la grosse voix juste à côté d’elle! “Mon doigt de pied ! Mon doigt de pied ! Où est mon doigt de pied ? Je veux mon doigt de pied !”

La vieille femme est terrifiée! Elle se cache sous les couvertures et crie: “J’ai mangé votre doigt de pied poilu!”

Le lendemain, la vieille femme a disparu.

Version 2:

Il y a une vieille dame.  Elle habite dans une petite maison dans la campagne.  Elle est très pauvre.

Un jour elle a très faim.  Alors elle va dans la forêt pour chercher quelque chose à manger.  Elle cherche un lapin, ou un champignon.  Tout d’un coup, elle voit quelque chose par terre: un doigt de pied énorme!  Le doigt de pied est poilu.  Elle dit: “Miam, miam !  Un doigt de pied poilu !” Elle met le doigt de pied poilu dans son panier et elle rentre chez elle.

Chez elle, elle prépare une soupe délicieuse avec le doigt de pied poilu. Elle mange la soupe avec un bol et une cueillère.  Elle est très contente. La soupe est délicieuse.  Elle n’a plus faim.  Elle est fatiguée et elle se couche. Elle s’endort rapidement.

A minuit, elle se réveille et elle entend une grosse voix lointaine qui vient de la forêt: “Mon doigt de pied poilu !  Mon doigt de pied poilu !  Je veux mon doigt de pied poilu ! Où est mon doigt de pied poilu ?”  La vieille dame a peur !

A une heure du matin, elle entend une voix plus forte qui vient de son jardin: “Mon doigt de pied poilu !   Mon doigt de pied poilu !  Je veux mon doigt de pied poilu!Où est mon doigt de pied poilu ?”  La vieille dame est effrayée !

A deux heures du matin, elle entend une voix forte qui vient de sa maison: “Mon doigt de pied poilu !  Mon doigt de pied poilu !  Je veux mon doigt de pied poilu !Où est mon doigt de pied poilu ?”  Maintenant, la vieille femme est terrifiée !

A trois heures du matin, elle entend une voix très forte dans sa chambre et elle voit un géant qui dit, “ Mon doigt de pied poilu !  Mon doigt de pied poilu !  Je veux mon doigt de pied poilu !Où est mon doigt de pied poilu ?”

La vielle dame dit, “J’ai mangé votre doigt de pied poilu!”

“Oui,” dit le géant.  “C’est vrai”.  Et il marche vers la vieille dame dans son lit.

On n’a jamais revu la vieille dame.  Elle a disparu.  Mais les voisins ont trouvé une empreinte dans son jardin.  C’était une empreinte énorme…Un doigt de pied lui manquait.

Il était une fois un homme qui s’appelait Roland. Il était riche. Il était le neveu d’un roi qui s’appelait Charlemagne. Beaucoup de jeunes filles voulaient se marier avec Roland, mais il aimait Angélique. Angélique était une princesse belle et intelligente. Tous les jours, Roland allait lui rendre visite et lui disait : “Angélique, je t’aime. Tu es l’amour de ma vie.”

Le père d’Angélique était heureux. Roland était riche et il était le neveu d’un roi. Tous les jours, le roi disait a Angélique : “Angélique, tu dois te marier avec Roland.” Mais Angélique était triste, elle n’aimait pas Roland. Elle aimait Médor. Elle aimait Médor en secret.

Médor était très beau et très gentil, mais il ne faisait pas partie d’une famille royale. Angélique aimait Médor et Médor aimait Angélique.

Tous les jours, Roland allait rendre visite à Angélique et lui disait : “Angélique, je t’aime. Tu es l’amour de ma vie.” Angélique avait beaucoup de respect pour Roland, mais elle n’aimait pas Roland.

Un jour, Angélique va dans la forêt. Elle va voir Médor secrètement. Mais Roland arrive et lui dit : “Angélique, je t’aime. Tu es l’amour de ma vie. Je voudrais t’épouser.” Et il lui donne un magnifique bracelet avec des rubis et des émeraudes. Angélique dit merci, elle respecte Roland mais elle ne l’aime pas. Elle sait que son père serait heureux si elle épousait Roland. Mais elle ne l’aime pas.

Angélique est désespérée et court dans la forêt. Elle voit Médor. Elle l’embrasse et lui dit : “Médor, je t’aime. Tu es l’amour de ma vie.” Médor est très heureux mais il voit qu’Angélique est triste. Il lui demande : “Pourquoi es-tu triste, Angélique ?”

“Mon père veut que je me marie avec Roland. Mais je n’aime pas Roland. Je t’aime.”

“Moi aussi, je t’aime. Ne te marie pas avec Roland. Épouse-moi, Angélique.”

Angélique est heureuse mais elle est désespérée de désobéir à son père.

“Épouse-moi, Angélique”, répète Médor.

Elle accepte, ils s’embrassent et courent dans la forêt. Ils arrivent à un petit village. Ils se marient dans le petit village. Les villageois organisent une petite célébration pour Angélique et Médor.

Pendant ce temps, au château, Roland se demande où est Angélique. Elle n’est pas dans le château. Roland va dans la forêt. Il marche et cherche Angélique. Il arrive au village et demande si quelqu’un a vu une belle princesse. Les villageois lui répondent qu’une belle jeune fille s’est mariée avec un homme. Les villageois montrent au prince le bracelet que la jeune fille leur a donné pour payer la célébration. Roland regarde le bracelet : c’est le bracelet d’Angélique !

Roland est dévasté. Il retourne au château. Il n’a plus jamais aimé personne.

Bisclavret

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un mythe breton

Il était une fois un soldat. Il s’appelait Bisclavret. Il était au service du roi, son ami.  C’était un ami loyal.

Mais Bisclavret avait un secret. Tous les trente jours, Bisclavret allait dans la forêt sans explication. Tout le monde questionnait Bisclavret à ce sujet. Il lui demandait : ” Pourquoi vas-tu dans la forêt ? “. Mais Bisclavret ne répondait pas. Il n’expliquait pas ses absences.

Sa femme supposait qu’il avait une amante. Tourmentée de jalousie, elle se disait : “ S’il a une amante, alors j’aurai aussi un amant “.  

Durant les absences de Bisclavret, elle avait une aventure avec un autre homme. Elle n’aimait plus Bisclavret. En fait, elle le détestait.

Un jour, sa femme a concocté un plan terrible. Elle a dit à Bisclavret : “ Je suis si triste. Tu ne m’aimes pas. “

Bisclavret était très surpris et touché. Il lui a dit : “ Mais si, je t’aime ! Je t’aime beaucoup ! ”

La femme lui a dit : ” Non, tu ne m’aimes pas car tu ne m’expliques pas tes absences “.  

Finalement, Bisclavret a expliqué : “ Tous les trente jours, je vais dans la forêt. J’enlève ma chemise. Puis, je me transforme en loup. Mais je n’attaque personne. Je ne suis pas un monstre ! Puis, je remets ma chemise, et je retourne à ma forme humaine. Sans ma chemise, je suis incapable de retourner à ma forme humaine. “

Les jours ont passé.  Bisclavret est allé encore une fois dans la forêt.  Sa femme est allée dans la forêt aussi. Elle a suivi son mari. Elle a cherché Bisclavret. Elle l’a cherché longtemps. Finalement, elle a trouvé la chemise de Bisclavret. Sans hésiter, la femme qui était cruelle a pris la chemise. “ Ha, ha ! Sans sa chemise, il est incapable de retourner à sa forme humaine “ A-t-elle pensé.

Les jours ont passé mais il n’y avait aucun signe de Bisclavret. Bisclavret avait disparu. Le roi était triste. Bisclavret était son ami et le soldat le plus loyal ! Alors, le roi est parti chercher Bisclavret dans la forêt. Il l’a cherché longtemps.

Finalement, il a vu un loup ! Le roi avait très peur mais bizarrement, le loup ne l’a pas attaqué. L’animal s’est incliné devant lui en signe de respect.

A ce moment-là, le loup et le roi sont devenus inséparables. Le roi a adopté le loup. Le loup mangeait à la table royale avec le roi. Le roi caressait le loup et disait : “ Tu es aussi loyal que mon ami, Bisclavret “.

Les jours passaient. Le roi aimait son fidèle compagnon.

Un jour, le roi a organisé une grande fête. Le roi a invité la femme de son ami, Bisclavret. La femme est arrivée mais elle était avec son amant.

Le roi a invité le loup à table. Normalment, le loup n’attaquait pas.  

Puis, le loup a vu la femme.  Elle était avec son amant !

Le loup a tremblé de furie. Puis, il a attaqué l’amant. La femme était terrifiée et elle a crié :  “ NON ! Pardon ! “

Les gardes ont capturé le loup. Surpris, le roi a dit : “ Femme, pourquoi as-tu crié ‘pardon’ quand le loup a attaqué ? “

Le femme était silencieuse et embarrassée. Elle havait honte. Le roi en a alors déduit que la femme avait un terrible secret. Furieux, le roi a crié : “ J’exige une explication immédiatement ! “

La femme a alors expliqué que Bisclavret s’était transformé en loup dans la forêt. Elle a continué : “ Sans sa chemise, il est incapable de retourner à sa forme humaine et j’ai pris sa chemise ! “.

Le roi était furieux et il a ordonné : “ Femme cruelle, va chercher la chemise de ton mari ! “

Les gardes ont escorté la femme. Elle est allée chercher la chemise. Finalement, elle est retournée au château avec la chemise de son mari. Le roi a ordonné : “ Gardes, capturez cette femme. Qu’elle soit condamnée à l’exil ! “

Rapidement, le roi a mis la chemise sur le loup. Immédiatement, le loup s’est transformé en homme. Il est retourné à sa forme naturelle. Il est redevenu humain !

Bisclavret a crié de joie : “ Majesté, merci !  “  Le roi a embrassé son ami.  

Bisclavret et le roi sont restés fidèles l’un à l’autre pour le reste de leurs vies.

Le ruban vert

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Il était une fois une fille. Elle s’appelait Jenny. C’était une fille comme toutes les petites filles, sauf qu’elle portait toujours un ruban vert autour du cou.

Il y avait un garçon. Il s’appelait Alfred. Alfred était dans la classe de Jenny. Alfred aimait Jenny et Jenny aimait Alfred.

Un jour, Alfred a demandé à Jenny: « pourquoi est-ce que tu portes toujours un ruban vert? »

« Je ne peux pas te dire pourquoi. » a répondu Jenny.

Plus tard, Alfred lui a encore demandé : « pourquoi est-ce que tu portes toujours un ruban vert? »

Et toujours, Jenny répondait : « Je ne peux pas te dire pourquoi. »

Alfred et Jenny ont grandi et ils s’aimaient. Un jour, ils se sont mariés. Après le mariage, Alfred a demandé : « Jenny, pourquoi est-ce que tu portes toujours un ruban vert ? »

Jenny a répondu : « Non, je ne peux pas encore te dire pourquoi. »

Des années plus tard, quand Jenny et Alfred sont devenus vieux, Jenny est tombée malade. Le docteur a dit qu’elle allait mourir.

Jenny a dit à Alfred: « Alfred, maintenant je peux te dire pourquoi je porte toujours un ruban vert. Enlève-le »

Alfred a lentement enlevé le ruban et la tête de Jenny est tombée par terre.

Pourquoi le tournesol se tourne toujours vers le soleil

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Un conte inca

Il y a très, très, très longtemps, il n’y avait pas encore de tournesols dans les jardins.

À l’époque il y avait un empereur dans l’empire vert qui n’avait qu’une seule fille. Elle était très belle, aussi belle que les fleurs du printemps.

L’empereur avait beaucoup de soucis , parce que sa fille ne voulait pas se marier.

Elle n’aimait aucun prince. Il était trop grand, ou trop petit, ou trop blond ou trop brun.

Chaque fois que son père lui parlait, elle répondait : « Je n’aime que le soleil ».

Un beau jour l’empereur s’est mis en colère et il a dit furieusement à sa fille : « vas-y, pars et marie-toi avec le soleil, mais je ne veux plus jamais te voir ! »

La princesse est partie vers le soleil. Elle a marché vers l’est. Elle a traversé des montagnes et des vallées, elle a traversé des forêts et des déserts, jusqu’à ce qu’elle arrive à une grande montagne, où le soleil avait son palais. Mais dans le palais il y avait seulement la mère du soleil.

« Qu’est-ce que tu cherches ici, ma fille ? », a dit la vieille femme.

« Je cherche le soleil, » a répondu la princesse et elle a raconté pourquoi son père l’avait chassée de la maison.

La mère du soleil a eu pitié de la fille. « Très bien, ma fille ! Le soleil, c’est mon fils et je te donne ma permission de le marier. Mais n’oublie pas que tu ne peux jamais le regarder.» La princesse lui a promis qu’elle ne regarderait jamais son fils, le soleil.

Elle s’est mariée avec le soleil et pendant une année, elle était très heureuse et elle vivait avec le soleil sans le regarder. Mais elle était très curieuse. Elle pensait : « Pourquoi je ne peux pas regarder le soleil ? C’est mon mari ! »

La mère du soleil a deviné ses pensées . Elle a eu pitié d’elle. « Je sais ce que tu veux, ma fille. Je te donne un conseil. Tu mets un verre d’eau devant ton mari et tu le regardes dans le verre. Mais il faut faire attention : Si tu le regardes trop longtemps, il le saura et ça finira mal.”

La princesse a fait ce que la vieille mère du soleil lui a dit. Quand le soleil est rentré au palais, elle a mis un verre d’eau devant lui et elle l’a observé dans le verre.

Pour la première fois, elle a vu le visage de son mari et son petit cœur s’est presque arrêté de battre. Elle a oublié les mots de la vieille mère du soleil et elle a regardé le soleil trop longtemps. Son mari s’est énervé, il a crié furieusement : « Si tu ne peux pas obéir, je veux que tu partes ! »

La princesse est partie en pleurant. Les larmes coulaient sur ses joues. Mais le soleil a eu pitié d’elle et il l’a changée en une plante énorme avec une grande fleur jaune. Depuis ce temps-là, elle tourne toujours sa grande fleur jaune vers le soleil. Les gens l’appellent alors Tournesol.

La Dame Blanche

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Voici la légende de la Dame Blanche : Il y avait une femme qui s’appelait Mathilde Robin. Mathilde habitait à Côte-de-Beaupré. Mathilde était heureuse. Mathilde était contente parce qu’elle était amoureuse. Elle était amoureuse de Louis. Louis était beau et romantique. Mathilde et Louis aimaient se promener à côté de la chute Montmorency. Mathilde et Louis aimaient se promener, faire des pique-niques, et parler à côté de la chute Montmorency. Mathilde était amoureuse de Louis, et Louis était amoureux de Mathilde. Un jour, Louis a demandé sa main en mariage. Louis lui a demandé « Veux-tu te marier avec moi ? » Mathilde lui a répondu « Oui ! » Ils ont décidé de se marier à la fin d’été. Elle a cousu sa robe de mariage. Sa robe de mariage était très belle, longue et blanche. Elle avait aussi un voile. Le voile était long et blanc aussi. Mathilde était très, très heureuse.

Mais, un problème est arrivé. La guerre a commencé. Les Anglais voulaient prendre Québec ! Le Québec était français, mais les Anglais voulaient l’envahir. Les Anglais voulaient se battre contre les Français. Le 31 juillet, les Anglais ont attaqué. C’était une bataille contre les Québécois. Louis était courageux. Il était Québécois. Il voulait que le Québec reste Français. Il ne voulait pas que les Anglais prennent le Québec. Alors il a décidé d’aider les soldats français. Il a embrassé Mathilde. Il lui a dit «Je suis désolé. Je t’aime. Je veux me marier avec toi. Mais je veux me battre contre les Anglais. Je reviens rapidement. Au revoir. À bientôt. » Mathilde était triste. Elle voulait rester avec Louis. Mais Louis est allé à la bataille. Les femmes et les enfants se sont cachés dans la forêt. Alors Mathilde s’est cachée dans la forêt aussi.

La Bataille de la Chute Montmorency a duré des jours et des jours. Mathilde attendait dans la forêt. Enfin, elle a entendu des cris : « Victoire ! Victoire ! On a gagné !» Les Français avaient gagné la bataille. Les Anglais avaient perdu. Après la bataille, les soldats français sont retournés dans la forêt pour retrouver leurs femmes et leurs familles. Mathilde a attendu et attendu. Mathilde a demandé « Louis, où es-tu ? Je t’aime, je t’aime ! »

Enfin, un commandant de l’armée est arrivé chez Mathilde. Il lui a dit que Louis était mort au combat. Le commandant a dit, « Je suis désolé Madame, mais Louis est mort. » Mathilde était très triste. Elle a pleuré. Elle était désespérée. Elle était folle de tristesse. Quand elle a entendu les nouvelles, elle a couru vers sa maison. Elle a mis sa jolie robe de mariage. Elle a mis son voile sur la tête. Elle est allée vers la chute Montmorency.

C’était la nuit. À la chute Montmorency, Mathilde pensait à Louis. Elle pensait à toutes les promenades et aux pique-niques. Elle pensait à la mort brutale de Louis dans la bataille. Elle était très triste. Elle pleurait beaucoup. La pleine lune éclairait sa silhouette fragile. Mathilde a ouvert grand ses bras en croix. Et elle a sauté. Elle est tombée dans les eaux tumultueuses de la chute Montmorency. Elle est morte. Son voile de mariée est tombé aussi. Pendant que Mathilde tombait, le vent a pris son voile de mariée. Il a déposé le voile sur les rochers à côté de la chute Montmorency. Le lendemain, il y avait une nouvelle chute à côté de la chute Montmorency. C’était une petite chute à gauche de la grande chute. Cette petite chute s’appelle « Le Voile de la Mariée. » Cette petite chute existe encore aujourd’hui.

Aujourd’hui, si vous passez par la chute Montmorency, la nuit, vous allez voir la silhouette d’une jeune fille avec une longue robe blanche. C’est le fantôme de Mathilde. C’est « la Dame Blanche ». Si vous voyez ce fantôme, faites attention ! N’approchez pas ! Restez loin du fantôme de Mathilde. La légende dit que si quelqu’un touche la robe de Mathilde, il va mourir aussi…