En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Jules Renard, Histoires naturelles : La chenille Jules Renard, Histoires naturelles/La chenille », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Elle lève le nez de droite et de gauche pour flairer.
Lecture et lecture d'image : Texte illustré et tapuscrit : La chenille de Jules Renard, illustrations Benjamin Rabier.
Écoute :
Questionnaire de lecture :
La chenille avance à grandes enjambées, mais l'auteur parle d'ondulations, pourquoi ? ________________________________________
Aime-t-elle l'allée de sable ? Pourquoi ? ________________________________________
Pourquoi le jardinier met-il des sabots ? ________________________________________
Est-ce que la chenille regarde où elle va ? ________________________________________
Le portrait de la chenille. Quels sont les critères de beauté retenus ? ________________________________________
Comment la chenille fronce-t-elle son corps ? ________________________________________
Les comparaisons : L'écrivain compare son corps à _______________________________ et sa tête à celle d'___________________________
Trouver le verbe de la famille de déglutition : ________________________________________
Le portrait de la rose. Quels sont ses défauts ? ________________________________________
Le boa est un serpent et ________________
Solution
Ceci est la solution :
parce qu'elle se tortille en rampant.
L'allée est un espace découvert où elle n’est pas protégée des prédateurs.
Les sabots permettaient de protéger les chaussures.
Elle se laisse guider non par sa vue mais par son odorat.
grasse, velue, fourrée, brune avec des points d’or et des yeux noirs.
Elle replie les portions de son corps entre les pattes, selon qu’elles se déplacent ou non.
un sourcil froncé ; un chiot à la naissance.
déglutir. C'est un procédé de dérivation avec le suffixe -tion.
Production d'écrit : Après le départ de la chenille, la rose met en garde sa voisine et la prévient de ce qui risque de lui arriver pendant la nuit suivante. Elle termine par une « morale » : Il faut se méfier des visiteurs trop chaleureux.