En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « La Mère Bontemps : Le loyer La Mère Bontemps/Le loyer », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Sauf ces petits incidents, le ménage aurait vécu heureux,
si la mère Bontemps n'avait eu pour propriétaire maître Rongeart,
un désagréable monsieur qui n'entendait pas raillerie
quand il s'agissait d'un terme dû.
La mère Bontemps, en consultant le calendrier,
s'aperçut qu'elle était à la veille du délai
accordé par maître Rongeart.