En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « La Mère Bontemps : Les adieux à Maitre Rongeart La Mère Bontemps/Les adieux à Maitre Rongeart », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Sa finance mise en ordre et casée en lieu sûr,
la mère Bontemps, avec toute sa troupe,
s'est acheminée vers la demeure de maître Rongeart.
Elle l'a trouvé à son bureau,
occupé à rédiger des mémoires, des assignations et autres choses semblables.
« Que voulez-vous encore ? lui a-t-il dit brusquement.
— Vous payer ce que je vous dois, monsieur Rongeart...
— Ah ! ah ! très bien.
— Et vous remettre la clef de votre immeuble.
— Oh ! oh !... Vous me quittez ?...
— Oui ; pour n'être plus ennuyée par la question du terme,
j'ai acheté une petite maison.
— Eh bien, alors, c'était la mienne qu'il fallait acheter...
où pouviez-vous être mieux ?
— Je ne dis pas ; mais nous en avons préféré une autre.
— Vous êtes une ingrate, mère Bontemps ! »