La petite aux grelots/Belle-Orange en famille
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Il était une fois un gentilhomme nommé Gentil-Aymar qui était resté veuf et faisait son bonheur d’élever une petite fille qu’il chérissait. Cette petite fille s’appelait Belle-Orange parce qu’elle avait la beauté et la douceur de ce fruit. Gentil-Aymar avait encore sa vieille mère, excellente femme qui l’aidait à élever Belle-Orange. Aussi, grâce aux bons soins de son père et de sa grand-mère, Belle-Orange, qui était très gentille, grandissait-elle en attraits, en talents et en bons sentiments. |
Répondre à ces dix questions
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Réponses
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Voici les réponses :
- Ce conte commence comme celui de « L'Oiseau Bleu » : une fillette a perdu sa mère ; elle est élevée par son père qui l'aime beaucoup. Les différences sont que son père ne s'est pas remarié et que sa grand-mère est présente.
- La fillette porte le nom d'une orange pour la beauté et la douceur de ce fruit. Les oranges sont mûres en hiver et elles étaient beaucoup appréciées à l'époque où ce conte a été écrit. Des orangeries ont été construites sous serre, un peu partout en France.
- Blanche-Neige, Le Petit Poucet, Barbe-bleue]...
- Un « gentilhomme » était un aristocrate. Le mot est formé comme le « gentleman » anglais.
- Un bonhomme, des bonshommes.
- Dans Le Petit Chaperon rouge.
- La famille est riche et vit dans un château : les illustrations nous montrent les vêtements et le cadre.
- Un enfant unique, un fils unique, une fille unique.
- L'éducation familiale développe ses attraits (ses qualités), ses talents et sa gentillesse.
- C'est l'arrivée d'une femme amoureuse qui va tout déclencher.
J'espère que vous avez un bon score !