La petite aux grelots/Les retrouvailles
Lire le texte
modifier
A l’instant l’enchantement fut détruit et la tour du palais de cristal brisée en mille morceaux. La bonne fée qui avait vu de loin la lutte des monstres avec Belle-Orange accourut dans un char de diamants, et y reçut Gentil-Aymar qui, sans ce secours, fut resté enseveli sous les débris de la tour. Belle Orange suivit le char qui emportait son père, laissant la fée Rousse furieuse et occupée à rebâtir son palais. Dès qu’elle fut rentrée elle reprit sa première forme et courut se jeter dans les bras de son père qui l’attendait. Depuis elle a conservé ses grelots et les petits bâtons qui lui rappelaient la peine que lui avait coûté sa tendresse filiale dont elle resta le modèle. |
Répondre à ces dix questions
modifier
|
Réponses
modifierVoici les réponses :
- Les parois de cristal du palais s'effondrent quand le choc du caillou lâché par l'hirondelle casse une vitre. Heureusement la bonne fée vient au secours du père pour le sauver et le ramène dans son château en profitant de ce que la mauvaise fée est occupée à reconstruire son palais de cristal.
- Non, la bonne fée observait de loin.
- C'est l'arrivée de l'hirondelle au milieu des éclats de verre qui ont failli tuer son père.
- Ces épreuves sont effrayantes, terrifiantes.
- par des licornes ?
- Non, les armes traditionnelles sont impuissantes pour détruire les enchantements ou les envoutements.
- La petite fille se jette dans les bras de son père qui la serre dans ses bras.
- Oui, on les voit accrochés à sa jupe.
- En souvenir du kidnapping et des épreuves.
- La grand-mère tient une canne ou bien un des batons à grelots.
J'espère que vous avez un bon score !