En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Exercice : Approche énergétique du mouvement d'un point matériel : Énergie potentielle et énergie mécanique Mécanique 1 (PCSI)/Exercices/Approche énergétique du mouvement d'un point matériel : Énergie potentielle et énergie mécanique », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Quand l'utilisation d'un théorème énergétique s'avérera nécessaire on choisira le théorème de la variation de l'énergie mécanique ou la forme locale associée.
Soit un point matériel glissant sans frottement sur une hélice circulaire[1] dont les équations cylindro-polaires sont «», avec unitaire vertical et Soit un point matériel glissant sans frottement sur une hélice circulaire dont les équations cylindro-polaires sont «», avec les angles des plans horizontaux Soit un point matériel glissant sans frottement sur une hélice circulaire dont les équations cylindro-polaires sont «», avec les angles des plans horizontaux orientés par Soit un point matériel glissant sans frottement sur une hélice circulaire dont les équations cylindro-polaires sont «», cette hélice circulaire [1] est dite « droite ou dextre» [2].
À , le point en liaison bilatérale est lâché sans vitesse initiale d'une cote et subit l'action d'un champ de pesanteur uniforme.
Déterminer la durée mis par le point pour effectuer un tour en fonction de , et [3].
Solution
Schéma d'une hélice circulaire[1] droite [2] sur laquelle un point lâché sans vitesse initiale d'une position glisse sans frottement sous l'action d'un champ de pesanteur uniforme anti-colinéaire [4] à l'axe du cylindre sur laquelle l'hélice est tracée, avec représentation de la base locale de Frenet [5],[6] liée au point , le sens du vecteur unitaire tangentiel [7] étant choisi dans le sens du mouvement
Nous travaillons dans un référentiel galiléen ; il est demandé d'utiliser, de préférence au théorème de l'énergie cinétique, il est demandé d'utiliser, le théorème de la variation de l'énergie mécanique entre la position initiale et il est demandé d'utiliser, le théorème de la variation de l'énergie mécanique entre la position à un instant quelconque positif ;
le bilan des forces appliquées appliquées au point est :
son poids qui est une force conservative dérivant de l'énergie potentielle de pesanteur en prenant pour référence le niveau et
la réaction de l'hélice sur , non conservative, au vecteur unitaire tangentiel [7] compte-tenu de l'absence de frottement, ce qui implique qu'elle ne travaille pas, en effet [8] car [9] et ;
l'énergie mécanique du point à l'instant est définie par dans laquelle est l'énergie cinétique du point dans le référentiel d'étude au même instant ;
l'énergie mécanique or le vecteur vitesse du point à cet instant et dans le même référentiel vaut, en repérage cylindro-polaire, [10] on en déduit d'où, en reportant dans l'expression de l'énergie mécanique de et en éliminant au profit de ,
«» ;
le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point [11] entre la position initiale avec une vitesse instantanée [12] nulle le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point entre et une position quelconque avec une vitesse instantanée [12] le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point entre une position quelconque avec [13] le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point s'écrit «» [11] soit finalement «» [14] d'où le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point s'écrit l'intégrale 1ère du mouvement de en [15] «» ;
de l'intégrale 1ère ci-dessus nous en tirons l'expression de la vitesse angulaire en fonction, entra autres, de l'abscisse angulaire soit «», de l'intégrale 1ère ci-dessus nous en tirons l'expression de la vitesse angulaire en fonction, entra autres, de l'abscisse angulaire soit équation différentielle non linéaire du 1er ordre en de l'intégrale 1ère ci-dessus nous en tirons l'expression de la vitesse angulaire en fonction, entra autres, de l'abscisse angulaire soit qui s'intègre par séparation des variables [16] telle que de l'intégrale 1ère ci-dessus nous en tirons l'expression de la vitesse angulaire en fonction, entra autres, de l'abscisse angulaire soit sur , «» [17] s'intégrant selon de l'intégrale 1ère ci-dessus nous en tirons l'expression de la vitesse angulaire en fonction, entra autres, de l'abscisse angulaire soit «» [18],[19] d'où de l'intégrale 1ère ci-dessus nous en tirons la solution de l'équation différentielle non linéaire du 1er ordre en suivante «» dont nous déduisons de l'intégrale 1ère ci-dessus nous en tirons la loi horaire d'abscisse angulaire du point glissant sans frottement sur l'hélice [20] «» ainsi que de l'intégrale 1ère ci-dessus nous en tirons la durée mis par le point pour effectuer un tour sur l'hélice c.-à-d. la valeur de correspondant à «».
Compléments : utilisant la loi horaire d'abscisse angulaire du point «» et inversée sous la forme «», Compléments : utilisant la loi horaire on peut déterminer la durée nécessaire pour que le point effectue tours avec , il suffit d'y faire soit Compléments : utilisant la loi horaire on peut déterminer la durée «» ou finalement «» ; ainsi
Compléments : utilisant la loi horaire on peut déterminer la durée «», la durée pour glisser sur le 1er tour est égale à celle pour glisser sur l'ensemble des 2ème à 4ème tour Compléments : utilisant la loi horaire on peut déterminer la durée «», la durée pour glisser sur le 1er tour est égale à celle pour glisser c.-à-d. les trois tours suivants,
Compléments : utilisant la loi horaire on peut déterminer la durée «», la durée pour glisser sur le 1er tour est égale à celle pour glisser sur l'ensemble des 2ème à 4ème tour Compléments : utilisant la loi horaire on peut déterminer la durée «», la durée pour glisser sur le 1er tour est égale à celle pour glisser c.-à-d. les trois tours suivants, ou encore Compléments : utilisant la loi horaire on peut déterminer la durée «», la durée pour glisser sur le 1er tour est égale à celle pour glisser sur l'ensemble des 5ème à 9ème tour Compléments : utilisant la loi horaire on peut déterminer la durée «», la durée pour glisser sur le 1er tour est égale à celle pour glisser c.-à-d. les cinq tours suivants
Un objet de masse est lancé, dans le champ de pesanteur terrestre uniforme, avec un vecteur vitesse initiale incliné vers le haut, selon la ligne de plus grande pente d'un plan incliné faisant un angle non orienté avec l'horizontale ;
le contact de l'objet avec le plan incliné est supposé avec frottement solide de cœfficients statique et dynamique confondus, de valeur commune notée .
À cause des frottements solides et de l'absence de force de propulsion, l'objet va s'arrêter ;
déterminer la distance parcourue par l'objet avant son arrêt.
Solution
Schéma d'un solide en liaison unilatérale avec un plan incliné sur lequel le contact est avec frottement solide et représentation des forces appliquées au solide quand ce dernier glisse vers le haut
L'objet étant en translation est assimilé à son C.D.I. [21] noté , son mouvement le long de la ligne de plus grande pente du plan incliné est repéré par son équation horaire scalaire où est l'abscisse de sur l'axe dont la direction est la ligne de plus grande pente et dont le sens est ascendant, l'origine de l'axe étant la position du C.D.I. [21] à l'instant de lancement de l'objet avec un vecteur vitesse , l'instant de lancement étant choisi comme origine des temps.
Les forces extérieures s'exerçant sur l'objet de C.D.I. [21] sont
son poids vertical , force conservative dérivant de l'énergie potentielle de pesanteur étant la cote du C.D.I. [21] repérée sur l'axe vertical relativement à l'origine , ayant été choisie comme référence de ; la cote de s'exprimant en fonction de son abscisse en utilisant nous en déduisons « avec référence en »,
la réaction du plan, non conservative, avec le vecteur unitaire au plan, de sens opposé à celui de la pénétration de l'objet susceptible de se produire dans le plan correspondant aussi à étant le vecteur unitaire au plan incliné choisi dans le sens des altitudes , le travail de la réaction [8],[22] se limitant à celui de sa composante tangentielle [23] car le travail de se décompose en en effet [9], étant le vecteur unitaire tangentiel choisi dans le sens du mouvement c.-à-d. et , soit «» [8],[22],[24] ;
l'énergie mécanique du C.D.I. [21] à l'instant étant définie par «» avec l'énergie mécanique l'énergie cinétique du C.D.I. [21] dans le référentiel d'étude au même instant, l'énergie mécanique se réécrit selon «» ;
l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique [11] du C.D.I. [21] entre sa position initiale avec une vitesse instantanée [12] et l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique du C.D.I. entre sa position d'arrêt avec une vitesse instantanée [12] nulle l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique du C.D.I. appliqué à l'objet dans le référentiel terrestre supposé galiléen s'écrit «» [11] soit l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique du C.D.I. appliqué à l'objet dans le référentiel terrestre supposé galiléen s'écrit «» ;
l'utilisation du théorème du mouvement du C.D.I. [21],[25] appliqué à l'objet dans le référentiel terrestre galiléen nous conduit à «» soit, l'utilisation du théorème du mouvement du C.D.I. en projection sur l'axe , «» [26] d'où «» et, l'utilisation du théorème du mouvement du C.D.I. en utilisant la loi de frottement de Coulomb [27] avec glissement [28] «» avec de sens contraire au mouvement de c.-à-d. l'utilisation du théorème du mouvement du C.D.I. en utilisant la loi de frottement de Coulomb avec glissement «» avec de sens contraire soit l'utilisation du théorème du mouvement du C.D.I. en utilisant la loi de frottement de Coulomb avec glissement «» ou, après report de l'expression de l'utilisation du théorème du mouvement du C.D.I. en utilisant la loi de frottement de Coulomb avec glissement «» d'où l'utilisation du théorème du mouvement du C.D.I. en utilisant la loi de frottement de Coulomb avec glissement « l'utilisation du théorème du mouvement du C.D.I. en utilisant la loi de frottement de Coulomb avec glissement «» ;
finalement la relation déduite de l'application du théorème de la variation de l'énergie mécanique se réécrit «» ou, finalement la relation déduite de l'application du théorème de la variation de l'énergie mécanique se réécrit après simplification et regroupement des termes à dans un même membre, finalement on obtient l'expression de la distance nécessaire pour que l'objet s'arrête «».
Condition d'inclinaison du plan incliné pour que l'objet ne descende pas après son arrêt
À quelle condition sur l'objet restera-t-il immobile sur le plan incliné après son mouvement de montée ?
Solution
Il convient bien sûr de refaire un schéma de situation en représentant les forces.
À partir de l'état final de repos précédent, la force tendant à faire redescendre l'objet de C.D.I. [21] est la composante de le long du plan incliné, À partir de l'état final de repos précédent, la force tendant à faire redescendre l'objet de C.D.I. est la composante qui est dans le sens descendant de norme égale à et par suite À partir de l'état final de repos précédent, la force de frottement est maintenant dans le sens ascendant, s'opposant à la composante de le long du plan incliné ;
À partir de l'état final de repos précédent, s'il n'y a pas glissement c'est que ces deux composantes se compensent soit «» et
À partir de l'état final de repos précédent, comme il n'y a toujours pas lévitation de l'objet de C.D.I. [21] au-dessus du plan incliné, les deux composantes au plan incliné se compensent c.-à-d. À partir de l'état final de repos précédent, comme il n'y a toujours pas lévitation de l'objet de C.D.I. dirigée vers le haut et À partir de l'état final de repos précédent, comme il n'y a toujours pas lévitation de l'objet de C.D.I. la composante du poids au plan incliné dirigée vers le bas d'où À partir de l'état final de repos précédent, comme il n'y a toujours pas lévitation de l'objet de C.D.I. au-dessus du plan incliné «» ;
À partir de l'état final de repos précédent, l'application de la loi de frottement de Coulomb [27] dans le cas de non glissement [29] «» se réécrit «» soit, À partir de l'état final de repos précédent, l'application de la loi de frottement de Coulomb dans le cas de non glissement après simplification évidente «» ou, À partir de l'état final de repos précédent, l'application de la loi de frottement de Coulomb dans le cas de non glissement en introduisant l'angle limite de frottement «[30] » [31] À partir de l'état final de repos précédent, l'application de la loi de frottement de Coulomb dans le cas de non glissement après simplification évidente «».
Point glissant sans frottement sur une piste rigide terminée par un demi-cercle vertical
Schéma représentant un point en liaison unilatérale sans frottement dans un champ de pesanteur uniforme sur une piste rigide constituée d'une descente terminée par un demi-cercle vertical, le point étant lâché sans vitesse d'une hauteur
Un point matériel de masse , en liaison unilatérale sans frottement sur la piste rigide ci-contre, est lâché sans vitesse initiale depuis la position située à une hauteur relativement à la partie la plus basse de la piste.
La piste est constituée d'une descente de forme quelconque se terminant, sans discontinuité de pente, par un demi-cercle vertical de rayon et dont l'extrémité supérieure est notée .
Le point matériel est soumis au champ de pesanteur uniforme.
À quelle condition de hauteur le point peut-il atteindre l'extrémité de la piste ?
Remarque : On rappelle que la C.N.S. [32] pour que quitte la piste Remarque : On rappelle que la C.N.S. est que celle-ci n'exerce plus de réaction sur le point à partir d'une position précédant , Remarque : par contraposée la C.N.S. [32] pour que reste au contact de la piste jusqu'en Remarque : On rappelle que la C.N.S. est qu'il existe une réaction de la piste sur le point en toutes les positions possibles jusqu'à Remarque : On rappelle que la C.N.S. pouvoir définir une vitesse instantanée [12][33] en toute position précédant , Remarque : On rappelle que la C.N.S. pouvoir définir une vitesse instantanée n'est qu'une C.N. [34] sans être une C.S. [35] Remarque : On rappelle que la C.N.S. pouvoir définir une vitesse instantanée pour que le point puisse atteindre .
Solution
Schéma représentant un point en liaison unilatérale sans frottement dans un champ de pesanteur uniforme sur une piste rigide constituée d'une descente terminée par un demi-cercle vertical, le point étant lâché sans vitesse d'une hauteur avec représentation des forces appliquées à et effet de loupe sur la partie circulaire
Voir le schéma de situation ci-contre avec représentation des forces appliquées à , l'étude étant faite dans le référentiel terrestre liée à la piste, référentiel supposé galiléen.
Le bilan des forces appliquées à est :
son poids vertical , force conservative dérivant de l'énergie potentielle de pesanteur étant l'altitude du point repérée par rapport à l'origine [36] de l'axe vertical , ayant été choisie comme référence de ,
la réaction [37] de la piste , non conservative, toujours , en absence de frottement, au vecteur unitaire tangentiel [7] lié à , la réaction de la piste , pouvant s'écrire [37] avec [6] vecteur unitaire normal principal lié à et la réaction de la piste , pouvant s'écrire avec [37] pour un contact réel [37] toujours dirigé vers l'intérieur de la piste tant que le contact existe, en accord avec la nature unilatérale de la liaison de avec , la réaction [37] ne travaillant pas, en effet [8],[37] car [9] et [37].
La liaison étant unilatérale c.-à-d. que le point peut se déplacer dans le demi-espace situé au-dessus de la piste, La liaison étant unilatérale la C.N.S. [32] de contact réel de sur est « la composante normale de la réaction », La liaison étant unilatérale la détermination de son expression se faisant par application de la r.f.d.n. [38] à puis projection sur [6]on montre aisément que l'éventuelle rupture de contact ne peut pas se produire sur la partie descendante de la piste car la projection du poids sur [6] y étant et celle de l'accélération [39], la composante normale de la réaction résultant de la projection de la r.f.d.n. [38] sur [6] s'écrivant est nécessairement , il suffira donc de vérifier que la rupture de contact ne peut pas se produire sur la partie circulaire de la piste et, pour déterminer la composante normale de la réaction quand est sur cette partie circulaire voir le schéma avec effet de loupe sur la partie circulaire ci-contre, on le repère par son abscisse angulaire puis on projette sur [40] la r.f.d.n. [38] appliquée à ;
projection surde la r.f.d.n. [38] appliquée en la positionde la partie circulaire de la piste : «» [41],[39] ou encore, projection surde la r.f.d.n. appliquée en la positionde la partie circulaire de la piste : «» [41],[42] dont on déduit projection surde la r.f.d.n. appliquée en la positionde la partie circulaire de la piste : l'expression de la composante normale de la réaction «[41],[43] projection surde la r.f.d.n. appliquée en la positionde la partie circulaire de la piste : l'expression de la composante normale de la réaction «» [43], projection surde la r.f.d.n. appliquée en la positionde la partie circulaire de la piste : pour sur la partie circulaire et dans la mesure où le contact n'est pas rompu ;
application du théorème de la variation d'énergie mécanique [11] du pointentre la position initiale et une position de la partie circulaire de la piste à un instantquelconque : application du théorème de la variation d'énergie mécanique du point l'énergie mécanique du point à l'instant dans le référentiel terrestre lié à la piste, référentiel galiléen, étant définie, application du théorème de la variation d'énergie mécanique du point pour n'importe quelle position de sur la piste, par «» soit, application du théorème de la variation d'énergie mécanique du point avec sur la partie circulaire de la piste «» [44] ; application du théorème de la variation d'énergie mécanique du point appliquant le théorème entre «» et «» on obtient application du théorème de la variation d'énergie mécanique du point «» [8] ou, ce dernier travail étant nul, «» [14] se réécrivant application du théorème de la variation d'énergie mécanique du point pour sur la partie circulaire de la piste «» d'où finalement application du théorème de la variation d'énergie mécanique du point «» ou «» ;
expression de la composante normale de la réactionde la portion circulaire de la piste en : le report de l'expression de dans celle de [41] à contact non rompu, donne expression de la composante normale de la réactionde la portion circulaire de la piste en : «» [41] ou, après simplification et factorisation, expression de la composante normale de la réactionde la portion circulaire de la piste en : «[41] sous réserve de maintien de contact ».
C.N.S. [32] de maintien de contact de l'objet sur la piste : cette condition étant «» [41] se réécrit selon «» [45] ;
C.N.S. de maintien de contact de l'objet sur la piste : cette fonction [45] étant , « ses valeurs seront ssi son minimum l'est c.-à-d. C.N.S. de maintien de contact de l'objet sur la piste : cette fonction étant , « ses valeurs seront ssi » avec « C.N.S. de maintien de contact de l'objet sur la piste : cette fonction étant , « ses valeurs seront ssi » avec «» soit finalement C.N.S. de maintien de contact de l'objet sur la piste : la condition de hauteur pour que le point atteigne l'extrémité de la piste «».
Remarque : Avec «», le point atteignant l'extrémité de la piste poursuivra son mouvement de deux façons possibles :
Remarque : Avec «», s'il y a un butoir en , le point y arrivant avec une « vitesse angulaire » ou Remarque : Avec «», s'il y a un butoir en , le point y arrivant avec une « vitesse instantanée [12]», Remarque : Avec «», s'il y a un butoir en , il y a choc, la vitesse instantanée [12] de devient nulle après le choc si ce dernier est mou[46] et par suite Remarque : Avec «», s'il y a un butoir en , il y a choc, la composante normale de la réaction de la piste devenant égale à après le choc mou[47] Remarque : Avec «», s'il y a un butoir en , il y a choc, la composante normale de la réaction n'obéit plus à la condition de contact réel sur la piste tombe en chute libre verticalement ;
Remarque : Avec «», en absence de butoir en , arrivant en avec une « vitesse angulaire » Remarque : Avec «», en absence de butoir en , arrivant en avec ou une « vitesse instantanée [12]», Remarque : Avec «», en absence de butoir en , il y a continuité du vecteur vitesse de lors de son arrivée en , avec [48] et par suite Remarque : Avec «», en absence de butoir en , poursuit son mouvement au-delà de la piste en chute libre de vecteur vitesse initiale «» Remarque : Avec «», en absence de butoir en , poursuit son mouvement au-delà de la piste selon un mouvement parabolique, sa position de retombée étant sur la piste
Point mobile sans frottement à l'intérieur d'un tube parabolique
Glissement d'un point en liaison bilatérale sans frottement dans un tube parabolique, avec les conditions initiales de lancement « en de vitesse initiale de norme »
Un point matériel de masse est mobile sans frottement à l'intérieur d'un tube ayant la forme d'une demi-parabole dont l'équation dans le plan vertical est dans laquelle est une constante homogène à une longueur ;
les conditions initiales sont : « pour », «, » et les conditions initiales sont : « pour », « la vitesse instantanée [12][49]» [50]voir figure ci-contre.
Explicitation de diverses longueurs associées à la demi-parabole en fonction de l'angle d'inclinaison de sa tangente avec l'horizontale
Évaluer, en fonction de l'angle algébrisé [51] que le 1er vecteur de base de Frenet [5],[49] fait avec le vecteur unitaire cartésien et Évaluer, pour une position quelconque de , l'abscisse , Évaluer, pour une position quelconque de , la cote et Évaluer, pour une position quelconque de , le rayon de courbure [52] de la trajectoire.
Solution
L'équation de la demi-parabole peut être réécrite selon «[53] avec » et l'angle algébrisé [51] entre le 1er vecteur de base de Frenet [5],[49] et le vecteur unitaire cartésien de l'axe des abscisses se détermine par «» [30] d'où
l'abscisse d'une position quelconque de par inversion de l'expression de soit «»,
la cote correspondante par report de dans soit ou encore «» et
le rayon de courbure de la demi-parabole en une position quelconque de défini par «» [52] avec abscisse curviligne du point [54] sur la demi-parabole avec origine de mesure choisie en , le rayon de courbure de la demi-parabole en une position quelconque de défini par «» la variation élémentaire se déterminant à l'aide du vecteur déplacement élémentaire le rayon de courbure de la demi-parabole en une position quelconque de défini par «» la variation élémentaire se déterminant à l'aide le long de la courbe selon «» [9] le rayon de courbure de la demi-parabole en une position quelconque de défini par «» «» avec d'où le rayon de courbure de la demi-parabole en une position quelconque de défini par «» «» ou, le rayon de courbure de la demi-parabole en une position quelconque de défini par «» l'angle variant dans le même sens que l'abscisse curviligne «» d'où le rayon de courbure de la demi-parabole en une position quelconque de défini par «» l'expression du rayon de courbure «».
Évaluation de la vitesse instantanée en fonction de la cote z
Pour une cote , quelle est la vitesse instantanée [12] de à expliciter en fonction de entre autres ?
Solution
Glissement d'un point en liaison bilatérale sans frottement dans un tube parabolique, avec les conditions initiales de lancement « en de vitesse initiale de norme », représentation des forces appliquées et base locale de Frenet [5] associée [7],[6]
Dans le référentiel lié au tube parabolique supposé galiléen, nous utilisons, de préférence au théorème de l'énergie cinétique, Dans le référentiel lié au tube parabolique supposé galiléen, nous utilisons, le théorème de la variation de l'énergie mécanique [11] Dans le référentiel lié au tube parabolique supposé galiléen, nous utilisons, entre la position initiale avec une vitesse initiale et Dans le référentiel lié au tube parabolique supposé galiléen, nous utilisons, entre une position quelconque avec une vitesse instantanée [12] ;
le bilan des forces appliquées appliquées au point est :
son poids , force conservative dérivant de l'énergie potentielle de pesanteur [55] en prenant pour référence le niveau et
la réaction du tube sur , non conservative, au vecteur unitaire tangentiel [7] compte-tenu de l'absence de frottement, ce qui implique qu'elle ne travaille pas, en effet [8] car [9] et ;
l'énergie mécanique du point à l'instant est définie par «» avec l'énergie cinétique du point dans le référentiel d'étude au même instant ;
le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point [11] entre la position initiale avec une vitesse instantanée [12] et le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point entre une position quelconque avec une vitesse instantanée [12] le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point s'écrit «» soit finalement le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point s'écrit «» [14] d'où, après simplification évidente, le théorème de la variation de l'énergie mécanique du point l'expression de la vitesse instantanée [12] du point à un instant en fonction, entre autres, de la cote du point «».
Quelle est la norme de la réaction exercée par le tube sur ?
Expliciter son expression en fonction de .
Pour quelle valeur de la réaction exercée par le tube sur est-elle toujours nulle ?
Solution
Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. [38] appliquée au point «» Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. sur le vecteur unitaire normal principal [6] soit, en posant [56], Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. «» [57] avec l'accélération normale [39] soit Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. «» ou encore «» [58] ;
Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. pour expliciter en fonction de on reporte l'expression de en fonction de [59] et on obtient Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. «» ou, en factorisant par , Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. «» soit, en éliminant au profit de Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. selon [58] ou Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. «» «» soit encore Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. «» ou, en réduisant au même dénominateur, Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. «» et au final Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. l'expression de la composante normale de la réaction du tube à l'instant «» ou Pour déterminer la norme de la réaction exercée par le tube sur , on projette la r.f.d.n. «» [60] «».
La réaction du tube sur le point sera nulle en toute position de dans le tube pour «» adapté à la vitesse horizontale initiale de pour une trajectoire parabolique de chute libre La réaction du tube sur le point sera nulle en toute position de dans le tube pour «» adapté à la vitesse horizontale initiale de pour d'équation cartésienne [61].
Complément : on peut alors discuter du signe de en comparant à valeur critique pour laquelle la réaction est toujours nulle : Complément : pour , est correspondant au contact de sur l'intérieur du tube tendant à repousser vers l'extérieur la réaction est donc dans le sens contraire de et, Complément : pour , est correspondant au contact de sur l'extérieur du tube tendant à ramener vers l'intérieur la réaction est donc dans le sens de .
À la fête foraine pour tester la force des joueurs
Schéma d'un jeu à la fête foraine pour tester sa force en lançant un chariot a priori en liaison bilatérale sans frottement sur un guide , le joueur n'exerçant une force sur le chariot que sur la partie dans le but qu'il atteigne
Dans un stand de fête foraine, on peut tester sa « force » en lançant un chariot , initialement au repos en , Dans un stand de fête foraine, on peut tester sa « force » en lançant un chariot dans le but que ce dernier atteigne en ; pour des raisons de sécurité, le chariot est en liaison bilatérale sur un rail situé dans un plan vertical, pour des raisons de sécurité, le chariot est en liaison bilatérale sur un rail rectiligne horizontal de longueur avec milieu de et pour des raisons de sécurité, le chariot est en liaison bilatérale sur un rail étant un demi-cercle de rayon ;
le joueur procède au lancement uniquement sur la partie rectiligne et doit absolument lâcher le chariot en on suppose que la force que le joueur exerce sur est horizontale et de norme constante sur tout le trajet ;
le chariot est de masse et on le considère comme ponctuel ;
l’intensité de la pesanteur terrestre étant constante et notée , on néglige tout frottement solide entre le chariot et le rail.
Lancement d'un 1er joueur : force minimale Fmin pour que le chariot atteigne D et réaction du guide en D quand F = Fmin
quelle force minimale [62] a-t-il exercée sur [63] ?
Quelle est alors la réaction du rail sur le chariot en on précisera sa direction, son sens et sa norme dans le cas où ?
Solution
Schéma d'un jeu à la fête foraine pour tester sa force en lançant un chariot a priori en liaison bilatérale sans frottement sur un guide , le joueur n'exerçant une force sur le chariot que sur la partie dans le but qu'il atteigne avec représentation des forces exercées sur et de la base locale de Frenet [5] associée au chariot [7],[6]
Le chariot étant en liaison bilatérale est guidé et la seule condition pour qu'il arrive en est que sa vitesse ne s'annule pas avant le point ; les forces s'exerçant sur lui sont :
sur la totalité du guide son poids , force conservative dérivant de l'énergie potentielle de pesanteur où sur la totalité du guide son poids est l'altitude du chariot , sur la totalité du guide son poids , l'origine de l'axe vertical étant au niveau de la partie la plus basse du guide et sur la totalité du guide son poids , l'origine étant choisie comme référence de l'énergie potentielle de pesanteur,
sur la totalité du guide la réaction du rail sur le chariot , non conservative et sur la totalité du guide la réaction ne travaillant pas dans la mesure où elle est toujours au rail en absence de frottement, c.-à-d. avec sur la totalité du guide la réaction position quelconque du guide, [8][9],
uniquement sur la partie du guide la force de lancement horizontale, supposée constante et considérée non conservative [64] uniquement sur la partie du guide la force de lancement de travail moteur [8] ou, avec uniquement sur la partie du guide la force de lancement étant la composante de la force sur l'axe uniquement sur la partie du guide la force de lancement avec horizontal orienté de vers uniquement sur la partie du guide la force de lancement et , la réécriture du travail moteur selon uniquement sur la partie du guide la force de lancement «» ;
l'énergie mécanique du chariot à l'instant [65] étant définie par «» avec l'énergie mécanique du chariot à l'instant étant définie par « l'énergie cinétique du chariot au même instant », « y étant la vitesse instantanée [12] » ou l'énergie mécanique du chariot à l'instant étant définie par «» avec « l'altitude de à l'instant », l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué au chariot [11] entre sa position initiale et l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué au chariot entre une position quelconque au-delà de l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué au chariot entre une position atteinte à l'instant avec une vitesse instantanée et l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué au chariot entre une position atteinte à l'instant avec une altitude l'utilisation du théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué au chariot nous donne, suivant la position finale considérée :
« position sur la partie », «» [66] ou soit «» « position sur la partie », «» ou soit lequel est si cette position est effectivement atteinte ;
en conclusion le chariot pourra atteindre la position si « la fonction est » et en conclusion le chariot pourra atteindre la position ceci est réalisé dans la mesure où « le minimum est », en conclusion le chariot pourra atteindre la position or étant une fonction de , la condition se réécrit «» ou «» soit finalement en conclusion le chariot pourra atteindre la position l'expression de la force [62] qu'un joueur doit exercer sur le chariot pour que ce dernier atteigne la position «».
Dans le cas où , la vitesse instantanée [12] d’arrivée du chariot en vaut ;
Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. [38] au chariot en la position on obtient «» soit, en projetant sur [6] noté [6] sur le schéma, Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position on obtient «» avec l'accélération normale du chariot en [39] Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position on obtient «» avec l'accélération normale par nullité de la vitesse instantanée [12] en d'où Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position on obtient «» c.-à-d. une réaction du rail qui est centrifuge en selon Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position on obtient «» [67] ; Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position on obtient le chariot en repose que la partie inférieure du rail [68].
Lancement d'un 2ème joueur moins fort : position extrême atteinte par le chariot et réaction du guide en cette position
Un deuxième joueur, « moins fort » que le précédent, exerce une force [62] :
jusqu'en quelle position le chariot arrivera-t-il on précisera ?
Quelle est alors la réaction du rail sur le chariot en cette position ?
Solution
Le 2ème joueur, « moins fort » que le 1er, exerce une force [62] laquelle, étant à , ne permet pas au chariot d'atteindra la position , Le 2ème joueur, « moins fort » que le 1er, exerce une force c.-à-d. que la vitesse instantanée [12] de ce dernier s'annule en une position précédant celle de , Le 2ème joueur, « moins fort » que le 1er, exerce une force c.-à-d. que la vitesse instantanée de ce dernier s'annule en une position d’abscisse angulaire Le 2ème joueur, « moins fort » que le 1er, exerce une force c.-à-d. que la vitesse instantanée de ce dernier s'annule en une position définie par soit, Le 2ème joueur, « moins fort » que le 1er, exerce une force sachant que pour sur la partie [69] en faisant et , Le 2ème joueur, « moins fort » que le 1er, exerce une force «» soit encore, avec le report de [69], Le 2ème joueur, « moins fort » que le 1er, exerce une force «» ou, après simplification évidente, «» «» c.-à-d. Le 2ème joueur, « moins fort » que le 1er, exerce une force «» ou, après simplification évidente, «» la « position [69] ».
Dans le cas où , la vitesse instantanée [12] d'arrivée du chariot en vaut ;
Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. [38] au chariot en la position «» soit, en projetant sur [6] noté [6] sur le schéma [69], Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position «» avec l'accélération normale de en [39] Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position «» avec l'accélération normale par nullité de la vitesse instantanée [12] en d'où Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position «» c.-à-d. une réaction du rail qui est nulle en selon «» [70] ; Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position le chariot « flotte » dans le guide en [71], Dans le cas où , appliquant la r.f.d.n. au chariot en la position le mouvement ultérieur de débute verticalement dans le sens descendant et se poursuit le long du guide.
Quelle force minimale [62] un joueur doit-il exercer sur [63] pour que le chariot atteigne ?
Quelle est alors la vitesse du chariot quand ce dernier atteint dans le cas ?
En quel point du rail le chariot va-t-il retomber ?
Solution
Pour que le chariot atteigne la position quand il est en liaison unilatérale, il faut que la réaction que le rail exerce sur soit constamment centripète sur le parcours ;
supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible [72], le carré de la vitesse instantanée [12] du chariot en une position de la partie circulaire déterminée précédemment à savoir supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, «» [69] reste applicable en liaison unilatérale [73], mais, a priori, en liaison unilatérale, supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, il ne suffit plus que la fonction de ci-dessus soit tout en restant évidemment nécessaire pour que soit atteint, supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, la nouvelle exigence étant que la composante normale de la réaction du rail [6] soit ;
supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, pour déterminer on applique la r.f.d.n. [38] à quand ce dernier occupe une position de la partie circulaire supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, «» que l'on projette sur [6] d'où «» avec supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, «» que l'on projette sur d'où [39] l'accélération normale du chariot, supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, «» pour une position quelconque de la partie circulaire ;
supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, on y reporte alors l'expression de rappelée ci-dessus, ce qui donne supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, «» supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, sous l'hypothèse de maintien de contact avec le rail ;
supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, en liaison unilatérale pourra atteindre la position si « est », supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, cette fonction étant , « ses valeurs seront ssi son minimum l'est c.-à-d. supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, cette fonction étant , « ses valeurs seront ssi » avec d'où supposant que le mouvement circulaire de sur soit possible, la réécriture de la C.N.S. [32] «» «» avec «».
Dans le cas où , la vitesse instantanée [12] d’arrivée du chariot en vaut «» soit finalement Dans le cas où , la vitesse instantanée d’arrivée du chariot en vaut «» en la position le vecteur vitesse est horizontal dirigé dans le sens de .
Dans le cas où , À partir de , le chariot a un mouvement de chute libre, son accélération étant «» [74] et son vecteur vitesse de début de phase «» [75] Dans le cas où , À partir de , le chariot a un mouvement de chute libre on fait alors le changement d'origine des temps pour que le début de phase devienne l'instant initial ;
Dans le cas où , avec un axe horizontal orienté vers la gauche ainsi qu'un axe vertical et le choix de comme origine du repère, Dans le cas où , avec le projeté de sur a un mouvement rectiligne uniforme de vitesse «» «» [76] et Dans le cas où , avec celui de sur un mouvement rectiligne uniformément accéléré sans vitesse initiale [77] soit «» «» [76] ;
Dans le cas où , on en déduit l'équation cartésienne de la trajectoire de en éliminant le temps entre ces deux lois horaires scalaires de position Dans le cas où , on en déduit l'équation cartésienne de la trajectoire de en éliminant le temps par que l'on reporte dans la 2ème soit ou Dans le cas où , on en déduit l'équation cartésienne «» équation cartésienne d'une parabole [53], Dans le cas où , le point du rail sur lequel le chariot retombe étant de coordonnées cartésiennes «» et «» ; Dans le cas où , en conclusion se trouve sur la partie rectiligne du rail à une distance en deçà du point .
Le 2ème joueur refait alors une tentative en exerçant une force [62] ; vérifier qu'il n’y a rien de changé pour lui.
Solution
Le 2ème joueur refait alors une tentative en exerçant la même force [62] ; avec cette valeur de force, le chariot en liaison bilatérale ayant obtenu une vitesse instantanée nulle caractérisant la fin de mouvement en liaison bilatérale[78] simultanément à avec cette valeur de force, le chariot en liaison bilatérale ayant obtenu une réaction du rail nulle laquelle caractérise la fin de tout mouvement en liaison unilatérale[78], avec cette valeur de force, il n'y a donc rien de changé pour le chariot quand il passe d'une liaison bilatérale à une liaison unilatérale.
Le 1er joueur refait lui aussi un lancement en exerçant une force [62] ; vérifier que le chariot n'atteint pas et
Le 1er joueur refait lui aussi un lancement en exerçant une force ; déterminer la position où il y a rupture de contact entre et le rail préciser ?
Le 1er joueur refait lui aussi un lancement en exerçant une force ; Quelle est alors le vecteur vitesse de en cette position préciser sa direction, son sens et sa norme ?
Solution
Schéma d'un jeu à la fête foraine pour tester sa force en lançant un chariot en liaison unilatérale sans frottement sur un guide , le joueur exerçant la force minimale sur le chariot pendant le trajet dans le but que puisse atteindre dans l'hypothèse où il serait en liaison bilatérale avec repérage de la position de rupture de liaison unilatérale ainsi que du vecteur vitesse du chariot à cet instant de rupture
Le 1er joueur refait lui aussi une tentative en exerçant une force [62],[69] laquelle, étant à valeur minimale pour que le chariot , en liaison unilatérale, aille jusqu'à l'extrémité supérieure de la partie circulaire du rail[79], ne permet pas à d'atteindre ;
la composante normale de la réaction exercée par le rail sur dans l'hypothèse d'un contact effectif par exemple avec une liaison bilatérale la composante normale de la réaction «» [79] prenant, la composante normale de la réaction en , une valeur «» et la composante normale de la réaction en , une valeur «» la composante normale de la réaction en étant une fonction continue de , nous en déduisons, d'après le théorème de Bolzano[80]cas particulier du la composante normale de la réaction en étant une fonction continue de , nous en déduisons, d'après le théorème des valeurs intermédiaires[81], la composante normale de la réaction l'existence d'une position unique de rupture de liaison unilatérale définie par la composante normale de la réaction l'existence d'une position unique de rupture de liaison unilatérale définie par tel que soit la composante normale de la réaction l'équation ou «» donnant finalement la composante normale de la réaction la valeur de l'abscisse angulaire de la position de rupture de la liaison unilatérale du avec le rail la composante normale de la réaction la valeur de l'abscisse angulaire «[82] » « située entre et ».
La vitesse instantanée [12] de en la position de rupture de liaison unilatérale se déduit de , position quelconque de la partie circulaire , expression déterminée précédemment dans le cas d'une liaison bilatérale [69] restant valable en liaison unilatérale [73], «» donnant, pour vitesse instantanée [12] du chariot en «» ;
le vecteur vitesse de en cette position est tangente à la partie circulaire en , le vecteur vitesse de en cette position est de direction faisant l'angle avec l'horizontale du lieu, angle non orienté aigu supplémentaire de soit «[82] le vecteur vitesse de en cette position est de direction faisant l'angle avec l'horizontale du lieu, angle non orienté aigu supplémentaire de soit «[82],[83]» et le vecteur vitesse de en cette position est de sens dirigé vers le haut.
Chariot de nouveau en liaison bilatérale mais avec frottement solide, nouvelle tentative du 2ème joueur
Heureusement il n’y a eu aucun accident avant que le forain ne s'aperçoive du défaut de sécurité et y remédie ;
le chariot est donc de nouveau en liaison bilatérale, mais le contact entre le chariot et le rail n'étant plus aussi lisse, ceci entraîne l'existence d'un frottement entre les deux ;
nous supposerons uniforme le cœfficient de frottements dynamique et statique commun égal à l'angle limite commun de frottements dynamique et statique étant [30].
Le 2ème joueur refaisant alors une tentative avec une force [62]le 1er joueur étant occupé à « diminuer son adrénaline », on cherche les modifications engendrées par ces frottements en supposant que la force [62] est suffisamment grande pour que le chariot ne soit pas arrêté sur la partie rectiligne du guide.
Déterminer la vitesse instantanée [12] acquise par le chariot en et
préciser à quelle condition sur puis sur préciser à quelle condition le chariot ne s'arrête pas sur la partie rectiligne du rail on rappelle que cette condition écrite sous l'une ou l'autre des deux formes est supposée réalisée.
Solution
Schéma d'un jeu à la fête foraine pour tester sa force en lançant un chariot en liaison bilatérale avec frottement sur un guide , le joueur n'exerçant une force sur le chariot que sur la partie dans le but qu'il atteigne avec représentation des forces exercées sur et de la base locale de Frenet [5] associée au chariot [7],[6]
Le seul changement sur par rapport à la question avec liaison bilatérale sans frottement solide est l'ajout, au bilan des forces appliquées, de Le seul changement sur la composante tangentielle de la réaction du guide sur le chariot notée [23], Le seul changement sur la composante tangentielle de la réaction de direction à la partie rectiligne , c.-à-d. horizontale, Le seul changement sur la composante tangentielle de la réaction de sens contraire au mouvement donc dirigée vers la gauche et Le seul changement sur la composante tangentielle de la réaction de norme avec la composante normale de la réaction selon la loi de frottement de glissement [28] de Coulomb [27] ;
l'absence de mouvement vertical de sur la partie du guide entraîne «» [84] d'où, par report dans et en utilisant que « est en sens contraire au mouvement c.-à-d. dans le sens de », «» ;
l'énergie mécanique de à l'instant , où est une position quelconque de , s'écrivant «» avec l'énergie « l'énergie cinétique de à l'instant de son passage par » et l'énergie « son énergie potentielle de pesanteur avec référence au niveau » soit finalement l'énergie mécanique de à l'instant , « pour »,
le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à [11] entre sa position initiale et le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à entre la position atteinte à l'instant avec une vitesse instantanée [12] le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à entre la position atteinte à l'instant avec ou encore , le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à s'écrit «» [66] avec le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à «[85]» [8] soit finalement, avec , le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à «» et le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à «» [8] ou, avec composante de sur l'axe horizontal et le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à «» ou, avec , le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à «»,
d'où la réécriture du théorème de la variation de l'énergie mécanique de entre et [11] selon « si le chariot n'est pas arrêté sur » et finalement
la vitesse instantanée [12] en s'écrit «» si n'est pas arrêté sur , ce qui nécessite «», condition pour que dépasse [86] ou, avec , «» si n'est pas arrêté sur , ce qui nécessite «», condition pour que dépasse [87].
Composante normale de la réaction du guide sur le chariot lors du mouvement circulaire de ce dernier
Exprimer la norme de la composante normale de la réaction du rail sur le chariot lors de son mouvement circulaire en fonction de et entre autres.
Solution
La composante normale de la réaction du rail sur [6] lors de son mouvement circulaire reste celle déterminée dans le cas de liaison unilatérale sans frottement à savoir La composante normale « pour » [79], établie en projetant la r.f.d.n. [38] appliquée à «» sur le vecteur unitaire [6], La composante normale « pour », une liaison bilatérale avec de sens quelconque englobant celle unilatérale avec dans le sens de [6] et La composante normale « pour », le seul ajout lors d'introduction de frottement solide étant la composante tangentielle telle que [6], La composante normale d'où, avec le lien entre vitesses instantanée [12] et angulaire d'un mouvement circulaire «», la réécriture de la composante normale selon La composante normale « pour » avec « accessible » en effet les valeurs de accessibles pour une force de lancement [62] et La composante normale « pour » avec « accessible » une liaison bilatérale avec frottement à savoir sont toutes à La composante normale « pour » avec « accessible » celles accessibles pour une même force de lancement [62] et une liaison La composante normale « pour » avec « accessible » bilatérale sans frottement lesquelles sont [78], La composante normale « pour » avec « accessible » d'où « la partie entre accolades de » comme la somme d'un La composante normale « pour » avec « accessible » 1er terme «» et d'un 2ème «» et par suite la norme de la composante normale de la réaction du rail sur s'écrit « pour » la norme de la composante normale de la réaction du rail sur s'écrit «avec position de d'abscisse angulaire .
Composante tangentielle de la réaction du guide sur le chariot et équation différentielle du mouvement de ce dernier lors de son mouvement circulaire
En déduire la norme de la composante tangentielle de la réaction du rail sur le chariot lors de son mouvement circulaire et
établir l'équation différentielle du 2ème ordre en pour le mouvement circulaire au-delà de .
Solution
Quand il y a glissement de sur le rail, la composante tangentielle de la réaction [23][7],[88] du rail sur avec est liée à sa composante normale [6]avec déterminée précédemment [89] par la loi de frottement de Coulomb [27] avec glissement [28] à savoir «» ;
reportant l'expression de pour [90],[89] dans celle de la norme de la composante tangentielle de la réaction du rail sur [23] en la même position atteinte au même instant, on obtient « pour [90] » avec «[7],[88] » ;
on détermine alors l'équation différentielle en du mouvement de sur la partie circulaire [90] du guide en projetant la r.f.d.n. [38] appliquée à «» sur [7] soit «» avec « l'accélération tangentielle [39] du chariot se réécrivant, dans le cas d'un mouvement circulaire de rayon , [91] » d'où, en reportant l'expression de « pour [90] » et après simplification par la masse , «» et enfin, en normalisant, l'équation différentielle non linéaire du 2ème ordre en cherchée «».
Transformation de l'équation différentielle du 2ème ordre du mouvement circulaire du chariot en équation différentielle du 1er ordre par élimination explicite du temps
Montrer que obéit à une équation différentielle linéaire du 1er ordre à coefficients constants du type : [92]on précisera les valeurs de , et .
Solution
Posant «» «», l'équation différentielle du 2ème ordre en du mouvement du chariot sur la partie circulaire [90] du guide à savoir «» se réécrit selon «» soit, en normalisant, l'équation différentielle linéaire à cœfficient(s) constant(s) hétérogène du 1er ordre en suivante «», effectivement de la forme «» avec «».
Déterminer tout d'abord une solution forcée de l'équation différentielle du 1er ordre en sous la forme on exprimera et en fonction de , et , puis
Déterminer la solution générale de l'équation différentielle du 1er ordre en .
Solution
Une solution forcée de l'équation différentielle linéaire à cœfficient(s) constant(s) hétérogène du 1er ordre en à excitation sinusoïdale [93] «» cherchée sous la forme conduit à «» soit, en regroupant les termes en et , «» d'où les deux paramètres solution du système de deux équations algébriques linéaires des deux variables suivant «» [94] ;
de la 1ère équation on tire «» que l'on reporte dans le 2nde équation d'où «» ou «» soit finalement «» et, en reportant dans «» on obtient «» soit finalement «», d'où l'expression de la solution forcée de l'équation différentielle linéaire à cœfficient(s) constant(s) hétérogène du 1er ordre en à excitation sinusoïdale «» ou encore,
«» ;
la solution générale de l'équation différentielle linéaire à cœfficient(s) constant(s) hétérogène du 1er ordre en [95] étant la somme de la solution forcée déterminée précédemment et la solution générale de l'équation différentielle linéaire à cœfficient(s) constant(s) hétérogène du 1er ordre en étant la somme de la solution libre de cette équation, c.-à-d. la solution générale de l'équation différentielle linéaire de même(s) cœfficient(s) constant(s) du 1er ordre en mais homogène «[96] », d'équation caractéristique d'où la solution libre « avec quelconque » ;
la solution générale de l'équation différentielle linéaire à cœfficient(s) constant(s) du 1er ordre en hétérogène «» s'écrit donc selon
«» avec se déterminant par C.A.L. [97] «» ou encore, sachant que , «» ;
l'utilisation de la C.A.L. [97] conduisant à «» soit encore, «» et finalement la solution générale de l'équation différentielle linéaire à cœfficient(s) constant(s) du 1er ordre en hétérogène s'écrit
«» ;
avec , la solution ci-dessus se réécrit selon «» après factorisation par soit finalement
«» ou «».
Explicitation de la vitesse angulaire du chariot en fonction, entre autres, de sa position angulaire lors de son mouvement circulaire et établissement de l'équation en θ déterminant la position extrême atteinte par le chariot
Expliciter, pour terminer, la vitesse angulaire du chariot en fonction, entre autres, de sa position angulaire lors de son mouvement circulaire et
en déduire l'équation en permettant de déterminer la position d'arrêt du chariot sur la partie circulaire du rail [98], étant repérée par l'angle [99].
Solution
De on en déduit la vitesse angulaire du chariot en fonction de sa position angulaire lors de son mouvement circulaire dans le sens de [49] soit
«» [100] ou en tenant compte de , la vitesse angulaire de en fonction de sa position angulaire lors de son mouvement circulaire dans le sens de [49] se réécrit «» [100] ;
la position d'arrêt [90] de sur la partie circulaire du rail [98] est définie par une vitesse angulaire nulle soit [100], l'abscisse angulaire étant solution de l'équation en suivante
«» ou, en tenant compte de et après simplification évidente, est solution de l'équation en ci-dessous «», équation « transcendante »[101] en [102].
↑ 1,01,1 et 1,2 Hélice qualifiée de « circulaire » car tracée sur un cylindre de révolution mais on omet souvent ce qualificatif.
↑ 2,0 et 2,1 Une hélice circulaire est qualifiée de « droite ou dextre» si le cœfficient de dans est , l'espace dans lequel elle est définie étant orienté à droite avec définition d'une base directe pour un observateur placé hors du cylindre de révolution et regardant l'hélice, la direction de l'axe du cylindre lui sortant par la tête, l'hélice monte de gauche à droite, Une hélice circulaire elle est qualifiée de « gauche ou senestre» si le cœfficient de dans est dans un même espace orienté à droite avec définition d'une base directe pour un observateur placé hors du cylindre de révolution et regardant l'hélice, la direction de l'axe du cylindre lui sortant par la tête, l'hélice monte de droite à gauche, c.-à-d. dans le sens horaire. Voir la notion d'espace orienté à droite dans l'introduction du paragraphe « produit vectoriel de deux vecteurs » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » et celle de base directe dans un espace orienté à droite dans le paragraphe « base directe d'un espace orienté à droite » du même chap. de la même leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
↑ On pensera au théorème de la variation de l'énergie mécanique pour exprimer en fonction de entre autres, puis on exprimera directement en fonction de de façon à en déduire une équation différentielle non linéaire du 1er ordre en que l'on résoudra en puis que l'on inversera en .
↑ Le signe provient du fait que le mouvement se fait dans le sens des pour .
↑ 14,014,1 et 14,2 La seule force non conservative ne travaillant pas, le point est à mouvement conservatif et cela a pour conséquence la conservation de son énergie mécanique.
↑ Équation différentielle non linéaire du 1er ordre en .
↑ La borne inférieure devant a priori être rejetée car correspondant à pour laquelle représente une forme indéterminée dans la mesure où y est aussi nul la vitesse angulaire initiale étant nulle mais la limite finie de la primitive pour donnera finalement une intégration valable pour la borne inférieure .
↑ Intégrant le membre de droite dépendant de sur et le membre de gauche dépendant de sur on obtient «», ce résultat donnant une forme non indéterminée pour permet de prolonger l'intégration du membre de gauche dépendant de sur et celle du membre de gauche dépendant de sur .
↑ 41,041,141,241,341,441,5 et 41,6 Il s'agit d'un abus d'écriture car la fonction de permettant d'obtenir la composante normale de la réaction à l'instant est différente de la fonction de permettant d'obtenir la composante normale de la réaction en la position laquelle dépend de mais les valeurs finales à l'instant étant les mêmes, l'usage en physique est de confondre la fonction et la valeur de la fonction d'où la même notation
↑ La vitesse instantanée est liée à la vitesse angulaire lors d'un mouvement circulaire de rayon par ou, plus précisément, le 1er vecteur unitaire tangentiel s'identifiant au 2ème vecteur de base polaire vecteur unitaire orthoradial, est liée à par «», voir les paragraphes « préliminaire (sur les liens entre repérage plan polaire ayant le centre du cercle comme pôle et repérage de Frenet tel que l'origine des abscisses curvilignes coïncide avec l'origine des abscisses angulaires) » et « lien entre composantes de Frenet et polaire du vecteur vitesse du point M sur sa trajectoire » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
↑ 43,0 et 43,1 On voit donc la nécessité de déterminer la vitesse instantanée ou la vitesse angulaire pour sur la partie circulaire en fonction de l'abscisse angulaire de ce dernier, cette détermination se faisant par application du théorème de la variation de l'énergie mécanique entre la position initiale et celle à l'instant correspondant à sur la partie circulaire de la piste.
↑ En effet le lien entre la vitesse instantanée et la vitesse angulaire est d'une part et d'autre part la cote du point , notée sur le schéma avec effet de loupe ci-dessus, s'évalue selon .
↑ 45,0 et 45,1 Il s'agit d'un abus d'écriture car la fonction de permettant d'obtenir la composante normale de la réaction à l'instant est différente de la fonction de permettant d'obtenir la composante normale de la réaction pour l'abscisse angulaire laquelle est une fonction de mais les valeurs finales à l'instant étant les mêmes, l'usage en physique est de confondre la fonction et la valeur de la fonction d'où la même notation
↑ Après un choc mou entre un objet ponctuel et un obstacle structurellement lié au référentiel, les deux restant liés ont donc la même vitesse et par suite l'objet ponctuel acquiert une vitesse nulle.
↑ En effet il n'y a plus mouvement et les deux forces appliquées à obéissent, dans l'hypothèse où le contact serait maintenu, à soit, en projetant sur , .
↑ étant le vecteur unitaire de l'axe horizontal tangent à la piste sur sa partie la plus basse et donc dirigé vers la droite du schéma on a donc .
↑ Aux faibles vitesses initiales la réaction est dans le sens contraire de c.-à-d. dirigée vers l'extérieur de la demi-parabole et aux grandes vitesses initiales elle est dans le sens de c.-à-d. dirigée vers l'intérieur de la demi-parabole.
↑ En effet d'où, en reportant dans , on obtient effectivement l'équation cartésienne de la trajectoire avec une vitesse de lancement horizontale voir le paragraphe « nature de la trajectoire » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
↑ 63,0 et 63,1 On raisonnera en inégalité et non en condition limite.
↑ Dans la mesure où l'hypothèse d'une force constante n'est envisagé que sur une trajectoire bien précise et non dans tout l'espace, son éventuel caractère conservatif n'a aucun intérêt puisqu'on n'envisage aucune modification de chemin suivi.
↑ L'origine des temps étant toujours choisie au début du lancement quel que soit le joueur considéré.
↑ 66,066,1 et 66,2 L'énergie mécanique initiale étant nulle par absence d'énergie cinétique et choix de référence d'énergie potentielle au niveau de la position initiale.
↑ On en déduit que la somme des forces appliquées se réduisant au poids du chariot en , le chariot n'y est pas en équilibre, il y a, en cette position une accélération tangentielle égale à conduisant à une redescente du chariot.
↑ Il en serait de même si la liaison était unilatérale.
↑ Cela nécessite la persistance du contact de avec le rail, c.-à-d. que la réaction du rail soit dirigé vers l'intérieur de ce dernier pour toute position du chariot.
↑ 73,0 et 73,1 Puisqu'elle a été déterminée sans considérer le sens de la réaction et donc en est indépendant.
↑ Obtenue par r.f.d.n. avec pour seule force, le poids du chariot.
↑ Le théorème des valeurs intermédiaires peut être énoncé selon « pour toute application continue et tout réel compris entre et , il existe au moins un réel compris entre et tel que » ; son cas particulier connu sous le nom de théorème de Bolzano s'énonce selon « pour toute application continue telle que le produit est , il existe au moins un réel compris entre et tel que » ; dans les deux théorèmes si l'application continue est strictement monotone, elle est donc injective et il y a unicité de la valeur de .
↑ 90,090,190,290,390,4 et 90,5 étant la position de d'abscisse angulaire correspondant à l'arrêt du chariot dans le cas d'une liaison bilatérale avec frottement.
soit de remplacer l'excitation somme en deux excitations individuelles, l'une en sinus et l'autre en cosinus et de chercher la réponse forcée de chaque excitation individuelle, la réponse forcée de l'excitation somme étant la somme des réponses forcées des excitations individuelles ce qui conduirait à un allongement de la durée du traitement,
↑ 98,0 et 98,1 L'arrêt peut n'être que temporaire avant une poursuite du mouvement circulaire dans l'autre sens, nous ne nous intéresserons pas à cette éventuelle poursuite.
↑ La résolution ne pouvant qu'être numérique, elle ne peut pas être faite ici en l'absence de données numériques.
↑ 100,0100,1 et 100,2 est un abus d'écriture incorrecte mathématiquement mais quasi systématiquement utilisée en physique pour traduire que la valeur de la fonction de est identique à celle de la fonction composée de fonction de et de fonction de , la fonction directe et celle du dernier élément de la fonction composée étant évidemment différentes mais les valeurs étant les mêmes, on adopte usuellement en physique la notation des valeurs pour celle des fonctions d'où l'abus utilisé en notant par .
↑ Les fonctions les plus simples sont celles que l'on peut construire à partir de la variable en utilisant des opérations élémentaires addition, multiplication etc., ces opérations permettant d'aboutir aux polynômes et aux fractions rationnelles ; en ajoutant des extractions de racines carrées ou autres, et plus généralement des solutions d'équations polynomiales, on obtient des fonctions plus variées, comme , toutes ces fonctions étant qualifiées d'« algébriques », les manipulations polynomiales relevant du domaine de l'algèbre générale ; mais de telles fonctions ne suffisant pas pour les besoins de l'analyse, on construit à partir de ces dernières d'autres fonctions qui ne relèvent pas de la définition d'une fonction « algébrique » dans le but, par exemple, de résoudre des équations différentielles, ces nouvelles fonctions sont alors qualifiées de « transcendantes » si leur définition ne relève pas du domaine algèbrique, c’est l’exemple de la fonction « logarithme » primitive de la fonction algébrique ou de la fonction inverse de la fonction logarithme c.-à-d. la fonction « exponentielle » il y a de nombreux autres exemples ; par prolongement une équation est dite « transcendante » si elle n’est pas « algébrique », c.-à-d. si elle n'est pas de la forme où est un polynôme, ces équations n'étant évidemment pas solubles algébriquement nécessitent souvent sans que ce soit toujours le cas une résolution numérique.
↑ Avec des valeurs numériques nous pourrions, pour résoudre cette équation, procéder en utilisant la « méthode de dichotomie » ou encore Avec des valeurs numériques nous pourrions, pour résoudre cette équation, procéder graphiquement en écrivant l'équation selon avec, par exemple, et puis en traçant les graphes des fonctions de chaque membre sur un même diagramme et en cherchant l'abscisse du point d'intersection compris entre et