Mécanique 1 (PCSI)/Exercices/Approche énergétique du mouvement d'un point matériel : Lois de la puissance et de l'énergie cinétiques

En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Exercice : Approche énergétique du mouvement d'un point matériel : Lois de la puissance et de l'énergie cinétiques
Mécanique 1 (PCSI)/Exercices/Approche énergétique du mouvement d'un point matériel : Lois de la puissance et de l'énergie cinétiques
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.




Point se déplaçant sans frottement sur un plan horizontal tiré par un fil idéal vers un trou du plan modifier

Dans tout l'exercice nous nous plaçons dans le cadre de la dynamique newtonienne.
Schéma descriptif représentant un point glissant sans frottement sur un plan horizontal percé en , le point étant tiré vers le trou par un fil idéal [1] à l'extrémité duquel s'exerce une force telle que la longueur du fil tendu sur le plan horizontal soit une fonction affine du temps

     Sur un plan horizontal, percé d'un trou , un point de masse se déplace sans frottements en étant lié à un fil idéal [1] passant par le trou.

     On exerce sur l'extrémité de la portion de fil verticale une force de traction de direction verticale et de sens descendant telle que la longueur de la portion horizontale tendue du fil soit dans laquelle est la longueur initiale de la portion horizontale tendue du fil et la vitesse de descente de l'extrémité de la portion de fil verticale sur laquelle on exerce la force de traction  ;

     on suppose que le mouvement de démarre avec une vitesse angulaire initiale on utilisera le repérage polaire de dans le plan relativement au vecteur position initiale choisi comme vecteur directeur de l'axe polaire , l'angle polaire de étant et son rayon polaire , la vitesse angulaire initiale étant définie selon .

Détermination du mouvement du point M dans le plan horizontal modifier

Détermination d'une intégrale 1ère du mouvement de M sur le plan horizontal modifier

     Par application de la r.f.d.n. [2] au point matériel dans le référentiel lié au plan horizontal supposé galiléen, déterminer une intégrale 1ère de son mouvement et

     en déduire la loi horaire de vitesse angulaire suivie par le point en fonction de , , et .

Détermination de la loi horaire d'angle polaire suivie par le point M sur le plan horizontal modifier

     En intégrant la loi horaire de vitesse angulaire suivie par le point , en déduire celle d'abscisse angulaire en fonction de , , et .

Détermination de l'équation polaire de la trajectoire du point sur le plan horizontal modifier

     En éliminant entre la loi horaire d'abscisse angulaire et celle du rayon polaire du point , en déduire l'équation polaire de la trajectoire de sur le plan horizontal
     En éliminant entre la loi horaire d'abscisse angulaire et celle du rayon polaire du point , en déduire l'équation polaire «» en fonction de , , et  ;

     En éliminant entre la loi horaire d'abscisse angulaire et celle du rayon polaire du point , en déduire l'équation polaire préciser la nature de la trajectoire de .

Détermination, par deux façons différentes, du travail de la force de traction exercée par l'opérateur sur l'extrémité libre de la portion verticale du fil idéal en fonction de la longueur l1 de la portion horizontale du fil modifier

1ère méthode par calcul direct modifier

     Déterminer la force de tension du fil s'exerçant sur le point en lui appliquant la r.f.d.n. [2] en fonction de , , , et le 1er vecteur de base polaire lié au point [3] puis

     en déduire la force de traction exercée par l'opérateur sur l'extrémité libre de la portion verticale du fil idéal [1] on orientera cette portion par un vecteur unitaire vertical descendant [10] en poursuivant par

     en déduire l'évaluation de son travail élémentaire en fonction de , , , et le déplacement élémentaire de l'extrémité libre de la portion verticale du fil [11] et enfin

     en déduire l'expression de son travail entre la position initiale et celle correspondant à une longueur de portion horizontale du fil en fonction de , , et .

2ème méthode par utilisation du théorème de l'énergie cinétique modifier

     Comme dans la « méthode précédente » on détermine la force de tension du fil s'exerçant sur le point
     Comme dans la « méthode précédente » on détermine la force de tension du fil en lui appliquant la r.f.d.n. [2] en fonction de , , , et
          Comme dans la « méthode précédente » on détermine la force de tension du fil en lui appliquant la r.f.d.n. en fonction de le 1er vecteur de base polaire lié au point [3] puis

     Comme dans la « méthode précédente » on en déduit la force de traction exercée par l'opérateur sur l'extrémité libre de la portion verticale du fil idéal [1]
     Comme dans la « méthode précédente » on en déduit la force de traction en orientant cette portion par le vecteur unitaire vertical descendant [10] ;

     remarquant que les travaux élémentaires ou non de la force de tension du fil s'exerçant sur le point et
     remarquant que les travaux élémentaires ou non de la force de traction exercée par l'opérateur sur l'extrémité libre de la portion verticale du fil idéal [1]
     remarquant que les travaux élémentaires ou non sont égaux à justifier, on peut calculer le travail de cette dernière force par l'intermédiaire de celui de la 1ère force ;

     remarquant déterminer le travail de la force de tension du fil s'exerçant sur le point entre la position initiale et celle correspondant à une longueur de portion horizontale du fil
     remarquant déterminer le travail de la force de tension du fil par application du théorème de l'énergie cinétique au point entre ces états extrêmes [20] et

     remarquant vérifier, compte-tenu de l'identification de ce travail avec celui de la force de traction exercée par l'opérateur sur l'extrémité libre de la portion verticale du fil idéal [1],
     remarquant vérifier que l'on obtient le même résultat qu'avec la 1ère méthode.

Glissement sans (puis avec) frottements solides d'un point matériel lancé à partir du « sommet » d'une boule modifier

Dans tout l'exercice nous nous plaçons dans le cadre de la dynamique newtonienne.

     Un point matériel , de masse , soumis au champ de pesanteur terrestre supposé uniforme, glisse sur la surface d'une boule de rayon et de centre  ;

     nous considérons d'abord l'absence de frottement solide entre le point et la boule puis,

     nous considérons dans un 2nd temps l'existence d'un frottement solide de cœfficients de frottements dynamique et statique communs [25] ;

     le point est lancé avec une vitesse initiale horizontale d'une position située au « sommet » de la boule [26] et

     le point est repéré relativement au repère cartésien associé au référentiel d'étude supposé galiléen dans lequel la boule est fixe,
        le point est repéré relativement au repère cartésien les axes étant respectivement « vertical descendant orienté par le vecteur unitaire »,
        le point est repéré relativement au repère cartésien les axes étant respectivement « horizontal, support du vecteur vitesse initiale et orienté par le vecteur unitaire
        le point est repéré relativement au repère cartésien les axes étant respectivement « horizontal, support du vecteur vitesse initiale et orienté par choisi dans le sens de » et
        le point est repéré relativement au repère cartésien les axes étant respectivement « horizontal, au plan vertical de lancement et orienté par le vecteur unitaire de sens tel que
        le point est repéré relativement au repère cartésien les axes étant respectivement « horizontal, au plan vertical de lancement et la base cartésienne est directe » [27] ;

     la direction de la normale à la boule au point est repérée par rapport à celle en la position par l'angle «».

Établissement de la nature plane du mouvement du point en absence de frottement solide et maintien de contact modifier

     Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est plan tant que son contact avec cette dernière est maintenu
     Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est planpour cela en repérant le point sur la boule par ses coordonnées cylindro-polaires d'« axe »
      Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est plan pour cela avec pour « méridien de référence », les coordonnées cylindro-polaires de [3]
     Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est plan pour cela avec pour « méridien de référence », ainsi que
      Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est plan pour cela avec pour « méridien de référence », la base cylindro-polaire directe [27] liée à [3]
     Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est plan pour cela avec pour « méridien de référence », ,

      Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est plan pour cela il est judicieux d'appliquer la r.f.d.n. [2] à restant en contact avec la boule,
      Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est plan pour cela pour établir que le demi-plan méridien contenant à l'instant est le méridien de référence à savoir
      Montrer que le mouvement du point en liaison unilatérale sur la boule est plan pour cela pour établir «» et par suite

     montrer que la trajectoire de , tant que son contact avec la boule est maintenu, est circulaire de centre et de rayon .

Établissement de l'existence d'une position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottement solide et détermination de l'angle θ1 repérant cette position en fonction de la vitesse initiale de lancement du point modifier

     Déterminer, tant que reste en contact avec la boule, par application successive, au point , de la r.f.d.n. [2] puis
     Déterminer, tant que reste en contact avec la boule, par application successive, au point , du théorème de l'énergie cinétique entre la position initiale et celle à l'instant [20],
     Déterminer, l'expression de la réaction de la boule sur le point  ;

     en déduire alors l'existence d'une position de rupture de contact du point avec la boule ainsi que

     en déduire alors la valeur de l'angle repérant cette position en fonction de .

     Pour quelles valeurs de le contact du point avec la boule disparaît-il dès la position initiale [35] ?

Étude du mouvement ultérieur du point après sa rupture de contact avec la boule en absence de frottement solide entre les deux modifier

     Nous plaçant dans les conditions de vitesse initiale où le contact du point avec la boule est rompu pour , nous pouvons affirmer que
     Nous plaçant dans les conditions de vitesse initiale le point décolle de la boule en la position avec un vecteur vitesse  ;

     Nous plaçant dans les conditions de vitesse initiale préciser la nature du mouvement ultérieur du point
     Nous plaçant dans les conditions de vitesse initiale préciser il est judicieux de changer d'origine des temps en prenant pour celle-ci l'instant de décollage de de la boule [59], en particulier
     Nous plaçant dans les conditions de vitesse initiale expliciter la norme et l'angle d'inclinaison relativement à l'horizontale du vecteur vitesse ,
     Nous plaçant dans les conditions de vitesse initiale expliciter les coordonnées cartésiennes de ,
     Nous plaçant dans les conditions de vitesse initiale expliciter les lois horaires cartésiennes de vitesse et de position du mouvement ultérieur de et
     Nous plaçant dans les conditions de vitesse initiale expliciter l'équation permettant de calculer la portée de l'impact du point avec le sol horizontal sur lequel repose la boule on donnera cette équation sans chercher à la résoudre [60] mais on précisera quelle solution choisir dans la mesure où il y en aurait plusieurs.

Reprise de l'étude en présence de frottements solides du point avec la boule modifier

Établissement de la nature plane du mouvement du point en présence de frottements solides et maintien de contact modifier

     Reprendre l'étude avec présence d'un frottement solide de cœfficients de frottements dynamique et statique communs [25] quand le point est contact avec la boule
     Reprendre l'étude avec présence d'un frottement solide pour établir que cette présence de frottements solides ne modifie pas la nature plane du mouvement éventuel [71] de sur la boule et par suite
     Reprendre l'étude avec présence d'un frottement solide pour établir que cette présence de frottements solides ne modifie pas la nature circulaire de sa trajectoire éventuelle [71] pour un contact maintenu on utilisera le même repérage cylindro-polaire d'« axe » avec pour « méridien de référence » du point sur la boule [72] en effectuant une démonstration par récurrence .

Détermination de l'équation caractérisant l'angle θ2 repérant la position de rupture de contact (quand celle-ci existe) du point avec la boule en présence de frottements solides et comparaison avec l'angle θ1 repérant la position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottements solides pour une même vitesse initiale modifier

     Déterminer la composante normale de la réaction de la boule sur glissant, à l'instant , sur celle-ci en présence de frottements solides de cœfficients de frottements dynamique et statique communs , le vecteur unitaire normal à la boule en étant ici orienté dans le sens centripète [88] en fonction, entre autres de l'angle repérant sur la boule à l'instant et de sa vitesse angulaire au même instant puis

     en déduire, quand il y a mouvement, la composante tangentielle [89] de la réaction [73] de la boule sur le point à l'instant en utilisant la loi empirique de Coulomb [82] du frottement de glissement [74] le vecteur unitaire tangent à la boule en étant orienté dans le sens du mouvement [90] ainsi que

     en déduire, quand il y a mouvement, l'expression du travail de cette force de frottement solide sur la portion de trajectoire de entre sa position initiale et celle à l'instant à savoir
     en déduire, quand il y a mouvement, l'expression du « sous forme intégrale » que l'on ne cherchera pas à évaluer mais dont on donnera le signe ;

     en appliquant, au point glissant sur la boule avec frottements solides, le théorème de l'énergie cinétique entre l'instant initial et l'instant [20], déterminer l'expression du carré de la vitesse angulaire du point « en fonction, entre autres, de l'angle , de et de la vitesse initiale » puis,

     réécrire l'expression de la composante normale « de la réaction de la boule sur le point lors de son glissement sur la boule avec frottements solides
     réécrire l'expression de la composante normale « en fonction, entre autres, de l'angle , de et de la vitesse initiale » ;

     réécrire l'expression de la composante normale « en déduire, en admettant l'existence d'une position de rupture de contact du point avec la boule en présence de frottements solides [91]
     réécrire l'expression de la composante normale « en déduire, en admettant l'existence d'une position de rupture de contact dans la mesure où le point ne s'arrête pas en une position d'équilibre,
     réécrire l'expression de la composante normale « en déduire, que est d'abscisse angulaire plus grande que celle de correspondant à la position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottements solides pour une même vitesse initiale [92].

Étude du mouvement ultérieur du point dans l'hypothèse d'une rupture de contact avec la boule en présence de frottements solides entre les deux modifier

     À partir de l'« expression de la composante normale de la réaction de la boule sur le point » glissant, à l'instant , sur celle-ci en présence de frottements solides,
     À partir de l'« expression de la composante normale de la réaction en fonction, entre autres, de l'angle , de et de la vitesse initiale [99],
     vérifier que la condition de vitesse initiale pour que le contact du point avec la boule se limite à la position initiale est la même qu'en absence de frottement solide.

     Dans les conditions de vitesse initiale telles que le point ne s'arrête pas en une position d'équilibre sur la boule en présence de frottements solides et
     Dans les conditions de vitesse initiale telles que le contact de avec la boule en présence de frottements solides ne se limite pas à la position initiale ,
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact en repéré par l'angle dépendant, entre autres, de la vitesse initiale et
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact en repéré par l'angle dépendant, entre autres, du travail de la force de frottement ,
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact le point décolle donc de la boule en la position avec un vecteur vitesse  ;

     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact préciser la nature du mouvement ultérieur de changer l'origine des temps en choisissant l'instant de décollage [100], en particulier
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact expliciter les équations permettant de déterminer sans toutefois le faire
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact expliciter les équations permettant de déterminer les grandeurs suivantes à comparer à celles obtenues sans frottement solide :
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact expliciter les équations permettant de déterminer les coordonnées cartésiennes de ,
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact expliciter les équations permettant de déterminer la norme et l'angle d'inclinaison relativement à l'horizontale
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact expliciter les équations permettant de déterminer la norme et l'angle d'inclinaison du vecteur vitesse ,
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact expliciter les équations permettant de déterminer les lois horaires cartésiennes de vitesse et de position du mouvement ultérieur de et
     Dans les conditions de vitesse initiale il y a rupture de contact expliciter les équations permettant de déterminer l'équation permettant de calculer la portée de l'impact du point avec le sol horizontal sur lequel repose la boule on donnera cette équation sans chercher à la résoudre [101].

Solide ponctuel au bout d’un fil s’enroulant sur un cylindre fixe modifier

Dans tout l'exercice nous nous plaçons dans le cadre de la dynamique newtonienne.
Schéma descriptif d'un solide ponctuel attaché à un fil idéal [1] s'enroulant sur un cylindre fixe en restant dans un plan à l'axe du cylindre

     Sur un cylindre fixe d'axe horizontal et de rayon , s’enroule un fil idéal [1], à l'extrémité duquel est attaché un solide ponctuel de masse  ;

     un dispositif, non représenté sur le schéma ci-contre, assurant que le fil et le solide restent dans un plan à [117], nous notons l'intersection de ce plan avec et l'appelons centre du cylindre.

     À l’instant initial , le fil totalement déroulé de longueur est tendu et le solide possède, relativement au référentiel lié au cylindre, une vitesse au fil et à l’axe du cylindre.

Traitement dans le cas où l'effet de la pesanteur terrestre est négligée modifier

     Dans cette question, on néglige l’effet de la pesanteur terrestre, c.-à-d. qu’on suppose que le champ de pesanteur terrestre est identiquement nul ;

     on se propose d’étudier le mouvement du solide par rapport à et
     on se propose de déterminer la façon dont la tension du fil varie avec le temps.

Détermination des grandeurs cinématiques polaires du point de contact du fil sur le cylindre dans le référentiel d'étude modifier

     Pour repérer à l’instant , on utilise la base polaire de centre associée au point de contact du fil et du cylindre [3], la 2ème coordonnée polaire de étant telle qu'elle soit nulle à .

     Exprimer successivement, dans cette base polaire [3], les vecteurs position ,
         Exprimer successivement, dans cette base polaire , les vecteurs vitesse et
         Exprimer successivement, dans cette base polaire , les vecteurs accélération
         Exprimer successivement, dans cette base polaire , les vecteurs accélération en fonction de , , , et , ces trois dernières grandeurs étant respectivement l'abscisse, la vitesse et l'accélération angulaires du point de contact relativement à .

Détermination de la tension du fil s'exerçant sur le solide ponctuel à l'instant t et de l'équation différentielle du 2ème ordre en θ(t) du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre par application de la relation fondamentale de la dynamique newtonienne au solide ponctuel modifier

     Déterminer, par application de la r.f.d.n. [2] au solide ponctuel dans le référentiel d'étude supposé galiléen,

  • la tension du fil à l’instant , en fonction de , , , et , ainsi que
  • une équation différentielle non linéaire du 2ème ordre en que l’on ne cherchera pas à résoudre du mouvement, dans le référentiel d'étude , du point de contact du fil sur le cylindre.

Détermination d'une intégrale 1ère en θ(t) du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre par application du théorème de l'énergie cinétique au solide ponctuel M et conséquence sur la variation de la tension du fil s'exerçant sur M modifier

     La « tension du fil à l’instant » et le « mouvement de dans le référentiel » sont connus si le mouvement dedans ce même référentielplus exactement l’est,
     La « tension du fil à l’instant » et le « mouvement de dans le référentiel » sont connus si mais la résolution de l’équation différentielle non linéaire du 2ème ordre en
     La « tension du fil à l’instant » et le « mouvement de dans le référentiel » sont connus si mais la résolution n'étant pas immédiate pour cause de non linéarité,
     La « tension du fil à l’instant » et le « mouvement de dans le référentiel » sont connus si on cherche une autre méthode pour connaître .

     Déterminer une intégrale 1ère en du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre [123] par application du théorème de l’énergie cinétique à [20] dans le référentiel d'étude
             Déterminer une intégrale 1ère en du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre par application du théorème de l’énergie cinétique entre l'instant initial et l'instant puis,

     Déterminer une intégrale 1ère en résoudre en explicitant  ;

     Déterminer une intégrale 1ère en déduire, de cette dernière relation, et vérifier que peut se mettre sous la forme «» on exprimera les paramètres et en fonction de , et en leur donnant une signification physique.

     Déterminer une intégrale 1ère en Conclure en exprimant la longueur du fil non enroulé à l’instant en fonction de , et , ainsi que
     Déterminer une intégrale 1ère en Conclure en exprimant la tension du fil à l’instant en fonction de , , , et d’une part puis
     Déterminer une intégrale 1ère en Conclure en exprimant la tension du fil à l’instant en fonction de , , , et d’autre part ;

     Déterminer une intégrale 1ère en Conclure en exprimant comment varie avec le temps ?

     Déterminer une intégrale 1ère en Conclure en exprimant Commenter.

Traitement dans le cas où l'effet de la pesanteur terrestre n'est pas négligée modifier

     Dans cette question, on tient compte de l’effet de la pesanteur terrestre, c.-à-d. que l’on suppose que le champ de pesanteur terrestre est uniforme, , de direction , on pose donc «».

     On se propose d’étudier, dans la mesure de nos possibilités, les modifications des résultats précédents dues à l’introduction de la pesanteur.

Détermination des grandeurs cinématiques polaires du point de contact du fil sur le cylindre dans le référentiel d'étude en tenant compte du champ de pesanteur terrestre modifier

     Pour repérer à l’instant , on utilise toujours la base polaire associée au point de contact du fil et du cylindre [3], la 2ème coordonnée polaire de étant telle qu'elle soit nulle à .

     Y a-t-il une modification des vecteurs position ,
     Y a-t-il une modification des vecteurs vitesse et
     Y a-t-il une modification des vecteurs accélération
     Y a-t-il une modification dans cette base polaire si on tient compte de l'influence du champ de pesanteur terrestre [131] ?

Détermination de la tension du fil s'exerçant sur le solide ponctuel à l'instant t en tenant compte du champ de pesanteur terrestre et de l'équation différentielle correspondante du 2ème ordre en θ(t) du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre par application de la relation fondamentale de la dynamique newtonienne au solide ponctuel modifier

     Déterminer, par application de la r.f.d.n. [2] au solide ponctuel dans le référentiel d'étude supposé galiléen,
         Déterminer, par application de la r.f.d.n. au solide ponctuel en tenant compte du champ de pesanteur terrestre,

  • la tension du fil à l’instant , en fonction de , , , et , ainsi que
  • une équation différentielle non linéaire du 2ème ordre en que l’on ne cherchera pas à résoudre du mouvement, dans le référentiel d'étude , du point de contact du fil sur le cylindre.

Détermination, en tenant compte du champ de pesanteur terrestre, d'une intégrale 1ère en θ(t) du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre par application du théorème de l'énergie cinétique au solide ponctuel M et expression de la tension du fil s'exerçant sur M en fonction de θ(t) modifier

     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, la « tension du fil à l’instant » et
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, le « mouvement de dans le référentiel » sont connus si le mouvement dedans ce même référentielplus exactement l’est,
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, le « mouvement de dans le référentiel » sont connus si mais la résolution de l’équation différentielle non linéaire du 2ème ordre en
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, le « mouvement de dans le référentiel » sont connus si mais la résolution n'étant pas immédiate pour cause de non linéarité,
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, le « mouvement de dans le référentiel » sont connus si on cherche une autre méthode pour connaître .

     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déterminer une intégrale 1ère en du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre [123]
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déterminer une intégrale 1ère en par application du théorème de l’énergie cinétique à [20] dans le référentiel entre les instants et ,
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déterminer une intégrale 1ère en par application du théorème de l’énergie cinétique le fil étant supposé tendu dans le référentiel
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déterminer une intégrale 1ère en on mettra cette intégrale 1ère sous la forme «»
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déterminer une intégrale 1ère en on mettra cette intégrale 1ère sous la forme en explicitant en fonction de , et .

     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déduire, en utilisant l'intégrale 1ère ci-dessus, une nouvelle expression de la tension du fil supposé tendu à l'instant ,
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déduire, en utilisant l'intégrale 1ère ci-dessus, une nouvelle expression de la tension en fonction de , , , , et
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déduire, en utilisant l'intégrale 1ère ci-dessus, on mettra sous la forme «»
     En tenant compte du champ de pesanteur terrestre, Déduire, en utilisant l'intégrale 1ère ci-dessus, on mettra sous la forme en explicitant en fonction de , et [134].

Condition sur la vitesse initiale pour que le fil reste tendu tout au long du mouvement du solide ponctuel dans le champ de pesanteur terrestre modifier

     Ne pouvant résoudre algébriquement l'intégrale 1ère en [123] du mouvement du point de contact [138] en présence de champ de pesanteur terrestre
                  Ne pouvant résoudre algébriquement l'intégrale 1ère en du mouvement du point de contact comme cela a été possible en absence de champ de pesanteur terrestre,
     nous allons chercher qualitativement une condition sur pour que le fil reste tendu tout au long du mouvement du solide et pour cela

     nous allons représenter la courbe de la fonction dans le cas où l'intervalle de définition de étant puis

     nous allons montrer que, dans la mesure où le fil reste tendu, ne s’annule jamais si est à à déterminer en fonction de et dans le cas où avant de

     nous allons généraliser ce résultat dans le cas où est quelconque en explicitant en fonction de , et  ; ensuite

     nous allons représenter la courbe de la fonction toujours dans le cas où [139] l'intervalle de définition de est a priori dans la mesure où le fil reste tendu puis

     nous allons préciser une condition sur traduisant que le fil reste tendu on exprimera cette condition en notant [140] la valeur de correspondant au 1er minimum de .

     En raisonnant qualitativement sur les deux courbes représentées sur un même diagramme, montrer que :

  • si , certes ne s'annule jamais tant que le fil reste tendu, mais on peut définir une vitesse critique telle que
         si , le fil reste toujours tendu et
         si , le fil cesse d’être tendu pour on ne cherchera à exprimer algébriquement ni ni  ;
  • si , s'annule dans la mesure où le fil reste tendu pour [140], mais on peut définir une 2ème vitesse critique telle que
         si , le fil cesse d’être tendu pour et
         si , le fil reste toujours tendu ;
         exprimer cette 2ème vitesse critique en fonction de et dans le cas où puis
         exprimer cette 2ème vitesse critique en fonction de , et si est quelconque.

Notes et références modifier

  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 1,19 et 1,20 C.-à-d. inextensible et sans masse.
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 et 2,16 Relation Fondamentale de la Dynamique Newtonienne.
  3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 3,12 3,13 3,14 et 3,15 Voir le paragraphe « repérage cylindro-polaire d'axe fixé d'un point dans la composante d'espace du référentiel d'étude » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  4. Voir le paragraphe « composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude (autre forme de l'accélération orthoradiale) » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) », le paramètre du paragraphe précité étant à remplacer par .
  5. 5,0 5,1 5,2 5,3 et 5,4 Condition(s) Initiale(s).
  6. Voir la solution de la question « détermination d'une intégrale 1ère du mouvement de M sur le plan horizontal » plus haut dans cet exercice.
  7. Pour intégrer sans faire apparaître de façon explicite un changement de variable, commencer par séparer les variables selon , expression dans laquelle, reconnaissant une intégration du type dont une primitive est , on fait apparaître au numérateur la différentielle du terme entre parenthèses du dénominateur, soit d'où dont une primitive est .
  8. Voir la solution de la question « détermination de la loi horaire d'angle polaire suivie par le point de M sur le plan horizontal » plus haut dans cet exercice.
  9. Spirale hyperbolique d'équation polaire
    L'équation polaire de la spirale hyperbolique de base étant , on peut transformer l'équation trouvée pour reconnaître une spirale hyperbolique selon soit, après une rotation d'angle de l'axe polaire définissant une nouvelle abscisse angulaire la réécriture de l'équation polaire selon  ;
       cette spirale hyperbolique a le point origine comme point asymptote correspondant à ou  ;
       elle admet aussi une asymptote, pour l'établir on passe en repérage cartésien après le changement d'axe polaire selon et on constate que car ou encore mais
       elle admet aussi une asymptote, l'abscisse angulaire étant hors du domaine de variation physique de , cette asymptote n'est pas accessible dans l'exercice mathématiquement elle a pour équation cartésienne, après changement d'axe polaire, .
  10. 10,0 et 10,1 Les angles du plan horizontal étant orientés dans le sens trigonométrique direct, le vecteur unitaire définissant le sens de mesure des angles de ce plan doit être le vecteur unitaire vertical ascendant c.-à-d. .
  11. 11,0 11,1 11,2 et 11,3 En effet le fil étant inextensible la longueur totale s'écrit représente la cote de l'extrémité libre de la portion verticale du fil.
  12. Voir le paragraphe « composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) », le paramètre du paragraphe précité étant à remplacer par lequel, étant une fonction affine du temps, entraîne la nullité du 1er terme.
  13. Voir les paragraphes « fil idéal tendu, libre entre ses extrémités, notion de tension en un point du fil » et « fil idéal tendu, au contact parfait d'un support solide entre ses deux extrémités, notion de tension en un point du fil reposant sur le support solide » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  14. La conservation de la tension du fil idéal tendu quand ce dernier passe par un trou est un cas particulier de l'application du paragraphe « fil idéal tendu, au contact parfait d'un support solide entre ses deux extrémités, notion de tension en un point du fil reposant sur le support solide » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) », le support solide sur lequel le fil a un contact parfait étant ponctuel.
  15. Voir le paragraphe « énoncé du principe des actions réciproques » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  16. Voir le paragraphe « expression du travail élémentaire de la force dont le point d'application subit le vecteur déplacement élémentaire correspondant à la durée élémentaire de développement de sa puissance » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  17. Voir le paragraphe « définition du travail d'une force sur la portion de trajectoire définie entre deux positions extrêmes » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  18. Ici l'intégrale curviligne de définition du travail d'une force sur une portion de trajectoire suivie par le point d'application de la force vue dans la note « 17 » plus haut dans cet exercice est une simple intégrale sur un segment car la portion de trajectoire est rectiligne.
  19. En effet a pour primitive .
  20. 20,00 20,01 20,02 20,03 20,04 20,05 20,06 20,07 20,08 20,09 20,10 20,11 20,12 et 20,13 Voir le paragraphe « théorème de l'énergie cinétique sur un intervalle de durée finie » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  21. 21,0 21,1 et 21,2 Voir la solution de la question « 1ère méthode par calcul direct » plus haut dans cet exercice.
  22. 22,0 et 22,1 La vitesse radiale étant .
  23. En effet l'intégrale 1ère du mouvement de trouvée dans la solution de la question « détermination d'une intégrale 1ère du mouvement de M sur le plan horizontal » plus haut dans l'exercice est « » «».
  24. En effet le poids de et la réaction du plan sur se déplaçant perpendiculairement à leur support, leur travail respectif est nul.
  25. 25,0 et 25,1 Voir le paragraphe « approximation usuelle sur les cœfficients de frottements statique et dynamique » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  26. C.-à-d. la position de plus haute altitude.
  27. 27,0 et 27,1 Voir le paragraphe « base directe d'un espace orienté à droite » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI », la notion d'espace orienté à droite orientation sous-entendue quand ce n'est pas précisé est exposée dans l'introduction du paragraphe « produit vectoriel de deux vecteurs » du même chapitre de la même leçon.
  28. En bleu sur le schéma.
  29. En rouge sur le schéma.
  30. C.-à-d. si ce qui est le cas dès pour lequel la vitesse à cet instant est égale à celle à l'instant car la vitesse reste continue en absence de collision d'où .
  31. Voir le paragraphe « composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude (autre forme de l'accélération orthoradiale) » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) », le paramètre du paragraphe précité étant à remplacer par .
  32. En effet on rappelle qu'en absence de collision il y a continuité du vecteur vitesse d'où avec , voir le paragraphe « application en absence de forces de collision et conséquence » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  33. C.-à-d. pour .
  34. Ceci étant vrai même en présence de force de collision ce qui n'est pas le cas ici, en effet une discontinuité nécessiterait une vitesse infinie, voir les paragraphes « application en absence de forces de collision et conséquence » et « application en présence d'une force de collision et conséquence » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  35. C.-à-d. qu'il n'y a alors plus de réaction en la position .
  36. 36,0 36,1 36,2 36,3 et 36,4 Jean Frédéric Frenet (1816 - 1900) est un mathématicien, astronome et météorologue français à qui on doit six des neuf formules de géométrie différentielle associées au trièdre ou base de Serret-Frenet Joseph-Alfred Serret (1819 - 1885) mathématicien et astronome français ayant trouvé indépendamment ces formules.
  37. 37,0 37,1 37,2 et 37,3 Voir les paragraphes « notion d'abscisse curviligne d'un point d'une courbe continue », « notion de 1er vecteur de la base locale de Frenet liée au point d'une courbe continue » et « 2ème et 3ème vecteurs de la base locale de Frenet liée au point d'une courbe plane continue » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  38. 38,0 38,1 38,2 38,3 38,4 et 38,5 À l'origine l'angle est non orienté, sur le schéma il a été représenté orienté mais le sens des angles du demi plan méridien correspondant au vecteur unitaire , est .
  39. 39,0 et 39,1 Voir le paragraphe « préliminaire » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  40. 40,0 et 40,1 Voir le paragraphe « composantes locales de Frenet du vecteur accélération du point repéré sur sa trajectoire dans le référentiel d'étude, accélérations tangentielle et normale du point » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  41. 41,0 41,1 et 41,2 C.-à-d. la composante de Frenet du vecteur vitesse qui est encore la norme du vecteur vitesse dans la mesure où on oriente la trajectoire dans le sens du mouvement ce qui est le cas ici.
  42. En repérage polaire la projection de la r.f.d.n. aurait conduit, avec , à «» dans laquelle est l'accélération radiale du point égale à , le mouvement étant circulaire voir le paragraphe « composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » d'où finalement « » en accord avec le résultat trouvé en repérage de Frenet car «».
  43. 43,0 43,1 et 43,2 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  44. Le vecteur unitaire de Frenet étant dans le sens du mouvement de sur le cercle, la vitesse instantanée initiale est égale à la norme du vecteur vitesse initiale .
  45. Le déplacement de étant toujours à la réaction , le travail effectué par cette dernière est nulle .
  46. Voir le paragraphe « méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  47. En termes de vitesse angulaire on aurait obtenu «».
  48. Le report de voir la note « 47 » plus haut dans l'exercice dans l'expression de obtenue en utilisant le repérage polaire voir la note « 42 » plus haut dans l'exercice donne «» avec en accord avec le résultat trouvé en repérage de Frenet car .
  49. 49,0 49,1 49,2 49,3 49,4 49,5 49,6 et 49,7 En physique on note usuellement une fonction d'une variable et la valeur de cette fonction par une même lettre par exemple la fonction « réaction en fonction du temps » dont la valeur est est notée d'où la notation simplifiée alors qu'en mathématique la fonction « réaction en fonction du temps » dont la valeur est serait notée, par exemple, d'où la notation simplifiée  ;
       en physique, lors d'un changement de variable, la fonction de la variable d'origine et celle de la nouvelle variable diffèrent évidemment même si elles fournissent la même valeur mais,
       en physique, lors d'un changement de variable, par abus, elles sont toutes trois notées par une même lettre par exemple
       en physique, la fonction « réaction en fonction du temps » dont la valeur est et la fonction « réaction en fonction de l'abscisse angulaire » de même valeur sont respectivement notées d'où la notation simplifiée alors qu'en mathématique la fonction « réaction en fonction du temps » dont la valeur est serait notée, par exemple, et la fonction « réaction en fonction de l'abscisse angulaire » de même valeur serait notée, par exemple, d'où la notation simplifiée .
  50. Condition Nécessaire.
  51. Condition Suffisante.
  52. Bernhard Placidus Johann Nepomuk Bolzano (1781 - 1848) ou plus simplement Bernard Bolzano est un mathématicien, logicien, philosophe et théologien allemand né, ayant vécu et mort en ce qui est maintenant la Tchéquie, à qui on doit en mathématiques deux théorèmes dont celui des valeurs intermédiaires avec son cas particulier portant son nom et un autre connu sous le nom de théorème de Balzano-Weierstrass en topologie des espaces métriques dont une démonstration plus rigoureuse fut établie par Karl Theodor Wilhelm Weierstrass (1815 - 1897) mathématicien allemand considéré comme le père de l'analyse moderne, ses travaux les plus connus portent sur les fonctions elliptiques on lui doit aussi la création d'une fonction connue de nos jours sous le nom de fonction de Weierstrass continue partout et dérivable nulle part.
  53. Le théorème de Bolzano est un cas particulier du théorème des valeurs intermédiaires, ce dernier pouvant être énoncé selon « pour toute application continue et tout réel compris entre et , il existe au moins un réel compris entre et tel que » ;
       son cas particulier connu sous le nom de théorème de Bolzano s'énonce selon « pour toute application continue telle que le produit est , il existe au moins un réel compris entre et tel que » ;
       dans les deux théorèmes si l'application continue est strictement monotone, elle est donc injective et il y a unicité de la valeur de .
  54. La fonction définie sur étant continue et strictement est donc injective ce qui permet d'affirmer l'unicité de la position de rupture voir la note « 53 » plus haut dans l'exercice.
  55. Voir le paragraphe « fonction inverse de la fonction cosinus : fonction arccosinus » du chap. de la leçon.
  56. La fonction étant une fonction de son argument, le maximum de est obtenu avec le minimum de à savoir  ;
       on retrouve la condition de vitesse initiale pour que le contact existe en d'autres positions que celle initiale par le fait que l'argument de la fonction dans la définition de doit être à soit ou et finalement .
  57. C'est la proposition contraposée de « le contact de avec la boule existe en d'autre positions que si ».
  58. Pour l'hypothèse d'un contact en conduirait à c.-à-d. à une absence de contact ;
       pour l'hypothèse d'un contact en conduirait à c.-à-d. une absurdité car d'où une absence de contact.
  59. On ne cherchera pas à expliciter l'expression de en fonction des données.
  60. Bien que cela ne poserait aucune difficulté
  61. 61,0 et 61,1 Voir la solution de la question « établissement de l'existence d'une position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottement solide et détermination de l'angle θ1 repérant cette position en fonction de la vitesse initiale de lancement du point » plus haut dans cet exercice.
  62. 62,0 et 62,1 Si l'angle ou est orienté, il est dans la mesure où les angles orientés du demi plan méridien le sont par le vecteur unitaire .
  63. 63,0 et 63,1 Au sens où la seule force s'appliquant à est son poids.
  64. L'expression de l'instant n'est pas déterminable algébriquement, seule celle de l'est par , pour en déduire il faudrait connaître la loi horaire angulaire de quand ce dernier est en contact avec la boule c.-à-d. laquelle est, entre autres, solution de voir la note « 47 » plus haut dans l'exercice ;
       la loi horaire angulaire de quand ce dernier est en contact avec la boule est aussi solution de pour cela dériver par rapport à et simplifier par non identiquement nulle ou, autre façon, projeter la r.f.d.n. sur avec , le mouvement de étant circulaire de centre et de rayon .
  65. 65,0 et 65,1 Voir le paragraphe « lois horaires de vitesse du C.D.I. du système fermé (indéformable) de points matériels » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) », le sens du vecteur unitaire vertical y étant ascendant alors qu'ici il est descendant et la vitesse de lancement inclinée vers le haut alors qu'ici c.-à-d. elle l'est vers le bas.
  66. 66,0 et 66,1 Voir le paragraphe « lois horaires de position du C.D.I. du système fermé (indéformable) de points matériels » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) », le sens du vecteur unitaire vertical y étant ascendant alors qu'ici il est descendant, la vitesse de lancement inclinée vers le haut alors qu'ici c.-à-d. elle l'est vers le bas, l'origine du repère y étant choisi au point de lancement alors qu'ici ce n'est pas le cas.
  67. Non indiquée sur le schéma.
  68. Cette abscisse définit effectivement la portée puisque celle-ci est la distance horizontale séparant de la verticale passant par .
  69. On rappelle que l'on conserve la solution positive.
  70. Le contact n'existe pas à l'instant car la réaction y est nulle, mais si la réaction existe en y étant infiniment petite d'où l'étude pour cette valeur.
  71. 71,0 et 71,1 En effet les frottements solides autorisant la présence de positions d'équilibre en d'autres endroits qu'en si la composante tangentielle de la réaction est liée à sa composante normale par la loi de frottement de Coulomb sans glissement voir le paragraphe « rappel : loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d'un solide sur un autre solide dans le cas d'équilibre » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) », il est donc possible que le lancement de à partir de ne démarre pas dans ce cas la vitesse initiale reste nulle ou s'arrête très rapidement si sa vitesse initiale est trop faible dans ce cas les frottements l'arrêtent en une position de pente faible où la loi de frottement de Coulomb sans glissement est vérifiée ;
       alors que le point , lâché de sans vitesse initiale et en absence de frottements solides, est en équilibre, ce dernier est instable et il suffit de perturbations extérieures même très faibles pour la mise en mouvement de sans vitesse initiale mais, il n'en est pas de même
       alors que le point , lâché de sans vitesse initiale et en présence de frottements solides, même s'il s'agit toujours d'une position d'équilibre, ce dernier nécessitera une force motrice appliquée en suffisamment importante pour qu'il soit rompu, or nous n'envisageons pas d'application de force motrice sur le point ce qui veut dire que le point , lâché de sans vitesse initiale et en présence de frottements solides, restera toujours en .
  72. Voir la question « établissement de la nature plane du mouvement du point en absence de frottement solide et maintien de contact » plus haut dans cet exercice.
  73. 73,0 73,1 73,2 73,3 et 73,4 Ou force de frottement solide.
  74. 74,0 74,1 74,2 74,3 et 74,4 Loi de frottement de Coulomb avec glissement voir le paragraphe « rappel : loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d'un solide sur un autre solide dans le cas effectif de glissement » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » dans le cas où les cœfficients de frottements dynamique et statique sont communs voir le paragraphe « approximation usuelle sur les cœfficients de frottements statique et dynamique » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  75. 75,0 et 75,1 Combinaison Linéaire.
  76. 76,0 76,1 et 76,2 Cela n'exclut pas que le vecteur vitesse soit nul puisque appartient à tout plan passant par .
  77. 77,0 77,1 et 77,2 Quand le demi plan méridien repéré par est le demi plan méridien de référence, et ainsi que .
  78. 78,0 78,1 et 78,2 C.-à-d. que le vecteur vitesse est nul ou de sens s'éloignant de l'axe .
  79. En effet et car unitaire et directement à dans le demi plan méridien de référence
  80. 80,0 et 80,1 L'accélération tangentielle initialement en effet initialement étant en contact avec la boule avec d'où et par suite une initiale de ,
                        L'accélération tangentielle pouvant être encore d'où poursuite de la de pouvant conduire à un vecteur vitesse nul et à un arrêt du mouvement, ou
                        L'accélération tangentielle pouvant être devenue nulle correspondant à une stationnarité de ou même
                        L'accélération tangentielle pouvant être à condition qu'elle soit devenue nulle auparavant cas hypothétique correspondant alors à une de .
  81. Avec mais de norme très petite.
  82. 82,0 82,1 et 82,2 Charles-Augustin Coulomb (1736 - 1806) officier, ingénieur et physicien français à qui on doit la formulation précise des lois de frottement « solide » connues sous le nom de « lois de Coulomb » ainsi que l'invention du pendule de torsion qui lui permet de formuler la loi d'attraction des corps électrisés.
  83. 83,0 et 83,1 Loi de frottement de Coulomb sans glissement voir le paragraphe « rappel : loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d'un solide sur un autre solide dans le cas d'équilibre » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » dans le cas où les cœfficients de frottements dynamique et statique sont communs voir le paragraphe « approximation usuelle sur les cœfficients de frottements statique et dynamique » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  84. La condition d'arrêt à l'instant correspond donc à un angle à l'angle limite commun de frottements solides dynamique et statique .
  85. Puisqu'il y a glissement, voir la note « 74 » plus haut dans cet exercice.
  86. étant l'accélération normale du point dans l'hypothèse où il décrit un cercle de rayon , c'est aussi l'opposé de l'accélération radiale .
  87. Ce qui est a priori possible mais non certain dans la mesure où chaque membre de l'inégalité , le membre de gauche étant à et le membre de droite étant à .
  88. De façon à ce que son sens soit identique à celui du vecteur unitaire normal de Frenet même si ce n'est pas le sens usuel du vecteur unitaire normal dans le cas d'une liaison unilatérale, le sens usuel étant le sens contraire de celui de la pénétration possible de dans la boule alors qu'ici c'est le sens de la pénétration possible de dans la boule.
  89. Avec un signe «» pour tenir compte du sens de en considérant pour un glissement dans le sens des .
  90. C.-à-d. le sens des .
  91. En effet pour démontrer l'existence il faudrait calculer le travail de la force de frottement solide mais celui-ci nécessite de connaître le mouvement ce qui ne peut se faire que numériquement à l'aide d'un logiciel de calcul
  92. Voir la question « établissement de l'existence d'une position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottement solide et détermination de l'angle θ1 repérant cette position en fonction de la vitesse initiale de lancement du point » plus haut dans cet exercice.
  93. En effet  ;
       on pouvait aussi obtenir directement le résultat cherché en travaillant en repérage polaire la projection de la r.f.d.n. conduisant, avec , à dans laquelle est l'accélération radiale du point égale à , le mouvement étant circulaire voir le paragraphe « composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » d'où finalement en accord avec le résultat trouvé par repérage de Frenet.
  94. Cette condition assurant que le mouvement du point est toujours dans le sens initial du mouvement.
  95. Voir le paragraphe « notion de 1er vecteur de la base locale de Frenet liée au point d'une courbe continue » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  96. On rappelle que dans le cas d'un mouvement circulaire de rayon .
  97. Voir calcul déjà effectué dans la solution de la question « établissement de l'existence d'une position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottement solide et détermination de l'angle θ1 repérant cette position en fonction de la vitesse initiale de lancement du point » plus haut dans cet exercice.
  98. En effet il faudrait que la perturbation extérieure soit dans le sens de d'une part et d'autre part qu'elle soit de norme à laquelle est d'après loi de frottement de Coulomb avec glissement voir la note « 74 » plus haut dans l'exercice avec, en absence de mouvement sur l'axe , d'où une C.N. pour qu'il y ait glissement initial étant que « la perturbation extérieure dans le sens de soit de norme à » est fortement improbable, il est plutôt réaliste de supposer qu'« elle soit à » car égale à laquelle est à d'après loi de frottement de Coulomb sans glissement voir la note « 83 » plus haut dans l'exercice voir aussi la note « 80 » plus haut dans cet exercice.
  99. Voir la question « détermination de l'équation caractérisant l'angle θ2 repérant la position de rupture de contact (quand celle-ci existe) du point avec la boule en présence de frottements solides et comparaison avec θ1 repérant la position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottements solides pour une même vitesse initiale » plus haut dans cet exercice.
  100. Même si ce dernier, que l'on notera , n'est pas connu sous forme algébrique et nécessiterait une résolution numérique.
  101. En effet la vitesse de décollage en la position ainsi que l'abscisse angulaire de cette position nécessite de résoudre numériquement, à l'aide d'un calculateur numérique, l'équation différentielle du 2ème ordre en du point en contact avec la boule en présence de frottements solides équation différentielle correspondant à la projection de la r.f.d.n. sur et ce n'est qu'après cette résolution que les paramètres manquant à la détermination numérique de la portée à savoir , et seront connus
  102. 102,0 et 102,1 Voir la solution de la question « détermination de l'équation caractérisant l'angle θ2 repérant la position de rupture de contact (quand celle-ci existe) du point avec la boule en présence de frottements solides et comparaison avec θ1 repérant la position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottements solides pour une même vitesse initiale » plus haut dans cet exercice.
  103. En effet il a été établi, dans la solution de la question « détermination de l'équation caractérisant l'angle θ2 repérant la position de rupture de contact (quand celle-ci existe) du point avec la boule en présence de frottements solides et comparaison avec θ1 repérant la position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottements solides pour une même vitesse initiale » plus haut dans cet exercice, «».
  104. Vitesse de décollage du point de la boule en absence de frottement solide, en effet l'expression de «» ne dépend pas de l'existence ou non de frottements solides car découlant de la projection de la r.f.d.n. sur , les éventuelles forces de frottement solide s'exerçant tangentiellement ;
       cette expression de est en accord avec celle trouvée dans la solution de la question « étude du mouvement ultérieur du point après rupture de contact avec la boule en absence de frottement solide entre les deux » plus haut dans cet exercice à savoir car on a établi dans la solution de la question « établissement de l'existence d'une position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottement solide et détermination de l'angle θ1 repérant cette position en fonction de la vitesse initiale de lancement du point » plus haut dans l'exercice d'où C.Q.F.V. Ce Qu'il Fallait Vérifier.
  105. L'expression de l'instant ne peut être déterminée algébriquement, de même que celle de car « nécessiterait la connaissance de » et pour cela il faudrait connaître la loi horaire angulaire de quand ce dernier est en contact avec la boule avec frottement solide c.-à-d. « solution de » équation différentielle non linéaire du 2ème ordre obtenue « en dérivant par rapport à et en simplifiant par non identiquement nulle » ou « en projetant la r.f.d.n. sur » soit « avec et le mouvement de étant circulaire de centre et de rayon », voir la solution de la question « détermination de l'équation caractérisant l'angle θ2 repérant la position de rupture de contact (quand celle-ci existe) du point avec la boule en présence de frottements solides et comparaison avec l'angle θ1 repérant la position de rupture de contact du point avec la boule en absence de frottements solides pour une même vitesse initiale » plus haut dans l'exercice.
  106. Cette abscisse définit effectivement la portée puisque celle-ci est la distance horizontale séparant de la verticale passant par .
  107. Nous choisirons dans le but d'avoir un effet notable des frottements solides sur la position de rupture de contact lorsque celle-ci existe.
  108. Choix d'une vitesse initiale de petite valeur non nulle une vitesse initiale nulle certifiant que la position initiale est un équilibre la valeur choisie correspondant au centième de la vitesse critique à partir de laquelle décolle de .
  109. Pour une vitesse initiale , le point acquiert une vitesse minimale quand son abscisse angulaire vaut .
  110. Voir le début de la solution de la question en cours.
  111. 111,0 et 111,1 Vitesse initiale minimale pour que le point ne s'arrête pas en une position d'équilibre sur la boule.
  112. 112,0 et 112,1 On aurait pu utiliser la méthode décrite dans la solution de la question « étude du mouvement ultérieur du point après rupture de contact avec la boule en absence de frottement solide entre les deux » plus haut dans cet exercice.
  113. 113,0 et 113,1 On vérifie effectivement que est à .
  114. 114,0 et 114,1 On constate que est à .
  115. Cette valeur de est choisie parce qu'elle correspond à l'étude déjà faite en absence de frottement solide dans la solution de la question « étude du mouvement ultérieur du point après rupture de contact avec la boule en absence de frottement solide entre les deux » plus haut dans cet exercice.
  116. 116,0 et 116,1 Voir la solution de la question « étude du mouvement ultérieur du point après rupture de contact avec la boule en absence de frottement solide entre les deux » plus haut dans cet exercice.
  117. Donc dans un plan vertical.
  118. Voir le paragraphe « lien entre abscisses curviligne et angulaire du point M sur sa trajectoire (circulaire) » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  119. 119,0 et 119,1 Voir le paragraphe « dérivée des vecteurs de base polaires relativement à l'abscisse angulaire de Mxy repéré dans le référentiel d'étude » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  120. 120,0 et 120,1 On constate que le vecteur vitesse du point à l'instant à savoir reste à la partie de fil non enroulé.
  121. 121,0 et 121,1 Condition nécessaire pour que cette force existe.
  122. Et si le fil est détendu on a  ; tout calcul de qui conduirait à une valeur aurait pour conséquence de contredire l'hypothèse « fil tendu », le fil devant nécessairement être détendu dans ce cas serait isolé.
  123. 123,0 123,1 et 123,2 C.-à-d. une équation différentielle du 1er ordre en .
  124. 124,0 124,1 et 124,2 Voir les paragraphes « les deux types d'+ sur une portion de courbe continue » et « méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  125. étant on en déduit que la rotation du point se fait toujours dans le même sens car le changement de sens nécessiterait que puisse s'annuler compte-tenu de son caractère continu, ce qui n'est pas possible, le produit de deux facteurs dont l'un serait nul devant être nul ;
       on en déduit donc dans la mesure où la longueur de fil enroulé est toujours à la longueur totale de fil .
  126. Voir le paragraphe « exemple d'une équation différentielle non linéaire du 1er ordre » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  127. C.-à-d. .
  128. Voir la solution de la question « détermination de la tension du fil s'exerçant sur le solide ponctuel à l'instant t et de l'équation différentielle du 2ème ordre en θ(t) du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre par application de la relation fondamentale de la dynamique newtonienne au solide ponctuel » plus haut dans cet exercice.
  129. En effet
  130. On pouvait obtenir directement cette expression sans partir de la 1ère expression de demandée ; en effet, utilisant l'intégrale 1ère du mouvement pour expliciter , on obtient soit finalement .
  131. Si oui on précisera laquelle.
  132. 132,0 132,1 et 132,2 Voir la solution de la question « détermination des grandeurs cinématiques polaires du point de contact du fil sur le cylindre dans le référentiel d'étude (en négligeant le champ de pesanteur terrestre) » plus haut dans cet exercice.
  133. Et si le fil est détendu on a  ; tout calcul de qui conduirait à une valeur aurait pour conséquence de contredire l'hypothèse « fil tendu », le fil devant nécessairement être détendu dans ce cas serait en chute libre car soumis uniquement à son poids.
  134. Vérifier que est de même forme que à un facteur multiplicatif près pour l'un des termes.
  135. Voir la solution de la question « détermination d'une intégrale 1ère en θ(t) du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre par application du théorème de l'énergie cinétique au solide ponctuel M et conséquence sur la variation de la tension du fil s'exerçant sur M » plus haut dans cet exercice.
  136. Voir la solution de la question « détermination des grandeurs cinématiques polaires du point de contact du fil sur le cylindre dans le référentiel d'étude en tenant compte du champ de pesanteur terrestre » plus haut dans cet exercice.
  137. 137,0 137,1 137,2 137,3 137,4 137,5 137,6 137,7 et 137,8 Voir la solution de la question « détermination de la tension du fil s'exerçant sur le solide ponctuel à l'instant t en tenant compte du champ de pesanteur terrestre et de l'équation différentielle du 2ème ordre en θ(t) du mouvement du point de contact du fil sur le cylindre par application de la relation fondamentale de la dynamique newtonienne au solide ponctuel » plus haut dans cet exercice.
  138. Point de contact du fil sur le cylindre.
  139. La représentation du graphe de étant plus délicate que celle du graphe de , on utilisera une calculatrice graphique ou un calculateur numérique pour l'obtenir.
  140. 140,0 et 140,1 Que l'on ne cherchera pas à déterminer algébriquement.
  141. En fait étant quelconque, l'angle repérant le point est nécessairement à ,
       En fait étant quelconque, pour que le 1er minimum soit atteint il faut que soit à ,
       En fait étant quelconque, pour que le 2ème maximum soit atteint il faut que soit à ,
       En fait étant quelconque, pour que le 2ème minimum soit atteint il faut que soit à
  142. La vitesse critique étant d'autant plus grande que l'est,
       pour , .
  143. En effet le calcul de la dérivée de donnant ne permet pas d'obtenir simplement son signe et donc le tableau de variation de
  144. 144,0 et 144,1 « étant le 1er zéro de » et
                           « son 2ème zéro ».
  145. 145,0 et 145,1 C.-à-d. si ne s'annule pas avant que cette position ne soit atteinte.
  146. Pour «», ne s'annule pas et l'étude du signe de a un sens pour tout et si, en plus,
       Pour « est à » il existe une position à partir de laquelle le fil est détendu.
  147. 147,0 147,1 et 147,2 « étant le 1er zéro de », « son 2ème zéro », « son 3ème zéro », etc le nombre dépendant de la valeur de .
  148. En fait étant quelconque, l'angle repérant le point est nécessairement à ,
       En fait étant quelconque, pour que le 1er minimum correspondant à soit atteint il faut que soit à ,
       En fait étant quelconque, pour que le 2ème maximum correspondant à soit atteint il faut que soit à ,
       En fait étant quelconque, pour que le 2ème minimum correspondant à soit atteint il faut que soit à
  149. 149,0 et 149,1 Ou jusqu'à ce que la tension maximale admissible par le fil soit atteinte et que ce dernier ait cassé.
  150. La vitesse critique étant à .
  151. En effet .
  152. La vitesse critique étant à .
  153. est telle que en unités .