En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Mécanique 1 (PCSI) : Mouvement de particules chargées dans des champs électrique et magnétique : Cas particulier d'un champ magnétostatique uniforme Mécanique 1 (PCSI)/Mouvement de particules chargées dans des champs électrique et magnétique : Cas particulier d'un champ magnétostatique uniforme », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Les notions de ce chapitre sont a priori introduites dans le cadre de la dynamique newtonienne ou Les notions de ce chapitre sont exceptionnellement si préciséde la dynamique relativiste, l'espace physique est orienté à droite[1] et les bases orthonormées introduites sont toutes directes[2].
Mouvement d’une particule chargée dans un champ magnétostatique uniforme, particule entrant perpendiculairement au champ, mise en équation par application de la r.f.d.n. en repérage de Frenet : mouvement plan, uniforme, circulaire, rayon de la trajectoire et période de rotation
Étude faite dans le cadre de la dynamique newtonienne.
Exposé du problème : mouvement d’une particule chargée entrant dans un espace champ magnétostatique uniforme avec une « vitesse initiale perpendiculaire à ce champ »
Une particule chargée , de masse , entre dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ «» en la position choisie comme origine du repérage intrinsèque avec un vecteur vitesse initiale « à »[3] ;
nous nous proposons de déterminer le mouvement ultérieur de la particule dans le référentiel lié à l’espace champ magnétique supposé galiléen quand elle n’est soumise qu’à la seule force magnétique de Lorentz[4] «»[5], étant le vecteur vitesse de la particule à l'instant dans le référentiel en effet, même dans le cas où l'expérience se passe sur Terre, l'influence du poids de la particule peut toujours être négligée devant celle de la force magnétique de Lorentz[6]y compris quand cette dernière est nulle, donc sans action sur le mouvement de la particule[7], son poids n'ayant dans la pratique aucune influence car de norme excessivement petite ;
nous choisissons une base cartésienne orthonormée directe [2] associée au référentiel orienté à droite[1] telle que
est colinéaire et de même sens que avec ,
est colinéaire et de même sens que avec et
.
Mise en équation par application de la r.f.d.n. en repérage intrinsèque dans le référentiel d’étude galiléen
L’application de la r.f.d.n[8]. dans le référentiel galiléen à la particule chargée soumise à la seule force magnétique de Lorentz[4] «»[5], étant le vecteur vitesse de la particule à l'instant dans le référentiel , soit «», conduit, sachant que le vecteur accélération de la particule à l'instant , , est la dérivée temporelle de son vecteur vitesse au même instant , à l’équation différentielle vectorielle du 1er ordre en
«».
Conséquence de « la vitesse initiale perpendiculaire au champ magnétostatique » : nature plane du mouvement
Sachant que tout produit vectoriel non nul de deux vecteurs est à chacun de ses vecteurs[9], nous en déduisons que est à donc à vecteur unitaire colinéaire à et projetant l'équation différentielle sur nous obtenons «» et la C.I[10]. imposant «» soit «» et projetant l'équation différentielle ( a ) sur uz nous obtenons «» et la C.I[10]. en imposant «» soit «».
En conclusion, le mouvement de la particule pénétrant dans l'espace champ magnétostatique uniforme avec un vecteur vitesse à est, dans le cas où la seule force s'exerçant sur est la force magnétique de Lorentz[4], plan, le plan du mouvement étant à passant par la position initiale de la particule.
Conséquence de « la force magnétique de Lorentz, seule force exercée » (ou de la projection de la r.f.d.n. sur le vecteur unitaire tangentiel de Frenet) : nature uniforme du mouvement
La force magnétique de Lorentz[4] ne développant aucune puissance[11] en étant la seule force appliquée à la particule, l’énergie cinétique de cette dernière reste constante par application du théorème de la puissance cinétique[12] et par suite la norme de sa vitesse aussi soit «», la constante se déterminant par C.I[10]. «» d’où «» c'est-à-dire un mouvement uniforme de la particule ;
nous pouvions aussi projeter l'équation différentielle «» sur , le vecteur unitaire tangentiel de la base locale de Frenet[13],[14], en utilisant nous pouvions aussi d'une part que étant à [9] donc à sa projection sur est nulle et nous pouvions aussi d'autre part que étant sa projection sur définit l'accélération tangentielle de la particule [15] avec la vitesse instantanée de la particule [16],
ce qui donnait «» et la C.I[10]. dans la mesure où est choisi dans le sens de soit «» ou encore «» en notant la vitesse instantanée[16] initiale de la particule égale à dans la mesure où est choisi dans le sens de c'est-à-dire un mouvement uniforme de la particule.
Conséquence de la nature plane et uniforme du mouvement avec projection de la r.f.d.n. sur le vecteur unitaire normal principal de Frenet : nature circulaire du mouvement
Description du mouvement d'une particule de charge entrant en dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ avec un vecteur vitesse à
Le mouvement de la particule étant plan, dans le plan passant par et à avec , c'est-à-dire le plan et la particule entrant dans l'espace champ magnétostatique uniforme en avec un vecteur vitesse étant la vitesse instantanée[16] initiale de la particule encore égale à compte-tenu du choix du sens sur la trajectoire, nous obtenons le schéma descriptif ci-contre dans l'hypothèse où est pour savoir de quel côté de la courbe s’amorce nous déterminons la force magnétique de Lorentz[4] «»[5],[17], de direction au plan ou c'est-à-dire portée par , et de sens tel que soit direct[2] dans l'espace physique orienté à droite[1] «»[17] de sens contraire à [2], la rotation de la particule se faisant dans le sens du plan le sens de [17] sur nous indique le sens du début de rotation mais le mouvement étant uniforme la rotation se poursuit dans le même sens ; pour déterminer la nature de la trajectoire nous utilisons le repérage local de Frenet[13] de base directe «»[2],[18],[19]l'espace physique étant orienté à droite[1] et projetons l'équation différentielle «» sur , le vecteur unitaire normal principal de la base locale de Frenet[13],[18], en utilisant
d'une part que « étant à et [9], donc à et , est porté par », « son sens se déterminant par direct[2] est celui de »[20] et
d'autre part que étant sa projection sur définit l'accélération normale de la particule [15] avec la vitesse instantanée de la particule [16] et le rayon de courbure de la trajectoire en la position de la particule à l'instant [21],
ce qui donne «» avec «» dans laquelle le mouvement se faisant dans le plan passant par et à et le sens étant choisi dans le sens du mouvement soit encore, en notant , «» «» ;
le mouvement de la particule étant uniforme , le rayon de courbure de la trajectoire à l'instant se réécrit «» c'est-à-dire une constante et
le mouvement de la particule étant plan, la trajectoire suivie par la particule est circulairela seule courbe plane à rayon de courbure constant étant un cercle,
le rayon du cercle étant «»[22] avec la norme de la quantité de mouvement initiale de la particule.
Le mouvement de la particule étant uniforme sur une trajectoire circulaire, nous pouvons définir la vitesse angulaire de rotation comptée positivement dans le même sens que le vecteur unitaire tangentiel de Frenet[13][14][23] «» ou, en reportant l'expression de établie au paragraphe précédent «» ;
cette vitesse angulaire «» ne dépendant que des caractéristiques de la particule et de la norme du champ magnétostatique est appelée « pulsation cyclotron de la particule » et notée «» soit
«» la pulsation cyclotron de la particule est donc indépendante des C.I[10]. de celle-ci ;
la période de rotation de la particule sur sa trajectoire est alors «» indépendante de la vitesse linéaire initiale.
Mouvement d’une particule chargée dans un champ magnétostatique uniforme, particule entrant perpendiculairement au champ, mise en équation par application de la r.f.d.n. en repérage cartésien : mouvement plan, découplage du système d’équations différentielles dans le plan par introduction d’une variable complexes et résolution
Étude du mouvement d'une particule chargée avec vitesse initiale au champ magnétostatique uniforme et soumise à la seule force magnétique de Lorentz[4] faite dans le cadre de la dynamique newtonienne toutefois l'utilisation du repérage cartésien n'est intéressante que si la force magnétique de Lorentz[4] n'est pas la seule force appliquée, le traitement ci-dessous étant fait pour exposer la méthode.
Exposé du problème : mouvement d’une particule chargée entrant dans un espace champ magnétostatique uniforme avec une « vitesse initiale perpendiculaire à ce champ »
il reste à projeter chaque membre de l'équation différentielle sur les vecteurs de base cartésienne orthonormée directe [2] associée au référentiel orienté à droite[1] avec
colinéaire et de même sens que avec ,
colinéaire et de même sens que et en absence de présupposé sur le mouvement :
les proj celles du 2ème membre de étant «» nous en déduisons les trois équations différentielles scalaires du 1er ordre en les composantes cartésiennes du vecteur vitesse de la particule :
«», les deux 1ères équations étant couplées[24] et la 3ème indépendante des deux autres.
Intégration de l’équation (3) avec « la vitesse initiale perpendiculaire au champ magnétostatique » : nature plane du mouvement
Résolution de l'équation différentielle : «» et la C.I[10]. imposant «» soit «» et Résolution de l'équation différentielle ( 3 ) : «» et la C.I[10]. en imposant «» soit «».
Résolution de l'équation différentielle ( 3 ) : En conclusion, le mouvement de la particule pénétrant dans l'espace champ magnétostatique uniforme avec un vecteur vitesse à est, dans le cas où la seule force s'exerçant sur est la force magnétique de Lorentz[4], plan, le plan du mouvement étant .
Rappel de la méthode de découplage du système d'équations différentielles linéaires à cœfficients réels constants couplées (1) et (2) du 1er ordre des variables Vx(t) et Vy(t)
Détermination de l'équation différentielle linéaire à cœfficients complexes constants du 1er ordre « (1') + i (2') » en variable complexe « (Vx + i Vy)(t) »
Partant de la forme normalisée du système d'équations différentielles linéaires à cœfficients réels constants du 1er ordre en et couplées «» et formant la C.L[25]. «» nous obtenons ou, en mettant le cœfficient de du 2ème membre en facteur dans ce dernier utilisant soit finalement
l'équation différentielle linéaire à cœfficients complexes constants du 1er ordre en «» homogène «».
Établissement de la solution complexe « (Vx + i Vy)(t) » et déduction des lois horaires scalaires de vitesse sur les axes Ox et Oy
La solution de l'équation différentielle linéaire à cœfficients complexes constants du 1er ordre en «» homogène «» est donc «»[26] avec constante complexe à déterminer à l'aide des C.I[10]. ou soit finalement la loi horaire de « vitesse complexe »
«» ;
en prenant la partie réelle de nous en déduisons la loi horaire de vitesse de la particule selon soit «» et en prenant la partie imaginaire de en déduisons la loi horaire de vitesse de la particule selon soit «».
Remarque : des lois horaires cartésiennes de vitesse de la particule dans le référentiel d'étude , nous en déduisons la nature de l’hodographe de pôle du mouvement de dans ce même référentiel[27] selon la définition [28],[29] soit, dans le cas présent «»[28],[29]l’hodographe de pôle du mouvement de dans le référentiel est un cercle du plan , de centre , de rayon [28],[29], de position initiale [28],[29], le mouvement de y étant uniforme à la vitesse angulaire «»[30], c'est-à-dire dans le sens trigonométrique « rétrograde si est » et « direct si est »[31].
Intégration temporelle de « (Vx + i Vy)(t) » et déduction des lois horaires scalaires de position sur les axes Ox et Oy
Définissant la « coordonnée complexe » de la particule liée à la « vitesse complexe » par «», nous obtenons cette « coordonnée complexe » par intégration temporelle de «» soit avec à déterminer à l'aide des C.I[10]. ou soit et finalement la loi horaire de « coordonnée complexe »
«» ;
en prenant la partie réelle de nous en déduisons la loi horaire d'abscisse de la particule [32] ou
«» et
en prenant la partie imaginaire de en déduisons la loi horaire d'ordonnée de la particule [32] ou
«».
Nature de la trajectoire de la particule : les deux lois horaires cartésiennes de position de la particule «» étant aussi les deux équations paramétriques de la trajectoire de dans le plan , nous obtenons l'équation cartésienne de cette dernière en éliminant le paramètre et pour cela nous explicitons les sinus et cosinus de l'argument angulaire à partir de chacune des équations paramétriques «», l'élimination de utilisant «» d'où l'équation cartésienne de la trajectoire de dans le plan
«», équation d'un cercle[33] passant par , de centre et de rayon .
Remarque :Pour , les lois horaires de position de se réécrivant selon «» démontre que le mouvement circulaire se fait autour du centre «» dans le sens à la « vitesse angulaire »[34] c'est-à-dire l'opposé de la pulsation cyclotron de la particule[35],
Remarque : pour , les lois horaires de position de se réécrivant selon « ou encore selon » démontre que le mouvement circulaire se fait autour du centre «» dans le sens à la « vitesse angulaire »[34]c'est-à-dire la pulsation cyclotron de la particule[35].
Description du mouvement d'une particule de charge entrant en dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ avec un vecteur vitesse à Description du mouvement d'une particule de charge entrant en dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ avec un vecteur vitesse à
Ci-contre, à gauche, la description du mouvement suivi par la particule chargée «» pénétrant en dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ «» avec un vecteur vitesse initiale «» donc à , mouvement de nature plane dans , uniforme de vitesse instantanée[16] «» dans le sens rétrograde, circulaire de rayon «», de centre et de vitesse angulaire «» étant la pulsation cyclotron de la particule[35], la période de rotation étant «» indépendante de la vitesse initiale ;
ci-contre, à droite, la description du mouvement suivi par la particule chargée «» pénétrant en dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ «» avec un vecteur vitesse initiale «» donc à , mouvement de nature plane dans , uniforme de vitesse instantanée[16] «» dans le sens direct, circulaire de rayon «», de centre et de vitesse angulaire «» étant la pulsation cyclotron de la particule[35], la période de rotation étant «» indépendante de la vitesse initiale.
Mouvement d’une particule chargée dans un champ magnétostatique uniforme, particule entrant perpendiculairement au champ, détermination de la nature plane du mouvement par projection de la r.f.d.n. sur la direction du champ magnétostatique puis du rayon de courbure en admettant que la trajectoire est circulaire et en utilisant le repérage cylindro-polaire de pôle le centre du cercle
« Admettre le caractère circulaire » de la trajectoire d'une particule chargée dans un espace champ magnétostatique uniforme quand cette dernière pénètre perpendiculairement au champ magnétostatique est explicite dans le programme de physique de P.C.S.I., de plus il est demandé de déterminer le rayon « sans calcul », ce qui, évidemment, est impossible Sans doute faut-il remplacer « sans calcul » par « sans intégration d’équations différentielles »
Exposé du problème : mouvement d’une particule chargée entrant dans un champ magnétostatique uniforme avec une « vitesse initiale perpendiculaire à ce champ »
Projection de la r.f.d.n. sur la « direction du champ magnétostatique » et conséquence de « la vitesse initiale perpendiculaire au champ magnétostatique » : nature plane du mouvement
L’application de la r.f.d.n[8]. dans le référentiel galiléen à la particule chargée soumise à la seule force magnétique de Lorentz[4] «»[5], étant le vecteur vitesse de la particule à l'instant dans le référentiel , nous conduisant à l’équation différentielle vectorielle du 1er ordre en «» voir le paragraphe « mise en équation par application de la r.f.d.n. en repérage intrinsèque dans le référentiel d'étude galiléen » plus haut dans ce chapitre, nous projetons les deux membres de cette équation sur vecteur unitaire de la direction de choisi dans le sens de ce dernier et obtenons «» soit «», la C.I[10]. «»[36] et
«» soit «», le plan à étant choisi passant par la position initiale de la particule «».
En conclusion, le mouvement de la particule pénétrant dans l'espace champ magnétostatique uniforme avec un vecteur vitesse à est, dans le cas où la seule force s'exerçant sur est la force magnétique de Lorentz[4], plan, le plan du mouvement étant à passant par la position initiale de la particule.
Conséquence de « la force magnétique de Lorentz, seule force exercée » : nature uniforme du mouvement
en conclusion, le mouvement de la particule pénétrant dans l'espace champ magnétostatique uniforme avec un vecteur vitesse à est, dans le cas où la seule force s'exerçant sur est la force magnétique de Lorentz[4], uniforme, la norme du vecteur vitesse du mouvement restant égale à celle du vecteur vitesse initiale soit «».
Détermination du rayon de courbure de la trajectoire de nature (admise) circulaire par projection de la r.f.d.n. sur le vecteur unitaire radial de base cylindro-polaire de pôle « le centre du cercle »
Admettant la nature circulaire du mouvement de la particule chargée dans le plan à passant par la position initiale de la particule, les angles de ce plan étant toujours orientés par le vecteur unitaire choisi dans la direction et le sens de , nous adoptons le repérage polaire de dans ce plan en choisissant le centre du cercle comme pôle du repérage, la base cartésienne du plan étant toujours , les coordonnées polaires de étant «[37] avec le rayon du cercle à déterminer ».
Description du mouvement d'une particule de charge entrant en dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ avec un vecteur vitesse à , la nature circulaire du mouvement étant admise
Ci-contre la description du mouvement suivi par la particule chargée «» pénétrant en dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ «» avec un vecteur vitesse initiale «» donc à , mouvement de nature plane dans , uniforme de vitesse instantanée[16] «» dans le sens rétrograde et circulaireadmis de centre choisi comme pôle du repérage polaire de dans le plan , ses coordonnées étant abscisse angulaire simplement notée sur le schéma ;
Ci-contre projetant l'équation différentielle vectorielle du 1er ordre en «» voir le paragraphe « mise en équation par application de la r.f.d.n. en repérage intrinsèque dans le référentiel d'étude galiléen » plus haut dans ce chapitre sur vecteur unitaire radial de la base polaire lié à dans le plan du mouvement de ce dernier[37] nous obtenons, Ci-contre sachant que se projette sur en l'« accélération radiale »[38]le 1er terme étant nul car et le 2nd constant car [39], le mouvement circulaire étant uniforme dans le sens rétrograde et Ci-contre sachant que «» projeté sur en «» la vitesse orthoradiale [39] étant constante car chacun des facteurs l'est et , la vitesse angulaire l'étant, Ci-contre pour projection radiale de : «» dont nous tirons la « vitesse angulaire » dans la mesure où est , étant la pulsation cyclotron de la particule[35]la période de rotation étant «» indépendante de la vitesse initiale, puis le rayon de la trajectoire circulaire à l'aide de l'identification de la vitesse orthoradiale [39] avec l'opposé de la norme du vecteur vitesse initiale d'où soit finalement
l'expression du rayon de la trajectoire circulaire suivie par la particule «» pour ;
Description du mouvement d'une particule de charge entrant en dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ avec un vecteur vitesse à , la nature circulaire du mouvement étant admise
Ci-contre, la description du mouvement suivi par la particule chargée «» pénétrant en dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ «» avec un vecteur vitesse initiale «» donc à , mouvement de nature plane dans , uniforme de vitesse instantanée[16] «» dans le sens direct et circulaireadmis de centre choisi comme pôle du repérage polaire de dans le plan , ses coordonnées étant abscisse angulaire simplement notée sur le schéma ;
ci-contre projetant l'équation différentielle vectorielle du 1er ordre en «» voir le paragraphe « mise en équation par application de la r.f.d.n. en repérage intrinsèque dans le référentiel d'étude galiléen » plus haut dans ce chapitre sur vecteur unitaire radial de la base polaire lié à dans le plan du mouvement de ce dernier[37] nous obtenons, Ci-contre sachant que se projette sur en l'« accélération radiale »[38]le 1er terme étant nul car et le 2nd constant car [39], le mouvement circulaire étant uniforme dans le sens direct et Ci-contre sachant que «» projeté sur en «» la vitesse orthoradiale [39] étant constante car chacun des facteurs l'est et , la vitesse angulaire l'étant, Ci-contre pour projection radiale de : «» dont nous tirons la « vitesse angulaire » dans la mesure où est , étant la pulsation cyclotron de la particule[35]la période de rotation étant «» indépendante de la vitesse initiale, puis le rayon de la trajectoire circulaire à l'aide de l'identification de la vitesse orthoradiale [39] avec la norme du vecteur vitesse initiale d'où soit finalement
l'expression du rayon de la trajectoire circulaire suivie par la particule «» pour .
Bien que l'exposé précédent ait l'inconvénient d'admettre la nature de la trajectoire suivie par la particule c'est ce qui est explicitement demandé dans le programme de physique de P.C.S.I., les principaux résultats étant ceux rappelés dans le paragraphe « résumé des principaux résultats » plus haut dans ce chapitre, les schémas qui y sont tracés restant les mêmes à condition que l'origine du repère cartésien associé au référentiel d'étude soit positionné au centre du cercle décrit, la vitesse instantanée[16] s'identifiant à la norme du vecteur vitesse initiale .
En complément, mouvement d’une particule chargée dans un champ magnétostatique uniforme, particule entrant obliquement par rapport au champ, mouvement hélicoïdal
Étude faite dans le cadre de la dynamique newtonienne.
Exposé du problème : mouvement d’une particule chargée entrant dans un champ magnétostatique uniforme avec une « vitesse initiale oblique relativement à ce champ »
Une particule chargée , de masse , entre dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ «» en la position choisie comme origine du repérage intrinsèque avec un vecteur vitesse initiale « et à » à considérer comme complément même si c'est un cas relativement fréquent dans la nature car non explicitement au programme de physique de P.C.S.I[3]. ;
nous nous proposons de déterminer le mouvement ultérieur de la particule dans le référentiel lié à l’espace champ magnétique supposé galiléen quand elle n’est soumise qu’à la seule force magnétique de Lorentz[4] «»[5], étant le vecteur vitesse de la particule à l'instant dans le référentiel en effet, même dans le cas où l'expérience se passe sur Terre, l'influence du poids de la particule peut toujours être négligée devant celle de la force magnétique de Lorentz[6]y compris quand cette dernière est nulle, donc sans action sur le mouvement de la particule[7], son poids n'ayant dans la pratique aucune influence car de norme excessivement petite ;
nous choisissons une base cartésienne orthonormée directe [2] associée au référentiel orienté à droite[1] telle que
est colinéaire et de même sens que avec ,
tel que le vecteur vitesse initiale de la particule soit dans le plan de vecteurs directeurs passant par la position initiale et tel que soit et
orientant les angles du plan de vecteurs directeurs passant par la position initiale ;
notant «» l'angle d'inclinaison que fait le vecteur vitesse initiale avec le vecteur champ magnétostatique, de valeur «», nous en déduisons
«» avec «».
Rappel de la mise en équation par application de la r.f.d.n. en repérage intrinsèque dans le référentiel d’étude galiléen et nature du mouvement du projeté « Mz » sur la direction du champ
la projection de l'équation différentielle vectorielle sur conduisant à «» en rappelant que tout produit vectoriel non nul de deux vecteurs est à chacun de ses vecteurs[9] nous en déduisons et la C.I[10]. imposant «» soit «» et la projection de l'équation différentielle vectorielle ( a) sur uz conduisant à «» et la C.I[10]. en imposant «» soit «».
En conclusion, le mouvement du projeté orthogonal de la particule sur l'axe après pénétration de cette dernière dans l'espace champ magnétostatique uniforme avec un vecteur vitesse incliné d'un angle par rapport à est, dans le cas où la seule force s'exerçant sur est la force magnétique de Lorentz[4], rectiligne uniforme, de vitesse «» à partir de la cote initiale de la particule.
Équation différentielle vectorielle du 1er ordre en « la composante vectorielle de la vitesse perpendiculaire au champ magnétostatique » résultant de la projection du vecteur vitesse sur le plan perpendiculaire à la direction du champ passant par la position initiale et nature du mouvement du projeté « Mxy » de la particule sur le plan précédent
Décomposant le vecteur vitesse de la particule suivant la direction du champ magnétostatique et du plan à passant par soit «», le 1er terme étant à et le 2nd au plan ainsi que
Décomposant le vecteur accélération de la particule suivant la direction du champ magnétostatique et du plan à passant par soit «», le 1er terme étant à et le 2nd au plan ,
les liens entre les vecteurs accélérations et vitesses étant «»,
l'équation différentielle vectorielle du 1er ordre en se réécrit selon «» ou, en utilisant la distributivité de la multiplication vectorielle par rapport à l'addition vectorielle[40] ainsi que la linéarité de la dérivation temporelle, «» le 1er terme de chaque membre étant séparément nul pour le membre de gauche parce que les deux vecteurs du produit vectoriel sont colinéaires[9] et pour le membre de droite parce qu'il a été établi au paragraphe « rappel de la mise en équation par application de la r.f.d.n. en repérage intrinsèque dans le référentiel d'étude galiléen et nature du mouvement du projeté Mz sur la direction du champ » plus haut dans ce chapitre que le mouvement de est uniforme d'où l'équation différentielle vectorielle du 1er ordre en le vecteur vitesse du projeté orthogonal de la particule sur le plan ,
uniforme de vitesse instantanée «» celle-ci étant définie comme composante du vecteur vitesse sur [16]le vecteur unitaire tangentiel de Frenet[13] lié à sur la trajectoire de ce dernier, choisi tel que soit dans le sens de ou encore «» en notant « la vitesse instantanée initiale de sur sa trajectoire »[16] et
circulaire de rayon «» ou encore «» ;
la vitesse angulaire de rotation de sur sa trajectoire vitesse angulaire comptée positivement dans le même sens que et non relativement au sens du plan défini par est donc «» c'est-à-dire « la pulsation cyclotron de la particule »[35] et la période de rotation de sur sa trajectoire est alors «» toujours indépendante de la vitesse linéaire initiale.
Nature hélicoïdale uniforme du mouvement de la particule
Le mouvement de la particule entrant obliquement en , dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ dans lequel , avec un vecteur vitesse initiale dans lequel étant la vitesse instantanée initiale du projeté orthogonal de la particule sur le plan , comptée algébriquement dans le sens du mouvement choisi comme sens sur la trajectoire de [16]étant le composé du mouvement circulaire uniforme du projeté orthogonal de la particule sur le plan et du mouvement de dérive uniforme du projeté orthogonal de sur la direction est un mouvement hélicoïdal uniforme, inscrit sur un cylindre de révolution d’axe étant le centre du cercle décrit par et de rayon «», le « pas de l’hélice »[42] étant «» avec « la période de rotation de et la vitesse de dérive de » soit «».
Description du mouvement d'une particule de charge entrant en dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ avec un vecteur vitesse et à sur le schéma l'indice «» est noté «»Description du mouvement d'une particule de charge entrant en dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ avec un vecteur vitesse et à sur le schéma l'indice «» est noté «»
Ci-contre, à gauche, le cas d'une particule de charge entrant obliquement en dans l'espace champ magnétostatique uniforme de champ avec une composante de vitesse initiale le long du champ , l'hélice décrite est alors « gauche »[43]dans le cas non représenté où la composante de vitesse initiale le long du champ est , l'hélice décrite est alors « droite »[43] ; notant «» l'angle d'inclinaison que fait le vecteur vitesse initiale avec le vecteur champ magnétostatique, angle orienté par , nous en déduisons
, l'hélice est alors « gauche pour » et « droite pour », son pas se réécrivant «» ainsi que
, le rayon du cylindre support de l'hélice se réécrivant «» ;
Ci-contre, à droite, le cas d'une particule de charge entrant obliquement en dans l'espace champ magnétostatique uniforme de champ avec une composante de vitesse initiale le long du champ , l'hélice décrite est alors « droite »[43]dans le cas non représenté où la composante de vitesse initiale le long du champ est , l'hélice décrite est alors « gauche »[43] ; notant «» l'angle d'inclinaison que fait le vecteur vitesse initiale avec le vecteur champ magnétostatique, angle orienté par , nous en déduisons
, l'hélice est alors « droite pour » et « gauche pour », le pas de cette dernière se réécrivant «» ainsi que
, le rayon du cylindre support de l'hélice se réécrivant «».
En complément, précession du vecteur vitesse de la particule chargée autour du champ magnétostatique uniforme, sens de rotation, retour sur la pulsation cyclotron de la particule
L'étude de la précession du vecteur vitesse d'une particule chargée «» autour d'un champ magnétostatique uniforme «» quand n'est soumise qu'à la seule force magnétique de Lorentz[4] «»[5] n'est pas explicite dans le programme de physique de P.C.S.I., le choix d'exposer « la précession de autour de » en complément de dynamique newtonienne résulte du fait que cette notion est un élément important de culture générale.
Mise en évidence de la précession du vecteur vitesse de la particule chargée autour de la direction du champ magnétostatique
Considérant une particule chargée dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ dans laquelle « elle entre en avec un vecteur vitesse initiale de direction quelconque relativement à celle de », la particule n'étant soumis qu'à la seule « force magnétique de Lorentz[4]»[5]avec le vecteur vitesse de à l'instant dans le référentiel d'étude lié à la source du champ magnétostatique et
appliquant la r.f.d.n[8]. à la particule de masse dans le référentiel d'étude supposé galiléen nous obtenons «» dans laquelle est le vecteur accélération de à l'instant dans le référentiel c'est-à-dire la dérivée temporelle du vecteur vitesse de la particule au même instant , soit finalement l’équation différentielle vectorielle du 1er ordre en
«» ou «» ;
définissant l'hodographe de pôle du mouvement de dans [27] selon la définition [28][28],[44], nous pouvons réécrire l'équation différentielle vectorielle du 1er ordre en «» selon «» ou, en utilisant l'anticommutativité de la multiplication vectorielle[40], selon
«» ;
Description de la précession d'un champ vectoriel temporel de vecteur rotation instantanée , c'est-à-dire la précession du vecteur [28] autour de l'axe support de et passant par Description de la précession du vecteur vitesse d'une particule chargée dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ , précession autour de ce dernier avec un vecteur rotation instantanée représentée pour
nous reconnaissons dans la relation l’« expression intrinsèque du vecteur vitesse d'un point en mouvement circulaire de vecteur rotation instantanée autour de l'axe passant par l'origine du repérage intrinsèque et support de »
ci-contre à gauche le schéma descriptif de la précession d'un champ vectoriel temporel quelconque en représentant ce dernier à partir d'un point fixe selon [28], la précession étant de vecteur rotation instantanée autour de l'axe passant par et de même direction que , la trajectoire de étant le cercle représenté en tiretés dans un plan à l'axe ; ci-contre à gauche ce schéma général est bien sûr applicable dans le cas particulier où [28], la trajectoire de étant alors l'hodographe du mouvement de la particule de masse dans l'espace champ magnétostatique uniforme de champ [27], le vecteur rotation instantanée étant ;
ci-contre à droite le schéma descriptif de la précession du vecteur vitesse de la particule de masse dans l'espace champ magnétostatique uniforme de champ en représentant à partir d'un point fixe , la précession étant de vecteur rotation instantanée autour de l'axe passant par et de même direction que , ci-contre à droite étant de sens contraire à pour une particule de charge positive cas de la figure et ci-contre à droite de même sens que pour une particule de charge négative cas non représenté ; ci-contre à droite l'extrémité de représenté à partir du point fixe telle que [28] décrit un cercle représenté en tiretés, le vecteur vitesse, à l'instant , du point générique de ce cercle représentant le vecteur accélération de la particule au même instant ;
ci-contre à droite conséquences de la précession deautour de : « représenté à partir du point fixe restant sur un cône de révolution de sommet et d’axe de vecteur directeur » nous en déduisons ci-contre à droite « l'angle non algébrisé reste constant égal à » voir schéma ci-dessus à droite ou encore que « l'angle d'inclinaison du vecteur vitesse de la particule relativement au vecteur champ magnétostatique reste constant, de valeur pour et pour » ainsi que ci-contre à droite « l'extrémité de représenté à partir du point fixe reste à égale distance du point » c'est-à-dire « reste constante égale à , permettant de retrouver la nature uniforme du mouvement de la particule dans l'espace champ magnétostatique uniforme ».
D'après le paragraphe précédent, nous constatons que le sens de la précession dépend simultanément du sens du champ magnétostatique sur la direction de précession et du signe de la charge de la particule :
pour une particule de charge , « étant de sens contraire à » et, définissant le sens de rotation par le sens de , nous en déduisons que « le vecteur vitesse de la particule est en précession dans le sens » c'est-à-dire le sens rétrograde ou trigonométrique inverse ou encore horaire en positionnant l'observateur tel que vienne vers lui, voir schéma du paragraphe précédent ci-dessus à droite ;
pour une particule de charge , « étant de même sens que » et, définissant le sens de rotation par le sens de , nous en déduisons que « le vecteur vitesse de la particule est en précession dans le sens » c'est-à-dire le sens trigonométrique direct ou anti-horaire en positionnant l'observateur tel que vienne vers lui, cas non représenté sur un schéma.
En comparant le vecteur rotation instantanée de la précession du vecteur vitesse de la particule de masse dans l'espace champ magnétostatique uniforme autour du champ de ce dernier et En comparant la pulsation cyclotron de la particule de masse dans ce même espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ magnétostatique étant la norme du champ magnétostatique [35], nous en déduisons que
la pulsation cyclotron de la particule de masse dans le champ magnétostatique uniforme [35] est aussi la norme du vecteur rotation instantanée de la précession du vecteur vitesse de dans ce champ magnétostatique soit «».
Rayon de courbure de l’hélice décrite par la particule chargée entrant obliquement dans l’espace champ magnétostatique
L’application de la r.f.d.n[8]. dans le référentiel galiléen à la particule chargée de masse soumise à la seule force magnétique de Lorentz[4] «»[5] avec le vecteur vitesse de à l'instant dans , référentiel lié à la source de l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ , donnant «» avec le vecteur accélération de dans au même instant et la projection de la relation sur le « vecteur unitaire normal principal de la base locale de Frenet[13]»[18] nous conduisant à
dans laquelle « est l'accélération normale de la particule à l'instant »[15], étant la vitesse instantanée de la particule [16] et le rayon de courbure de la trajectoire en la position de à l'instant [47] et
la projection de la relation sur [18] se réécrit donc «» «» ou, avec , l'expression du rayon de courbure de la trajectoire suivie par la particule dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ ,
«» la trajectoire est une hélice si la seule courbe gauche à rayon de courbure constant étant une hélice ou la trajectoire est un cercle si la seule courbe plane à rayon de courbure constant étant un cercle.
Remarque : Ayant établi dans le paragraphe « nature hélicoïdale uniforme du mouvement de la particule » plus haut dans ce chapitre que le mouvement du projeté orthogonal sur le plan de la particule entrant obliquement en , dans l'espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ dans lequel , avec un vecteur vitesse initiale dans lequel étant la vitesse instantanée initiale du projeté orthogonal de la particule sur le plan , comptée algébriquement dans le sens du mouvement choisi comme sens sur la trajectoire de [16] est circulaire uniforme de rayon «» soit, Remarque : en notant «» l'angle d'inclinaison que fait le vecteur vitesse initiale avec le vecteur champ magnétostatique « avec » ou, en introduisant l'angle non algébrisé avec le vecteur rotation instantanée de précession du vecteur vitesse de la particule autour du champ magnétostatique , «» «» et par suite Remarque : le rayon de la trajectoire circulaire suivie par se réécrivant «» lequel est aussi le rayon du cylindre de révolution support de la trajectoire hélicoïdale suivie par la particule de rayon de courbure «», nous en déduisons le lien entre le rayon de courbure de l'hélice «», le rayon du cylindre de révolution support de l'hélice «» et l'angle non algébrisé entre une tangente à l'hélice en un point quelconque et l'axe du cylindre «» soit
«».
En complément, établissement de l’expression du rayon de courbure relativiste de la trajectoire quand la particule relativiste entre perpendiculairement au champ magnétostatique uniforme par utilisation de la r.f.d.r.
Étude faite dans le cadre de la dynamique relativiste.
Exposé du problème : mouvement d’une particule chargée entrant dans un champ magnétostatique uniforme avec une « vitesse initiale perpendiculaire à ce champ » mais justifiant d’un traitement relativiste
nous nous proposons de déterminer le mouvement ultérieur de la particule dans le référentiel lié à l’espace champ magnétique supposé galiléen quand elle n’est soumise qu’à la seule force magnétique de Lorentz[4] «»[5], étant le vecteur vitesse de la particule à l'instant dans le référentiel en effet, même dans le cas où l'expérience se passe sur Terre, l'influence du poids de la particule peut toujours être négligée devant celle de la force magnétique de Lorentz[6] dans la mesure où celle-ci n'est pas nulle et même si celle-ci était nulle il serait illusoire de tenir compte du poids, ce dernier étant de norme excessivement petite ;
nous choisissons une base cartésienne orthonormée directe [2] associée au référentiel orienté à droite[1] telle que
est colinéaire et de même sens que avec ,
est colinéaire et de même sens que avec et
.
Conséquence de « la force magnétique de Lorentz, seule force exercée » : nature uniforme du mouvement
La force magnétique de Lorentz[4] ne développant aucune puissance[11] en étant la seule force appliquée à la particule, l’énergie cinétique de cette dernière reste constante par application du théorème de la puissance cinétique[12] et par suite le « facteur de Lorentz[4] de la particule noté avec l'énergie de masse de aussi »[50], la constante se déterminant par C.I[10]. «» soit «» dont nous pouvons déduire la nature uniforme du mouvement de la particule d'où «».
Réécriture de la r.f.d.r. dans le « cas d’un mouvement uniforme »
L’application de la r.f.d.[51] dans le référentiel galiléen à la particule chargée de masse soumise à la seule force magnétique de Lorentz[4] «»[5], étant le vecteur vitesse de la particule à l'instant dans le référentiel , soit
« dans laquelle est le vecteur quantité de mouvement de la particule à l'instant »,
L'application de la r.f.d. conduit, sachant que le vecteur quantité de mouvement de la particule à l'instant s'exprime en fonction des grandeurs d'inertie et cinématique sous la forme relativiste suivante « avec le facteur de Lorentz[4] du point à l'instant dans »[52] ou, le mouvement de étant uniforme «» voir, dans le cadre de la dynamique relativiste, le paragraphe « conséquence de “ la force magnétique de Lorentz, seule force exercée ” : nature uniforme du mouvement » plus haut dans ce chapitre, «»,
L'application de la r.f.d. conduit à l'équation différentielle vectorielle du 1er ordre en , le vecteur vitesse relativiste de la particule à l'instant dans le référentiel d'étude
«» avec « le facteur de Lorentz[4] initial » ou, avec «» définissant « la masse apparente du point dans », «»[53].
Conséquence de « la vitesse initiale perpendiculaire au champ magnétostatique » : nature plane du mouvement
Sachant que tout produit vectoriel non nul de deux vecteurs est à chacun de ses vecteurs[9], nous en déduisons que est à donc à vecteur unitaire colinéaire à et projetant l'équation différentielle sur nous obtenons «» et la C.I[10]. imposant «» soit «» et projetant l'équation différentielle ( a ) sur uz nous obtenons «» et la C.I[10]. en imposant «» soit «».
En conclusion, le mouvement de la particule pénétrant dans l'espace champ magnétostatique uniforme avec un vecteur vitesse relativiste à est, dans le cas où la seule force s'exerçant sur est la force magnétique de Lorentz[4], plan, le plan du mouvement étant à passant par la position initiale de la particule.
Conséquence de la nature plane et uniforme du mouvement avec projection de la r.f.d.r. sur le vecteur unitaire normal principal de Frenet : nature circulaire du mouvement
Description du mouvement d'une particule de charge entrant en dans un espace champ magnétostatique uniforme de vecteur champ avec un vecteur vitesse relativiste à
Le mouvement de la particule étant plan, dans le plan passant par et à avec , c'est-à-dire le plan et la particule entrant dans l'espace champ magnétostatique uniforme en avec un vecteur vitesse relativiste étant la vitesse instantanée[16] initiale de la particule encore égale à compte-tenu du choix du sens sur la trajectoire, nous obtenons le schéma descriptif ci-contre dans l'hypothèse où est pour savoir de quel côté de la courbe s’amorce nous déterminons la force magnétique de Lorentz[4] «»[5],[17], de direction au plan ou c'est-à-dire portée par , et de sens tel que soit direct[2] dans l'espace physique orienté à droite[1]«»[17] de sens contraire à , la rotation de la particule se faisant dans le sens du plan le sens de [17] sur nous indique le sens du début de rotation mais le mouvement étant uniforme la rotation se poursuit dans le même sens ; pour déterminer la nature de la trajectoire nous utilisons le repérage local de Frenet[13] de base directe «»[2],[54],[18],[19]l'espace physique étant orienté à droite[1] et projetons l'équation différentielle «» sur , le vecteur unitaire normal principal de la base locale de Frenet[13],[18], en utilisant
d'une part que « étant à et [9], donc à et , est porté par », « son sens se déterminant par direct[2] dans l'espace physique orienté à droite[1] est celui de »[20] et
d'autre part que étant sa projection sur définit l'accélération normale de la particule [15] avec la vitesse instantanée de la particule [16] et le rayon de courbure de la trajectoire en la position de la particule à l'instant [21],
ce qui donne «» avec «» dans laquelle le mouvement se faisant dans le plan passant par et à et le sens étant choisi dans le sens du mouvement soit, en notant , «» «» ;
le mouvement de la particule étant uniforme , le rayon de courbure de la trajectoire à l'instant se réécrit «» c'est-à-dire une constante et
le mouvement de la particule étant plan, la trajectoire suivie par la particule est circulairela seule courbe plane à rayon de courbure constant étant un cercle,
le rayon du cercle étant «»[22] avec la norme de la quantité de mouvement initiale de la particule.
Remarque : La détermination du rayon de courbure de la trajectoire d’une particule chargée dans un champ magnétostatique uniforme permet d’en déduire la norme de sa quantité de mouvement pourvu que sa charge soit connue en fait seule sa valeur absolue est utile ainsi que la norme du champ magnétostatique par «», cette même formule étant applicable dans le cadre de la dynamique newtonienne ou relativiste.
Approche documentaire, analyse de documents scientifiques montrant les limites relativistes avec utilisation des formules relativistes de l’énergie cinétique et de la quantité de mouvement : microscopie électronique
La microscopie électronique permet d'obtenir une image très agrandie d’un échantillon, « les grossissements peuvent aller jusqu'à » soit fois plus que ce qu’on peut obtenir avec le meilleur microscope optique, les deux principaux types de microscopes électroniques sont :
le METacronyme de M(icroscope) E(lectronique en) T(ransmission) dans lequel un faisceau d'électrons accélérés leur énergie cinétique valant de à [55] est « transmis » à travers un échantillon très mince, les interactions de ces électrons avec l'échantillon fournissant une image électronique projetée à l'aide d'un système de lentilles magnétiques sur un écran phosphorescent, ce qui permet finalement d'observer une image optique ; le grossissement de ce microscope varie entre et , la résolution de ce dernier[56] pouvant atteindre [57] est essentiellement limitée par les aberrations des lentilles magnétiques ; le principe du MET a été mis au point en par Max Knoll[58] et Ernst Ruska[59] ce qui valut à ce dernier la moitié du prix Nobel de physique en ci-contre le principe de fonctionnement ;
le MEBacronyme de M(icroscope) E(lectronique à) B(alayage) dans lequel un faisceau d'électrons accélérés leur énergie cinétique variant de à [55] suivant le type d'émission électronique thermoionique nécessitant une tension accélératrice de ou par effet de champ avec une tension accélératrice de à utilisée provenant de la cathode est « focalisé » en un point balayant la surface d'un échantillon de façon à analyser cette surface, les interactions de ces électrons avec la surface locale de l'échantillon entourant le point de focalisation produisant, dans l'espace d'arrivée de ces électrons, leur renvoi électrons rétrodiffusésincidents déviés de façon quasi-élastiques ou l'émission d'autres particules électrons secondairespeu liés aux atomes, électrons Auger[60]émis à partir de couche interne lors de la désexcitation d’atomes et rayons X, l'ensemble étant capté par différents détecteurs permettant de reconstruire une image en trois dimensions de la surface grâce au balayage de celle-ci ; le grossissement de ce microscope peut atteindre , sa résolution[56] varie de à [57] ; le 1erMEB construit en par Manfred von Ardenne[61] était en fait un METBacronyme de M(icroscope) E(lectronique en) T(ransmission à) B(alayage) permettant l'étude d'échantillons très fins en transmission par balayage, le 1er vrai MEB fut construit par Charles William Oatley[62] et Dennis McMullan[63] en avec une résolution de [57] ce qui rendait ainsi pour la 1ère fois cet effet de relief caractéristique de la microscopie électronique à balayageci-contre le principe de fonctionnement.
En pratique « la résolution spatiale intrinsèque »[64] est « toujours plus grande » que la longueur d’onde du rayonnement incident longueur d'onde de de Broglie[65] des électrons incidents[66] «» soit, dans un MEB où les électrons incidents sont quasi-newtoniens d'où «» c'est-à-dire pour [67] «»[68] et, dans un MET où les électrons incidents sont usuellement relativistes [69] avec l'énergie de masse de l'électron et l'énergie totale[70] de ce dernier d'où d'où «» c'est-à-dire pour variant entre et «»[71].
A priori il n'y a donc que dans le cas d'un MET où les électrons incidents sont relativistes mais, bien que ce ne soit pas usuellement le cas dans un MEB, nous les considérerons également relativistes les particules newtoniennes étant un cas particulier des mêmes relativistes ; ci-dessous un tableau récapitulatif de valeurs correspondantes pour les valeurs de la norme de vitesse relative des électrons incidents les électrons auraient pu être considérés comme newtoniens, ce que confirment les valeurs de la colonne supplémentaire «» du tableau évaluées dans l'hypothèse d'un électron supposé newtonien, les valeurs des constantes étant celles rappelées dans les notes « 70 » et « 67 » plus haut dans ce chapitre la formule pour évaluer la longueur d'onde de de Broglie[65] en fonction de la tension accélératrice dans le cas d'un électron relativiste étant «» établie un peu plus haut dans ce paragraphe, «», «» et de on tire soit «» :
Conclusion : Sachant que seules les trois 1ères lignes de ce tableau satisfont à la condition d'électrons incidents newtoniens à savoir «», nous vérifions que la longueur d’onde de de Broglie[65] des électrons incidents évaluée dans le cadre de la cinétique relativiste ou newtonienne donne effectivement le même résultat à moins de près et que
Conclusion : nous pouvons être moins strict dans la possibilité d'utiliser la cinétique newtonienne pour évaluer la longueur d'onde de de Broglie[65] de ces électrons à moins de près, le tableau nous montrant que la « condition » est suffisante ;
Conclusion : dans les autres lignes nous observons que la longueur d’onde de de Broglie[65] des électrons incidents est surestimée dans l’approximation newtonienne par rapport à l'évaluation relativiste[72] et par conséquent que
Conclusion : « la résolution spatiale intrinsèque nécessite de tenir compte de l’approximation relativiste pour obtenir des résultats en accord avec l’expérience »[73].
↑ 7,0 et 7,1 Dans le cas où la vitesse initiale de la particule est à , la force magnétique de Lorentz initiale étant nulle, le vecteur accélération initiale de la particule l'est aussi si la force magnétique de Lorentz est la seule force appliquée un mouvement rectiligne uniforme sur étant une durée mésoscopiquement petite et par suite un vecteur vitesse de la particule à l’instant au champ magnétostatique ; faisant l'hypothèse que le vecteur vitesse de la particule à l’instant , , est au champ magnétostatique , nous en déduisons que la force magnétique de Lorentz au même instant est nulle le vecteur accélération à cet instant de la particule l'est aussi et par suite le mouvement de cette dernière est rectiligne uniforme sur le vecteur vitesse de la particule à l’instant est au champ magnétostatique ; en conclusion la propriété « si est à et si la force magnétique de Lorentz est la seule force appliquée, le mouvement de la particule est rectiligne uniforme » est établie par récurrence.
↑ 8,08,18,2 et 8,3 Relation Fondamentale de la Dynamique Newtonienne.
↑ 13,013,113,213,313,413,513,613,7 et 13,8Jean Frédéric Frenet (1816 - 1900) est un mathématicien, astronome et météorologue français à qui on doit six des neuf formules de géométrie différentielle associées au trièdre ou base de Serret-Frenet Joseph-Alfred Serret (1819 - 1885) mathématicien et astronome français ayant trouvé indépendamment ces formules.
↑ 19,0 et 19,1 Sur le schéma, les deux 1ers vecteurs de base de Frenet sont notés «» et «» pour simplifier.
↑ 20,0 et 20,1 Vérifié sur le schéma correspondant à mais restant valable pour dans ce cas la force magnétique de Lorentz initiale étant dans l'autre sens, le mouvement démarre dans le sens c'est-à-dire que la courbe s’amorce vers le bas et la droite et, le mouvement étant uniforme, il se poursuit dans le sens , le vecteur unitaire normal secondaire est alors égal à et étant dans le sens de le caractère direct dans un espace orienté à droite de est équivalent à direct dans le même espace physique orienté à droite voir l'« introduction du paragraphe produit vectoriel de deux vecteurs (pour la signification d'espace orienté à droite) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ou, en effectuant une permutation de deux vecteurs simultanément au remplacement de l'un d'eux par son opposé cette opération ne modifiant pas l'orientation du trièdre, voir le paragraphe « base directe d'un espace orienté à droite (remarque) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », d'où le caractère direct de dans l'espace physique orienté à droite ou enfin, en faisant une permutation circulaire direct dans ce même espace physique orienté à droite, ce qui nécessite que le 2ème s'identifie à C.Q.F.D. Ce Qu'il Fallait Démontrer.
↑ 22,0 et 22,1 Expression à savoir retrouver rapidement et qu'il est souhaitable de retenir.
↑ Le fait que la vitesse angulaire de rotation de la particule sur sa trajectoire circulaire soit comptée positivement dans le même sens que et que le sens de ce dernier à l'instant initial soit identifié au sens de implique que la vitesse angulaire de rotation est toujours positive quel que soit le signe de la charge de la particule.
↑ 29,029,129,2 et 29,3 Par abus d'écriture nous écrirons fréquemment sans oublier que ceci n'a de sens qu'avec le choix d'une échelle des vitesses.
↑ En effet les équations paramétriques de se réécrivant selon «» nous en déduisons «» «».
↑ Nous pouvons expliciter la vitesse angulaire sur l’hodographe en fonction de la « pulsation cyclotron de la particule » voir le paragraphe « période de rotation (pulsation cyclotron de la particule) » plus haut dans ce chapitre selon «».
↑ 32,0 et 32,1 Pour prendre la partie réelle d'un produit de deux facteurs dont le 1er facteur est un imaginaire pur, on multiplie le 1er facteur par du 2ème facteur ; pour prendre la partie imaginaire d'un produit de deux facteurs dont le 1er facteur est un imaginaire pur, on multiplie du 1er facteur par du 2ème facteur .
↑ C.-à-d. la valeur absolue de la différence de cotes pour une augmentation d'abscisse angulaire de .
↑ 43,043,143,2 et 43,3 Une hélice est qualifiée de « senestre » ou « gauche » si un observateur placé à l'extérieur la voit, lorsqu'elle est devant lui, « monter de droite à gauche » elle monte donc dans le sens rétrograde c'est-à-dire le sens horaire et Une hélice est qualifiée de « dextre » ou « droite » si un observateur placé à l'extérieur la voit, lorsqu'elle est devant lui, « monter de gauche à droite » elle monte donc dans le sens direct c'est-à-dire le sens anti-horaire
↑ L'équation différentielle vectorielle du 1er ordre en dans le cadre de la dynamique relativiste est formellement identique à celle trouvée dans le cadre de la dynamique newtonienne à condition de substituer la masse du point de la dynamique newtonienne par la masse apparente de ce dernier dans le référentiel de la dynamique relativiste.
↑ Le repérage de Frenet étant un repérage mathématique est indépendant de la physique, il est donc utilisable aussi bien en dynamique newtonienne qu'en dynamique relativiste.
↑ 55,0 et 55,1 Le kiloélectronvolt de symbole vaut l'électronvolt de symbole étant une unité d'énergie adaptée à la physique atomique valant unité adaptée à l'énergie des électrons du cœur des atomes.
↑ 56,0 et 56,1 Distance minimale séparant deux points d'un échantillon dont les images sont séparables.
↑ 57,057,1 et 57,2 L'angström, de symbole , est une unité de longueur adaptée à la physique atomique valant , l'unité ayant été nommée ainsi pour rendre hommage à Anders Jonas Ångström ; Anders Jonas Ångström (1814 - 1874), astronome et physicien suédois du XIXème siècle était un des fondateurs de la spectroscopie.
↑Max Knoll (1897 - 1969) ingénieur allemand en électricité, co-inventeur en du MET avec Ernst Ruska.
↑Pierre-Victor Auger (1899 - 1993) physicien français ayant travaillé en physique atomique, physique nucléaire et sur les rayons cosmiques, essentiellement connu pour la découverte, en , de l'émission d'« électrons Auger » lors de la désexcitation d'atomes, phénomène trouvé quasi-simultanément par Lise (Élise) Meitner. Lise (Élise) Meitner (1878 - 1968) physicienne autrichienne naturalisée suédoise, ayant découvert en le « processus Auger d'émission d'électrons lors de la désexcitation d'atomes » quasi-simultanément à la découverte de Pierre Auger, renommée aussi pour ses travaux sur la radioactivité et en physique nucléaire, jouant un rôle majeur dans la découverte de fission nucléaire ; en , le nouvel élément artificiel de numéro atomique fut baptisé meitneriumde symbole à sa mémoire.
↑ C.-à-d. la plus petite distance entre deux « sources ponctuelles » séparées en absence de collimateur le collimateur d’un détecteur est une galette dans laquelle des trous cylindriques sont percés suivant un système d’axes déterminé, seules les particules dont le parcours emprunte ces directions sont détectées en accord avec la définition du collimateur en optique géométrique, la résolution due au collimateur du détecteur est définie comme la capacité à déceler deux événements adjacents ; dans la résolution spatiale intrinsèque on ne tient donc pas compte du collimateur
↑ 65,065,165,265,3 et 65,4Louis Victor de Broglie (1892 - 1987)se prononce « Brogle » mathématicien et physicien français, essentiellement connu pour sa proposition de nature ondulatoire des électrons, ce qui lui valut le prix Nobel de physique en .
↑ En effet «», «» et «» d'où en ou encore « en » soit «» et «».
↑ Voir la note « 4 » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » définissant l'énergie totale dans la note « 4 » d'un point matériel d'énergie de masse à partir de son énergie cinétique dans le référentiel d'étude selon «».
↑ Voir la note « 4 » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » définissant l'énergie totale dans la note « 4 » d'un point matériel d'énergie de masse à partir de la norme de sa quantité de mouvement dans le référentiel d'étude selon «».
↑ En effet «», «», «» et «» d'où en ou encore « en » soit «» et «».
↑ Pour l'écart relatif de longueur d'onde de de Broglie vaut par excès et pour il vaut par excès.
↑ Si l'approximation newtonienne restait applicable aux fortes tensions accélératrices, nous aurions une résolution moins bonne que celle obtenue pratiquement