Outils mathématiques pour la physique (PCSI)/Champ vectoriel gradient de fonction scalaire de l'espace, opérateur linéaire du premier ordre “nabla” et autres champs qui en découlent

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Champ vectoriel gradient de fonction scalaire de l'espace, opérateur linéaire du premier ordre “nabla” et autres champs qui en découlent
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Chapitre no 19
Leçon : Outils mathématiques pour la physique (PCSI)
Chap. préc. :Intégrales généralisées (ou impropres)
Chap. suiv. :Vecteurs polaires ou axiaux, invariance par principe de Curie
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L'espace physique considéré dans ce chapitre étant sauf avis contraire « orienté à droite » [1].

Champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace modifier

Définition intrinsèque du gradient d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     Introduction  : nous avons étudié la caractérisation de la variation d'une fonction scalaire de l'espace dans le paragraphe « caractérisation de la variation du champ (ou de la fonction) scalaire de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » et
     Introduction ; nous avons indiqué dans le paragraphe « commentaire final » du même chap. de la même leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » qu'il existe une méthode plus compacte pour faire cette caractérisation utilisant la notion de gradient de fonction scalaire.

     Remarque : la définition du gradient du champ scalaire donnée ci-dessus est essentiellement utilisée pour déterminer les composantes
     Remarque : du champ vectoriel dans les différents repérages cartésien, cylindro-polaire ou cylindrique ou sphérique,
     Remarque : explicitation exposée dans les trois paragraphes suivants.

Composantes cartésiennes du gradient d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     Appelons « les composantes cartésiennes de »,

  • d'une part sa définition «» se réécrit «» [5] et
  • d'autre part la différentielle de s'exprime en fonction de ses dérivées partielles selon «» [3],

     des deux formes de , vraies quels que soient , et , on tire, par identification deux à deux de leurs coefficients, «» d'où :

Composantes cylindro-polaires du gradient d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     Appelons « les composantes cylindro-polaires ou cylindriques de »,

  • d'une part sa définition «» se réécrit «» [7] et
  • d'autre part la différentielle de s'exprime en fonction de ses dérivées partielles selon «» [3],

     des deux formes de , vraies quels que soient , et , on tire, par identification deux à deux de leurs coefficients, «» d'où :

Composantes sphériques du gradient d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     Appelons « les composantes sphériques de »,

  • d'une part sa définition «» se réécrit «» [10] et
  • d'autre part la différentielle de s'exprime en fonction de ses dérivées partielles selon «» [3],

     des deux formes de , vraies quels que soient , et , on tire, par identification deux à deux de leurs coefficients, «» d'où :

Caractérisation de la variation d'une fonction scalaire de l'espace à l'aide de son gradient modifier

     « traduit la variation de la grandeur dans l'espace », par exemple 
     « traduit la variation « si est un champ uniforme à et de même sens », c.-à-d.
     « traduit la variation « si, en repérage cartésien ou cylindro-polaire, « s'écrit », cela signifiera que
     « traduit la variation « si est un champ uniforme à et de même sens » « ne varie pas avec et » [13] ou « ne varie pas avec et » [13] et
     « traduit la variation « si est un champ uniforme à et de même sens » « quand », cette étant uniforme ;
     « traduit la variation variation de la températurede l’espace autour d'une conduite cylindrique verticale d'eau chaude :
     « traduit la variation variation de la températureil y a invariance de la répartition de température par rotation autour de l'axe vertical choisi comme axe ,
     « traduit la variation variation de la température il y a invarianceavec choix du repérage cylindro-polaire d'axe ne dépend pas de ,
     « traduit la variation variation de la températurel'eau étant à une température supérieure à celle de l'air ambiant, quand et
     « traduit la variation variation de la températureil est raisonnable de supposer que la « température de l'eau ne dépende pas de l'altitude » [14] ;
     « traduit la variation variation de la températurenous résumons tout ceci dans le gradient de la température au voisinage de la conduite
     « traduit la variation variation de la températurenous résumons tout ceci par gradient « radial plus précisément “axipète[15] » ;
     « traduit la variation variation de la pressiond'un lac : il y a invariance de la répartition de pression par translation horizontale suivant et , ne dépend, ni , ni de , et
     « traduit la variation variation de la pressiond'un lac : quand la profondeur l'axe vertical étant orienté dans le sens et l'origine de l'axe choisi à la surface du lac ;
     « traduit la variation variation de la pressiond'un lac : nous résumons tout ceci dans le gradient de la pression dans le lac,
     « traduit la variation variation de la pressiond'un lac : nous résumons tout ceci par gradient « vertical plus précisément ».

Propriétés du gradient d'une fonction scalaire de l'espace U relativement aux surfaces iso-U modifier

     « Une surface iso-U est une surface où » ; elle est caractérisée par lorsqu'on se déplace de façon élémentaire de à partir d'un point de cette surface en y restant [16] ;
     « Une surface iso-U à partir de «» avec un déplacement élémentaire tel que «» ou
     « Une surface iso-U à partir de «» avec un déplacement élémentaire tel que « à tous les de la surface construits à partir de »
     « Une surface iso-U à partir de «» avec un déplacement élémentaire tel que « à tous les
     « Une surface iso-U à partir de «» avec un déplacement élémentaire tel que « à la surface passant par » ou
     « Une surface iso-U à partir de «» avec un déplacement élémentaire tel que « à la surface iso-U passant par » ;

     dans les exemples considérés au paragraphe « caractérisation de la variation d'une fonction scalaire de l'espace à l'aide de son gradient » plus haut dans ce chapitre :
     dans les exemples « est radial plus précisément “axipète” [15] » et « les isothermes [17] sont des tuyaux cylindriques de révolution » [18] d'où « la perpendicularité » ;
     dans les exemples « est vertical plus précisément » et « les isobares [19] sont des plans horizontaux » [20] d'où « la perpendicularité ».

Introduction de l'opérateur vectoriel linéaire du premier ordre “nabla” modifier

Définition de l'opérateur vectoriel linéaire du premier ordre “nabla” en repérage cartésien modifier

     L'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» est, en repérage cartésien, construit sur les vecteurs de base cartésienne et
     L'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» est, en repérage cartésien, construit sur les opérateurs scalaires du 1er ordre “dérivations partielles par rapport aux coordonnées cartésiennes” [21]
     L'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” avec, pour domaine d'application, les fonctions scalaires différentiables de l'espace, soit
     L'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «».

Lien entre le champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace et l'image par l'opérateur “nabla” de cette fonction scalaire modifier

     Appliquant l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” à la fonction scalaire de l'espace «»
     Appliquant l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” à la fonction scalaire de l'espaceidentifiable à «» ;

     en conclusion on peut écrire l'application suivante «» [22] où « est une fonction scalaire différentiable de l'espace »,
     en conclusion l'image de la fonction scalaire différentiable de l'espace «» par l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» est le champ vectoriel “gradient de ” «».

Proposition de définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire du premier ordre “nabla” modifier

     Partant de la définition intrinsèque du « champ vectoriel gradient de la fonction scalaire de l'espace » à savoir
     Partant de la définition intrinsèque du «» [23] et

     y substituant l'expression équivalente «» [22] utilisant l'opérateur “nabla”
                                                on obtient «» ou, la multiplication scalaire entre vecteurs étant commutative [24],
                                                                «» ou, en mettant en évidence, dans chaque membre, un « opérateur scalaire agissant sur la fonction scalaire de l'espace »
                                                                «», les opérateurs scalaires étant « et » ;

     cette relation étant valable pour toute fonction scalaire différentiable de l'espace, on peut identifier les deux opérateurs scalaires et
     cette relation étant valable pour toute fonction scalaire différentiable de l'espace, on peut donner la définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” exposée ci-dessous :

Définition (équivalente) de l'opérateur vectoriel linéaire du premier ordre “nabla” en repérage cylindro-polaire modifier

     Selon la proposition de définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire “nabla” [26] «», « opérateur linéaire tel que » [27]
          Selon la proposition de définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire “nabla” appliquée à une fonction scalaire de l'espace, «»,
     on obtient, en explicitant le vecteur déplacement élémentaire en repérage cylindro-polaire «» [7],
     on obtient «» [28] ou
     on obtient «» ;
     parallèlement la différentielle de dans le même repérage cylindro-polaire s'écrivant «» [3] ou
     parallèlement la différentielle de dans le même repérage cylindro-polaire s'écrivant «»,
     on en déduit l'opérateur différenciation «» en repérage cylindro-polaire «» soit,
     on en déduit en identifiant membre à membre les cœfficients des éléments différentiels , et de «»,

«» «» d'où

     la définition équivalente de l'opérateur “nabla” en cylindro-polaire «» [29].

Définition (équivalente) de l'opérateur vectoriel linéaire du premier ordre “nabla” en repérage sphérique modifier

     Selon la proposition de définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire “nabla” [26] «», « opérateur linéaire tel que » [27]
          Selon la proposition de définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire “nabla” appliquée à une fonction scalaire de l'espace, «»,
     on obtient, en explicitant le vecteur déplacement élémentaire en repérage sphérique «» [10],
     on obtient «» [28] ou
     on obtient «» ;
     parallèlement la différentielle de dans le même repérage sphérique s'écrivant «» [3] ou
     parallèlement la différentielle de dans le même repérage sphérique s'écrivant «»,
     on en déduit l'opérateur différenciation «» en repérage sphérique «» soit,
     on en déduit en identifiant membre à membre les cœfficients des éléments différentiels , et de «»,

«» «» d'où

     la définition équivalente de l'opérateur “nabla” en sphérique «» [30].

En compléments : Autres champs scalaire ou vectoriel d'une fonction vectorielle ou scalaire de l'espace définis à l'aide de l'opérateur “nabla” modifier

Champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

Construction de l'opérateur du premier ordre “nabla scalaire ...” modifier

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «» est construit à partir de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» et
      L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «» est construit à partir de l'opérateur linéaire entre grandeurs vectorielles « multiplication scalaire » [31] «»,
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” avec pour domaine d'application, les fonctions vectorielles différentiables de l'espace soit
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «» en repérage cartésien [32], ou
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «» en repérage cylindro-polaire [33] ou encore
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «» en repérage sphérique [34] ;

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” « appliqué à la fonction vectorielle en représentation cartésienne
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” « » [35] ;

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” « appliqué à la fonction vectorielle en représentation cylindro-polaire
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” « » [36] ;

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” « appliqué à la fonction vectorielle en représentation sphérique
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” « » [37].

Définition du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace par l'image que donne l'opérateur “nabla scalaire ...” de cette fonction vectorielle modifier

     Appliquant l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” [38] au champ vectoriel de l'espace on obtient l'« image » définissant
         Appliquant l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” au champ vectoriel de l'espace on obtientle « champ scalaire divergence du champ vectoriel» «» [39] ;

     en conclusion le « champ scalaire divergence de la fonction vectorielle différentiable de l'espace » résulte de l'application suivante «».

Expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en cartésien modifier

     En cartésien «», ce qui donne [40] :

Expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en cylindro-polaire modifier

     En cylindro-polaire «», ce qui donne [41] :

Expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en sphérique modifier

     En sphérique «», ce qui donne [43] :

Définition intrinsèque (équivalente) du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

     La « divergence du champ vectoriel »
     La « divergence est le « champ scalaire défini en » par le « quotient du flux élémentaire de à travers une surface élémentaire fermée entourant
     La « divergence est le « champ scalaire défini en » par le « quotient du flux élémentaire sur le volume élémentaire mesurant l'intérieur de » [45] soit
     La « divergence est «» [45], [46] avec « vecteur surface élémentaire en entourant »,
                                      La « divergence est «» avec « vecteur surface orienté vers l'extérieur,
                                      La « divergence est «» l'intérieur de cette surface fermée étant de volume .

Justification de l'équivalence entre la définition intrinsèque du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace et celle de l'image de cette fonction vectorielle par l'opérateur “nabla scalaire ...” modifier

     Ayant obtenu l'« image de la fonction vectorielle par l'opérateur linéaire du 1er ordre » dans tous les « repérages précédemment introduits » [47], [48], il nous suffit de « retrouver l'expression de l'image dans le repérage choisi à partir de la définition intrinsèque du champ scalaire divergence de » [49].

Justification en repérage cartésien modifier

     Pour cela « on considère, à partir du point , l'expansion tridimensionnelle élémentaire parallélépipédique de longueur suivant , suivant et suivant », « la surface fermée limitant cette expansion tridimensionnelle élémentaire étant orientée vers l'extérieur » ;
     on évalue alors le « flux élémentaire à travers du champ vectoriel , noté »,
     on évalue alors le « flux élémentaire à travers en faisant la somme des flux élémentaires à travers les six faces orientées du parallélépipède [50], soit
     on évalue alors le «», avec
     on évalue alors le «» [51], «» [52] et
     on évalue alors le «» [53] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
     on évalue alors le «» [54],
     on évalue alors le «» [54] et
     on évalue alors le «» [54] soit
     on évalue alors le en ajoutant tous les termes, en mettant en facteur l'élément de volume commun «» puis,
     on évalue alors le en ajoutant tous les termes, en divisant par ce dernier, pour obtenir l'expression de par définition intrinsèque [55]
     on évalue alors le «» dans lequel
                                                  on évalue alors le «» [56] d'où
                                on évalue alors le «» définissant toutes deux «», « la 1ère de façon intrinsèque » et « la 2nde par opérateur » C.Q.F.D. [57].

Justification en repérage cylindro-polaire modifier

     On se propose de refaire la justification en repérage cylindro-polaire, essentiellement dans le but de trouver une façon plus élégante de déterminer l'expression de dans ce repérage ;
     pour cela « on considère, à partir du point , l'expansion tridimensionnelle élémentaire d'une portion d'un tuyau cylindrique de révolution d'axe , d'épaisseur suivant , d'ouverture angulaire suivant et de hauteur suivant », « la surface fermée limitant cette expansion tridimensionnelle élémentaire étant orientée vers l'extérieur » ;
     on évalue alors le « flux élémentaire à travers du champ vectoriel , noté »,
     on évalue alors le « flux élémentaire à travers en faisant la somme des flux élémentaires à travers les six faces orientées de [50], soit
     on évalue alors le «», avec
     on évalue alors le «» [58], «» [59] et
     on évalue alors le «» [60] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
     on évalue alors le «» [61]
     on évalue alors le «» [54] et
     on évalue alors le «» [54] soit
     on évalue alors le en ajoutant tous les termes, en mettant en facteur l'élément de volume commun «» puis,
     on évalue alors le en ajoutant tous les termes, en divisant par ce dernier, pour obtenir l'expression de par définition intrinsèque [55]
     on évalue alors le «» dans lequel
                                                  on évalue alors le «» [62] d'où
                                on évalue alors le «» définissant toutes deux «», « la 1ère de façon intrinsèque » et « la 2nde par opérateur » C.Q.F.D. [57].

Justification en repérage sphérique modifier

     La justification en repérage sphérique est plus laborieuse, elle constitue néanmoins une façon plus élégante mais aussi plus délicate de déterminer l'expression de [63] ;
     pour cela « on considère, à partir du point , l'expansion tridimensionnelle élémentaire d'une portion de boule de centre , d'épaisseur suivant , d'ouverture de colatitude suivant et d'ouverture de longitude suivant », « la surface fermée limitant cette expansion tridimensionnelle élémentaire étant orientée vers l'extérieur » ;
     on évalue alors le « flux élémentaire à travers du champ vectoriel , noté »,
     on évalue alors le « flux élémentaire à travers en faisant la somme des flux élémentaires à travers les six faces orientées de [50], soit
     on évalue alors le «»,
on évalue alors avec «» [64],
     on évalue alors le «» [65] et
     on évalue alors le «» [66] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
     on évalue alors le «
     on évalue alors le « » [67]
     on évalue alors le «
     on évalue alors le « » [68] et
     on évalue alors le «» [54] soit
     on évalue alors le en ajoutant tous les termes, en mettant en facteur l'élément de volume commun «» puis,
     on évalue alors le en ajoutant tous les termes, en divisant par ce dernier, pour obtenir l'expression de par définition intrinsèque [55]
     on évalue alors le «» dans lequel
                                                  on évalue alors le «» [69] d'où
                                on évalue alors le «» définissant toutes deux «», « la 1ère de façon intrinsèque » et « la 2nde par opérateur » C.Q.F.D. [57].

Champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

Construction de l'opérateur linéaire du premier ordre “nabla vectoriel ...” modifier

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «» est construit à partir de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» et
      L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «» est construit à partir de l'opérateur linéaire entre grandeurs vectorielles « multiplication vectorielle » [70] «»,
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” avec pour domaine d'application, les fonctions vectorielles différentiables de l'espace soit
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «» en repérage cartésien [32], ou
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «» en repérage cylindro-polaire [33] ou encore
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «» en repérage sphérique [34] ;

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” « appliqué à la fonction vectorielle en représentation cartésienne
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «
                                                                             L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” « » [71] ;

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” « appliqué à la fonction vectorielle en représentation cylindro-polaire
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «
                                                                                L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” « » [72] ;

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” « appliqué à la fonction vectorielle en représentation sphérique
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «
                                                                                                                                                                                                             L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...”
     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «
                                          L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «
                                                            L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” « » [73].

Définition du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace par l'image que donne l'opérateur “nabla vectoriel ...” de cette fonction vectorielle modifier

     Appliquant l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” [74] au champ vectoriel de l'espace on obtient l'« image » définissant
         Appliquant l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” au champ vectoriel de l'espace on obtientle « champ vectoriel rotationnel du champ vectoriel» «» [75] ;

     en conclusion le « champ vectoriel rotationnel de la fonction vectorielle différentiable de l'espace » résulte de l'application suivante «».

Expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en cartésien modifier

     En cartésien «», ce qui donne [76], [77] :

Expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en cylindro-polaire modifier

     En cylindro-polaire «», ce qui donne [78], [79] :

Expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en sphérique modifier

     En sphérique «», [80], [81] :

Définition intrinsèque (équivalente) du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

     Le « rotationnel du champ vectoriel »
     Le « rotationnel est le « champ vectoriel défini en » dont le « flux élémentaire à travers une surface élémentaire ouverte [83] entourant
     Le « rotationnel est le « champ vectoriel défini en » dont le « flux élémentaire est égal à la circulation du champ le long du contour fermé [84]
     Le « rotationnel est le « champ vectoriel défini en » dont le « flux élémentaire est égal à la circulation du champ limitant la surface élémentaire » soit,
     Le « rotationnel est tel que «» ou
     Le « rotationnel est tel que «» [83], [84] avec « vecteur surface élémentaire de la surface ouverte en », « le contour fermé
                                                                                                              Le « rotationnel est tel que limitant la surface ouverte orienté en accord avec l'orientation de la surface
                                                                                                              Le « rotationnel est tel que limitant la surface ouverte orienté en accord avec l'orient ouverte » [85].

Justification de l'équivalence entre la définition intrinsèque du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace et celle de l'image de cette fonction vectorielle par l'opérateur “nabla vectoriel ...” modifier

     Ayant obtenu l'« image de la fonction vectorielle par l'opérateur linéaire du 1er ordre » dans tous les « repérages précédemment introduits » [47], [86], il nous suffit de « retrouver l'expression de l'image dans le repérage choisi à partir de la définition intrinsèque du champ vectoriel rotationnel de » [87] ;

     la méthode la plus simple, dans un repérage donné, consiste à choisir une surface élémentaire ouverte à un des trois vecteurs de base du repérage, le flux élémentaire du vecteur à travers cette surface ne faisant intervenir que la composante de sur le vecteur de base choisi, le calcul de la circulation de le long du contour limitant la surface , ne permet de vérifier que la composante sur ce vecteur de base et par suite

     la méthode la plus simple, dans un repérage donné, il faut recommencer la vérification sur deux autres surfaces élémentaires ouvertes aux deux autres des trois vecteurs de base du repérage

Justification en repérage cartésien modifier

     Pour cela « on considère, à partir du point , l'expansion surfacique élémentaire rectangulaire de longueur suivant et suivant , orientée dans le sens de »,
     Pour cela « on considère, à partir du point , « le contour fermé limitant étant orienté de vers en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés du rectangle [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [88] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [89] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] soit, en faisant la somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «»
                                                                                                                                           on exprime alors la « circulation élémentaire « avec aire de [90] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire rectangulaire limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [91] C.Q.F.D. [57].

     Puis « on considère, à partir du point , l'expansion surfacique élémentaire rectangulaire de longueur suivant et suivant , orientée dans le sens de »,
     Puis « on considère, à partir du point , « le contour fermé limitant étant orienté de vers en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés du rectangle [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [92] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [93] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] soit, en faisant la somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «»
                                                                                                                                           on exprime alors la « circulation élémentaire « avec aire de [90] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire rectangulaire limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [91].

     Enfin « on considère, à partir du point , l'expansion surfacique élémentaire rectangulaire de longueur suivant et suivant , orientée dans le sens de »,
     Puis « on considère, à partir du point , « le contour fermé limitant étant orienté de vers en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés du rectangle [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [94] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [95] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] soit, en faisant la somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «»
                                                                                                                                           on exprime alors la « circulation élémentaire « avec aire de [90] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire rectangulaire limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [91].

     En conclusion « avec » définissant toutes deux «» « la 1ère de façon intrinsèque » et « la 2nde par opérateur » C.Q.F.D. [57].

Justification en repérage cylindro-polaire modifier

     Pour cela « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire cylindrique de hauteur suivant et d'arc suivant , orientée dans le sens de »,
     Pour cela « on considère, à partir de , « le contour fermé limitant étant orienté sur l'arc de cercle de cote dans le sens de
     Pour cela « on considère, à partir de , « le contour fermé limitant étant orienté en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés de [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [96] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [97] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] soit, en faisant la somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «»
                                                                                                                                                                             on exprime alors la « circulation élémentaire avec aire de [98] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire cylindrique limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [99] C.Q.F.D. [57].

     Puis « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire rectangulaire de hauteur suivant et de largeur suivant , orientée dans le sens de »,
     Puis « on considère, à partir de , « le contour fermé limitant étant orienté sur le rayon de cote dans le sens de en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés de [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [100] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [101] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] par somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «»
                                                                                                                                                                 on exprime alors la « circulation élémentaire avec aire de [98] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire rectangulaire limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [99] C.Q.F.D. [57].

     Enfin « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire sectorielle de largeur suivant , d'ouverture angulaire suivant , orientée dans le sens de »,
     Enfin « on considère, à partir de , « le contour fermé limitant étant orienté sur l'arc de rayon dans le sens de en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés de [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [102] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [103] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] soit,
                                   on exprime alors la « circulation élémentaire « en faisant la somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» avec
                                                                                                                                                                                                                  on exprime alors la « circulation élémentaire aire de [98] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire sectorielle limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [99] C.Q.F.D. [57].

     En conclusion « avec » définissant toutes deux «» « la 1ère de façon intrinsèque » et « la 2nde par opérateur » C.Q.F.D. [57].

Justification en repérage sphérique modifier

     Pour cela « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire sphérique de rayon , d'ouvertures angulaires suivant , suivant ,
     Pour cela « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire sphérique orientée dans le sens de »
     Pour cela « on considère, à partir de , « le contour fermé limitant étant orienté sur l'arc de cercle de colatitude dans le sens de
     Pour cela « on considère, à partir de , « le contour fermé limitant étant orienté en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés de [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [104] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [105] ; en regroupant les termes deux à deux
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «
  on exprime alors la « circulation élémentaire « » [54] soit, en faisant la somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «»
                                                                                                                                                                on exprime alors la « circulation élémentaire avec aire de [106] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire sphérique limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [107] C.Q.F.D. [57].

     Puis « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire tronconique d'apothème [108] suivant et d'ouverture angulaire suivant ,
     Puis « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire tronconique orientée dans le sens de »,
     Puis « on considère, à partir de , « le contour fermé limitant étant orienté sur le rayon de longitude dans le sens de en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés de [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [109] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [110] ; regroupant les termes deux à deux
                                                    on exprime alors la « circulation élémentaire «» nous obtenons :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «
  on exprime alors la « circulation élémentaire « » [54] soit, en faisant la somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «»
                                                                                                                                                                 on exprime alors la « circulation élémentaire avec aire de [106] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire tronconique limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [107] C.Q.F.D. [57].

     Enfin « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire méridienne de hauteur suivant et d'ouverture angulaire suivant ,
     Enfin « on considère, à partir de , l'expansion surfacique élémentaire méridienne orientée dans le sens de »,
     Enfin « on considère, à partir de , « le contour fermé limitant étant orienté sur le rayon de colatitude dans le sens de en accord avec l'orientation de » [85] ;
     on exprime alors la « circulation élémentaire le long de du champ vectoriel » [84],
     on exprime alors la « circulation élémentaire en faisant la somme des circulations le long des quatre côtés orientés de [28], soit
  on exprime alors la « circulation élémentaire «», avec
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [111] et
     on exprime alors la « circulation élémentaire «» [84], [112] ; regroupant les termes deux à deux nous obtenons :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] et
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» [54] soit,
                                   on exprime alors la « circulation élémentaire « en faisant la somme :
  on exprime alors la « circulation élémentaire «» avec
                                                                                                                                                                                                                  on exprime alors la « circulation élémentaire aire de [106] ;

     on exprime alors l'expansion surfacique élémentaire méridienne limitée par étant orientée par , son vecteur surface élémentaire s'écrit «» et
     on exprime alors le « flux élémentaire du champ vectoriel à travers s'écrit » [83] ;
     on exprime alors de ou on en déduit
   on exprime alors de ou «» [107] C.Q.F.D. [57].

     En conclusion « avec » définissant toutes deux «» « la 1ère de façon intrinsèque » et « la 2nde par opérateur » C.Q.F.D. [57].

Champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace modifier

Construction de l'opérateur linéaire du second ordre “nabla scalaire nabla” modifier

     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «» est construit à partir de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» et
     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «» est construit à partir de l'opérateur linéaire entre grandeurs vectorielles « multiplication scalaire » [31] «»,
     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” avec pour domaine d'application, les fonctions scalaires deux fois différentiables de l'espace soit
                                                        en repérage cartésien «[32]
                                                        en repérage cartésien « » [35], [113], ou
                                              en repérage cylindro-polaire «» [33]
                                              en repérage cylindro-polaire « » [114] ou
                                                      en repérage sphérique «
                                                                                                                                  en repérage sphérique « [34]
                                                      en repérage sphérique « » [115],

     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” « appliqué à la fonction scalaire en représentation cartésienne
     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «
     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” « » ;

     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” « appliqué à la fonction scalaire en représentation cylindro-polaire
     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «
     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” « » ;

     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” « appliqué à la fonction scalaire en représentation sphérique
     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «
                                                                 L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «
     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” « ».

Définition du champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace par l'image de l'opérateur “nabla scalaire nabla” sur cette fonction scalaire modifier

     Appliquant l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” au champ scalaire de l'espace on obtient l'« image scalaire » définissant
   Appliquant l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” au champ scalaire de l'espace on obtientle « champ scalaire laplacien [116] du champ scalaire » [117] «» ;

     en conclusion « le champ scalaire laplacien [116] de la fonction scalaire deux fois différentiable de l'espace » résulte de l'application suivante «».

Expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace en cartésien modifier

     En cartésien «» [118], ce qui donne [35], [113] :

Expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace en cylindro-polaire modifier

     En cylindro-polaire «» [118], ce qui donne [114] :

Expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace en sphérique modifier

     En sphérique «» [118], ce qui donne [115] :

Définition intrinsèque (équivalente) du champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     À la fonction scalaire on associe par l'opérateur vectoriel “nabla”
     À la fonction scalaire on associe le champ vectoriel gradient de la fonction scalaire selon «» [124], puis
     à la fonction vectorielle on associe par l'opérateur “nabla scalaire ...”
     à la fonction vectorielle on associe le champ scalaire divergence de la fonction vectorielle selon «» [125] ;
     en composant les deux opérateurs on a donc «» ou
     en composant les deux opérateurs on a donc « s'identifiant à » d'où
     en composant les deux opérateurs on a donc la définition intrinsèque équivalente du champ scalaire laplacien [116] d'une fonction scalaire de l'espace :


Expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace par définition intrinsèque modifier

     La façon la plus simple de déterminer l'expression du laplacien [116] de la fonction scalaire dans n'importe quel repérage
     La façon la plus simple est d'« utiliser sa définition intrinsèque » avec les « expressions de la divergence et du gradient dans le repérage considéré ».

Expression cartésienne du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace par définition intrinsèque modifier

     Nous allons donc appliquer l'expression de la divergence en représentation cartésienne à celle du gradient de la fonction scalaire deux fois différentiable dans la même représentation soit :

  • expression cartésienne de : «» [126] et
  • expression cartésienne de : «» [127] d'où
  • expression cartésienne de : «
    expression cartésienne de : « » [119] C.Q.F.D. [57].
Expression cylindro-polaire du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace par définition intrinsèque modifier

     Nous appliquons l'expression de la divergence en représentation cylindro-polaire à celle du gradient de la fonction scalaire deux fois différentiable dans la même représentation soit :

  • expression cylindro-polaire de : «» [128] et
  • expression cylindro-polaire de : «» [129] d'où
  • expression cylindro-polaire de : «
    expression cylindro-polaire de : « » [130] C.Q.F.D. [57].
Expression sphérique du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace par définition intrinsèque modifier

     Nous appliquons l'expression de la divergence en représentation sphérique à celle du gradient de la fonction scalaire deux fois différentiable dans la même représentation soit :

  • expression sphérique de : «» [131] et
  • expression sphérique de : «» [132] d'où
  • expression sphérique de : «
    expression sphérique de : « [118]
    expression sphérique de : « » [118], [133] C.Q.F.D. [57].

Notes et références modifier

  1. Voir l'« introduction du paragraphe produit vectoriel de deux vecteurs (pour la signification d'espace orienté à droite) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  2. La circulation élémentaire d'un champ vectoriel est voir paragraphe « circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace le long d'une courne continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 et 3,5 Voir le paragraphe « définition de la différentielle d'une fonction de deux variables indépendantes » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », définition généralisée à une fonction scalaire de trois variables indépendantes.
  4. Ou, de façon plus concise «» définition à connaître sans hésitation.
  5. Voir le paragraphe « expression du vecteur déplacement élémentaire d'un point en repérage cartésien » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  6. Peut servir de définition équivalente du gradient d'une fonction scalaire de l'espace en repérage cartésien mais ne dispense pas de retenir la définition intrinsèque.
  7. 7,0 et 7,1 Voir le paragraphe « expression du vecteur déplacement élémentaire d'un point en repérage cylindro-polaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  8. Peut servir de définition équivalente du gradient d'une fonction scalaire de l'espace en repérage cylindro-polaire mais ne dispense pas de retenir la définition intrinsèque.
  9. Les composantes de gradient de s'exprimant en avec désignant l'unité de et la dérivée partielle de relativement à un angle s'exprimant en , un facteur homogène à l'inverse d'une longueur précédant la dérivée partielle de relativement à est nécessaire pour des raisons dimensionnelles ; le cœfficient précédant la dérivée partielle relativement à en l'occurrence  est l'inverse de celui qui précède l'élément différentiel en l'occurrence  dans le vecteur déplacement élémentaire en cylindro-polaire .
  10. 10,0 et 10,1 Voir le paragraphe « expression du vecteur déplacement élémentaire d'un point en repérage sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  11. Peut servir de définition équivalente du gradient d'une fonction scalaire de l'espace en repérage sphérique mais ne dispense pas de retenir la définition intrinsèque.
  12. Les composantes de gradient de s'exprimant en avec désignant l'unité de et les dérivées partielles de relativement à un angle s'exprimant en , un facteur homogène à l'inverse d'une longueur précédant la dérivée partielle de relativement à et celle de relativement à est nécessaire pour des raisons dimensionnelles ;
       le cœfficient précédant la dérivée partielle relativement à en l'occurrence  et celui précédant la dérivée partielle relativement à en l'occurrence  sont respectivement l'inverse de celui qui précède l'élément différentiel en l'occurrence  et de celui qui précède l'élément différentiel en l'occurrence  dans le vecteur déplacement élémentaire en sphérique .
  13. 13,0 et 13,1 n'ayant pas de composantes sur et sur ou n'ayant pas de composantes sur et sur .
  14. Si le débit de l'eau dans la conduite n'est pas trop lent.
  15. 15,0 et 15,1 Lacune actuelle de la langue française, le seul terme existant étant « centripète » utilisé dans le repérage sphérique pour un « champ radial et dirigé vers le pôle », mais aucun terme équivalent en cylindro-polaire pour un “champ radial et dirigé vers l'axe” l'usage est alors de qualifier ce champ de “ centripète ”, mais ce n'est pas correct étymologiquement d'où le remplacement par “axipète” Attention cet adjectif ne figure pas encore dans la langue française.
  16. C.-à-d. en se déplaçant dans le plan tangent à la surface en .
  17. C.-à-d. les surfaces iso-.
  18. D'équation .
  19. C.-à-d. les surfaces iso-.
  20. D'équation .
  21. Voir le paragraphe « définition des dérivées partielles » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  22. 22,0 et 22,1 Pour l'instant ce n'est vérifié qu'en repérage cartésien, mais cela reste valable dans tous les repérages.
  23. Voir le paragraphe « définition intrinsèque du gradient d'une fonction scalaire de l'espace » plus haut dans ce chapitre.
  24. Voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire, 1ère propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  25. Pour l'instant le domaine d'application de cet opérateur scalaire est l'ensemble des fonctions scalaires différentiables de l'espace mais nous verrons ultérieurement qu'il peut aussi s'appliquer à une fonction vectorielle différentiable de l'espace.
  26. 26,0 et 26,1 Admettre cette définition revient à dire qu'elle est valable quel que soit le repérage.
  27. 27,0 et 27,1 Voir le paragraphe « proposition de définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” » plus haut dans ce chapitre.
  28. 28,00 28,01 28,02 28,03 28,04 28,05 28,06 28,07 28,08 28,09 et 28,10 La multiplication scalaire étant distributive relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  29. Pour établir les composantes cylindro-polaires de l'opérateur “nabla” on peut aussi utiliser le lien, établi en cartésien, entre le champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace et l'image par l'opérateur “nabla” de cette fonction scalaire en admettant qu'il reste valide en cylindro-polaire
  30. Pour établir les composantes sphériques de l'opérateur “nabla” on peut aussi utiliser le lien, établi en cartésien, entre le champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace et l'image par l'opérateur “nabla” de cette fonction scalaire en admettant qu'il reste valide en sphérique
  31. 31,0 et 31,1 On admet l'applicabilité de la notion de multiplication scalaire avec au moins une des grandeurs vectorielles remplacée par un opérateur vectoriel comme l'opérateur “nabla” «», la définition utilisée étant alors celle du paragraphe « définition du produit scalaire de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  32. 32,0 32,1 et 32,2 Voir le paragraphe « définition de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” en repérage cartésien » plus haut dans ce chapitre.
  33. 33,0 33,1 et 33,2 Voir le paragraphe « définition (équivalente) de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” en repérage cylindro-polaire » plus haut dans ce chapitre.
  34. 34,0 34,1 et 34,2 Voir le paragraphe « définition (équivalente) de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” en repérage sphérique » plus haut dans ce chapitre.
  35. 35,0 35,1 et 35,2 Expression obtenue en permutant dérivation partielle et multiplication scalaire entre grandeurs vectorielles,
       Expression obtenue en utilisant la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
       Expression obtenue en sachant que les vecteurs de base cartésienne sont constants et qu'ils forment une base orthonormée.
  36. Expression obtenue en permutant dérivation partielle et multiplication scalaire entre grandeurs vectorielles,
       Expression obtenue en utilisant la formule de dérivation de deux fonctions dont l'une est vectorielle, cette dernière ne dépendant que d'une variable,
       Expression obtenue sachant que les deux 1ers vecteurs de base cylindro-polaire dépendent de , le 3ème étant constant et qu'ils forment une base orthonormée ;
       compte tenu de la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » on trouve, après développement, une somme de neuf termes :
    • «»,
    • «»,
    • «»,
    • «» en effet on utilise correspondant à la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    • «» en effet on utilise correspondant à la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    • «»,
    • «»,
    • «» et
    • «».
  37. Expression obtenue en permutant dérivation partielle et multiplication scalaire entre grandeurs vectorielles,
       Expression obtenue en utilisant la formule de dérivation de deux fonctions dont l'une est vectorielle, cette dernière pouvant dépendre de deux variables,
       Expression obtenue sachant que les deux 1ers vecteurs de base sphérique dépendent de et , le 3ème ne dépendant que de et qu'ils forment une base orthonormée ;
       compte tenu de la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » on trouve, après développement, une somme de neuf termes :
    • «»,
    • «»,
    • «»,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan figé relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan figé relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • «»,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la décomposition de dans la base polaire du plan méridien et la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la décomposition de dans la base polaire du plan méridien et la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » et
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » puis la décomposition de dans la base sphérique.
  38. Voir le paragraphe « construction de l'opérateur du 1er ordre “nabla scalaire ...” » plus haut dans ce chapitre.
  39. Comme pour le « champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire » qui a « une définition intrinsèque voir « ici » plus haut dans ce chapitre» et
       Comme pour le « champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire » qui a « une définition utilisant l'opérateur vectoriel “nabla” voir «  » plus haut dans ce chapitre»,
       Comme pour le « champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace » a « une définition utilisant l'opérateur “nabla scalaire ...” énoncée ici» mais aussi
       Comme pour le « champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace » a « une définition intrinsèque voir le paragraphe « définition (équivalente) du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace » plus loin dans ce chapitre».
  40. Voir l'explication à la note « 35 » plus haut dans ce chapitre.
  41. Voir l'explication à la note « 36 » plus haut dans ce chapitre.
  42. On vérifie l'identité de ces deux expressions car «»
  43. Voir l'explication à la note « 37 » plus haut dans ce chapitre.
  44. On vérifie l'identité de ces deux expressions car d'une part «» et
       On vérifie l'identité de ces deux expressions car d'autre part «»
  45. 45,0 et 45,1 Le flux élémentaire d'un champ vectoriel à travers une surface ouverte est défini par «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation (flux élémentaire d'un champ vectoriel) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ou le paragraphe « définition du flux élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace tridimensionnel » du chap. de la même leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ;
       Ici la surface élémentaire étant fermée, il faut la décomposer en éléments de surface infiniment petits relativement à et le flux élémentaire de à travers la surface fermée est défini par «» avec « vecteur surface élémentaire en de la surface élémentaire fermée entourant », vecteur orienté vers l'extérieur le flux est alors qualifié de « sortant » voir le paragraphe « définition du flux sortant d'un champ vectoriel de l'espace tridimensionnel à travers une surface fermé » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  46. Ou, de façon plus concise «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  47. 47,0 et 47,1 Parmi les repérages introduits ceux qui sont valables pour tous les points de l'espace c.-à-d. « cartésien », « cylindro-polaire » et « sphérique » le repérage de Frenet nécessitant de connaître la courbe n'est donc valable que localement sur cette courbe mais il existe d'autres repérages non introduits valables pour tous les points de l'espace comme
                        Parmi le « repérage bifocale » substituant les coordonnées du repérage sphérique d'un point dans le demi-plan méridien par distance respective du point à deux points fixes de l'axe symétriques par rapport à , notés pour , pour et appelés « foyers du repérage »
  48. Comme, par exemple, dans le repérage cartésien «».
  49. Et il faudrait faire de même dans les deux autres repérages
  50. 50,0 50,1 et 50,2 L'orientation de chaque face pointant vers l'extérieur de l'expansion tridimensionnelle élémentaire.
  51. La face à , d'abscisse est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       la face à , d'abscisse est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       l'ordonnée et la cote du point générique de chaque face sont notées et , elles peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour l'ordonnée et n'importe quelle valeur entre et pour la cote.
  52. La face à , d'ordonnée est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       la face à , d'ordonnée est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       l'abscisse et la cote du point générique de chaque face sont notées et , elles peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour l'abscisse et n'importe quelle valeur entre et pour la cote.
  53. La face à , de cote est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       la face à , de cote est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       l'abscisse et l'ordonnée du point générique de chaque face sont notées et , elles peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour l'abscisse et n'importe quelle valeur entre et pour l'ordonnée.
  54. 54,00 54,01 54,02 54,03 54,04 54,05 54,06 54,07 54,08 54,09 54,10 54,11 54,12 54,13 54,14 54,15 54,16 54,17 54,18 54,19 54,20 54,21 54,22 et 54,23 Par généralisation de l'« approximation linéaire d'une fonction scalaire d'une variable au voisinage d'une de ses valeurs » vue au chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » à une fonction scalaire de plusieurs variables indépendantes, la dérivée droite étant remplacée par la dérivée partielle relativement à la variable dont on cherche l'approximation au voisinage d'une de ses valeurs, les autres variables étant figées.
  55. 55,0 55,1 et 55,2 En fait la définition intrinsèque de nécessite que l'expansion tridimensionnelle de volume soit limitée par une surface fermée entourant ,
       ici le point , ce n'est donc qu'une approximation de mais le centre de étant infiniment proche de , la définition intrinsèque reste applicable en à des infiniment petits d'ordre supérieur près.
  56. Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en cartésien » plus haut dans ce chapitre.
  57. 57,00 57,01 57,02 57,03 57,04 57,05 57,06 57,07 57,08 57,09 57,10 57,11 57,12 57,13 57,14 et 57,15 Ce Qu'il Fallait Démontrer.
  58. La face cylindrique de rayon est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       la face cylindrique de rayon est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       l'abscisse angulaire et la cote du point générique de chaque face sont notées et , elles peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour l'abscisse angulaire et n'importe quelle valeur entre et pour la cote ;
       attention les aires des deux portions de faces cylindriques en regard ne sont pas égales, la différence provient du fait que les rayons des tuyaux cylindriques n'étant pas les mêmes, les arcs correspondant à sur chaque tuyau ne sont pas de même longueur.
  59. La face au méridien, d'abscisse angulaire est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est
       la face au méridien, d'abscisse angulaire est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       le rayon polaire et la cote du point générique de chaque face sont notés et , ils peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour le rayon polaire et n'importe quelle valeur entre et pour la cote.
  60. La face à , de cote est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est
       la face à , de cote est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       le rayon polaire et l'abscisse angulaire du point générique de chaque face sont notés et , ils peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour le rayon polaire et n'importe quelle valeur entre et pour l'abscisse angulaire.
  61. Observant une différence de valeurs de la fonction entre celle pour et celle pour , on peut réécrire
       Observant la somme des deux termes, « après factorisation par », selon «»,
       puis, on peut utiliser l'approximation linéaire à la fonction voir la note « 54 » plus haut dans ce chapitre.
  62. Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en cylindro-polaire » plus haut dans ce chapitre.
  63. Surtout intéressante dans le cas de champs vectoriels particuliers pour lesquels il ne reste qu'une seule composante sphérique comme les champs vectoriels radiaux «».
  64. La face sphérique de rayon est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       la face sphérique de rayon est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       la colatitude et la longitude du point générique de chaque face sont notées et , elles peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour la colatitude et n'importe quelle valeur entre et pour la longitude ;
       attention les aires des deux portions de faces sphériques en regard ne sont pas égales, la différence provient du fait que les rayons des sphères n'étant pas les mêmes, les arcs correspondant à et à ne sont pas de même longueur.
  65. La face au parallèle, de colatitude est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est
       la face au parallèle, de colatitude est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       le rayon polaire et la longitude du point générique de chaque face sont notés et , ils peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour le rayon polaire et n'importe quelle valeur entre et pour la longitude ;
       attention les aires des deux portions de faces en regard ne sont pas égales, la différence provient du fait que les colatitudes n'étant pas les mêmes, les rayons des parallèles sont différents et les arcs correspondant à ne sont pas de même longueur.
  66. La face au méridien, de longitude est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est
       la face au méridien, de longitude est d'aire , le vecteur surface étant orienté vers l'extérieur, son vecteur normal est  ;
       le rayon polaire et la colatitude du point générique de chaque face sont notés et , ils peuvent prendre n'importe quelle valeur entre et pour le rayon polaire et n'importe quelle valeur entre et pour la colatitude.
  67. Observant une différence de valeurs de la fonction entre celle pour et celle pour , on peut réécrire la somme des deux termes, « après factorisation par »,
       Observant selon «»,
       puis, on peut utiliser l'approximation linéaire à la fonction voir la note « 54 » plus haut dans ce chapitre.
  68. Observant une différence de valeurs de la fonction entre celle pour et celle pour , on peut réécrire la somme des deux termes, « après factorisation par »,
       Observant selon «»,
       puis, on peut utiliser l'approximation linéaire à la fonction voir la note « 54 » plus haut dans ce chapitre.
  69. Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en sphérique » plus haut dans ce chapitre.
  70. On admet l'applicabilité de la notion de multiplication vectorielle avec au moins une des grandeurs vectorielles remplacée par un opérateur vectoriel comme l'opérateur “nabla” «», la définition utilisée étant alors celle du paragraphe « définition du produit vectoriel de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  71. Expression obtenue en permutant dérivation partielle et multiplication vectorielle entre grandeurs vectorielles,
       Expression obtenue en utilisant la distributivité de la multiplication vectorielle relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
       Expression obtenue en sachant que les vecteurs de base cartésienne sont constants, qu'ils forment une base orthonormée directe d'un espace orienté à droite Voir l'« introduction du paragraphe produit vectoriel de deux vecteurs (pour la signification d'espace orienté à droite) » et le paragraphe « base directe d'un espace orienté à droite » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », cette dernière définition utilisant la règle de la main droite voir la description de celle-ci et d'autres règles identiques dans la note « 17 » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » , et et en utilisant la propriété d'anticommutativité de la multiplication vectorielle voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle, 1ère propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  72. Expression obtenue en permutant dérivation partielle et multiplication vectorielle entre grandeurs vectorielles,
       Expression obtenue en utilisant la formule de dérivation de deux fonctions dont l'une est vectorielle, cette dernière ne dépendant que d'une variable,
       Expression obtenue sachant que les deux 1ers vecteurs de base cylindro-polaire dépendent de , le 3ème étant constant, qu'ils forment une base orthonormée , et et en utilisant la propriété d'anticommutativité de la multiplication vectorielle voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle, 1ère propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ;
       compte tenu de la distributivité de la multiplication vectorielle relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » on trouve, après développement, une somme de neuf termes :
    • «»,
    • «»,
    • «»,
    • «» en effet on utilise correspondant à la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    • «» en effet on utilise correspondant à la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    • «»,
    • «»,
    • «» et
    • «».
  73. Expression obtenue en permutant dérivation partielle et multiplication vectorielle entre grandeurs vectorielles,
       Expression obtenue en utilisant la formule de dérivation de deux fonctions dont l'une est vectorielle, cette dernière pouvant dépendre de deux variables,
       Expression obtenue sachant que les deux 1ers vecteurs de base sphérique dépendent de et , le 3ème ne dépendant que de , qu'ils forment une base orthonormée , et et en utilisant la propriété d'anticommutativité de la multiplication vectorielle voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle, 1ère propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ; ;
       compte tenu de la distributivité de la multiplication vectorielle relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » on trouve, après développement, une somme de neuf termes :
    • «»,
    • «»,
    • «»,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan figé relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan figé relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • «»,
    • « » en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la décomposition de dans la base polaire du plan méridien et la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • « »en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la décomposition de dans la base polaire du plan méridien et la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » et
    • « » en effet on utilise voir le paragraphe « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » puis la décomposition de dans la base sphérique.
  74. Voir le paragraphe « construction de l'opérateur du 1er ordre “nabla vectoriel ...” » plus haut dans ce chapitre.
  75. Comme pour le « champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire » qui a « une définition intrinsèque voir « ici » plus haut dans ce chapitre» et
       Comme pour le « champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire » qui a « une définition utilisant l'opérateur vectoriel “nabla” voir «  » plus haut dans ce chapitre»,
       Comme pour le « champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace » a « une définition utilisant l'opérateur “nabla vectoriel ...” énoncée ici» mais aussi
       Comme pour le « champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace » a « une définition intrinsèque voir le paragraphe « définition intrinsèque (équivalente) du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace » plus loin dans ce chapitre».
  76. Voir l'explication à la note « 71 » plus haut dans ce chapitre.
  77. Cette méthode est applicable en cartésien car les vecteurs de bases dont fixes, elle consiste à appliquer la règle dite du exposée dans le paragraphe « définition du produit vectoriel de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » en remplaçant le 1er vecteur par l'opérateur “nabla” :
       «» disposant verticalement les trois composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur, on forme la somme des termes « opérateur de dérivation - composante » en suivant les flèches avec le signe les précédant pour la 1ère composante du produit vectoriel les flèches sont mises entre les lignes des 2èmes et 3èmes composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 1ère composante du produit vectoriel,
       «» pour la 2ème composante du produit vectoriel les flèches devant être positionnées entre les lignes des 3èmes et 1ères composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur, on recopie la 1ère ligne en 4ème ligne pour pouvoir suivre la même règle de calcul et on positionne les flèches entre la 3ème et 4ème ligne : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 2ème composante du produit vectoriel et
       «» pour la 3ème composante du produit vectoriel les flèches sont mises entre la 1ère ligne et 2ème et on suit la règle de calcul exposée précédemment : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 3ème composante du produit vectoriel ;
       une fois obtenue la 1ère composante, on peut obtenir les deux autres par permutation circulaire ce qui donne
    «».
  78. Voir l'explication à la note « 72 » plus haut dans ce chapitre.
  79. Bien que les vecteurs de base ne soient pas tous fixes, on peut appliquer la règle dite du exposée dans le paragraphe « définition du produit vectoriel de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » en remplaçant le 1er vecteur par l'opérateur “nabla” et en faisant l'hypothèse que les vecteurs de base sont fixes, puis il convient de faire les rectifications tenant compte de la dépendance de ces vecteurs de base relativement aux coordonnées cylindro-polaires du point :
       «» disposant verticalement les trois composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur on forme la somme des termes « opérateur de dérivation - composante » en suivant les flèches avec le signe les précédant pour la 1ère composante du produit vectoriel les flèches sont mises entre les lignes des 2èmes et 3èmes composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 1ère composante du produit vectoriel, éventuellement à rectifier,
       «» pour la 2ème composante du produit vectoriel les flèches devant être positionnées entre les lignes des 3èmes et 1ères composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur, on recopie la 1ère ligne en 4ème ligne pour pouvoir suivre la même règle de calcul et on positionne les flèches entre la 3ème et 4ème ligne : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 2ème composante du produit vectoriel éventuellement à rectifier et
       «» pour la 3ème composante du produit vectoriel les flèches sont mises entre la 1ère ligne et 2ème et on suit la règle de calcul exposée précédemment : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 3ème composante du produit vectoriel éventuellement à rectifier ;
       puis on tient compte de la dépendance relativement à des deux vecteurs de base cylindro-polaire et
       «» en effet on utilise correspondant à la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » la dépendance de avec n'entraîne aucune rectification des résultats obtenus par la règle du  ;
       «» en effet on utilise correspondant à la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » «» d'où une rectification de la composante de sur nécessitant l'« ajout de », c'est donc la seule rectification des résultats obtenus par la règle du .
  80. Voir l'explication à la note « 73 » plus haut dans ce chapitre.
  81. Bien que les vecteurs de base ne soient pas fixes, on peut appliquer la règle dite du exposée dans le paragraphe « définition du produit vectoriel de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » en remplaçant le 1er vecteur par l'opérateur “nabla” et en faisant l'hypothèse que les vecteurs de base sont fixes, puis il convient de faire les rectifications tenant compte de la dépendance de ces vecteurs de base relativement aux coordonnées sphériques du point :
       «» disposant verticalement les trois composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur on forme la somme des termes « opérateur de dérivation - composante » en suivant les flèches avec le signe les précédant pour la 1ère composante du produit vectoriel les flèches sont mises entre les lignes des 2èmes et 3èmes composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 1ère composante du produit vectoriel, éventuellement à rectifier,
       «» pour la 2ème composante du produit vectoriel les flèches devant être positionnées entre les lignes des 3èmes et 1ères composantes de l'opérateur vectoriel et du vecteur, on recopie la 1ère ligne en 4ème ligne pour pouvoir suivre la même règle de calcul et on positionne les flèches entre la 3ème et 4ème ligne : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 2ème composante du produit vectoriel éventuellement à rectifier et
       «» pour la 3ème composante du produit vectoriel les flèches sont mises entre la 1ère ligne et 2ème et on suit la règle de calcul exposée précédemment : suivant la flèche descendante, le terme avec signe «» auquel on ajoute, suivant la flèche montante, le terme avec signe «» soit «» comme 3ème composante du produit vectoriel éventuellement à rectifier ;
       puis on tient compte de la dépendance relativement à et des deux vecteurs de base sphérique et et de celle relativement à du 3ème vecteur de base sphérique
       «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan figé relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » et voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la décomposition de dans la base polaire du plan méridien et la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » la dépendance de avec et n'entraîne aucune rectification des résultats obtenus par la règle du  ;
       «» en effet on utilise en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan figé relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » et voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la décomposition de dans la base polaire du plan méridien et la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » «» d'où une rectification de la composante de sur nécessitant l'« ajout de »,
       «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » puis la décomposition de dans la base sphérique «» d'où une rectification de la composante de sur nécessitant l'« ajout de » et la composante de sur nécessitant l'« ajout de » ;
       finalement l'expression sphérique de doit être rectifiée relativement aux résultats obtenus par la règle du en « ajoutant ».
  82. On vérifie l'identité de ces deux expressions car «», « » et « »
  83. 83,00 83,01 83,02 83,03 83,04 83,05 83,06 83,07 83,08 83,09 et 83,10 Le flux élémentaire du champ vectoriel est «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation (flux élémentaire d'un champ vectoriel) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ou le paragraphe « définition du flux élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace tridimensionnel » du chap. de la même leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  84. 84,00 84,01 84,02 84,03 84,04 84,05 84,06 84,07 84,08 84,09 84,10 84,11 84,12 84,13 84,14 84,15 84,16 84,17 84,18 84,19 84,20 84,21 84,22 84,23 84,24 84,25 84,26 84,27 et 84,28 La circulation élémentaire du champ vectoriel le long d'un contour est défini par «» voir le paragraphe « circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace le long d'une courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », la circulation du champ vectoriel le long de de à se calculant par «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du même chap. de la même leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » et, dans le cas où la courbe continue est fermée, la circulation du champ vectoriel s'écrivant «».
       Ici le contour fermé limitant la surface élémentaire étant fermé, il faut le décomposer en élément de courbe infiniment petits relativement à et la circulation élémentaire de le long du contour fermé est défini par «» avec « vecteur déplacement élémentaire en du contour élémentaire fermé entourant ».
  85. 85,00 85,01 85,02 85,03 85,04 85,05 85,06 85,07 85,08 et 85,09 Dans la mesure où l'espace tridimensionnel est orienté à droite voir l'« introduction du paragraphe produit vectoriel de deux vecteurs » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » avec choix d'une base orthonormée directe voir le paragraphe « base directe d'un espace orienté à droite » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », on peut appliquer la règle du tire-bouchon de Maxwell pour déterminer l'orientation de la courbe fermée limitant la surface ouverte à partir de l'orientation de cette dernière : « plaçant le tire-bouchon de Maxwell en un point de et effectuant une translation dans le sens choisi sur , le sens défini sur correspond au sens de rotation du tire-bouchon ».
  86. Comme, par exemple, dans le repérage cartésien «».
  87. Et il faudrait faire de même dans les deux autres repérages
  88. Le côté à , d'ordonnée est de longueur , le vecteur l'orientant étant , la cote étant  ;
       le côté à , d'ordonnée est de longueur , le vecteur l'orientant étant , la cote étant  ;
       l'abscisse du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  89. Le côté à , d'abscisse est de longueur , le vecteur l'orientant étant , la cote étant  ;
       le côté à , d'abscisse est de longueur , le vecteur l'orientant étant , la cote étant  ;
       l'ordonnée du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  90. 90,0 90,1 et 90,2 Voir le paragraphe « expressions en paramétrage cartésien (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  91. 91,0 91,1 et 91,2 Voir le paragraphe « expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en cartésien » plus haut dans ce chapitre.
  92. Le côté à , de cote est de longueur , le vecteur l'orientant étant , l'abscisse étant  ;
       le côté à , de cote est de longueur , le vecteur l'orientant étant , l'abscisse étant  ;
       l'ordonnée du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  93. Le côté à , d'ordonnée est de longueur , le vecteur l'orientant étant , l'abscisse étant  ;
       le côté à , d'ordonnée est de longueur , le vecteur l'orientant étant , l'abscisse étant  ;
       la cote du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  94. Le côté à , d'abscisse est de longueur , le vecteur l'orientant étant , l'ordonnée étant  ;
       le côté à , d'abscisse est de longueur , le vecteur l'orientant étant , l'ordonnée étant  ;
       la cote du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  95. Le côté à , de cote est de longueur , le vecteur l'orientant étant , l'ordonnée étant  ;
       le côté à , de cote est de longueur , le vecteur l'orientant étant , l'ordonnée étant  ;
       l'abscisse du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  96. L'arc de cercle de rayon et cote est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'arc de cercle de rayon et cote est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'abscisse angulaire du point générique de chaque arc de cercle est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  97. Le côté à , d'abscisse angulaire est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       le côté à , d'abscisse angulaire est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       la cote du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  98. 98,0 98,1 et 98,2 Voir le paragraphe « expressions en paramétrage cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  99. 99,0 99,1 et 99,2 Voir le paragraphe « expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en cylindro-polaire » plus haut dans ce chapitre.
  100. Le rayon élémentaire d'abscisse angulaire , de cote est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       le rayon élémentaire d'abscisse angulaire , de cote est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       le rayon polaire du point générique de chaque segment élémentaire est noté , il peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  101. Le côté à , de rayon polaire est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       le côté à , de rayon polaire est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       la cote du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  102. Le rayon élémentaire de cote , d'abscisse angulaire est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       le rayon élémentaire de cote , d'abscisse angulaire est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       le rayon polaire du point générique de chaque segment élémentaire est notée , il peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  103. L'arc de cercle de cote , de rayon est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'arc de cercle de cote , de rayon est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'abscisse angulaire du point générique de chaque arc est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  104. L'arc de méridien de rayon et longitude est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'arc de méridien de rayon et longitude est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       la colatitude du point générique de chaque arc est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  105. L'arc de parallèle à la distance de de colatitude est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'arc de parallèle à la distance de de colatitude est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       la longitude du point générique de chaque arc est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  106. 106,0 106,1 et 106,2 Voir le paragraphe « expressions en paramétrage sphérique (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  107. 107,0 107,1 et 107,2 Voir le paragraphe « expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en sphérique » plus haut dans ce chapitre.
  108. On appelle apothème d'un cône de révolution, la distance le long d'une génératrice quelconque entre le sommet du cône et un point de sa base respectivement entre les deux bases le long d'une génératrice quelconque et
       On appelle apothème d'un tronc de cône de révolution, la distance entre les deux bases le long d'une génératrice quelconque.
  109. L'apothème élémentaire de longitude est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'apothème élémentaire de longitude est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       la distance au pôle du point générique de chaque segment élémentaire est notée , il peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  110. L'arc de parallèle à la distance de est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'arc de parallèle à la distance de est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       la longitude du point générique de chaque côté est notée , elle peut prendre n'importe quelle va leur entre et .
  111. Le rayon élémentaire de longitude , de colatitude est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       le rayon élémentaire de longitude , de colatitude est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       la distance entre le pôle et le point générique de chaque segment élémentaire est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  112. L'arc de cercle de longitude , de rayon est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       l'arc de cercle de longitude , de rayon est de longueur , le vecteur l'orientant étant  ;
       la colatitude du point générique de chaque arc est notée , elle peut prendre n'importe quelle valeur entre et .
  113. 113,0 et 113,1 En effet ,
       En effet et
       En effet .
  114. 114,0 et 114,1 Expression obtenue en permutant dérivation partielle et multiplication scalaire entre opérateurs linéaires vectoriels,
                           Expression obtenue en utilisant la formule de dérivation d'un couple “fonction - opérateur linéaire” dont la fonction est vectorielle ne dépendant que d'une variable,
       Expression obtenue sachant que les deux 1ers vecteurs de base cylindro-polaire dépendent de , le 3ème étant constant et qu'ils forment une base orthonormée ;
       compte tenu de la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » on trouve, après développement, une somme de neuf termes l'opérateur nul étant noté «» :
    • «»,
    • «»,
    • «»,
    • «» en effet on utilise correspondant à la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    • «» en effet on utilise correspondant à la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire (à retenir) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    • «»,
    • «»,
    • «» et
    • «».
  115. 115,0 et 115,1 Expression obtenue en permutant dérivation partielle et multiplication scalaire entre opérateurs linéaires vectoriels,
                           Expression obtenue en utilisant la formule de dérivation d'un couple “fonction - opérateur linéaire” dont la fonction est vectorielle, cette dernière pouvant dépendre de deux variables,
                           Expression obtenue sachant que les deux 1ers vecteurs de base sphérique dépendent de et , le 3ème ne dépendant que de et qu'ils forment une base orthonormée ;
       compte tenu de la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire, 2ème propriété) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » on trouve, après développement, une somme de neuf termes :
    • «»,
    • «»,
    • «
      « »,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan figé relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan figé relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • «»,
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la décomposition de dans la base polaire du plan méridien et la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive »,
    • «
      « » en effet on utilise voir le paragraphe « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la décomposition de dans la base polaire du plan méridien et la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » et
    • «» en effet on utilise voir le paragraphe « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle on utilise la propriété « quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan relativement à l'angle qu'il fait avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan directement au vecteur que l'on dérive » puis la décomposition de dans la base sphérique.
  116. 116,0 116,1 116,2 116,3 et 116,4 Nom donné pour rendre hommage à Pierre-Simon Laplace (1749 - 1827) mathématicien, astronome et physicien français, à qui on doit des contributions fondamentales dans différents champs des mathématiques, de l'astronomie et de la théorie des probabilités dans cette dernière il utilise la transformation de Laplace portant son nom pour lui rendre hommage découverte par Leonhard Euler ; dans le domaine de la physique pratique on lui doit la théorie de l'attraction capillaire expliquant ce qui se passe dans les tubes capillaires ou dans les bulles d'air d'un liquide ainsi que la raison expliquant pourquoi le calcul de Newton sur la vitesse du son sous-estime cette dernière.
       Leonhard Euler (1707 - 1783) mathématicien et physicien suisse qui passa la plus grande partie de sa vie dans l'Empire russe et en Allemagne ; en mathématiques il fit d'importantes découvertes dans des domaines aussi variés que le calcul infinitésimal et la théorie des graphes, il introduisit également une grande partie de la terminologie et de la notation des mathématiques modernes, en particulier en analyse mathématique, comme la notion de fonction mathématique ; il est aussi connu pour ses travaux en mécanique, en dynamique des fluides, en optique et en astronomie.
       Isaac Newton (1643 - 1727) philosophe, mathématicien, physicien, astronome, alchimiste et théologien anglais, connu essentiellement de nos jours pour avoir fondé la mécanique classique, pour sa théorie de la gravitation et aussi pour la création du calcul infinitésimal partagée de façon plus ou moins indépendante avec Gottfried Leibniz ; en optique il a développé une théorie de la couleur et a aussi inventé un télescope composé d'un miroir primaire concave et d'un miroir secondaire plan, télescope connu de nos jours sous le nom de télescope de Newton.
       Gottfried Leibniz (1646 - 1716) entre autres philosophe, scientifique, mathématicien allemand dont la contribution principale, dans le domaine mathématique, est l'invention du calcul infinitésimal calcul différentiel et calcul intégral dont la paternité doit être partagée avec Isaac Newton.
  117. Comme pour « le champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire » ou « le champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle » ou encore « le champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle » qui a « une définition intrinsèque » et « une définition utilisant l'opérateur vectoriel “nabla” » ou « l'opérateur “nabla scalaire” » ou encore « l'opérateur “nabla vectoriel” »,
       Comme pour « le champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace » a « une définition utilisant l'opérateur “nabla scalaire nabla” » énoncée ici mais aussi « une définition intrinsèque » voir le paragraphe « définition intrinsèque (équivalente) du champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace » plus loin dans ce chapitre.
  118. 118,0 118,1 118,2 118,3 118,4 et 118,5 Pour simplifier l'écriture, les paramètres figés lors de la définition d'une dérivée partielle ont été omis à condition, bien sûr, qu'il n'y ait aucune ambiguïté.
  119. 119,0 et 119,1 Voir le paragraphe « construction de l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” (en repérage cartésien) » plus haut dans ce chapitre.
  120. Voir le paragraphe « construction de l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” (en repérage cylindro-polaire) » plus haut dans ce chapitre.
  121. On vérifie l'identité de ces deux expressions car «».
  122. Voir le paragraphe « construction de l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” (en repérage sphérique) » plus haut dans ce chapitre.
  123. On vérifie l'identité de ces deux expressions car «» et
       On vérifie l'identité de ces deux expressions car «
                                                                                                                                                                   ».
  124. Voir le paragraphe « lien entre le champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace et l'image par l'opérateur “nabla” de cette fonction scalaire » plus haut dans ce chapitre.
  125. Voir le paragraphe « définition du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace par l'image que donne l'opérateur “nabla scalaire ...” de cette fonction vectorielle » plus haut dans ce chapitre.
  126. Voir le paragraphe « composantes cartésiennes du gradient d'une fonction scalaire de l'espace (à retenir) » plus haut dans ce chapitre.
  127. Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en cartésien » plus haut dans ce chapitre.
  128. Voir le paragraphe « composantes cylindro-polaires du gradient d'une fonction scalaire de l'espace (à retenir) » plus haut dans ce chapitre.
  129. Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en cylindro-polaire » plus haut dans ce chapitre.
  130. Voir le paragraphe « expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace en cylindro-polaire » plus haut dans ce chapitre.
  131. Voir le paragraphe « composantes sphériques du gradient d'une fonction scalaire de l'espace (à retenir) » plus haut dans ce chapitre.
  132. Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en sphérique » plus haut dans ce chapitre.
  133. Voir le paragraphe « expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace en sphérique » plus haut dans ce chapitre.