Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI)/Utilisation de l'opérateur linéaire du premier ordre “nabla” en représentation matricielle

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Utilisation de l'opérateur linéaire du premier ordre “nabla” en représentation matricielle
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Chapitre no 8
Leçon : Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI)
Chap. préc. :Théorème d'Emmy Nœther
Chap. suiv. :Fonctions implicites
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En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) : Utilisation de l'opérateur linéaire du premier ordre “nabla” en représentation matricielle
Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI)/Utilisation de l'opérateur linéaire du premier ordre “nabla” en représentation matricielle
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
L'espace physique considéré dans ce chapitre est sauf avis contraire « orienté à droite »[1].

     Introduction : Une 1ère notion de l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla” et de quelques champs qui en découlent a été donnée au chap. intitulé « Champ vectoriel gradient de fonction scalaire de l'espace, opérateur linéaire du 1er ordre “nabla” et autres champs qui en découlent » de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ;
     Introduction : après un rappel succinct de cet opérateur linéaire du 1er ordre “nabla” noté «» ainsi que
     Introduction : après un rappel succinct des opérateurs construits à partir de lui “nabla scalaire ...” noté «», “nabla vectoriel ...” noté «» et “nabla scalaire nabla” noté « ou », puis
     Introduction : après un rappel succinct des champs vectoriel ou scalaire qui en découlent :
     Introduction : après un rappel succinct des champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire noté «»,
     Introduction : après un rappel succinct des champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle noté «»,
     Introduction : après un rappel succinct des champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle noté «» et
     Introduction : après un rappel succinct des champ scalaire laplacien[2] d'une fonction scalaire noté «»,

     Introduction : nous présenterons une représentation matricielle de ces champs vectoriels ou scalaires appliqués à des fonctions scalaire ou vectorielle et
     Introduction : nous introduirons dans la mesure du besoin la notion de fonctions tensorielles

Rappel succinct de l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla”, des opérateurs qui en découlent et des principaux champs vectoriels ou scalaires appliqués à des fonctions scalaire ou vectorielle de l'espace modifier

Opérateurs linéaires du 1er ordre “nabla”, “nabla scalaire ...”, “nabla vectoriel ...”, opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” modifier

Opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” modifier

     Définition équivalente dans les principaux repérages : repérage cartésien[5], «» ;

     Définition équivalente dans les principaux repérages : repérage cylindro-polaire[6], «» ;

     Définition équivalente dans les principaux repérages : repérage sphérique[7], «».

Opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” modifier

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” noté «» est construit à partir

   L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” noté «» il est défini suivant le repérage utilisé selon les expressions suivantes :

   L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” noté «» il est défini suivant en repérage cartésien «» ;

   L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” noté «» il est défini suivant en repérage cylindro-polaire «» ;

   L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” noté «» il est défini suivant en repérage sphérique «».

Opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” modifier

     L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” noté «» est construit à partir

   L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” noté «» il est défini suivant le repérage utilisé selon les expressions suivantes :

   L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” noté «» il est défini suivant en repérage cartésien «» ;

   L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” noté «» il est défini suivant en repérage cylindro-polaire «» ;

   L'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” noté «» il est défini suivant en repérage sphérique «».

Opérateur linéaire du 2ème ordre “nabla scalaire nabla” modifier

     L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” noté «» est construit à partir

   L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla vectoriel nabla” noté «» il est défini suivant le repérage utilisé selon les expressions suivantes :

   L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla vectoriel nabla” noté «» il est défini suivant en repérage cartésien «» ;

   L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla vectoriel nabla” noté «» il est défini suivant en repérage cylindro-polaire «» ;

   L'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla vectoriel nabla” noté «» il est défini suivant en repérage sphérique «».

Champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire, champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle, champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle et champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire modifier

Champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     Si on applique l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla” à la fonction scalaire de l'espace on obtient «» c'est-à-dire un champ vectoriel de l'espace noté
     Si on applique l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla” à la fonction scalaire de l'espace on obtient « définissant le champ vectoriel gradient de la fonction scalaire »,

soit «» avec
« fonction scalaire différentiable de l'espace »[10] ;

     on obtient ainsi les composantes de «» suivant le type de repérage utilisé :

     on obtient ainsi les composantes de «» en repérage cartésien «»[11] ;

     on obtient ainsi les composantes de «» en repérage cylindro-polaire «»[12] ;

     on obtient ainsi les composantes de «» en repérage sphérique «»[13] ;

     ces composantes de «» selon le type de repérage sont en accord avec la « définition intrinsèque du champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace »[14] rappelée ci-dessous :

     Remarque : quand il y a transport d'une grandeur intensive définie localement par la fonction scalaire en raison du mouvement du milieu environnant caractérisé par le vecteur vitesse du point où le transport est considéré,
     Remarque : quand il y a transport on dit qu'il y a « advection de la grandeur scalaire » et
     Remarque : quand il y a transport on caractérise le transport de cette dernière par « son champ scalaire d'advection” » qui s'écrit encore «».

Champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

     Si on applique l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire...” à la fonction vectorielle de l'espace «» c'est-à-dire un champ scalaire de l'espace noté
     Si on applique l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire...” à la fonction vectorielle de l'espace « définissant le champ scalaire divergence de la fonction vectorielle »,

soit «» avec
« fonction vectorielle différentiable de l'espace »[17] ;

     on obtient ainsi l'expression de «» suivant le type de repérage utilisé :

     on obtient ainsi l'expression de «» en repérage cartésien «»[18] ;

     on obtient ainsi l'expression de «» en repérage cylindro-polaire «»[19] ;

     on obtient ainsi l'expression de «» en repérage sphérique «»[20],[21] ;

     ces expressions de «» selon le type de repérage sont en accord avec la « définition intrinsèque du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace »[22] rappelée ci-dessous :

Champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

     Si on applique l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel...” à la fonction vectorielle de l'espace «» c'est-à-dire un champ vectoriel de l'espace noté
     Si on applique l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel...” à la fonction vectorielle de l'espace « définissant le champ vectoriel rotationnel de la fonction vectorielle »,

soit «» avec
« fonction vectorielle différentiable de l'espace »[25] ;

     on obtient ainsi les composantes de «» suivant le type de repérage utilisé :

     on obtient ainsi les composantes de «» en repérage cartésien «»[26] ;

     on obtient ainsi les composantes de «» en repérage cylindro-polaire «»[27] ;

     on obtient ainsi les composantes de «» en repérage sphérique «»[28] ;

     ces composantes de «» selon le type de repérage sont en accord avec la « définition intrinsèque du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace »[29] rappelée ci-dessous :

Champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     Si on applique l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” à la fonction scalaire de l'espace «» c'est-à-dire un champ scalaire de l'espace noté
     Si on applique l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” à la fonction scalaire de l'espace « définissant le champ scalaire laplacien[2] de la fonction scalaire »,

soit «» avec
« fonction scalaire différentiable de l'espace »[33],[34] ;

     on obtient ainsi l'expression de «» suivant le type de repérage utilisé :

     on obtient ainsi l'expression de «» en repérage cartésien «»[35] ;

     on obtient ainsi l'expression de «» en repérage cylindro-polaire «»[36] ;

     on obtient ainsi l'expression de «» en repérage sphérique «»[37],[38] ;

     ces expressions de «» selon le type de repérage sont en accord avec la « définition intrinsèque du champ scalaire laplacien[2] d'une fonction scalaire de l'espace »[39] rappelée ci-dessous :

Représentation matricielle des champs vectoriels gradient et rotationnel, des champs scalaires divergence et laplacien modifier

     Introduction : Les scalaires et vecteurs étant des tenseurs sont représentables par des matrices, nous distinguons
     Introduction : Les scalaires et vecteurs étant des tenseurs d'ordre pour les 1ers[40] « invariants » donc représentables par une matrice de dimension ou taille [41] et
     Introduction : Les scalaires et vecteurs étant des tenseurs d'ordre pour les 2nds « contravariants »[42] représentables, après choix d'une base du -espace vectoriel les contenant, par une matrice colonne de dimension ou taille , les éléments de la colonne étant les composantes du vecteur représenté sur la base choisie.

     Introduction : Admettant que les opérateurs scalaires et vectoriels sont aussi des opérateurs tensoriels représentables par des matrices d'opérateurs, nous en déduisons
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» en matrice colonne s'écrivant
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» en cartésien «»,
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» en cylindro-polaire «» et
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» en sphérique «» ;

     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” «» en matrice ligne s'écrivant
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en cartésien «»,
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en cylindro-polaire «» et
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en sphérique «» ;

     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” «» en matrice carrée de dimension ou taille s'écrivant
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en cartésien «»[43],
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en cylindro-polaire «»[43] et
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en sphérique «»[43] ;

     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «» en matrice de dimension ou taille s'écrivant
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en cartésien «»,
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en cylindro-polaire «
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en cylindro-polaire « »[36] et
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en sphérique «
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en sphérique «
     Introduction : Admettant que la représentation de l'opérateur linéaire en sphérique « »[38],[37].

Représentation matricielle du champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     Le champ vectoriel gradient de la fonction scalaire de l'espace étant l'image de cette fonction par l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla” c'est-à-dire «» nous en déduisons, en utilisant la représentation de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” en matrice colonne voir l'introduction ci-dessus du paragraphe « représentation matricielle des champs vectoriels gradient et rotationnel, des champs scalaires divergence et laplacien » plus haut dans ce chapitre, celle du champ vectoriel en matrice colonne suivant le repérage choisi :

     Le champ vectoriel gradient en cartésien «»,

     Le champ vectoriel gradient en cylindro-polaire «» et

     Le champ vectoriel gradient en sphérique «».

Représentation matricielle du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

     Le champ scalaire divergence de la fonction vectorielle de l'espace étant l'image de cette fonction par l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” c'est-à-dire « » nous en déduisons, en utilisant la représentation de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “nabla scalaire ...” en matrice ligne voir l'introduction ci-dessus du paragraphe « représentation matricielle des champs vectoriels gradient et rotationnel, des champs scalaires divergence et laplacien » plus haut dans ce chapitre, celle du champ scalaire en matrice de dimension ou taille [41], produit d'une matrice ligne et d'une matrice colonne suivant le repérage choisi :

     Le champ scalaire divergence en cartésien «
     Le champ scalaire divergence en cartésien «»,

     Le champ scalaire divergence en cylindro-polaire «
     Le champ scalaire divergence en cylindro-polaire «»[19] et

     Le champ scalaire divergence en sphérique «
     Le champ scalaire divergence en sphérique «»[20].

Représentation matricielle du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

     Le champ vectoriel rotationnel de la fonction vectorielle de l'espace étant l'image de cette fonction par l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” c'est-à-dire « » nous en déduisons, en utilisant la représentation de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” en matrice carrée de dimension ou taille voir l'introduction ci-dessus du paragraphe « représentation matricielle des champs vectoriels gradient et rotationnel, des champs scalaires divergence et laplacien » plus haut dans ce chapitre, celle du champ vectoriel en matrice colonne suivant le repérage choisi :

     Le champ vectoriel rotationnel en cartésien «
     Le champ vectoriel rotationnel en cartésien «»[26],

     Le champ vectoriel rotationnel en cylindro-polaire «
     Le champ vectoriel rotationnel en cylindro-polaire «»[27] et

     Le champ vectoriel rotationnel en sphérique «
     Le champ vectoriel rotationnel en sphérique «
     Le champ vectoriel rotationnel en sphérique «»[28].

Représentation matricielle du champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace modifier

     Le champ scalaire laplacien[2] de la fonction scalaire de l'espace étant l'image de cette fonction par l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” c'est-à-dire « » nous en déduisons, en utilisant la représentation de l'opérateur scalaire linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” en matrice de dimension ou taille voir l'introduction ci-dessus du paragraphe « représentation matricielle des champs vectoriels gradient et rotationnel, des champs scalaires divergence et laplacien » plus haut dans ce chapitre, celle du champ scalaire en matrice de dimension ou taille [41] suivant le repérage choisi :

          Le champ scalaire laplacien en cartésien «»[35],

          Le champ scalaire laplacien en cylindro-polaire «»[36] et

          Le champ scalaire laplacien en sphérique «»[37].

Prolongement de l'application (directe) de l'opérateur linéaire "nabla" aux fonctions vectorielles de l'espace et conséquences modifier

     Introduction : ayant vu la signification de l'application directe, aux fonctions scalaires de l'espace, de l'opérateur linéaire "nabla" «» dans les exemples suivants
          Introduction : le champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace «»[44] ainsi que ses deux champs scalaires s'en déduisant
               Introduction : le champ scalaire différentielle de la fonction scalaire «»[45]
               Introduction : le champ scalaire d'advection de la grandeur scalaire intensive «» où est le vecteur vitesse du point du milieu environnant où le transport est considéré[46] et
          Introduction : le champ scalaire laplacien[2] de la fonction scalaire de l'espace «»[47],

     Introduction : nous nous proposons de donner une signification à l'application directe de l'opérateur linéaire "nabla" «» aux fonctions vectorielles de l'espace[48].

Identification de l'opérateur scalaire linéaire du premier ordre “dM scalaire nabla” avec l'opérateur “différenciation” lorsqu'ils agissent sur une fonction vectorielle de l'espace modifier

     Nous nous proposons d'étendre le domaine d'application de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “dM scalaire nabla” «» rappelé dans le paragraphe « prolongement de l'application (directe) de l'opérateur linéaire “nabla” aux fonction vectorielles de l'espace et conséquences (introduction) » plus haut dans ce chapitre, aux fonctions vectorielles différentiables de l'espace ;

     pour préciser la façon dont l'opérateur scalaire «» agit sur la fonction vectorielle «», on se place en repérage « cylindro-polaire »[49] dans lequel « » et «»[50] ; « l'image de par » est alors défini comme le vecteur

«»

     soit, en faisant agir l'opérateur “nabla” uniquement sur les composantes, une 1ère série de termes

«» ou,
«»[51] puis

     en faisant agir l'opérateur “nabla” sur les vecteurs de base cylindro-polaire, une 2ème série de termes

«»,

     en faisant agir l'opérateur “nabla” sur les vecteurs de base cylindro-polaire, une 3ème série de termes

«
»[52] et                                                                        

     en faisant agir l'opérateur “nabla” sur les vecteurs de base cylindro-polaire, une dernière série de termes

«»,

     soit finalement, en regroupant toutes les séries de termes

«» ou,

     soit finalement, en reconnaissant dans le membre de droite la différentielle de la fonction vectorielle , l'identification recherchée à savoir

«».

     En conclusion, nous avons vérifié l'identification de « avec » en repérage « cylindro-polaire », mais le résultat est valable quel que soit le repérage ;

     En conclusion, la vérification ne présente aucune difficulté en repérage cartésien, les vecteurs de base cartésienne étant indépendants du point , voir ci-dessous

«», soit en développant
«» ou encore
«»
s'identifiant à «» C.Q.F.V[53]. ;

     En conclusion, la vérification est plus délicate en repérage sphérique car deux des vecteurs de base sphérique et dépendent des deux coordonnées sphériques et du point , le 3ème vecteur de base sphérique dépendant de la coordonnée sphérique du point  ; le lecteur qui le souhaite pourra utiliser la même méthode de vérification qu'en cylindro-polaire on pourra utiliser à bon escient les informations établies dans les paragraphes « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique », « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » et « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».

     Remarques : La représentation matricielle de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “dM scalaire nabla” «» se déduit de
    Remarques : La représentation matri celle de la forme linéaire “dM scalaire ...” en matrice ligne s'écrivant respectivement
     Remarques : La représentation matricielle en cartésien «»,
     Remarques : La représentation matricielle en cylindro-polaire «»,
     Remarques : La représentation matricielle en sphérique «» et de
    Remarques : La représentation matri celle de l'opérateur linéaire “nabla” en matrice colonne s'écrivant respectivement
     Remarques : La représentation matricielle en cartésien «»,
     Remarques : La représentation matricielle en cylindro-polaire «»,
     Remarques : La représentation matricielle en sphérique «» d'où
     Introduction : la représentation matricielle de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “dM scalaire nabla” «» en matrice de dimension ou taille [54] soit respectivement
     Remarques : La représentation matricielle en cartésien «
     Remarque : La représentation matricielle en cartésien « »,
     Remarques : La représentation matricielle en cylindro-polaire «
     Remarques : La représentation matricielle en cylindro-polaire « »,
     Remarques : La représentation matricielle en sphérique «
     Remarques : La représentation matricielle en sphérique « ».

     Remarques : La représentation matricielle de l'image de la fonction vectorielle par l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “dM scalaire nabla” «» c'est-à-dire la représentation matricielle de « la différentielle », est « la matrice colonne résultant de l'action de la matrice d'opérateurs de dimension ou taille sur la matrice colonne représentant »[55] soit
     Remarques : en cartésien, « ou [56]
     Remarques : en cartésien, « »[21],

     Remarques : en cylindro-polaire, « ou [56]
     Remarques : en cylindro-polaire, « »[21],[57],

     Remarques : en sphérique, « ou [56]
     Remarques : en sphérique, « [21]
     Remarques : en sphérique, « »[21],[58].

Champ d'advection d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

     L'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “vitesse scalaire nabla” «»[59] étant lié à l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “dM scalaire nabla” «» selon

«» dans lequel
est la durée du déplacement du point du milieu environnant en mouvement,

     il suffit de diviser par les expressions de «» établis dans le paragraphe « identification de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “dM scalaire nabla” avec l'opérateur “différenciation” lorsqu'ils agissent sur une fonction vectorielle de l'espace » plus haut dans ce chapitre pour obtenir celles de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “vitesse scalaire nabla” d'où :

  • La représentation matricielle de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “vitesse scalaire nabla” «»[59] se déduit de
    La représentation matricelle de la forme linéaire “vitesse scalaire ...” en matrice ligne s'écrivant respectivement
    La représentation matricielleen cartésien «»[59],
    La représentation matricielleen cylindro-polaire «»[59],
    La représentation matricielleen sphérique «»[59] et de
    La représentation matricelle de l'opérateur linéaire “nabla” en matrice colonne s'écrivant respectivement
    La représentation matricielleen cartésien «»,
    La représentation matricielleen cylindro-polaire «»,
    La représentation matricielleen sphérique «» d'où
    la représentation matricielle de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “vitesse scalaire nabla” «»[59] en matrice de dimension ou taille [54] soit respectivement
    La représentation matricielleen cartésien «[59]
    La représentation matricielleen cartésien « »[59],
    La représentation matricielleen cylindro-polaire «[59]
    La représentation matricielleen cylindro-polaire « »[59],
    La représentation matricielleen sphérique «[59]
    La représentation matricielleen sphérique « »[59].
  • La représentation matricielle de l'image de la fonction vectorielle par l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “vitesse scalaire nabla” «»[59] c'est-à-dire la représentation matricielle du « champ d'advection » de la fonction vectorielle [59], est « la matrice colonne résultant de l'action de la matrice d'opérateurs de dimension ou taille sur la matrice colonne représentant »[59],[55] soit
    en cartésien, «[59]
    en cartésien, «»[59],
    en cylindro-polaire, «[59]
    en cylindro-polaire, «[59]
    en cylindro-polaire, «»[59],[60],
    en sphérique, «[59]
    en sphérique, « [59]
    en sphérique, « »[21],[61].

     Exemple, champ d'advection du champ des vecteurs vitesse d'un milieu environnant mobile «»[62] : suivant le repérage utilisé nous obtenons

     Exemple, en cartésien «»,

     Exemple, en cylindro-polaire «»[63] et

     Exemple, en sphérique «
     Exemple, en sphérique « »[59],[64].

Prolongement de l'application (directe) de l'opérateur linéaire "nabla scalaire nabla" aux fonctions vectorielles de l'espace modifier

     Ayant rappelé dans le paragraphe « champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace »[47] plus haut dans ce chapitre
     Ayant rappelé que « l'image de la fonction scalaire différentiable[33] de l'espace par l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” » est
     Ayant rappelé que « le champ scalaire laplacien[2] de la fonction scalaire » défini de façon intrinsèque par «» c'est-à-dire

«»,

     nous nous proposons d'appliquer l'opérateur linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” à une fonction vectorielle différentiable[65] de l'espace puis
     nous nous proposons de comparer le résultat obtenu au champ vectoriel laplacien vectoriel[2] défini de façon intrinsèque selon «» et ceci
     nous nous proposons de comparer dans les trois repérages cartésien, cylindro-polaire et sphérique

Identification de l'image par l'opérateur nabla scalaire nabla d'une fonction vectorielle et du champ laplacien vectoriel de cette fonction vectorielle en repérage cartésien modifier

     La représentation matricielle de l'image de la fonction vectorielle par l'opérateur scalaire linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «» étant « la matrice colonne résultant de l'action de la “ matrice d'opérateurs de dimension ou taille [66] sur la matrice colonne représentant »[55] soit, en cartésien,
     La représentation matricielle «
     La représentation matricielle «»[35] et

     La représentation matri celle du champ laplacien vectoriel de la fonction vectorielle défini de façon intrinsèque selon «» étant « la différence des matrices colonne “” et “” » soit, en cartésien,

     La représentation matricielle «[18]
     La représentation matricielle «
     La représentation matricielle «»[67],

     La représentation matricielle «
     La représentation matricielle «[26]
     La représentation matricielle «[26],[67]
     La représentation matricielle «»[67],

     La représentation matricielle d'où, en faisant la différence, [67] »[68],[35] ;

     en conclusion, « les représentations matricielles de et de en repérage cartésien étant les mêmes » on peut affirmer que

en cartésien «».

Identification de l'image par l'opérateur nabla scalaire nabla d'une fonction vectorielle et du champ laplacien vectoriel de cette fonction vectorielle en repérage cylindro-polaire modifier

     La représentation matricielle de l'image de la fonction vectorielle par l'opérateur scalaire linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «» étant « la matrice colonne résultant de l'action de la “ matrice d'opérateurs de dimension ou taille [66] sur la matrice colonne représentant »[55] soit, en cylindro-polaire,
     La représentation matricielle «
     la représentation matricielle « [67]
     la représentation matricielle «»[36],[69],[67] et

     La représentation matri celle du champ laplacien vectoriel de la fonction vectorielle défini de façon intrinsèque selon «» étant « la différence des matrices colonne “” et “” » soit, en cylindro-polaire,

     La représentation matricielle «[19]
     La représentation matricielle «
     La représentation matricielle «[67]
     La représentation matricielle «»[67],

     La représentation matricielle «
     La représentation matricielle «[27]
     La représentation matricielle «[27],[21],[67]
     La représentation matricielle «»[21],[67],

     La représentation matricielle d'où, en faisant la différence, [68],[67]
     La représentation matricielle d'où, en faisant la différence, »[36] ;

     en conclusion, « les représentations matricielles de et de en repérage cylindro-polaire étant les mêmes » on peut affirmer que

en cylindro-polaire «».

     Remarque : Contrairement à ce qu'on observe en cartésien, les composantes cylindro-polaires du laplacien vectoriel[2] de la fonction vectorielle ne sont pas les laplaciens scalaires[2] des composantes cylindro-polaires de la fonction vectorielle !

Identification de l'image par l'opérateur nabla scalaire nabla d'une fonction vectorielle et du champ laplacien vectoriel de cette fonction vectorielle en repérage sphérique modifier

     La représentation matricielle de l'image de la fonction vectorielle par l'opérateur scalaire linéaire du 2nd ordre “nabla scalaire nabla” «» étant « la matrice colonne résultant de l'action de la “ matrice d'opérateurs de dimension ou taille [66] sur la matrice colonne représentant »[55] soit, en sphérique,
     La représentation matricielle «»[38]
     la représentation matricielle « [21],[67],[70]
     la représentation matricielle « »[37],[67] et

     La représentation matri celle du champ laplacien vectoriel de la fonction vectorielle défini de façon intrinsèque selon «» étant « la différence des matrices colonne “” et “” » soit, en sphérique en utilisant, quand cela s'avère nécessaire, le théorème de Schwarz[71] c'est-à-dire consistant à permuter l'ordre des dérivations lors d'une dérivation partielle du 2nd ordre sans changement du résultat,

     La représentation matricielle «[20]
     La représentation matricielle «[21]
     La représentation matricielle «
La représentation matricielle «[67]
     La représentation matricielle «»[21],[67],

     La représentation matricielle «
     La représentation matricielle «[28]
     La représentation matricielle «[28],[21],[67]
     La représentation matricielle «»[21],[67],

     La représentation matricielle d'où, en faisant la différence, [68],[67]
     La représentation matricielle d'où, en faisant la différence, »[37],[67] ;

     en conclusion, « les représentations matricielles de et de en repérage sphérique étant les mêmes » on peut affirmer que

en sphérique «».

     Remarque : Contrairement à ce qu'on observe en cartésien, les composantes sphériques du laplacien vectoriel[2] de la fonction vectorielle ne sont pas les laplaciens scalaires[2] des composantes sphériques de la fonction vectorielle comme ce ne l'est pas non plus en cylindro-polaire !

En complément, notion de champ tensoriel de l'espace, application à un champ vectoriel de l'opérateur linéaire “nabla” et notion de champ tensoriel gradient d'un champ vectoriel modifier

Notion de champ tensoriel de l'espace modifier

     Rappel, notion élémentaire de tenseurs d'ordre deux contravariants [72] : on appelle « tenseur d'ordre deux contravariant »[42] tout élément d'un -espace vectoriel de dimension par exemple toute famille de vecteurs du -espace vectoriel direction de l'espace affine tridimensionnel[73], avec le choix d'une base du -espace vectoriel, chaque tenseur d'ordre deux contravariant est représenté par une matrice carrée [74] résultant de la juxtaposition des matrices colonne associées à chaque vecteur ou tenseur d'ordre contravariant[42] ;

          Rappel, notion élémentaire de tenseurs d'ordre deux contravariant : notant le -espace vectoriel direction de l'espace affine tridimensionnel[73], un « tenseur d'ordre deux contravariant »[42] est défini, de façon plus élaborée mais qui sera inutile par la suite, comme un « élément quelconque du carré tensoriel de [75] noté “” » -espace vectoriel de dimension d'où la représentativité d'un élément quelconque, avec choix d'une base de , par une matrice carrée de [74].

     Avec choix d'une base «» de « direction de l'espace affine »[73], tout point est alors caractérisé par un triplet de réels correspondant à ses coordonnées tel que, étant un point fixe de choisi comme origine du repérage, «» et

             Avec choix d'une base de « direction de l'espace affine » , «»[77] constituant une base de »[78], le tenseur d'ordre deux contravariant [72] est alors caractérisé par un nonuplet ou -uplet de réels correspondant à ses composantes contravariantes[42] telles que « », chacune des composantes étant une fonction scalaire de .

     Un champ ou une fonction tensoriel(le) de l'espace s'identifie aux fonctions scalaires descoordonnées du point de l'espace correspondant aux composantes du champou fonctiontensoriel(le)[80].

Indices des composantes du tenseur des contraintes défini en quelconque centre du cube élémentaire

     Exemple de champ tensoriel en mécanique des milieux continus[81] : « tenseur des contraintes » représenté, avec choix de la base de direction de l'espace affine tridimensionnel [73], par la matrice carrée « des contraintes » de dimension ou taille «»[74] dans laquelle « le cœfficient de la ième ligne et jème colonne » est « la composante sur de la force surfacique que l'environnement exerce sur la face élémentaire d'aire » soit «» étant le centre de la face élémentaire [82] ;

            Exemple de champ tensoriel en mécanique des milieux continus  : de la définition de la matrice « des contraintes » on vérifie que « la colonne » de cette dernière représente « le vecteur force surfacique que l'environnement exerce sur la face élémentaire d'aire » c'est-à-dire «» ;

            Exemple de champ tensoriel en mécanique des milieux continus  : on démontre que la matrice « des contraintes » est « symétrique » pour un milieu continu localement au repos c'est-à-dire que «»[83].

Application de l'opérateur linéaire “nabla” à un champ vectoriel, notion de champ tensoriel gradient d'un champ vectoriel modifier

     Introduction : ayant vu la signification de l'application directe, aux fonctions scalaires de l'espace, de l'opérateur linéaire "nabla" «» dans les exemples suivants
          Introduction : le champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace «»[44] ainsi que ses deux champs scalaires s'en déduisant
               Introduction : le champ scalaire différentielle de la fonction scalaire «»[45]
               Introduction : le champ scalaire d'advection de la grandeur scalaire intensive «» où est le vecteur vitesse du point du milieu environnant où le transport est considéré[46] et
          Introduction : le champ scalaire laplacien[2] de la fonction scalaire de l'espace «»[47],

     Introduction : puis prolongé la signification de l'application directe, aux fonctions vectorielles de l'espace, de l'opérateur linéaire "nabla" «» dans les exemples suivants
          Introduction : les deux champs vectoriels se déduisant de l'application de l'opérateur linéaire "vecteur scalaire nabla" «»
               Introduction : le champ vectoriel différentielle de la fonction vectorielle «»[84]
               Introduction : le champ vectoriel d'advection de la grandeur vectorielle intensive «» où est le vecteur vitesse du point du milieu environnant où le transport est considéré[85] et
          Introduction : le champ vectoriel laplacien[2] de la fonction vectorielle de l'espace «»[86],

     Introduction : nous nous proposons de donner une signification à l'application directe de l'opérateur linéaire "nabla" «» aux fonctions vectorielles de l'espace[48] sans qu'auparavant l'opérateur vectoriel "nabla" ne soit transformé en opérateur scalaire par multiplication scalaire avec une grandeur vectorielle comme dans les deux exemples et .

Application de l'opérateur linéaire “nabla” à un champ vectoriel modifier

     Sachant que la représentation matricielle de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» est la matrice colonne «» en cartésien, «» en cylindro-polaire ou «» en sphérique[87] dont nous déduisons
     Sachant que la représentation matri celle de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” projeté sur les trois directions du repérage «» c'est-à-dire la matrice colonne « » en cartésien, «» en cylindro-polaire ou «» en sphérique et
     Sachant que la représentation matricielle d'un champ vectoriel est la matrice colonne d'éléments de [88] «» en cartésien, «» en cylindro-polaire ou «» en sphérique,

     nous nous proposons de définir l'image par l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» du champ vectoriel par représentation matricielle et comme

     nous nous proposons de définir l'image d'un champ vectoriel par l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» est un champ tensoriel d'ordre deux contravariant en effet chaque composante vectorielle[89] du champ vectoriel pouvant varier relativement à chaque coordonnée[89] de , il y a donc grandeurs caractérisant la variation du champ vectoriel, ce qui correspond à un champ tensoriel d'ordre deux[90] c'est-à-dire représenté par une matrice carrée d'éléments de [88] de dimension ou taille et
     nous nous proposons de définir celle-ci devant résulter de l'action d'une matrice colonne d'opérateurs de dimension ou taille sur une matrice d'éléments de [88], cette dernière doit être nécessairement de dimension ou taille [91] c'est-à-dire correspondant à la matrice ligne d'éléments de [88] transposée[92] de la matrice colonne des mêmes éléments de [88] représentant le champ vectoriel en question.

     Conclusion : La représentation matricielle de l'image par l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” «» du champ vectoriel [93] est la matrice carrée réelle associée à la matrice carrée d'éléments de [88] de dimension ou taille [94] «»[95] laquelle est obtenue par « l'action de la matrice colonne d'opérateurs » sur « la matrice transposée[92] de la matrice colonne d'éléments de [88] représentant le champ vectoriel c'est-à-dire la matrice ligne » d'éléments de [88] de dimension ou taille « suivie de la transposition de la matrice obtenue »[92],[96] et pour terminer nous associons à «»[95] la matrice carrée réelle «»[74],[94],[97] soit

[74] «»[95],[98].

Champ tensoriel gradient d'une fonction vectorielle de l'espace modifier

     Le champ tensoriel gradient de la fonction vectorielle de l'espace étant l'image de cette fonction par l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla”

«», on en déduit,

     en utilisant la représentation de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” projeté sur les trois directions du repérage «» en matrice colonne voir le paragraphe « application de l'opérateur linéaire “nabla” à un champ vectoriel » plus haut dans ce chapitre ainsi que
     en utilisant la représentcelle du champ vectoriel en matrice colonne d'éléments de [88],
     la représentation du champ tensoriel en matrice carrée d'éléments de [88] de dimension ou taille puis
     la représentcelle du champ tensoriel en matrice carrée réelle selon l'association décrite dans la note « 94 » plus haut dans ce chapitre soit :

     Le champ tensoriel gradient en cartésien «
     Le champ tensoriel gradient en cartésien «[21]
     Le champ tensoriel gradient en cartésien «» soit finalement,
     Le champ tensoriel gradient en cartésien «par association décrite dans la note « 94 » plus haut dans ce chapitre,
     Le champ tensoriel gradient en cartésien [97] «»[74]
          Le champ tensoriel gradient en cartésien « représentation matricielle du tenseur d'ordre deux contravariant [72] «» en cartésien ;

     Le champ tensoriel gradient en cylindro-polaire «
     Le champ tensoriel gradient en cylindro-polaire «
     Le champ tensoriel gradient en cylindro-polaire «
     Le champ tensoriel gradient en cylindro-polaire «»[99]
     Le champ tensoriel gradient en cylindro-polaire «» soit finalement,
     Le champ tensoriel gradient en cylindro-polaire «par association décrite dans la note « 94 » plus haut dans ce chapitre,
     Le champ tensoriel gradient en cylindro-polaire [97] «»[74]
          Le champ tensoriel gradient en cylindro-polaire « représentation matricielle du tenseur d'ordre deux contravariant [72] «» en cylindro-polaire et

     Le champ tensoriel gradient en sphérique «
     Le champ tensoriel gradient en sphérique «
     Le champ tensoriel gradient en sphérique «
                                                                                                                        Le champ tensoriel gradient en sphérique «
     Le champ tensoriel gradient en sphérique «
                                                                                          Le champ tensoriel gradient en sphérique «[100]
     Le champ tensoriel gradient en sphérique «»[21],[67] soit finalement,
     Le champ tensoriel gradient en sphérique «par association décrite dans la note « 94 » plus haut dans ce chapitre et simplification évidente,
     Le champ tensoriel gradient en sphérique [97] «»[74],[21],[67]
          Le champ tensoriel gradient en sphérique « représentation matricielle du tenseur d'ordre deux contravariant [72] «» en sphérique.

     Remarque : Le champ gradient d'une fonction scalaire c'est-à-dire d'une fonction tensorielle d'ordre zéro étant un champ vectoriel c'est-à-dire un champ tensoriel d'ordre un[44] et
  Remarque : Le champ gradcelui d'une fonction vectorielle c'est-à-dire d'une fonction tensorielle d'ordre un étant un champ tensoriel d'ordre deux, nous pourrions généraliser[101] selon
     Remarque : « le champ gradient d'une fonction tensorielle d'ordreest un champ tensoriel d'ordre» par exemple
     Remarque : «le champ gradient d'une fonction tensorielle d'ordre deux laquelle est représentable par une matrice carrée de dimension ou taille est un champ tensoriel d'ordre trois lequel nécessiterait une représentation en tableau cubique[102] d'où la difficulté de traitement outre que cette notion n'est usuellement pas utilisée en physique.

Retour sur la recherche d'une façon plus compacte de traduire l'étude de la variation d'un champ vectoriel modifier

     Dans le chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », nous avons évoqué, dans la dernière note de bas de page plus précisément la note 15, une façon plus compacte de traduire l'étude de la variation d'un champ vectoriel, mais en vérifiant cette méthode uniquement en représentation cartésienne[103] cette introduction étant d'un niveau plus élevé que est évoquée à titre documentaire[104] ;

     peut-on prolonger le résultat trouvé en représentation cartésienne en représentation cylindro-polaire respectivement sphérique ?

     peut-on prolonger le résultat La réponse dépend de ce qu'on entend par étude de la variation du champ vectoriel, est-ce qu'on souhaite étudier cette variation de façon

  • « absolue »[105] dans ce cas il faut étudier la direction, le sens et la norme de [106] ou
  • « relative »[107] dans ce cas il faut étudier le signe des différentielles des composantes cylindro-polaires respectivement sphériques de [108].

Recherche d'une façon plus compacte de traduire la variation « relative » d'un champ vectoriel de l'espace modifier

     Comme cela a été indiqué en introduction du paragraphe « retour sur la recherche d'une façon plus compacte de traduire l'étude de la variation d'un champ vectoriel (variation relative) » plus haut dans ce chapitre, il faut étudier le signe des différentielles des composantes du champ vectoriel soit

     en cylindro-polaire, pour un « champ vectoriel » étudier le signe des « différentielles des composantes radiale, orthoradiale et axiale du champ vectoriel » pour en déduire la variation relative du champ selon la direction , en remarquant que le signe de ces différentielles ne dépend que des dérivées partielles des composantes du champ ; on peut alors induire une façon plus compacte d'étudier cette variation par l'intermédiaire de la notion de dérivée du champ par rapport au vecteur position[109], grandeur ne faisant intervenir que les dérivées partielles des composantes du champ[110] ;

     en sphérique, pour un « champ vectoriel », étudier le signe des « différentielles des composantes radiale, orthoradiale et longitudale du champ vectoriel » pour en déduire la variation relative du champ selon la direction , en remarquant que le signe de ces différentielles ne dépend que des dérivées partielles des composantes du champ ; on peut alors induire une façon plus compacte d'étudier cette variation par l'intermédiaire de la notion de dérivée du champ par rapport au vecteur position[109], grandeur ne faisant intervenir que les dérivées partielles des composantes du champ[111].

Recherche d'une façon plus compacte de traduire la variation « absolue » d'un champ vectoriel de l'espace modifier

     Comme cela a été indiqué en introduction du paragraphe « retour sur la recherche d'une façon plus compacte de traduire l'étude de la variation d'un champ vectoriel (variation absolue) » plus haut dans ce chapitre, il faut étudier la direction, le sens et la norme de c'est-à-dire le signe des composantes de et non le signe des différentielles des composantes comme cela est fait pour traduire la variation relative du champ vectoriel et
     une question subsiste « peut-on remplacer l'étude de la direction, du sens et de la norme de grandeur infiniment petite en physique par l'étude d'une grandeur finie[112] ? »

     une question subsiste « La réponse est « oui mais » d'une façon matricielle qui dépend du type de représentation donc nettement moins intéressante voir 1er sous-paragraphe ci-dessous ou

     une question subsiste « La réponse est « oui mais » en utilisant la notion de « champ tensoriel gradient du champ vectoriel », présenté en complément plus haut dans ce chapitre dans le paragraphe précité voir 2ème sous-paragraphe ci-dessous.

     une question subsiste « La réponse est « oui mais » Étude de la variation absolue d'un champ vectoriel par représentation matricielle : nous avons établi dans le paragraphe « identification de l'opérateur scalaire du 1er ordre “dM scalaire nabla” avec l'opérateur “différenciation” lorsqu'ils agissent sur une fonction vectorielle de l'espace » plus haut dans ce chapitre à expliciter la différentielle du champ vectoriel sous forme matricielle d'éléments de [88] selon «» soit

une question subsiste « La réponse est « oui mais » en cylindro-polaire : «[56]» ou, en utilisant les résultats rappelés en note « 52 » plus haut dans ce chapitre , l'étude du signe de chacun permettant de déterminer la variation absolue radiale, orthoradiale ou axiale de  ;
une question subsiste « La réponse est « oui mais » en sphérique : «[56]» ou, en utilisant les résultats rappelés en note « 100 » plus haut dans ce chapitre , l'étude du signe de chacune des composantes suivantes permettant de déterminer la variation absolue radiale, orthoradiale ou longitudale de .

     une question subsiste « La réponse est « oui mais » Étude de la variation absolue d'un champ vectoriel par champ tensoriel gradient de ce dernier  : associant à la représentation matricielle d'éléments de [88] de la différentielle du champ vectoriel c'est-à-dire ou la différentielle de la matrice colonne d'éléments de [88] représentant le champ vectoriel la représentation matricielle des composantes de la différentielle du champ vectoriel c'est-à-dire mise sous la forme d'un produit de matrices réelles « » dans lequel « est la matrice colonne réelle des composantes radiale, orthoradiale et axiale de » et « une matrice carrée réelle de dimension ou taille » s'identifiant à la « représentation matricielle du champ tensoriel gradient de » dont l'étude permet de déterminer la variation absolue du champ vectoriel soit

une question subsiste « La réponse est « oui mais » en cylindro-polaire «[56]»[113] ou, en explicitant les différentielles des composantes radiale, orthoradiale et axiale du champ vectoriel «[56]» soit, en introduisant et « », la matrice carrée réelle de dimension ou taille dont l'étude permet la détermination de la variation absolue du champ vectoriel s'identifiant effectivement au champ tensoriel gradient de ce dernier «»[114] ;
une question subsiste « La réponse est « oui mais » en sphérique «[56]»[115] ou, en explicitant les différentielles des composantes du champ vectoriel «[56] »[21] soit, avec et « [21],[67] », la matrice carrée réelle de dimension ou taille dont l'étude permet la détermination de la variation absolue du champ vectoriel s'identifiant effectivement au champ tensoriel gradient de ce dernier «»[116].

Remarque finale modifier

     On remarquera néanmoins que ces deux façons se confondent en représentation cartésienne[117],[118].

Notes et références modifier

  1. Voir l'« introduction du paragraphe produit vectoriel de deux vecteurs (pour la signification d'espace orienté à droite) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 et 2,13 Nom donné pour rendre hommage à Pierre-Simon Laplace (1749 - 1827) mathématicien, astronome et physicien français, à qui on doit des contributions fondamentales dans différents champs des mathématiques, de l'astronomie et de la théorie des probabilités dans cette dernière il utilise la transformation de Laplace portant son nom pour lui rendre hommage découverte par Leonhard Euler ; dans le domaine de la physique pratique on lui doit la théorie de l'attraction capillaire expliquant ce qui se passe dans les tubes capillaires ou dans les bulles d'air d'un liquide ainsi que la raison expliquant pourquoi le calcul de Newton sur la vitesse du son sous-estime cette dernière.
       Leonhard Euler (1707 - 1783) mathématicien et physicien suisse qui passa la plus grande partie de sa vie dans l'Empire russe et en Allemagne ; en mathématiques il fit d'importantes découvertes dans des domaines aussi variés que le calcul infinitésimal et la théorie des graphes, il introduisit également une grande partie de la terminologie et de la notation des mathématiques modernes, en particulier en analyse mathématique, comme la notion de fonction mathématique ; il est aussi connu pour ses travaux en mécanique, en dynamique des fluides, en optique et en astronomie.
       Isaac Newton (1643 - 1727) philosophe, mathématicien, physicien, astronome, alchimiste et théologien anglais, connu essentiellement de nos jours pour avoir fondé la mécanique classique, pour sa théorie de la gravitation et aussi pour la création du calcul infinitésimal partagée de façon plus ou moins indépendante avec Gottfried Leibniz ; en optique il a développé une théorie de la couleur et a aussi inventé un télescope composé d'un miroir primaire concave et d'un miroir secondaire plan, télescope connu de nos jours sous le nom de télescope de Newton.
       Gottfried Leibniz (1646 - 1716) entre autres philosophe, scientifique, mathématicien allemand dont la contribution principale, dans le domaine mathématique, est l'invention du calcul infinitésimal calcul différentiel et calcul intégral dont la paternité doit être partagée avec Isaac Newton.
  3. Voir le paragraphe « proposition de définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  4. Pour l'instant le domaine d'application de cet opérateur scalaire est l'ensemble des fonctions scalaires différentiables de l'espace mais nous verrons ultérieurement qu'il peut aussi s'appliquer à une fonction vectorielle différentiable de l'espace.
  5. Voir le paragraphe « définition de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” en repérage cartésien » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  6. Voir le paragraphe « définition (équivalente) de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” en repérage cylindro-polaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  7. Voir le paragraphe « définition (équivalente) de l'pérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” en repérage sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  8. 8,0 et 8,1 On admet l'applicabilité de la notion de multiplication scalaire avec au moins une des grandeurs vectorielles remplacée par un opérateur vectoriel comme l'opérateur “nabla” «», la définition utilisée étant alors celle du paragraphe « définition du produit scalaire de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  9. On admet l'applicabilité de la notion de multiplication vectorielle avec au moins une des grandeurs vectorielles remplacée par un opérateur vectoriel comme l'opérateur “nabla” «», la définition utilisée étant alors celle du paragraphe « définition du produit vectoriel de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  10. Voir le paragraphe « lien entre le champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace et l'image par l'opérateur “nabla” de cette fonction scalaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  11. Voir le paragraphe « composantes cartésiennes du gradient d'une fonction scalaire de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  12. Voir le paragraphe « composantes cylindro-polaires du gradient d'une fonction scalaire de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  13. Voir le paragraphe « composantes sphériques du gradient d'une fonction scalaire de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  14. Voir le paragraphe « définition intrinsèque du gradient d'une fonction scalaire de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  15. La circulation élémentaire d'un champ vectoriel est voir paragraphe « circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace le long d'une courne continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  16. Ou, de façon plus concise «» définition à connaître sans hésitation.
  17. Voir le paragraphe « définition du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace par l'image que donne l'opérateur “nabla scalaire...” de cette fonction vectorielle » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  18. 18,0 et 18,1 Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en cartésien » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  19. 19,0 19,1 et 19,2 Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en cylindro-polaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  20. 20,0 20,1 et 20,2 Voir le paragraphe « expression de la divergence d'une fonction vectorielle de l'espace en sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  21. 21,00 21,01 21,02 21,03 21,04 21,05 21,06 21,07 21,08 21,09 21,10 21,11 21,12 21,13 21,14 21,15 21,16 et 21,17 Pour alléger la notation, le point dont dépendent les fonctions du 2nd membre n'a pas été indiqué
  22. Voir le paragraphe « définition intrinsèque (équivalente) du champ scalaire divergence d'une fonction vectorielle de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  23. Le flux élémentaire d'un champ vectoriel est «» voir paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluationl (flux élémentaire d'un champ vectoriel) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  24. Ou, de façon plus concise «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  25. Voir le paragraphe « définition du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace par l'image que donne l'opérateur “nabla vectoriel...” de cette fonction vectorielle » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  26. 26,0 26,1 26,2 et 26,3 Voir le paragraphe « expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en cartésien (méthode de détermination des composantes cartésiennes) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  27. 27,0 27,1 27,2 et 27,3 Voir le paragraphe « expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en cylindro-polaire (méthode de détermination des composantes cylindro-polaires) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  28. 28,0 28,1 28,2 et 28,3 Voir le paragraphe « expression du rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace en sphérique (méthode de détermination des composantes sphériques) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  29. Voir le paragraphe « définition intrinsèque (équivalente) du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  30. Le flux élémentaire du champ vectoriel est «» voir paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluationl (flux élémentaire d'un champ vectoriel) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  31. La circulation élémentaire d'un champ vectoriel le long d'un contour élémentaire est est le vecteur déplacement élémentaire en de voir paragraphe « circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace le long d'une courne continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ;
       la circulation du champ vectoriel le long du contour élémentaire est définie par «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  32. Dans la mesure où l'espace tridimensionnel est orienté à droite voir l'« introduction du paragraphe produit vectoriel de deux vecteurs » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » avec choix d'une base orthonormée directe voir le paragraphe « base directe d'un espace orienté à droite » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », on peut appliquer la règle du tire-bouchon de Maxwell pour déterminer l'orientation de la courbe fermée limitant la surface ouverte à partir de l'orientation de cette dernière : « plaçant le tire-bouchon de Maxwell en un point de et effectuant une translation dans le sens choisi sur , le sens défini sur correspond au sens de rotation du tire-bouchon ».
  33. 33,0 et 33,1 Plus précisément il faut que les dérivées partielles 2ndes de la fonction scalaire existent.
  34. Voir le paragraphe « définition du champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace par l'image de l'opérateur “nabla scalaire nabla” sur cette fonction scalaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  35. 35,0 35,1 35,2 et 35,3 Voir le paragraphe « expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace en cartésien » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  36. 36,0 36,1 36,2 36,3 et 36,4 Voir le paragraphe « expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace en cylindro-polaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  37. 37,0 37,1 37,2 37,3 et 37,4 Voir le paragraphe « expression du laplacien d'une fonction scalaire de l'espace en sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  38. 38,0 38,1 et 38,2 Pour simplifier l'écriture, les paramètres figés lors de la définition d'une dérivée partielle ont été omis à condition, bien sûr, qu'il n'y ait aucune ambiguïté.
  39. Voir le paragraphe « définition intrinsèque (équivalente) du champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » pour plus de détails.
  40. Voir le paragraphe « définition et propriété d'un tenseur d'ordre zéro » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  41. 41,0 41,1 et 41,2 Les matrices de taille théoriquement possibles sont usuellement éliminées car, dans la pratique, leurs propriétés s'identifient à celles d'un élément de , ici nous maintenons cette possibilité.
  42. 42,0 42,1 42,2 42,3 42,4 et 42,5 Une grandeur est dite covariante lorsqu'elle varie comme les vecteurs de base et contravariante quand elle varie de façon contraire.
  43. 43,0 43,1 et 43,2 La représentation matricielle de l'opérateur linéaire du 1er ordre “nabla vectoriel ...” en matrice carrée de dimension ou taille conduit à une matrice symétrique uniquement dans le repérage cartésien, celle propriété devenant fausse dans le repérage cylindro-polaire ou sphérique ;
                               en repérage cylindro-polaire l'élément diffère de l'élément de façon à ce que « étant la matrice colonne représentant un champ vectoriel en repérage cylindro-polaire représente la matrice colonne associée au champ vectoriel dans ce repérage » voir le paragraphe « représentation matricielle du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace » plus loin dans ce chapitre ;
                               en repérage sphérique l'élément diffère de l'élément de façon à ce que « étant la matrice colonne représentant un champ vectoriel en repérage sphérique représente la matrice colonne associée au champ vectoriel dans ce repérage » voir le paragraphe « représentation matricielle du champ vectoriel rotationnel d'une fonction vectorielle de l'espace » plus loin dans ce chapitre.
  44. 44,0 44,1 et 44,2 Voir le paragraphe « champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace » plus haut dans ce chapitre.
  45. 45,0 et 45,1 Voir le paragraphe « proposition de définition intrinsèque de l'opérateur vectoriel linéaire du 1er ordre “nabla” » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  46. 46,0 et 46,1 Voir le paragraphe « champ vectoriel gradient d'une fonction scalaire de l'espace (remarque) » plus haut dans ce chapitre.
  47. 47,0 47,1 et 47,2 Voir le paragraphe « champ scalaire laplacien d'une fonction scalaire de l'espace » plus haut dans ce chapitre.
  48. 48,0 et 48,1 Application « directe » de l'opérateur vectoriel «» à une fonction vectorielle «» sans utiliser les opérateurs intermédiaires « multiplication scalaire » comme dans le champ scalaire divergence «» ou « multiplication vectoriel » comme dans le champ vectoriel rotationnel «».
  49. On aurait pu choisir pour les mêmes raisons le repérage sphérique.
  50. Dans l'expression du champ vectoriel, les trois composantes et les deux 1ers vecteurs de base dépendent des coordonnées de , dépendance entraînant une action non nulle des dérivées partielles de l'opérateur “nabla”.
  51. On pourrait encore écrire «».
  52. En effet «» et «» les dérivées partielles étant en fait des dérivées droites dans la mesure où les vecteurs de base ne dépendent que d'une variable  ; compte-tenu du résultat des dérivées de vecteurs de base par rapport à voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », on pourrait encore écrire «».
  53. Ce Qu'il Fallait Vérifier.
  54. 54,0 et 54,1 Cette matrice résultant du produit d'une matrice de dimension ou taille par une matrice de dimension ou taille .
  55. 55,0 55,1 55,2 55,3 et 55,4 L'action d'un opérateur scalaire sur une matrice colonne transforme cette dernière en une nouvelle matrice colonne dont chaque élément est le résultat de l'action de cet opérateur sur chaque élément de la matrice colonne d'origine.
       Attention il ne s'agit nullement d'un produit de matrices lequel ne serait pas défini entre une matrice de dimension ou taille et une autre de dimension ou taille .
  56. 56,0 56,1 56,2 56,3 56,4 56,5 56,6 56,7 et 56,8 Avec «» opérateur de différenciation.
  57. Ou encore, en utilisant les résultats rappelés en note « 52 » plus haut dans ce chapitre «» voir la note « 21 » plus haut dans ce chapitre.
  58. Ou encore, en utilisant les résultats des paragraphes « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique », « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » et « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    «» voir la note « 21 » plus haut dans ce chapitre.
  59. 59,00 59,01 59,02 59,03 59,04 59,05 59,06 59,07 59,08 59,09 59,10 59,11 59,12 59,13 59,14 59,15 59,16 59,17 59,18 59,19 59,20 59,21 et 59,22 Pour alléger la notation, l'instant des grandeurs dépendant explicitement du temps n'a pas été indiqué
  60. Ou encore, en utilisant les résultats rappelés en note « 52 » plus haut dans ce chapitre «» voir la note « 59 » plus haut dans ce chapitre.
  61. Ou encore, en utilisant les résultats des paragraphes « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique », « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » et « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    «» voir la note « 59 » plus haut dans ce chapitre.
  62. Ce champ intervient lors du calcul de la dérivée particulaire du champ de vecteurs vitesse d'un milieu fluide «», cette dérivée particulaire de jouant le rôle du vecteur accélération du point lors de l'étude de la dynamique des fluides,
    • le 1er terme traduisant la variation locale de en figé et
    • le 2ème la variation advective ou encore convective de liée au déplacement du point .
  63. Voir la note « 60 » plus haut dans ce chapitre.
  64. Voir la note « 60 » plus haut dans ce chapitre.
  65. Plus précisément il faut que les dérivées partielles 2ndes de la fonction vectorielle existent.
  66. 66,0 66,1 et 66,2 Voir l'introduction du paragraphe « représentation matricielle des champs vectoriels gradient et rotationnel, des champs scalaires divergence et laplacien (4ème sous-paragraphe de l'introduction) » plus haut dans ce chapitre.
  67. 67,00 67,01 67,02 67,03 67,04 67,05 67,06 67,07 67,08 67,09 67,10 67,11 67,12 67,13 67,14 67,15 67,16 67,17 67,18 67,19 67,20 et 67,21 Pour alléger la notation, les variables maintenues figées lors de dérivations partielles n'ont pas été indiquées
  68. 68,0 68,1 et 68,2 En admettant que, lors d'une dérivation partielle du 2nd ordre on peut permuter l'ordre des dérivations sans changer le résultat théorème de Schwarz.
       Hermann Amandus Schwarz (1843 - 1921) mathématicien allemand, dont les travaux portèrent sur des sujets allant de l'analyse réelle et complexe à la géométrie différentielle, en passant par le calcul des variations ; il contribua à propager en Italie et en France les idées du mathématicien Karl Weierstrass dont il fut l'élève par les notes de cours qu'il prit en  ;
       Karl Theodor Wilhelm Weierstrass (1815 - 1897) mathématicien allemand considéré comme le père de l'analyse moderne, ses travaux les plus connus portent sur les fonctions elliptiques on lui doit aussi la création d'une fonction connue de nos jours sous le nom de fonction de Weierstrass ayant la propriété d'être partout continue mais dérivable nulle part.
  69. En effet « et » les dérivées initialement partielles étant devenues droites dans la mesure où les vecteurs de base ne dépendent que d'une variable voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dont on déduit « et ».
  70. On utilisera les informations établies dans les paragraphes « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique », « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » et « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
       Les termes supplémentaires de la 1ère ligne correspondent à ce qui n'a pas été utilisé à partir de «» c'est-à-dire les termes faisant intervenir au moins une fois les dérivées partielles des vecteurs de base d'où
       la dérivée partielle du 1er terme se réécrivant et tout a été utilisé,
       la dérivée partielle du 2ème terme se réécrivant dans lequel seul le 1er terme a été utilisé d'où, avec et , et compte-tenu du facteur de la dérivée partielle , il convient d'ajouter dans la 1ère ligne de la matrice colonne
    «»,
       la dérivée partielle du 3ème terme se réécrivant dans lequel seul le 1er terme a été utilisé d'où, avec et , et compte-tenu du facteur de la dérivée partielle , ajouter dans la 1ère ligne de la matrice colonne
    «»,
    d'où les termes supplémentaires de la 1ère ligne de la matrice colonne «» ;                                                                                                 

       les termes supplémentaires de la 2ème ligne correspondent à ce qui n'a pas été utilisé à partir de «» c'est-à-dire les termes faisant intervenir au moins une fois les dérivées partielles des vecteurs de base d'où
       la dérivée partielle du 1er terme se réécrivant et tout a été utilisé,

       la dérivée partielle du 2ème terme se réécrivant dans lequel seul le 1er terme a été utilisé d'où, avec et , et compte-tenu du facteur de la dérivée partielle , il convient d'ajouter dans la 2ème ligne de la matrice colonne
    «»,
       la dérivée partielle du 3ème terme se réécrivant dans lequel seul le 1er terme a été utilisé d'où, avec et , et compte-tenu du facteur de la dérivée partielle , ajouter dans la 2ère ligne de la matrice colonne
    «»,
    d'où les termes supplémentaires de la 2ème ligne de la matrice colonne «» ;

       les termes supplémentaires de la 3ème ligne correspondent à ce qui n'a pas été utilisé à partir de «» c'est-à-dire les termes faisant intervenir au moins une fois les dérivées partielles des vecteurs de base d'où
       la dérivée partielle du 1er terme se réécrivant et tout a été utilisé,
       la dérivée partielle du 2ème terme se réécrivant et , tout a été utilisé,

       la dérivée partielle du 3ème terme se réécrivant dans lequel seul le 1er terme a été utilisé d'où, avec et , et compte-tenu du facteur de la dérivée partielle , ajouter dans la 2ère ligne de la matrice colonne
    «»,
    d'où les termes supplémentaires de la 3ème ligne de la matrice colonne «».
  71. Hermann Amandus Schwarz (1843 - 1921) mathématicien allemand, dont les travaux portèrent sur des sujets allant de l'analyse réelle et complexe à la géométrie différentielle, en passant par le calcul des variations ; il contribua à propager en Italie et en France les idées du mathématicien Karl Weierstrass dont il fut l'élève par les notes de cours qu'il prit en  ;
       Karl Theodor Wilhelm Weierstrass (1815 - 1897) mathématicien allemand considéré comme le père de l'analyse moderne, ses travaux les plus connus portent sur les fonctions elliptiques on lui doit aussi la création d'une fonction connue de nos jours sous le nom de fonction de Weierstrass ayant la propriété d'être partout continue mais dérivable nulle part.
  72. 72,0 72,1 72,2 72,3 72,4 et 72,5 Voir le paragraphe « définition et propriété d'un 1er tenseur d'ordre deux » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  73. 73,0 73,1 73,2 73,3 73,4 et 73,5 C.-à-d. l'espace vectoriel associé à l'espace affine.
  74. 74,0 74,1 74,2 74,3 74,4 74,5 74,6 et 74,7 L'ensemble des matrices carrées réelles de dimension ou taille correspondant à une matrice réelle de dimension ou taille est noté «».
  75. 75,0 75,1 et 75,2 Voir le paragraphe « puissance tensorielle d'un espace vectoriel tridimensionnel » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  76. Ou à un sous-ensemble de , le sous-ensemble correspondant au domaine de définition.
  77. 77,0 et 77,1 Voir le paragraphe « définition du produit tensoriel de deux espaces vectoriels tridimensionnels (produit tensoriel de deux vecteurs) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  78. 78,0 et 78,1 Voir le paragraphe « bases pour les espaces vectoriels dont les éléments sont des tenseurs d'ordre deux (ensemble des tenseurs d'ordre 2 contravariants) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  79. 79,0 et 79,1 Ou à un sous-ensemble de , le sous-ensemble correspondant au domaine de définition.
  80. Usuellement on n'introduit pas les coordonnées du point en définissant les composantes mais on écrit «».
  81. C.-à-d. en mécanique des solides déformables ici « solide » doit être pris au sens de la physique et non de la mécanique, un solide au sens de la mécanique étant un système indéformable ou
       C.-à-d. en mécanique des fluides.
  82. « Le cœfficient de la ième ligne et jème colonne » est aussi « la composante sur de la force surfacique que l'environnement exerce sur la face opposée de la face élémentaire d'aire face opposée notée » laquelle est l'opposée de la force surfacique que l'environnement exerce sur la face élémentaire dans la mesure où le milieu continu est localement au repos « » soit «».
  83. En effet, dans la mesure où le milieu continu est localement au repos, la somme des moments vectoriels des forces surfaciques que l'environnement exerce sur les faces du cube élémentaire voir le paragraphe « définition (vecteur moment d'une force appliquée en M par rapport à un point A) » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » est nulle voir le paragraphe « théorème du moment cinétique vectoriel appliqué à un sysème discret de points matériels dans le référentiel d'étude galiléen » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » dans le cas de repos, le cube élémentaire de milieu continu étant considéré comme système discret de points dans la mesure où le système des forces appliquées s'est réduit à soit, en évaluant ces moments relativement à centre du cube, «» la face opposée de la face élémentaire étant notée ou, sachant que et voir note « 82 » plus haut dans ce chapitre, se réécrit «» soit encore, en considérant un cube élémentaire de de côté, «» « » soit «» «» «» c'est-à-dire le caractère symétrique de la matrice « des contraintes ».
  84. Voir le paragraphe « identification de l'opérateur scalaire linéaire du 1er ordre “dM scalaire nabla” avec l'opérateur “différenciation” lorsqu'ils agissent sur une fonction vectorielle de l'espace » plus haut dans ce chapitre.
  85. Voir le paragraphe « champ d'advection d'une fonction vectorielle de l'espace » plus haut dans ce chapitre.
  86. Voir les paragraphes « identification de l'image par l'opérateur nabla scalaire nabla d'une fonction vectorielle et du champ laplacien vectoriel de cette fonction vectorielle en repérages cartésien, cylindro-polaire et sphérique » plus haut dans ce chapitre.
  87. Voir l'introduction du paragraphe « représentation matricielle des champs vectoriels gradient et rotationnel, des champs scalaires divergence et laplacien (1er sous-paragraphe de l'introduction) » plus haut dans ce chapitre.
  88. 88,00 88,01 88,02 88,03 88,04 88,05 88,06 88,07 88,08 88,09 88,10 88,11 et 88,12 étant la direction de l'espace affine tridimensionnel c'est-à-dire l'espace vectoriel associé à l'espace affine.
  89. 89,0 et 89,1 Au nombre de .
  90. On vérifierait qu'il est bien contravariant.
  91. En effet l'action d'une matrice d'opérateurs de dimension ou taille sur une matrice d'éléments de de dimension ou taille ne donne une matrice d'éléments de de dimension ou taille que si et .
  92. 92,0 92,1 et 92,2 Voir le paragraphe « transposition de matrices » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  93. Ce qui est aussi un champ tensoriel d'ordre un contravariant.
  94. 94,0 et 94,1 L'association entre matrice carrée d'éléments de et matrice carrée réelle consistant
    • à permuter si besoin et en pratique partiellement les éléments de chaque colonne de la matrice carrée d'éléments de de façon à ce que l'élément de la 1ère ligne de la colonne considérée soit au 1er vecteur de base, celui de la 2ème ligne au 2ème vecteur de base et celui de la 3ème ligne au 3ème vecteur de base, puis
    • à conserver uniquement les composantes scalaires des éléments de sur les vecteurs de base sans modifier leur position dans la matrice.
  95. 95,0 95,1 et 95,2 L'ensemble des matrices carrées d'éléments de de dimension ou taille correspondant à une matrice d'éléments de de dimension ou taille est noté «».
  96. La raison de cette dernière transposition de matrice carrée de dimension ou taille est de permuter lignes et colonnes ce qui permet d'obtenir la représentation matricielle du champ tensoriel d'ordre deux pour que ce dernier soit contravariant
  97. 97,0 97,1 97,2 et 97,3 Nous avons ajouté en haut et à droite du symbole représentant une matrice ou pour les distinguer mais, quand il n'y a plus d'ambiguïté, ces indices extérieurs n'ont plus de raison d'être.
  98. Le symbole signifiant qu'à la matrice située à droite on associe celle située à gauche selon la règle donnée dans la note « 94 » plus haut dans ce chapitre.
  99. En effet « et » les dérivées initialement partielles étant devenues droites dans la mesure où les vecteurs de base ne dépendent que d'une variable voir le paragraphe « différentielle des vecteurs de base cylindro-polaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  100. On a utilisé les informations établies dans les paragraphes « détermination des dérivées partielles du 1er vecteur de base sphérique », « détermination des dérivées partielles du 2nd vecteur de base sphérique » et « détermination de la dérivée du 3ème vecteur de base sphérique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », à savoir
       «», «», «», «» et ».
  101. Mais nous ne le ferons pas, la notion n'étant pas usuellement utilisée en physique
  102. Voir le paragraphe « introduction des tenseurs en mathématiques (figure) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  103. La méthode de niveau plus élevé que consiste à introduire la dérivée du champ vectoriel relativement au vecteur position, plus précisément pour un champ vectoriel de l'espace et le vecteur position de son point d'application , on définit la dérivée de par rapport à de représentation matricielle , est donc un champ tensoriel d'ordre deux voir le paragraphe « notion de champ tensoriel de l'espace » plus haut dans ce chapitre ;
       le calcul du produit de avec la matrice colonne ou matrice représentation matricielle du vecteur déplacement élémentaire conduit à  ; les vecteurs de base cartésienne étant indépendants du point , le produit est aussi la représentation matricielle de la différentielle du champ vectoriel , , ce qu'on peut traduire par  ;
       l'étude de la variation du champ vectoriel se faisant par l'étude du signe des composantes de par exemple, le signe de pour une variation selon , dépend du signe de est aussi déterminée par le signe des composantes de puisque les composantes de sont simplement les dérivées partielles des composantes de , ceci n'étant, pour l'instant, vérifié qu'en représentation cartésienne.
  104. Et c'est également la raison pour laquelle elle n'est donnée qu'en note de bas de page.
  105. C.-à-d. sa variation en direction et en norme relativement au référentiel de définition pour lequel les vecteurs de base cartésienne sont fixes.
  106. C.-à-d. encore le signe des composantes cylindro-polaires respectivement sphériques de .
  107. C.-à-d. sa variation relativement à la base locale cylindro-polaire respectivement sphérique liée au point , cette base étant supposée figée,
       plus précisément, par exemple pour une représentation cylindro-polaire, suivant la direction locale la composante est-elle une fonction croissante, décroissante ou stationnaire de de ou de .
  108. C.-à-d. encore, dans le cadre d'une représentation cylindro-polaire respectivement sphérique, le signe de , et respectivement , et .
  109. 109,0 et 109,1 On rappelle que cette notion de niveau plus élevé que est donnée à titre documentaire.
  110. Avec et en représentation cylindro-polaire, on définit à partir de ce qui donne , ce qui établit que la variation des composantes cylindro-polaires du champ dépendent effectivement des composantes de .
  111. Avec et en représentation sphérique, on définit à partir du produit matriciel ce qui donne , ce qui établit que la variation des composantes sphériques du champ dépendent effectivement des composantes de .
  112. Comme le gradient d'un champ scalaire permet d'étudier la variation de ce dernier ou
      Comme la dérivée d'un champ vectoriel par rapport au vecteur position permet d'étudier la variation relative de ce dernier par rapport à une base locale liée à .
  113. Voir ci-dessus le sous-paragraphe « étude de la variation absolue d'un champ vectoriel par représentation matricielle en cylindro-polaire» de ce paragraphe.
  114. Voir le paragraphe « champ tensoriel gradient d'une fonction vectorielle de l'espace (en cylindro-polaire) » plus haut dans ce chapitre.
  115. Voir ci-dessus le sous-paragraphe « étude de la variation absolue d'un champ vectoriel par représentation matricielle en sphérique» de ce paragraphe.
  116. Voir le paragraphe « champ tensoriel gradient d'une fonction vectorielle de l'espace (en sphérique) » plus haut dans ce chapitre.
  117. Puisque les vecteurs de base cartésienne sont fixes dont on déduit que la composante de sur respectivement ou est respectivement ou .
  118. En accord avec valable uniquement en cartésien,
       l'étude de la variation absolue nécessitant la détermination du signe des composantes de et
          celle de la variation relative, la détermination du signe des composantes de d'où un résultat effectivement identique