Signaux physiques - bis (PCSI)/Exercices/Filtrage linéaire : gabarit d'un filtre, 2ème partie

Filtrage linéaire : gabarit d'un filtre, 2ème partie
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Exercices no9
Leçon : Signaux physiques - bis (PCSI)
Chapitre du cours : Filtrage linéaire : gabarit d'un filtre, 2ème partie

Exercices de niveau 14.

Exo préc. :Filtrage linéaire : gabarit d'un filtre, 1ère partie
En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Exercice : Filtrage linéaire : gabarit d'un filtre, 2ème partie
Signaux physiques - bis (PCSI)/Exercices/Filtrage linéaire : gabarit d'un filtre, 2ème partie
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.




Filtre passe-bas du 2ème ordre, détermination de la réponse à un échelon de tension et à une tension périodique non sinusoïdale à partir de la fonction de transfert en complexe associé au r.s.f. modifier

     On se propose d'étudier un montage dont l'amplification complexe en tension en électricité complexe associée au r.s.f[1]. est

«»,

      et étant les valeurs de capacité de deux condensateurs parfaits, la résistance d'un conducteur ohmique,
     « la tension instantanée complexe associée à la tension instantanée sinusoïdale imposée à l'entrée du montage d'entrée » et
     « la tension instantanée complexe associée à la tension instantanée sinusoïdale recueillie à la sortie du montage, étant la tension efficace complexe de sortie ».

Réduction canonique de la fonction de transfert en complexe associé au r.s.f. modifier

     Montrer que l'amplification complexe en tension du filtre peut être réduite de façon canonique selon «» et
     Expliciter les grandeurs canoniques «», «» et «».

Déduction de l'équation différentielle à laquelle obéit la tension instantanée de sortie modifier

     Déduire, de l'amplification complexe en tension du filtre «», l'équation différentielle vérifiée par la tension instantanée de sortie en régime quelconque.

Description de la solution libre de l'équation différentielle à laquelle obéit la tension instantanée de sortie modifier

     La solution libre d'une équation différentielle linéaire à cœfficients constants du 2ème ordre hétérogène étant la solution générale de l'équation différentielle précédente rendue homogène c'est-à-dire,
     La solution libre en notant la solution libre , cette dernière est solution générale de l'équation «»,

     décrire la solution libre on précisera les différentes allures possibles de cette solution suivant les valeurs de .

Valeurs initiale et finale de la tension instantanée de sortie modifier

     Sachant qu'on applique un échelon de tension d'amplitude «» à l'entrée du filtre à partir de «»[9], donner, en les justifiant par utilisation de propriétés de la fonction de transfert, les valeurs

  • de la réponse initiale en sortie «» du filtre à cet échelon c'est-à-dire la valeur de «» et
  • celle               finale en sortie «» du filtre à cet échelon c'est-à-dire la valeur de « notée, par abus, » ;

     à quoi correspond physiquement la valeur de «» ?

Construction du cas particulier m = 2-1/2 et nature du régime libre associé modifier

     Sachant que l'on veut obtenir «», quelle valeur faut-il donner à la capacité «» en fonction de la capacité «» pour y parvenir ?

     Sachant que l'on veut obtenir «», Quelle est alors la nature du régime libre obtenu ?

Suite de la construction du cas particulier m = 2-1/2 pour un encadrement donné de la fréquence propre modifier

     Dans le cadre du lien entre les capacités «» et «» permettant d'obtenir «», on veut faire varier la fréquence propre «» entre «» et «»,
     Dans le cadre du lien entre les capacités «» et «» permettant d'obtenir «», déterminer entre quelles limites, exprimées en fonction de «», doit-on choisir «» ?

Détermination des grandeurs caractéristiques du filtre construit précédemment et de fréquence propre 2,0 kHz modifier

     Dans le cadre du lien entre les capacités «» et «» permettant d'obtenir «» et
   Dans le cadre de celui entre la capacité «» et la résistance «» pour que «», on impose une fréquence propre «»,

     préciser :

  • l'allure de la courbe de gain du diagramme de Bode[17] asymptotique on vérifiera que l'allure tracée est bien celle d'un « passe-bas » du 2ème ordre,
  • la valeur de la fréquence de coupure à ainsi que sa position sur la courbe de gain du diagramme de Bode[17] aysmptotique,
  • les pentes des asymptotes de cette courbe de gain du diagramme de Bode[17] aysmptotique et
  • les valeurs « limites »[18] du déphasage[19].

Fonctionnement conditionnel aux fréquences limites modifier

     Préciser le comportement équivalent en B.F[24]. ou H.F[26]. du filtre[28].

Réponse du filtre construit précédemment et de fréquence propre 2,0 kHz à divers signaux périodiques de fréquence 1,5 kHz modifier

     À l'entrée du filtre construit précédemment et de fréquence propre on impose un signal d'entrée périodique de fréquence «» ;
     À l'entrée du filtre construit précédemment et de fréquence propre on se propose de déterminer la réponse du filtre suivant la forme du signal d'entrée en introduisant, en 1ère approximation, un « intervalle quasi-passant »[31] avant d'affiner en tenant compte de la différence de gain

Réponse du filtre à un signal d'entrée sinusoïdal à valeur moyenne nulle modifier

     Représenter, sur un même diagramme temporel, le signal d'entrée sinusoïdal à valeur moyenne nulle[32] et la réponse de ce filtre d'abord avec la notion d'« intervalle quasi-passant »[31] puis en affinant en tenant compte de la différence de gain.

Réponse du filtre à un signal d'entrée créneau symétrique pair à valeur moyenne non nulle modifier

     Représenter, sur un même diagramme temporel, le signal d'entrée créneau symétrique[34] à valeur moyenne positive[35] pair[36] telle que les valeurs de palier soient et la réponse de ce filtre d'abord avec la notion d'« intervalle quasi-passant »[31] puis en affinant en tenant compte de la différence de gain.

     On rappelle la réponse fréquentielle[37] d'un signal créneau symétrique[34] pair[36] d'amplitude et de valeur moyenne nulle[32] : «»[38].

Réponse du filtre à un signal d'entrée triangulaire symétrique pair à valeur moyenne nulle modifier

     Représenter, sur un même diagramme temporel, le signal d'entrée triangulaire symétrique[34] pair[46] de valeurs de crête et la réponse de ce filtre d'abord avec la notion d'« intervalle quasi-passant »[31] puis en affinant en tenant compte de la différence de gain.

     On rappelle la réponse fréquentielle[37] d'un signal triangulaire symétrique[34] pair[46] d'amplitude et de valeur moyenne nulle[32] : «»[47].

Intérêt de l'ordre sur les filtres passe-bas modifier

     Préciser l'avantage du filtre passe-bas du 2ème ordre étudié dans cet exercice sur un filtre passe-bas du 1er ordre de même fréquence de coupure à .

Réponse, à un échelon de tension, d'un circuit « non réel » (circuit dans lequel on impose la nullité des résistance des fils de connexion alors qu'il n'y a pas de résistances devant lesquelles celle des fils est négligeable) obtenue exclusivement par utilisation du r.s.f. modifier

Schéma d'un circuit « non réel »[50] auquel on impose un échelon de tension d'amplitude à partir de , les condensateurs étant initialement déchargés

     On considère le circuit « non réel »[50] ci-contre composé de deux D.P.L[51]. montés en série,

  • le D.L.P[51]. étant constitué d'un conducteur ohmique de résistance en sur un condensateur parfait de capacité , « la tension instantanée aux bornes de ce D.L.P[51]. étant notée »[52] et
  • le D.L.P[51]. constitué d'un conducteur ohmique de résistance en sur un condensateur parfait de même capacité , « la tension instantanée aux bornes de ce D.L.P[51]. étant notée »[52] ;

     aux bornes de l'association série de ces deux D.P.L[51]. on applique l'« ensemble constitué d'une source de tension parfaite de f.e.m. et d'un interrupteur montés en série, initialement ouvert étant fermé à » c'est-à-dire qu'on impose, à partir de , un « échelon de tension d'amplitude noté »[52] étant l'échelon unité ou fonction de Heaviside[53][54].

     Remarque : le circuit ainsi construit est effectivement « non réel »[50] car, dans la « maille reliant les deux condensateurs à l'association série source de tension parfaite de f.e.m. et interrupteur » les seuls éléments résistifs, c'est-à-dire les fils de connexion, sont considérés de résistance nulle.

Détermination de la réponse en u1(t) à l'échelon de tension E Y(t) du circuit « non réel » construit précédemment, réponse obtenue exclusivement par utilisation du r.s.f. modifier

     On se propose de déterminer la réponse en à l'échelon de tension [54] du circuit « non réel »[50] présenté en introduction « en utilisant exclusivement le fonctionnement en r.s.f[1]. » et pour cela

     on demande d'établir successivement, « après avoir remplacé l'échelon de tension [54] par une source de tension sinusoïdale parfaite de f.e.m. instantanée à laquelle on associe la f.e.m. instantanée complexe telle que » le « remplacement de la tension instantanée par la tension sinusoïdale forcée à laquelle on associe la tension instantanée complexe avec la tension efficace complexe » :

     on demande d'établir successivement, l'amplification complexe en tension «» puis, d'en déduire

     on demande d'établir successivement, l'équation différentielle en dans le cas où le circuit « non réel »[50] est de nouveau soumis à l'échelon de tension [54], suivi de

     on demande d'établir successivement, la solution libre de l'équation différentielle en dans le cas où le circuit « non réel »[50] est soumis à l'échelon de tension [54] on déterminera l'équation caractéristique de l'équation différentielle par propriétés de l'amplification complexe en tension «» avant de résoudre classiquement cette équation caractéristique puis d'en déduire la solution libre , ensuite

     on demande d'établir successivement, la réponse forcée du circuit « non réel »[50] à l'échelon de tension [54] par propriétés de l'amplification complexe en tension «», après

     on demande d'établir successivement, la valeur initiale de la réponse en du circuit « non réel »[50] à l'échelon de tension [54] par propriétés de l'amplification complexe en tension «», et enfin

     on demande d'établir successivement, la réponse à l'échelon de tension [54] du circuit « non réel »[50] explicitée en fonction des données.

     En déduire l'« intensité du courant délivré par l'échelon de tension [54] »[55] du circuit « non réel »[50] et commenter.

Détermination de la réponse en u1(t) à l'échelon de tension E Y(t) du circuit « non réel » construit précédemment, réponse obtenue par utilisation des lois de Kirchhoff et les propriétés des régimes transitoires en A.R.Q.S. modifier

     On se propose de retrouver la réponse en à l'échelon de tension [54] du circuit « non réel »[50] présenté en introduction « en utilisant les lois de Kirchhoff[76] et les propriétés des régimes transitoires en A.R.Q.S[77]. » et pour cela

     on demande d'établir directement : l'équation différentielle en du circuit « non réel »[50] soumis à l'échelon de tension [54] par utilisation des lois de Kirchhoff[76], suivi de

     on demande d'établir directement : la solution libre de l'équation différentielle en du circuit « non réel »[50] soumis à l'échelon de tension [54] on déterminera directement l'équation caractéristique de l'équation différentielle avant de résoudre classiquement cette équation caractéristique puis d'en déduire la solution libre , ensuite

     on demande d'établir directement : la réponse forcée du circuit « non réel »[50] à l'échelon de tension [54] on déterminera directement la solution forcée de l'équation différentielle hétérogène, après

     on demande d'établir directement, la valeur initiale de la réponse en du circuit « non réel »[50] à l'échelon de tension [54] par étude directe du circuit à , et enfin

     on demande d'établir directement, la réponse à l'échelon de tension [54] du circuit « non réel »[50] explicitée en fonction des données vérifier qu'on obtient le même résultat qu'à la question précédente.

Notes et références modifier

  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 et 1,15 Régime Sinusoïdal Forcé.
  2. 2,0 et 2,1 On rappelle que la normalisation d'une équation différentielle linéaire à cœfficients constants consiste à imposer au cœfficient de la plus haute dérivée d'être égal à «», alors que la normalisation d'une fonction de transfert écrite sous sa forme canonique usuelle c'est-à-dire sous forme d'un quotient irréductible de polynômes en consiste à imposer au terme constant du dénominateur d'être égal à «», ce qui correspond, en terme d'équation différentielle, à imposer au cœfficient de la fonction d'être égal à «», ces deux normalisations n'étant donc pas en accord ce qui n'est a posteriori nullement gênant.
  3. 3,0 et 3,1 En effet l'équation différentielle d'un circuit étant indépendante de la forme de l'excitation, celle trouvée établie en r.s.f. régime sinusoïdal forcé garde la même forme pour n'importe quelle excitation imposée.
  4. On note «» l'inconnue de l'équation caractéristique c'est d'ailleurs la notation usuelle utilisée en mathématique car «» est déjà utilisé pour représenter le signal de sortie.
  5. Voir le paragraphe « recherche de la solution générale de l'équation différentielle linéaire à cœfficients constants du 2nd ordre homogène avec terme du 1er ordre en f(x) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  6. Voir le paragraphe « cas où le discriminant Δ est positif, solution libre apériodique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », le discriminant étant avantageusement remplacé par le discriminant réduit .
  7. Voir le paragraphe « cas où le discriminant Δ est nul, solution libre apériodique critique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », le discriminant étant avantageusement remplacé par le discriminant réduit .
  8. Voir le paragraphe « cas où le discriminant Δ est négatif, solution libre pseudo-périodique » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », le discriminant étant avantageusement remplacé par le discriminant réduit .
  9. Nous supposons, qu'avant l'application d'un échelon de tension, la sortie du filtre est « initialement » au repos c'est-à-dire que «» ainsi que «».
  10. Voir le paragraphe « lien entre la fonction de transfert harmonique du filtre et les propriétés de sa réponse indicielle (absence d'un transfert H.F.) » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) », la réponse indicielle étant la réponse à l'échelon unité.
  11. 11,0 11,1 11,2 11,3 11,4 11,5 11,6 et 11,7 C.-à-d. le 2nd membre d'une équation différentielle linéaire à cœfficients réels constants hétérogène.
  12. 12,0 et 12,1 Voir le paragraphe « lien entre la fonction de transfert harmonique du filtre et les propriétés de sa réponse indicielle (existence d'un transfert statique) » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) », la réponse indicielle étant la réponse à l'échelon unité.
  13. 13,0 13,1 13,2 13,3 13,4 13,5 et 13,6 On rappelle que .
  14. Voir la solution de la question « Réduction canonique de la fonction de transfert en complexe associé au r.s.f. » plus haut dans cet exercice.
  15. Ne pas oublier qu'une inversion dans inverse le sens d'une inégalité.
  16. En effet il faut « diviser chaque membre par pour que soit en » et « multiplier chaque membre par pour que soit en » étant initialement en , le fait de la mettre en multiplie le dénominateur de chaque membre extrême des inégalités par et nécessite, pour que le résultat de l'encadrement de soit inchangé, de multiplier le numérateur de chaque membre extrême des inégalités par .
  17. 17,00 17,01 17,02 17,03 17,04 17,05 17,06 17,07 17,08 17,09 17,10 17,11 17,12 17,13 et 17,14 Hendrik Wade Bode (1905 - 1982) est un ingénieur, chercheur et inventeur américain d'origine néerlandaise qui a été un pionnier de la régulation moderne et des télécommunications ; il a révolutionné ces domaines dans leurs contenus mais aussi dans leurs méthodes d'application plus particulièrement connu pour avoir mis au point le diagramme de Bode qui constitue une méthode de représentation de l'amplitude et de la phase d'un système.
  18. C.-à-d. « B.F. » et « H.F. »
  19. Ou encore les valeurs « B.F. » et « H.F. » de la courbe de phase du diagramme de Bode asymptotique.
  20. Voir le paragraphe « définition d'une fonction de transfert du 2ème ordre “ du type réponse en uC d'un R L C série soumis à une tension sinusoïdale de valeur efficace constante et de fréquence variable ” pour la fonction de transfert “ amplification complexe en tension ” » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) » de fréquence .
  21. Voir le paragraphe « tracé de la courbe de gain du diagramme de Bode (d'un 2ème ordre “ du type réponse en uC d'un R L C série soumis à une tension sinusoïdale de valeur efficace constante) » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) » de fréquence , la courbe de gain du diagramme de Bode asymptotique y étant représentée en trait gras noir et étant indépendante du facteur de qualité lié au cœfficient d'amortissement lequel est noté dans cet exercice par .
  22. En effet le facteur de qualité se déduit du cœfficient d'amortissement par «».
  23. Voir la note « 100 » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) », les résultats d'un 2ème ordre « du type réponse en d'un série soumis à une tension sinusoïdale de valeur efficace constante » étant les mêmes que ceux d'un 2ème ordre « réponse en d'un série soumis à une tension sinusoïdale de valeur efficace constante ».
  24. 24,0 24,1 24,2 24,3 24,4 24,5 et 24,6 Basse Fréquence.
  25. 25,0 25,1 25,2 et 25,3 Quand on change de variable, passant de à , les fonctions , , , , et deviennent des fonctions composées, on devrait donc écrire ou ou ou ou ou et si on veut les considérer comme fonctions de changer de notation en écrivant ou ou ou ou et  ;
       néanmoins par abus usuel de physique, on nomme les fonctions de et de par la même lettre car les valeurs de la fonction considérée restent les mêmes d'où ou ou ou ou ou simplement notées ou ou ou ou .
  26. 26,00 26,01 26,02 26,03 26,04 26,05 26,06 26,07 26,08 et 26,09 Haute Fréquence.
  27. L'argument d'un nombre négatif étant , nous choisissons en étudiant la variation de la phase de la fonction de transfert en complexe associé au r.s.f. pour ce facteur de qualité à savoir la phase de «» soit, avec , «» laquelle est une fonction de et donc de en effet la fonction est une fonction de , la dérivée valant .
  28. C.-à-d. préciser s'il est équivalent à un intégrateur, un dérivateur ou autre
  29. 29,0 et 29,1 Appellation personnelle.
  30. Voir le paragraphe « interprétation de l'équivalent H.F. de la fonction de transfert : circuit pseudo-double-intégrateur (dans le cas d'un système du 2ème ordre “ du type réponse en uC d'un R L C série soumis à une tension sinusoïdale de valeur efficace constante ”) » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) ».
  31. 31,0 31,1 31,2 31,3 31,4 31,5 et 31,6 L'intervalle de fréquences correspondant à un passage du signal avec un gain est qualifié de « quasi-passant » appellation personnelle, on considère, dans un 1er temps, que tout signal sinusoïdal dont la fréquence est dans cet intervalle « quasi-passant » passe le filtre avec un gain .
  32. 32,0 32,1 32,2 32,3 32,4 et 32,5 C.-à-d. sans ajout de tension de décalage.
  33. 33,0 33,1 33,2 33,3 et 33,4 En réalité, à cette fréquence «», le gain ne vaut pas mais «» voir la solution de la question « détermination des grandeurs caractéristiques du filtre construit précédemment et de fréquence propre 2,0 kHz » plus haut dans cet exercice et
                                             En réalité, à cette fréquence «», la phase ne vaut pas mais « » voir également la solution de la question « détermination des grandeurs caractéristiques du filtre construit précédemment et de fréquence propre 2,0 kHz » plus haut dans cet exercice ;
                                             En réalité, à cette fréquence «», si le gain peut éventuellement être confondu avec , le déphasage est suffisamment important pour ne pas être négligé.
  34. 34,0 34,1 34,2 34,3 34,4 34,5 34,6 et 34,7 Un signal alterné c'est-à-dire périodique avec une alternance positive et une négative est dit « symétrique » si la durée de l'alternance positive est égale à celle de l'alternance négative.
  35. 35,0 35,1 et 35,2 C.-à-d. avec ajout de tension de décalage positive.
  36. 36,0 36,1 36,2 36,3 et 36,4 Dans la mesure où le 1er palier haut du signal créneau symétrique est un segment ayant l'axe des ordonnées comme axe de symétrie, le signal créneau symétrique est pair car sa valeur sur est égale à celle sur et les paliers bas situés immédiatement de part et d'autre de ce 1er palier haut c'est-à-dire sur et sont également symétriques par rapport à l'axe des ordonnées.
  37. 37,0 et 37,1 Voir le paragraphe « analyse spectrale d'un signal périodique (représentation fréquentielle) » du chap. de la leçon « Signaux physiques (PCSI) ».
  38. Revoir le paragraphe « exemple d'un signal créneau symétrique (preuve des valeurs d'amplitudes - en complément) » du chap. de la leçon « Signaux physiques (PCSI) », les valeurs fournies dans le paragraphe précité étant à rectifier car le créneau y était impair alors qu'ici il y est pair tous les harmoniques impairs sont nuls et les harmoniques pairs se calculent selon un créneau symétrique pair correspondant à un palier haut de valeur sur et un palier bas de valeur sur soit ou, après simplfication évidente puis, en utilisant « valant pour pair et pour c'est-à-dire impair», « » et, comme «» ;
       pour conclure il convient de déterminer l'amplitude complexe des harmoniques selon la méthode indiquée dans le paragraphe « passage du 1er au 2nd développement en série de Fourier » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » laquelle appliquée ici donne, pour , d'où «» et par suite «».
  39. Une composante permanente étant un harmonique de fréquence nulle.
  40. 40,0 40,1 et 40,2 L'intervalle de fréquences correspondant à un passage du signal avec un gain est qualifié de « quasi-non passant » appellation personnelle, on considère, dans un 1er temps, que tout signal sinusoïdal dont la fréquence est dans cet intervalle « quasi-non passant » passe le filtre avec un gain nul donc est bloqué.
  41. 41,0 41,1 41,2 et 41,3 En réalité, à cette fréquence «», le gain ne vaut pas mais «» voir la solution de la question « détermination des grandeurs caractéristiques du filtre construit précédemment et de fréquence propre 2,0 kHz » plus haut dans cet exercice et
                                      En réalité, à cette fréquence «», la phase vaut « » voir également la solution de la question « détermination des grandeurs caractéristiques du filtre construit précédemment et de fréquence propre 2,0 kHz » plus haut dans cet exercice.
  42. Le gain étant petit mais restant encore notable peut difficilement être considéré comme nul, de même le déphasage est suffisamment important pour être utilisé..
  43. 43,0 et 43,1 En effet l'amplitude complexe de l'harmonique de rang du signal d'entrée étant «», quand est impair il faut ajouter à la phase de l'harmonique du signal de sortie correspondant.
  44. 44,0 et 44,1 En réalité, à cette fréquence «», le gain ne vaut pas mais «» voir la solution de la question « détermination des grandeurs caractéristiques du filtre construit précédemment et de fréquence propre 2,0 kHz » plus haut dans cet exercice et
                         En réalité, à cette fréquence «», la phase vaut « » voir également la solution de la question « détermination des grandeurs caractéristiques du filtre construit précédemment et de fréquence propre 2,0 kHz » plus haut dans cet exercice.
  45. 45,0 et 45,1 Le gain étant petit avec une amplitude de l'harmonique d'entrée également petite, peut assez facilement être considéré comme nul, par contre le déphasage est suffisamment important pour être utilisé.
  46. 46,0 46,1 et 46,2 Le signal triangulaire symétrique est pair si la pente sur est égale à l'opposé de la pente sur , les segments et étant symétriques par rapport à l'axe des ordonnées.
  47. Revoir le paragraphe « exemple d'un signal triangulaire symétrique (preuve des valeurs d'amplitudes - en complément) » du chap. de la leçon « Signaux physiques (PCSI) », les valeurs fournies dans le paragraphe précité étant à rectifier car le triangulaire y était impair alors qu'ici il y est pair tous les harmoniques impairs sont nuls et les harmoniques pairs se calculent selon avant de poursuivre déterminons l'expression algébrique du signal «» en effet la valeur absolue de la pente est d'où ou, en faisant le « changement de variable dans la 2ème intégrale » on obtient et , les bornes inférieure et supérieure devenant et la 2ème intégrale est l'opposé de la 1ère multipliée par soit « » ;
       cette dernière intégrale s'intègre « par parties » cette méthode est exposée succinctement dans le paragraphe « développement de quelques méthodes de calcul (intégrer un produit de fonctions par parties) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » : si on doit « calculer en connaissant une primitive de notée », on peut écrire « », en effet et finalement, par intégration, la relation énoncée précédemment, en posant et par conséquent soit, avec en effet , d'où «» ;
       par report on en déduit «» ; si est pair, le cœfficient et par suite  ;
       par report on en déduit «» ; si est impair, le cœfficient et par suite soit finalement
       par report on en déduit « pour » et, comme nous en déduisons «».
       pour conclure il convient de déterminer l'amplitude complexe des harmoniques selon la méthode indiquée dans le paragraphe « passage du 1er au 2nd développement en série de Fourier » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » laquelle appliquée ici donne, pour , d'où «» et par suite «».
  48. En effet l'amplitude complexe de l'harmonique de rang du signal d'entrée étant «», il faut ajouter à la phase de l'harmonique du signal de sortie correspondant.
  49. Voir le paragraphe « équivalents H.F. de la fonction de transfert du 1er ordre fondamental et conséquences » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) ».
  50. 50,00 50,01 50,02 50,03 50,04 50,05 50,06 50,07 50,08 50,09 50,10 50,11 50,12 50,13 50,14 50,15 50,16 50,17 50,18 50,19 50,20 50,21 50,22 50,23 50,24 50,25 50,26 50,27 50,28 50,29 50,30 50,31 50,32 50,33 50,34 50,35 50,36 et 50,37 C.-à-d. dans lequel on impose la nullité des résistance des fils de connexion alors qu'il n'y a pas de résistances devant lesquelles celle des fils est négligeable.
  51. 51,00 51,01 51,02 51,03 51,04 51,05 51,06 51,07 51,08 51,09 51,10 51,11 51,12 51,13 et 51,14 Dipôle(s) Passif(s) Linéaire(s).
  52. 52,0 52,1 et 52,2 Les tensions aux bornes des D.P.L. et étant comptées positivement de la droite vers la gauche et
                                           celle aux bornes de l'« association série source de tension parfaite de f.e.m. et interrupteur » comptée positivement dans le même sens si cet ensemble monté série est considéré en sur l'« association série des deux D.P.L. et »
  53. Oliver Heaviside (1850 - 1925) physicien britannique autodidacte, ayant commencé sa carrière en tant qu'opérateur de télégraphe, développé de façon intuitive le calcul opérationnel pour résoudre des équations différentielles en les transformant en équations algébriques, travaillé sur la propagation des courants électriques dans des conducteurs et développé la fonction portant son nom encore appelée échelon ou marche utilisée dans l'étude de systèmes en automatique.
  54. 54,00 54,01 54,02 54,03 54,04 54,05 54,06 54,07 54,08 54,09 54,10 54,11 54,12 54,13 54,14 54,15 54,16 54,17 54,18 54,19 54,20 54,21 54,22 54,23 54,24 54,25 54,26 54,27 54,28 54,29 et 54,30 Voir le paragraphe « échelon unité (ou fonction d'Heaviside) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  55. 55,0 55,1 55,2 et 55,3 Le sens du courant délivré par l'échelon de tension est choisi pour que ce dernier soit en convention générateur.
  56. À faire par soi-même.
  57. 57,0 et 57,1 Pont Diviseur de Tension.
  58. 58,0 et 58,1 Voir le paragraphe « association parallèle de deux D.P.L. en r.s.f. de fréquence f = ω/(2π) » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) ».
  59. Qualifie l'autre D.P.L. d'un P.D.T. aux bornes duquel la sortie de ce dernier n'est pas définie.
  60. Voir le paragraphe « le résultat le plus utilisé : P.D.T. en sortie ouverte alimenté en entrée par ue(t) » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) ».
  61. 61,0 et 61,1 Au sens des distributions.
  62. 62,0 et 62,1 Voir le paragraphe « pic de Dirac d'impulsion unité et son lien avec l'échelon unité (ou fonction d'Heaviside) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » définissant que le pic de Dirac d'impulsion unité comme la dérivée temporelle au sens des distributions de la fonction d'Heaviside soit «».
       Paul Adrien Maurice Dirac (1902 - 1984) physicien et mathématicien britannique, colauréat du prix Nobel de physique en , on lui doit des avancées cruciales dans le domaine de la mécanique statistique et de la physique quantique des atomes, il démontra l'équivalence physique entre la mécanique ondulatoire de Schrödinger et la mécanique matricielle de Heisenberg, deux présentations de la même mécanique quantique et enfin, pour les besoins du formalisme quantique, il inventa la notion, sans fondement mathématique précis, connue de nos jours sous le nom de distribution de Dirac et dont la description rigoureuse fut établie par le mathématicien français Laurent Schwartz (1915 - 2002) dans sa théorie des distributions ; Paul Dirac fut colauréat du prix Nobel de Physique en pour la découverte de formes nouvelles et utiles de la théorie atomique, l'autre moitié du prix Nobel étant décernée à Erwin Schrödinger pour la formulation de l'équation d'onde dite de Schrödinger.
       Erwin Rudolf Josef Alexander Schrödinger (1887 - 1961) physicien, philosophe et théoricien scientifique autrichien est à l'origine du développement d'un des formalismes théoriques de la mécanique quantique connu sous le nom de mécanique ondulatoire ; la formulation de l'équation d'onde connue sous le nom d'équation de Schrödinger lui a valu de partager le prix Nobel de physique en avec Paul Dirac lequel a été honoré pour la découverte de formes nouvelles et utiles de la théorie atomique ; on doit encore à Erwin Schrödinger l'expérience de pensée proposée à Albert Einstein en et connue sous le nom chat de Schrödinger.
       Werner Karl Heisenberg (1901 - 1976) physicien allemand, l'un des fondateurs de la mécanique quantique, ayant obtenu le prix Nobel de physique en pour la création de la mécanique quantique, dont l’application a mené, entre autres, à la découverte des variétés allotropiques de l'hydrogène.
       Albert Einstein (1879 - 1955), physicien théoricien d'origine allemande, devenu apatride en puis suisse en  ; on lui doit la théorie de la relativité restreinte publiée en , la relativité générale en ainsi que bien d'autres avancées dans le domaine de la mécanique quantique et la cosmologie ; il a reçu le prix Nobel de physique en pour son explication de l'effet photoélectrique.
       Oliver Heaviside (1850 - 1925) physicien britannique autodidacte, voir la note « 53 » plus haut dans cet exercice pour plus de détails.
  63. 63,0 et 63,1 « Rendue homogène » est mis entre parenthèses car une solution est dite libre dans la mesure où l'équation différentielle à cœfficients réels constants dont elle est solution, quel que soit l'ordre de l'équation, est rendue homogène.
  64. Identique à un facteur multiplicatif près dépendant de la façon dont l'équation différentielle est normalisée relativement à la fonction de transfert en complexe associé au r.s.f..
  65. Bien sûr cette équation caractéristique s'obtenant beaucoup plus rapidement à partir de l'équation différentielle, cette méthode n'a qu'un intérêt formel ou, s'il est demandé de déterminer la réponse indicielle d'un circuit connaissant la fonction de transfert en complexe associé au r.s.f. du circuit sans déterminer l'équation différentielle
  66. Bien sûr cette solution forcée s'obtenant beaucoup plus rapidement à partir de l'équation différentielle, cette méthode n'a qu'un intérêt formel ou, s'il est demandé de déterminer la réponse forcée d'un circuit connaissant la fonction de transfert en complexe associé au r.s.f. du circuit sans déterminer l'équation différentielle
  67. 67,0 67,1 67,2 67,3 67,4 et 67,5 Voir le paragraphe « discontinuité de 2ème espèce du pic de Dirac d'impulsion E » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » introduisant cette discontinuité à l'instant sur un exemple montrant la nécessité d'une limite infinie à cet instant .
  68. 68,0 68,1 68,2 et 68,3 Par abus nous disons qu'une grandeur continue est discontinue de 0ème espèce.
  69. 69,0 et 69,1 Voir le paragraphe « nature de la discontinuité de la solution générale d'une équation différentielle linéaire à cœfficients constants hétérogène du 2ème ordre connaissant la nature de la discontinuité de l'excitation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  70. 70,0 70,1 70,2 70,3 et 70,4 Voir le paragraphe « discontinuité de 1ère espèce d'une fonction scalaire d'une variable en une valeur de cette dernière » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » introduisant cette discontinuité à un instant quelconque s'il y a un saut fini de la fonction à cet instant.
  71. Voir le paragraphe « lien entre la fonction de transfert harmonique du filtre et les propriétés de sa réponse indicielle (existence d'un transfert H.F.) » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) », la réponse indicielle étant la réponse à l'échelon unité.
  72. Bien sûr ce n'est pas la seule façon d'obtenir «» mais c'est la façon la plus en phase avec les exigences du programme de physique de P.C.S.I. ;
       la seule autre façon dans la mesure où l'équation différentielle à cœfficients réels constants du 1er ordre en du circuit « non réel » a été obtenue par utilisation de la fonction de transfert en complexe associé au r.s.f. de ce circuit « non réel » et non par utilisation successive des lois de Kirchhoff consiste à « intégrer au sens des distributions l'équation différentielle en du circuit « non réel », écrite pour tout entre et » à savoir «» ou «» voir la note « 62 » plus haut dans cet exercice «» en effet toute primitive au sens des distributions d'une grandeur discontinue de 1ère espèce est discontinue de 0ème espèce c'est-à-dire continue d'où «».
       Gustav Robert Kirchhoff (1824 – 1887) est l'un des plus grands physiciens d'origine allemande prussienne du XIXème siècle ; bien qu'il doive sa célébrité aux lois relatives au courant électrique dans les circuits, lois qu'il a établies alors qu'il était encore étudiant, c'est surtout en tant que fondateur, avec Robert Whilhelm Bunsen (1811 - 1899) chimiste allemand, de la spectroscopie qu'il a apporté sa plus grande contribution à la science.
  73. 73,0 73,1 73,2 et 73,3 Condition Initiale.
  74. 74,0 et 74,1 Voir le paragraphe « but recherché pour résoudre une équation différentielle linéaire à cœfficients constante du 1er ou du 2ème ordre hétérogène » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  75. 75,0 75,1 75,2 75,3 75,4 et 75,5 Le sens du courant traversant le conducteur ohmique du D.P.L. est choisi pour que ce dernier soit en convention récepteur, ainsi que le sens du courant chargeant le condensateur du D.P.L. choisi pour utiliser la convention récepteur.
  76. 76,0 76,1 et 76,2 Gustav Robert Kirchhoff (1824 – 1887) est l'un des plus grands physiciens d'origine allemande prussienne du XIXème siècle ; bien qu'il doive sa célébrité aux lois relatives au courant électrique dans les circuits, lois qu'il a établies alors qu'il était encore étudiant, c'est surtout en tant que fondateur, avec Robert Whilhelm Bunsen (1811 - 1899) chimiste allemand, de la spectroscopie qu'il a apporté sa plus grande contribution à la science.
  77. Approximation des Régimes Quasi Stationnaires.
  78. 78,0 et 78,1 Le sens du courant traversant le conducteur ohmique du D.P.L. est choisi pour que ce dernier soit en convention récepteur, ainsi que le sens du courant chargeant le condensateur du D.P.L. choisi pour utiliser la convention récepteur.
  79. La maille principale étant celle contenant successivement l'échelon de tension, le condensateur du D.P.L. et celui du D.P.L. orientée dans le sens contraire des courants.
  80. On rappelle que la normalisation d'une équation différentielle linéaire à cœfficients constants consiste à imposer au cœfficient de la plus haute dérivée d'être égal à «».
  81. Pour mémoire l'équation caractéristique se déduit de l'équation différentielle linéaire à cœfficients réels constants du 1er ordre homogène en remplaçant «nla dérivée de la fonction recherchée par » et « la fonction recherchée par ».
  82. 82,0 82,1 82,2 82,3 82,4 82,5 et 82,6 L'appellation personnelle « pré-initial(e) » signifiant « antérieur(e) à l'instant usuellement considéré comme l'instant initial à savoir », la phase correspondante étant « non réelle » au sens où la nullité des résistance des fils de connexion est imposée alors qu'il n'y a pas de résistances devant lesquelles celle des fils est négligeable et de durée infiniment petite conséquence de la circulation d'un courant d'intensité infinie.
  83. Ce Qu'il Fallait Vérifier.