« SPARQL Protocol and RDF Query Language/Modèle de données RDF » : différence entre les versions
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m changement de référence (déf. SPARQL), vers la spécification du protocole. |
Annulation : le W3C ne dit pas que le S de SPARQL signifie SPARQL avec sa parenthèse mais en donne une abréviation, Microsoft par contre spécifie "Simple" en toutes lettres |
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Ligne 7 :
}}
{{abréviation|SPARQL|
Le format RDF/XML n'est utilisé dans la logique d'une base de données que comme un format d'échange entre des bases de données (format de [[w:dump|dump]]). Le format RDF/XML n'est en principe pas écrit directement par un être humain, car trop verbeux. Par contre, le format RDF/Turtle est bien moins verbeux et plus simple à écrire pour les développeurs. Que ce soit du Turtle ou du {{abréviation|XML|Extensible Markup Language|en}}, un document {{abréviation|RDF|Resource Description Framework|en}} n'est en principe jamais écrit directement par l'utilisateur final de la base de données.
Comme en {{abréviation|SQL|Structured Query Language|en}}, {{abréviation|SPARQL|
== Représentation {{abréviation|RDF|Resource Description Framework|en}} des données ==
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L'utilisation des IRI absolus implique une notation très verbeuse. Pour éviter de réécrire la même racine de certaines IRI, on peut créer des préfixes et écrire des IRI relatifs.
Par exemple, avec l'IRI <nowiki><http://mydoc.com/rep1/rep2/mydoc.htm#address></nowiki>, on peut définir un préfixe en Turtle ou en {{abréviation|SPARQL|
{{définition |titre = Un IRI est relatif|contenu =
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}}
Dans un document {{abréviation|RDF|Resource Description Framework|en}} au format Turtle ou dans une requête {{abréviation|SPARQL|
{{remarque|titre=Exemple de préfixes
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{| class="wikitable" style=" width:80%;"
|+ Liste des types {{abréviation|SPARQL|
|-
! scope=col | Datatype
! scope=col | Exemple dans {{abréviation|SPARQL|
! scope=col | Définition
|-
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|}
Pour faciliter l'écriture des valeurs littérales qui contiennent elles-mêmes des guillemets, ou qui sont longues et contiennent des caractères « retour à la ligne », {{abréviation|SPARQL|
Par exemple, dans {{abréviation|SPARQL|
* "chat" est équivalent à "chat"^^xsd:string
* 'chat'@fr est équivalent à 'chat'^^xsd:string@fr , vous remarquerez le tag langue français
Ligne 331 :
{{remarque|contenu=
Les types autorisés dans {{abréviation|SPARQL|
}}
Ligne 348 :
</pre>
Le format Turtle est très instructif, car il y a de nombreuses similitudes avec une requête {{abréviation|SPARQL|
* la définition des préfixes au début du document
* la syntaxe des triplets
* le point à la fin de chaque triplet
Un document RDF/Turtle donne de bonnes indications pour fabriquer une requête {{abréviation|SPARQL|
{{remarque|titre=Remarque|contenu=
Vous remarquerez le "@" devant le mot clé ''prefix'', ainsi que le point à la fin de chaque définition de préfixes. Ces détails sont importants, car ils sont source d'erreurs quand on fabrique une requête {{abréviation|SPARQL|
}}
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