« Recherche:Réflexions sur l'épistémologie en sciences sociales et la transmission du savoir au départ du livre « L'herbe du diable et la petite fumée » de Carlos Castañeda » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m Robot : Remplacement de texte automatisé (-\ba propos\b +à propos) |
m Robot : Remplacement de texte automatisé (-\b(e|E)n terme (d['’e]) +\1n termes \2) |
||
Ligne 11 :
== Introduction ==
La lecture du livre ''L'herbe du diable et de la petite fumée'' (Castañeda, 1984)<ref>Voir: http://sannyasa.free.fr/castaneda.htm#Cas0</ref> m'a suscité de nombreuses réflexions. J'avais décidé de les écrire afin de les réutiliser plus tard dans la rédaction de ce travail. Parmi toutes ces réflexions, J'ai pensé à beaucoup de chose: j'ai pensé que la sorcellerie n'avait pas pu disparaître complètement chez nous durant la période d'inquisition et qu'il serait intéressant que je lise l'ouvrage de références à ce sujet ( Favret-Saada, 1977 ) pour en savoir plus. J'ai pensé que j'avais de la chance de vivre dans un monde libéré des influences que la sorcellerie pouvait avoir sur les gens. J'ai pensé aux expériences que j'avais vécues moi-même en consommant des substances hallucinogènes. J'ai pensé qu'il ne m'était pas nécessaire de prendre des « drogues » pour avoir des hallucinations et qu'il me suffisait parfois de fermer les yeux pour voir apparaître des formes et des couleurs, que parfois celles-ci se transformaient en choses concrètes et détaillées. J'ai pensé a certains rêves que j'ai eu durant mon sommeil ou mon « demi sommeil », et à cette faculté que j'ai eu parfois d'être conscient que je rêvais et de pouvoir manipuler mes rêves. J'ai pensé que mes expériences en
Finalement, de toutes les idées que j'ai pu relire, j'ai pu en sélectionner la plus part pour les organiser en qu'après en quatre parties. Après cette introduction, la première partie est une brève présentation de l'ouvrage de Castañeda que j'ai lu en version française traduite pas Michel Doury. La deuxième partie aborde sous un angle épistémologique la polémique existante autour de l'auteur et son ouvrage. La troisième partie présente une brève réflexion sur le thème de la transmission du savoir, en utilisant l'expérience vécue par l'auteur pour analyser le système d'enseignement que je l'ai connu durant mes expériences personnelles. Finalement, la quatrième conclura ce travail sur une brève réflexion personnel concernant l'importance de l'expérimentation personnel.
Ligne 67 :
A ces dernières observations pouvons nous sans doute y associer l'organisation corporatiste du milieu scientifique. Corporation: association de personnes exerçant le même métier, ou une branche de ce métier dotée de statuts définis, d'une hiérarchie, d'une police, de rites, de dévotions propres, avec en outre un ensemble de monopoles et de privilèges<ref>Voir: http://www.cnrtl.fr/definition/corporation</ref>. En effet, durant mes cinq années d'études dans trois universités différentes belges et portugaise, j'ai pu observer que l'université et plus particulièrement le personnelle scientifique qui la compose forme effectivement un groupe de personnes effectuant un même métier ( chercheur - enseignant ) doté de statuts définis (étudiant, enseignant, chercheur) d'une hiérarchie ( candidat d'entrée, bachelier, licencié, doctorant, assistant, professeur, doyen, recteur), d'une police ( symbolisée par les anciens et leurs pouvoir d'attribution des échec et promotion au sein de la hiérarchie voir de sanctions académiques à travers la constitution de jury ou de conseil), de rite ( rite d'intronisation, période d'examination, jargon scientifiques...) de dévotion propre ( valorisation su savoir des anciens par l'obligation de citations sous peine de sanction attribuée pour cause de plagia ) avec un ensemble de monopoles et privilèges ( l'expertise scientifique, diplômes, salaires élevés).
L'esprit corporatif du milieu scientifique se ressent particulièrement quand il s'agit de l'utilisation d'internet. Alors qu'Internet se révèle comme un formidable outil de partage des informations et du savoir, le monde académique persiste à dénigrer les informations qui s'y trouve tout en ne participant que très peu au partage d'informations . Actuellement, très peu d'articles scientifiques sont accessible gratuitement en ligne et un outil comme le wiki qui est une opportunité formidable dans le partage d'informations n'est toujours pas entretenu ni valorisé par le milieu académique. Pourtant en
Au terme de cette réflexion épistémologique, nous avons vu que la reconnaissance scientifique dans le domaine des sciences sociales est difficile à tel point que l'on a du faire appelle à des règles et procédures pour nous en sortir. Nous avons vu aussi que les critères favorisant cette reconnaissance ne sont pas garant en
== Réflexion sur la méthode de transmission du savoir ==
Ligne 79 :
* Dans l'enseignement de don Juan, l'apprentissage n'est pas obligatoire et naît d'un désir commun entre le maître et l'apprenti. Il peut être abandonner à tout moment par le maître et/ou l'apprenti.
Dans la société occidentale, l'instruction est obligatoire jusqu'à un certain âge. Cette résolution a été prise dans le but d'enrichir tant l'individu que la société en
* Dans l'enseignement de don Juan, l'apprentissage est individuel.
Ligne 107 :
* Il semble enfin que l'écriture soit absente dans l'enseignement de don Juan.
Dans la culture occidental il semble difficilement concevable de transmettre un enseignement sans avoir recourt à l'écriture. Cela en est au point que l'écriture à elle seule, un symbole de savoir. Les bibliothèques, lieu de concentration d'écriture, sont considéré comme les temples du savoir. Il est vrai que l'écriture a bouleversé le monde à tel point que son histoire fut diviser en deux partie ( l'histoire et la préhistoire). L'écriture est un outil puissant dans la transition du savoir. L'écriture est pérenne, facile d'accès, et le gain de temps qu'elle permet dans le transfère et le repérage de certaines informations est considérable. La lecture silencieuse est plus rapide que le discourt parler et il est bien plus facile de retrouver un mots dans un texte que dans un discourt. De plus, la lecture permet de faire des pauses dans le flux d'informations, quand on le veut, et autant qu'on veut, pour revenir en arrière ou réfléchir sur ce qui est dit. Ceci est impossible lors de certaines communications de types audio visuel où il est impossible d'arrêter le flux d'informations ( radio, télévision, discourt non enregistrés ). La possibilité de faire une pause dans le flux d'informations est essentiel car elle permet une meilleur analyse des informations. Mais en
== Réflexion sur l'importance de l'expérimentation personnelle ==
|