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→‎_ 1962 L'azote surchauffé et respiré produit du monoxyde de carbone : masques de sableurs et respirant par un simple tuyau pendant dans le dos
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== 1959 la germination de graines de vesce modifie les taux de P, K, et Ca ==
 
[[ImageFichier:Lathyrus_sativus_004.JPG|thumb|250px|Graines de vesce en gousses]]
 
Le Professeur Pierre Baranger était intrigué par les expériences de Von Herzeele's, mais il pensait que le nombre d'expériences avait été trop limité et que les précautions contre les erreurs étaient insuffisantes<ref name="Baranger1959" >Professeur Pierre Baranger, Directeur du laboratoire de chimie organique de l'École Polytechnique de Paris, [http://www.papimi.gr/Baranger_03b.jpg Un savant bouleverse la science atomique], Aimé Michel, Science et Vie, n. 499, Avril 1959, exclusivité mondiale.</ref>.
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Le salpêtre se développe sur la chaux des murs humides. Ce sont les bactéries qui produisent la nitrification et l’explication classique est que le potassium peut venir de nombreuses sources. Mais des murs isolés des sources habituelles de potassium ou les expériences en autoclave montrent aussi la nitrification sans source de potassium.
 
En 21 jours d’incubation en autoclave à 28&nbsp;°C on obtient une augmentation de potassium
* de +2,73% en moyenne dans les tubes contenant au départ du calcium pur,
* et +5,71% avec au départ du calcaire de Lithotamnium calcareum (<ref name="PreuvesBio" >Preuves en Biologie de Transmutations à Faible Énergie, Louis C. Kervran, Paris 1975, Maloine, ISBN 2-224-00178-9.</ref> pages 109 à 117).
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== 1959 La transformation de sodium en potassium limite notre température ==
 
[[ImageFichier:Termometro.JPG|thumb|250px|Thermomètre 39°C=101°F]]
 
Les travailleurs des puits de pétrole du Sahara boivent et transpirent très peu, mais sucent des pastilles de sel.
En 1959, l'organisme officiel Prohuza a étudié ce phénomène avec le concours de la Marine Française.
 
Les travailleurs en ambiance chaude à plus de 37&nbsp;°C à l’ombre, pour y résister, consomment beaucoup de sel (sodium) et rejettent beaucoup de potassium. Ceci pendant plusieurs mois, et avec une limitation de la température corporelle autour de 39 &nbsp;°C. Les variations du bilan K/Na et du bilan thermique sont semblables (K et Na en milligrammes) :
* En mai, K/Na=0,75, l’excédent est de 1300 calories.
* En juillet, K/Na=1,55, l’excédent est de 3900 calories.
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Des expérimentations complémentaires, avec des personnes vêtues de combinaisons étanches et avec une analyse de l’air inspiré et expiré, annulent presque l’effet possible de la transpiration, et montrent la même transformation de sodium en potassium. De même chez les malades fiévreux qu’on enveloppe pour qu’ils gardent leur sueur liquide et évitent un refroidissement externe. De même pour le sauna finlandais. Tout cela correspond bien au conseil de boire salé pour limiter la fièvre et éviter l’hyperthermie.
 
Cette expérimentation montre que cette limitation de température vers 38&nbsp;°C ne vient pas de l’évaporation et que notre corps peut éviter l’hyperthermie en transformant du sodium en potassium (Na + O :=: K). (En 1959 au Sahara, à Ouargla, Organisme officiel Prohuza avec le concours de la Marine Française<ref name="PreuvesBio" />, p 68 à 72)
 
Cette fusion de sodium et d'oxygène vers du potassium devrait produire un fort effet exothermique correspondant à 0,02 u.m.a, mais elle est en fait endothermique.
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=== Refroidissement par l'eau ===
 
Le corps humain régule sa température à 37&nbsp;°C. Lors d'une maladie ou d'une activité intense le corps humain s'échauffe et, si la température interne dépasse 40&nbsp;°C, on parle d'hyperthermie et le corps est en danger. Pour se refroidir, le corps peut évaporer de l'eau sur la peau grâce à la transpiration.
 
Dans certains cas, ce processus ne fonctionne pas :
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== _ 1962 L'azote surchauffé et respiré produit du monoxyde de carbone ==
 
[[ImageFichier:Clabecq JPG01.jpg|thumb|250px|Coulée de Haut-Fourneau]]
Depuis 1935, Kervran reçoit des dossiers d'intoxications mortelles par l'oxyde de carbone chez des soudeurs mais rien ne permettait de voir d'où était venu cet oxyde de carbone. <ref name="Decouverte" >Louis Corentin Kervran, A la découverte des transmutations biologiques, une explication des phénomènes biologiques aberrants, Guy Tredaniel Edition - Le Courrier du Livre, Paris, 1966, 18 cm, 192 p, ISBN 2-7039-0096-8, p 34-42</ref>
 
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== _ 1965 Des bactéries, levures et moisissures produisent du potassium ou du phosphore ==
 
[[ImageFichier:S_cerevisiae_under_DIC_microscopy.jpg|thumb|250px|Levure Saccharomyces cerevisiae]]
 
Hisatoki Komaki, <ref name="Komaki" >Hisatoki Komaki, Chef du laboratoire de Microbiologie appliquée de la Faculté des Sciences de la Nutrition de l'Université Mukogawa, à Nishinomiya, 1500 élèves en 1963</ref> a d'abord voulu vérifier un des résultats de Louis Kervran, puis a développé ses propres expérimentations avec ses élèves. <ref name="KomakiEN" >{{en}} Prof Dr. Hisatoki Komaki, [http://www.papimi.gr/komaki.htm An Approch to the Probable Mecanism of the Non-Radioactive Biological Cold Fusion Or So-Called Kervran Effect (Part 2)], The Biological and Agricultural Research Institute, 2-6-18 Sakamoto, Otsu, Chigaken, Japan, after 1992</ref>
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== _ 1966 Les fruits qui sèchent produisent magnésium, phosphore, souffre, calcium, fer. ==
 
[[ImageFichier:Frozen_peas.JPG|thumb|250px|Petits pois]]
En 1966, Henri Charles Geffroy (revue "La Vie Claire", 12/1966) remarque que dans les tables de compositions des aliments, les taux de divers éléments chimiques varient de manières différentes. (compositions mesurées par Mme Lucie Randoin, ou autres). (<ref name="PreuvesBio" /> p 53 à 60)
 
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* En 1967, F. Bronner, de l’école de médecine de Louisville, écrit une étude de 10 pages, dans "Transactions of the New York Academy of Sciences", février 1967. Il a expérimenté sur 109 rats alimentés avec des taux différents de calcium. Il écrit qu’une erreur technique systématique est invraisemblable et que ses bilans ne peuvent être faux. Le bilan du calcium est négatif, l’organisme rejette plus de calcium qu’il n’en ingère.C’est incompréhensible, et il reconnaît que cette situation est un vrai paradoxe et qu’il faut pousser les recherches plus loin.
 
[[ImageFichier:Tibial Fracture.jpg|thumb|250px|Fracture du tibia]]
Plusieurs études récentes montrent qu'un apport de calcium ne réduit pas le risque de fracture, même avec de la vitamine D :
* Dr Fraze Anderson : Sur 5292 personnes de 70 ans et plus et de moins de 58 kg, après une première fracture de moins de 10 ans, elles ont le même risque de 13% d'une autre fracture.<ref>Dr Fraze Anderson, Prevention of low-trauma fractures in older people, The Lancet, Volume 366, Issue 9485, Page 543, 13 August 2005
<br />
http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(05)67088-2/fulltext#article_upsell</ref>
* Dr David Torgenson : Sur 3314 femmes de 70 ans et plus et ayant un ou plusieurs facteurs de risque pour la rupture de la hanche, le risque de fracture est le même avec ou sans supplémentation en calcium et/ou vitamine D3.<ref>Dr David Torgenson, Randomised controlled trial of calcium and supplementation with cholecalciferol (vitamin D3) for prevention of fractures in primary care <br />
http://www.bmj.com/cgi/content/full/330/7498/1003</ref>
* Dr Bischoff-Ferrari : Une dose de vitamine D de 700 à 800 IU/d réduit autant le risque de fracture avec ou sans supplémentation en calcium, à plus de 60 ans, de 26% pour les fractures de la hanche sur 9294 personnes, de 23% pour les fractures non-vertébrales sur 9820 personnes.<ref>Fracture prevention with vitamin D supplementation: a meta-analysis of randomized controlled trials. Bischoff-Ferrari HA - JAMA - 11-MAY-2005; 293(18): 2257-64 <br />
http://www.mdconsult.com/das/citation/body/123963542-2/jorg=journal&source=MI&sp=15522226&sid=0/N/15522226/1.html?issn=</ref>
 
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C'est pour montrer que le calcium osseux provient du magnésium (pour certaines espèces) que Louis Kervran a réalisé son étude sur les souris, après des études d'autres chercheurs.
 
[[ImageFichier:House_mouse.jpg|thumb|250px|Souris]]
Des [[souris]] (un lot de 24) ayant reçu pendant 5 jours un supplément de [[chlorure de magnésium]] de 100 mg/kg/jour ont grossi de 15 % de plus, et ont formé 0,64 g de plus de [[calcium]] et 0,60 g de plus de [[phosphore]], par rapport au lot témoin (de 24 autres souris). Ici toutes les conditions d’expérimentation et les méthodes de mesures sont les mêmes pour les deux lots de souris nourries par gavage, avec pesées des excréments.
Le lot avec supplément de Mg :
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== _ 1969 Le homard produit du calcium, du phosphore et du cuivre ==
[[ImageFichier:Lobster.jpg|thumb|250px|Homard]]
 
En 1968 et 1969, suite à des études dans un musée océanographique, après une première expérience de mise au point, Louis Kervran réalise une deuxième expérience sur un homard, assisté de l’ingénieur chimiste J. Guéguen. (<ref name="PreuvesBio" /> p 93 à 95)
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== _ 1972 L’avoine convertit du potassium en calcium. ==
 
[[ImageFichier:Avena_sativa_II.jpg|thumb|250px|Avoine]]
L’avoine, qui est calcifuge, n’a pas besoin de calcium pour germer. Et l'avoine calcifuge produit tellement de calcium qu’elle ne pousse plus dans le sol qu’elle rend calcaire en quelques années. Pourquoi ?
 
J E Zündel était ingénieur chimiste de l’Ecole Polytechnique de Zurich. Après une vie professionnelle d’analyse chimique dans une papeterie, il s’est ouvert au domaine étudié par Kervran et a surtout voulu prouver de manière sure la création de calcium par l’avoine qui démontre la transmutation biologique. Zündel a réalisé des dizaines d’expériences, quelquefois sur des milliers de graines d’avoine, de plantules et de plantes. Il a communiqué ses travaux sur l’avoine Flämingskrone à l’Académie d’Agriculture le 01/12/1971, publiés dans le bulletin n° 4 de 1972 (<ref name="PreuvesBio" /> {{p.}} 165 à 183).
 
Des graines d’avoine fourragère non sélectionnées germent d’abord à l’eau déminéralisée et on les trie pour ne garder que les graines bien germées. Puis on les met en culture sur papier-filtre imbibé d’eau déminéralisée avec des sels fertilisants extra-purs (éléments et oligoéléments), en 4 lots de 150 graines le même jour, cultivées de 6 à 12 semaines, puis calcinées à 900&nbsp;°C et dosées séparément. Les plantules flétries sont retirées au fur et à mesure.
* Les mesures sont dispersées de 0,032 à 0,040 mg de CaO par graine selon les lots.
* Les mesures sont dispersées de 0,175 à 0,267 mg de CaO par plantule selon les lots.