« Cloud computing et entreprise » : différence entre les versions

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Ainsi, selon IDC, d’ici 2013, les dépenses informatiques liées au cloud devraient être six fois supérieures à 2009, année où environ 17 milliards de dollars ont été dépensés dans ces technologies (logiciels et matériels), soit 5 % des investissements TIC mondiaux. En 2013, ces mêmes dépenses s’élèveront à 45 milliards de dollars, représentant 10 % des investissements mondiaux. Soit une croissance moyenne annuelle de 25 %.
 
 
==== Pourquoi les entreprises préfèrent-elles le Cloud privé ? ====
 
Avec le Cloud, nous assistons à la même mécanique. Il s'agit d'une révision des pratiques d'externalisation (ou outsourcing) associée à des technologies et services qui ouvrent un champ d'usage beaucoup plus large. Dans un monde où tout s'accélère, chacun peut accéder à tout type de services, standards ou spécifiques, depuis n'importe quel endroit sur la planète, à condition d'être connecté à un réseau existant à un moment donné.
 
Cette vision universelle du Cloud se heurte dans les entreprises à la confidentialité des données manipulées et des savoir-faire embarqués dans les systèmes d'information. Au sein du groupe [[GFK]], nous manipulons ainsi des données venant de nos clients, pour lesquelles nous sommes tenus à une obligation de confidentialité, et c'est la transformation de ces données par des séries d'enrichissements qui crée les produits que nous commercialisons. Cette recette étant elle-même évidemment confidentielle. Toute fuite d'informations, qui résulterait d'une panne ou d'une faille de sécurité, mettrait donc en péril directement nos métiers. C'est pour ce genre de raisons que les entreprises préfèrent aujourd'hui s'orienter vers le Cloud privé, qui utilise les principes et techniques du Cloud, mais à des fins strictement internes, sans mutualisation avec d'autres entreprises.
 
Même limité à une seule organisation, ce schéma présente des avantages. Ainsi, au sein de notre groupe, 120 pays travaillent désormais sur un référentiel commun, en partageant l'information et en se basant sur des processus identiques au sein d'une unique application. Au-delà de la mise en commun des meilleures pratiques du groupe, démarrer une nouvelle activité dans un pays où nous ne sommes pas encore présents devient très simple et rapide : localement, les déploiements de systèmes informatiques sont extrêmement limités.
 
 
==== Le Cloud, un moyen d'augmenter la notoriété des PME ====
 
Le Cloud computing n’est pas seulement un moyen de gérer des ressources internes mais va aussi permettre à une marque d’augmenter sa notoriété sur le web. Une petite entreprise, qui a un budget restreint pour financer son site Internet, ne pourra pas bénéficier d’un serveur dédié très puissant. Cela aura de fâcheuses conséquences sur la performance de la bande passante et provoquera certainement des encombrements.
Quelle erreur stratégique ! Se faire connaître va être l’un des premiers objectifs pour une petite entreprise. Si les clients potentiels sont bloqués dès leur première visite, l’image perçue ne pourra qu’être mauvaise. Le Cloud computing va permettre d’y remédier et donner la possibilité à des petites structures de posséder un site efficace grâce à un hébergement mutualisé. Les sites seront capables d’accueillir de nombreux visiteurs, et les entreprises de réduire leurs coûts. Les internautes satisfaits pourront alors véhiculer une image positive de cette jeune marque. La loi du référencement naturel fera le reste, plus il y aura de visites, plus le site remontera dans les moteurs de recherche. La notoriété de l’entreprise augmentera alors.
 
== Limites du Cloud computing ==