« Recherche:Les problèmes environnementaux concernant l'aviation, solutions actuelles et alternatives d'avenir » : différence entre les versions

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La pression qu’exerce un avion sur une piste d’aéroport est inférieur au décollage qu’à l’atterrissage. Lorsqu’un avion doit interrompre son voyage après une difficulté survenue pendant ou peu de temps après le décollage, il ne lui est permis de revenir sur un aéroport qu’après s’être délesté pour atteindre le poids maximum autorisé à l’atterrissage. Ce délestage se fait en vidant une partie du kérosène contenue dans ses réservoirs.
 
Ce délestage doit être effectué au-dessus d’une zone peu urbanisée, en mer ou dans le pire des cas au dessus des terres et ce, à plus de {{unité|2000 |{{abréviation|m|mètre}}}} d’altitude. La majeure partie du kérosène délesté se vaporise dans l’atmosphère (90%), le reste est susceptible d’atteindre la mer ou le sol.
 
Un Boeing 747, partant pour un vol long courrier pourrait délester cinquante à soixante mille litres de kérosène.