« Recherche:Les problèmes environnementaux concernant l'aviation, solutions actuelles et alternatives d'avenir » : différence entre les versions

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=== Introduction ===
 
Ce mémoire est un travail de synthèse sur les problèmes environnementaux concernant le domaine de l’[[w:aviation|aviation]] suivit d’une présentation des solutions et alternatives possibles. AÀ l’image des études qu’il clôture, ce travail abordera le thème de façon générale.
 
Les sujets abordés ont donc été traités de façon globale sans entrer dans des détailles trop techniques qui souvent nous éloigneraient du domaine de l’aéronautique.
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'''Le bruit du jet'''
 
AÀ la sortie du réacteur, le jet des gaz, au départ rectiligne, se met à osciller et devient instable à mesure qu'il interagit avec l'air ambiant. Ces interactions provoquent des turbulences, sources de bruit de basses fréquences. Ce bruit de jet dépend du diamètre de la tuyère mais aussi de la vitesse d'écoulement du jet.
Les [[w:turboréacteur|turboréacteurs]] adaptés au vol supersonique sont nécessairement à simple flux ou à très faible taux de dilution. Le jet constitue alors la principale source sonore.
 
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Les moteurs à réaction utilise du [[w:kérosène|kérosène]] pour leurs combustion. Produit de distillerie, il se situe entre le diesel et l’essence.
 
Les émissions des moteurs d’avions à réaction dépendent du régime du moteur, et donc de la phase de vol dans laquelle ils sont. AÀ chaque phase du cycle décollage atterrissage sont associées une durée et une pollution spécifique.
 
Ainsi les moteurs qui tournent à plein régime au décollage émettent majoritairement des oxydes d’azote. Au sol en revanche, les moteurs tournent au ralenti, ce qui se traduit par des combustions incomplètes et donc des rejets de monoxyde de carbone CO et d’hydrocarbures imbrûlés.
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===== Les nouveaux carburants =====
 
Des substituts aux carburants classiques des avions utilisant des moteurs à pistons existent comme nous avons déjà pu le constater. AÀ ceux déjà vus nous pourrions ajouter certains biocarburants dont la production nécessite de grandes quantités de biomasse et des procédés qui ne sont pas toujours très écologiques.
Mais le carburant parfait, s’il en est un, est bien l’hydrogène. Comme son nom l’indique sa combustion simple n’a pour résidu que de l’eau. De plus, la molécule d’hydrogène est présente dans la nature de façon la plus abondante.
 
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Quelle sera l’énergie du future ? Nucléaire, éoliennes, solaire, océanique ? Les pistes sont nombreuses et un nouveaux débat s’ouvre pour les décennies à venir.
 
AÀ mon sens, la société devrait s’orienter vers une production décentralisée utilisant les technologies les mieux adaptées aux lieux de production.
 
Ce système aurait l’avantage de minimiser le transport d’énergie tout en évitant les monopoles de production trop souvent à l’origine de troubles politiques.