« Utilisation et entretien du matériel équestre/Rênes et œillères » : différence entre les versions

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Le mot est d'abord attesté à la fin du {{s|XII|e}} chez [[Chrétien de Troyes]], dans le sens d'« ouverture sur le devant du [[heaume]] pour les yeux ». Le sens « pièce de cuir attachée au montant de la bride et empêchant le cheval qui les porte de voir sur le côté » remonte lui à 1611<ref>{{CNRTL|Œillère}}</ref>.
 
Grâce à ses yeux placés sur les côtés, le cheval possède un [[champ de vision]] très large lui permettant, dans la nature, de voir un prédateur arriver de loin, même derrière lui<ref>{{ouvrage|prénom1=Emmanuelle|nom1=Dal'Secco|titre=Les chevaux de trait|éditeur=Éditions Artemis|lieu=|jour=|mois=|année=2006|passage=8|isbn=9782844164599|lire en ligne=http://books.google.fr/books?id=KER0CJVjNocC}}</ref>. À l'état domestique, cette particularité devient un handicap pour les utilisateurs de chevaux nerveux ou peureux dans des environnements stressants, comme les villes bruyantes, les champs de bataille, et plus récemment les champs de course.
 
== Description et utilisation ==