« Brevet de pilote d'aéronef/Vol aux instruments » : différence entre les versions

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Très tôt après les premiers vols, les pilotes ont cherché à repousser leurs limites par mauvaises conditions météorologiques. Le développement des vols commerciaux, d'abord de courrier, puis de fret et de passagers, les y a poussés. Déjà en 1910, on embarque une radio à des fins militaires, pour faire de l'avion un véritable outil d'observation du champ de bataille. L'année suivante, on s'essaye aux vols de nuit.
 
Plus tard, en 1920, la marine américaine déroule un câble sous la mer qui trace une route électromagnétique de près de 100 milles nautiques ({{unitéUnité|185|{{Abréviation|km|kilomètre}}}}). Un hydravion rejoint ainsi un navire au large des côtes et retourne à sa base en recevant un signal à son bord. En 1923, les Américains installent des balises lumineuses sur plusieurs centaines de kilomètres pour permettre de guider les pilotes la nuit.
 
La même année, en France, des avions sont équipés des premiers cadres goniométriques qui permettent de détecter la direction de provenance d'un signal radio émis par une station au sol. Le [[W:Radiocompas|radiocompas]] est né ! Ainsi que la première tour de contrôle l'année suivante à l'aéroport du Bourget. Équipée elle aussi d'un [[w:Goniomètre|goniomètre]], elle peut guider les avions jusqu'au terrain en leur indiquant la route à suivre. La première radiobalise à usage aéronautique est installée en 1925 à Orly.