« Recherche:Les problèmes environnementaux concernant l'aviation, solutions actuelles et alternatives d'avenir » : différence entre les versions

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Face au problème, la communauté internationale réagit et concrétise son action avec la signature par de nombreux pays d’un [[W:Protocole de Montréal|protocole à Montréal]], en 1987. Ensuite, grâce à de nombreuses conférences, une solidarité internationale a permis de mettre en place les mécanismes financiers pour permettre à tous les pays concernés de produire les substituts de CFC. En 1992 les CFC sont interdits par la [[W:Communauté économique européenne|Communauté économique européenne]].
 
Aujourd’hui, la teneur de l'atmosphère en [[W:CFC|CFC]] diminue et on peut espérer retrouver dans {{unité|20 |ans}} l'équilibre de la couche d’ozone. La gestion du problème de la couche d’ozone a donc été un bel exemple de solidarité mondiale. Malheureusement, les solutions d’aujourd’hui peuvent devenir les problèmes de demain. Car depuis, un nouveau danger menace la planète et cette fois, ce sont les [[w:hydrofluorocarbures|hydrofluorocarbures]] (HFC), gaz de substitution des CFC, qui font partie de la liste des gaz dangereux. Ils contribuent en effet au réchauffement de la terre par un phénomène appelé « effet de serre » dont nous parlerons plus loin.
 
Remarque : Il faut faire la distinction entre ozone stratosphérique et troposphérique. L’[[W:Ozone|ozone]] existe aussi dans la [[w:troposphère|troposphère]] et les mélanges avec celui de la [[w:stratosphère|stratosphère]] sont marginaux du fait qu’ils sont séparés de la [[w:tropopause|tropopause]]. Les problèmes liés à l’ozone troposphérique seront traités plus loin.
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Chacun de ces gaz a un pouvoir d’absorption différent. Le méthane, par exemple, est plus « réchauffant » que le dioxyde de carbone. Mais le CO2 peut rester dans l’atmosphère un siècle contre dix ans pour le méthane. Vu l’énorme quantité émise par l’homme et sa contribution de 70% au réchauffement global, le CO2 devient le gaz à effet de serre le plus important. Aussi, à chaque GES on attribue un [[W:Potentiel de réchauffement global|Potentiel de Réchauffement Global]] (PRG) qui donne pour une masse unitaire du gaz considéré la masse de CO2 équivalente en termes d’impact sur l’effet de serre sur un horizon donné.
 
PRG pour les GES repris par le protocole de Kyoto sur un horizon de {{unité|100 |ans}} :
 
CO2 1