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m Robot : Remplacement de texte automatisé (-\bCO2\b +{{formule chimique|CO|2}})
m Robot : Remplacement de texte automatisé (-qu'il +qu’il)
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* Alors que le poulet ne pond pas d'œuf,
* que l'expérimentation est de Vauquelin et non de Kervran, qui l'a seulement fait connaitre,
* qu'ilqu’il ne s'agit pas d'alchimie mais de science exacte,
* que la fusion froide vient d'être découverte en 1989,
* qu'ilqu’il ne s'agit pas exactement de fusion froide (à la recherche d'énergie) mais de transmutation biologique,
* que Kervran a déjà été proposé mais non nommé pour le véritable prix Nobel en 1975,
* et que Louis Kervran est déjà décédé depuis 1983.
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La barrière de Coulomb est la répulsion électrostatique entre un noyau atomique et les protons qui pourraient l'approcher. Dans le vide, elle oblige les protons à disposer d'une très grande énergie cinétique pour la franchir.
 
Dans la matière dense ordinaire sa grandeur est déterminée par l'équation de Schroedinger, habituellement calculée par rapport à l'état fondamental du noyau. Mais le noyau n'est jamais dans cet état, ne serait-ce que parce qu'ilqu’il a été créé et qu'ilqu’il est donc perturbé dès l'origine, mais aussi parce qu'ilqu’il est soumis en permanence à de nombreuses interactions internes et externes<ref name="VysotskiiLenrBio" />.
 
Vladimir I. Vysotskii étudie l'exemple d'une quasi-molécule (MnD)+ située dans un trou de la matière dense classique. Dans ce cas et pour l'ensemble des niveaux d'énergie possibles, Vladimir I. Vysotskii arrive à l'hypothèse suivante :<ref name="VysotskiiLenrBio" >{{en}} {{pdf}} Vysotskii V. I., Kornilova A. A.,''[http://www.iscmns.org/CMNS/JCMNS-Vol4.pdf Low-energy Nuclear Reactions and Transmutation of Stable and Radioactive Isotopes in Growing Biological Systems]'', Experiments and Methods in Cold Fusion, Journal of Condensed Matter Nuclear Science, vol 4, p. 146–160, février 2011</ref>
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* Mr. M. Takahashi, ingénieur en chef de Shoken-Gijutsu, la société qui a coopéré à cette expérience, dit : « Il y a différents points de vue sur le résultat expérimental y compris les opinions sceptiques. J'espère que ce sera une occasion de commencer l'étude de la décontamination par de nombreux chercheurs ».
 
La chercheuse exprime ici qu'ilqu’il s'agit de transmutation biologique et propose une application immédiate, la décontamination radioactive, déjà étudiée en 2003 et 2007 par Vladimir I.Vysotskii, voir ci-dessus.
 
La réaction de transmutation biologique est : césium 137 + hydrogène 1 → baryum 138