« Recherche:Les jumeaux homozygotes, objet de la science et de la recherche » : différence entre les versions

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Pour Florence, cela lui parait normal que les chercheurs et les scientifiques s'intéressent aux jumeaux. Mais après avoir vécu, avec sa sœur, une expérience dans le cadre d'une émission de télévision axées sur la vulgarisation scientifique, elle regrette un problème de « subjectivité ». Dans cette émission on lui a fait passer ainsi qu'a sa sœur jumelle une série de tests comme les tests de réflexes, la comparaison de la voix, des empruntes digitales, etc. dans le but d'évaluer leur ressemblance. Ce qu'elle a trouvé dérangeant dans cette expérience, c’est les propos des scientifiques qu'elle perçoit comme un « jugement influencé » par leurs « postulas ». En réponse à notre question on peut retenir une de ces dernières citations, qu'elle prononce à l'attention des scientifique qui voudrais s'intéresser à ses particularités: « cela ne vous regarde pas »
 
Martin n'a jamais participé à une étude ou une quelconque observation. Son avis sur la question est que ces études doivent se dérouler dans la dignité, pas question d'êtred’être un « monstre de foire ». Si on lui demandait d'êtred’être sujet à une étude il ne dirait certainement pas oui d'avance. Il poserait d’abord une « réflexion globale » sur la question. Il semble enfin plus réticent aux études de type psychologique qu’il considère moins constructives.
 
== Que peut-­on conclure? ==
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== Quel est mon avis sur le sujet? ==
 
D'une part, je trouve que les études faites sur les jumeaux sont d'une très grande utilités dans le cadre de recherches effectués dans le domaine médical et thérapeutique. Les nouvelles études ont toutes raisons d'êtred’être sous certaines conditions comme par exemple, le respect de la vie privée, la liberté de participation, le respect des personnes que l'on étudie, qui doivent s'établir en commission d'éthique. D'autre part je trouve dangereux que des études sur les jumeaux puissent servir aux doctrines eugéniques, notamment lorsqu’il s'agit d'étudier le caractère génétique de l'intelligence pour en convenir de méthodes de sélections ou de promotion de l'être humain. Pour moi, contrairement à la santé, l'intelligence est un concept subjectif. Les études portées sur le sujet peuvent trop facilement être récupérer au service de dérives idéologiques. Il est donc dangereux d'établir des théories, qu’elles soit fondées ou non, sur l'hérédité des capacités intellectuelles. Ce pourquoi, je comprends parfaitement la réaction de Martin par rapport aux études psychologiques aux quelles il pourrait être invité à participer.
 
== Références ==