« Psychothérapie éclectique » : différence entre les versions
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Le cadre de la cure et les techniques utilisées peuvent être modifiés au cours d'une psychothérapie éclectique, en fonction des problématiques individuelles, mais aussi pour la même personne d'une séance à l'autre, tandis que la méthodologie relationnelle globale demeure constante.
La prise en compte du transfert dans la rencontre clinique avec la personne est un levier essentiel pour la co-construction d'une alliance thérapeutique stable et durable; continue. Dans cette mesure, la continuité clinique transférentielle incarne le cadre relationnel de la cure éclectique, tandis que les techniques de parole (association libre, analyse des rêves, récapitulation, ...), ainsi que les médiations psycho-corporelles (yoga, méditation dynamique, massages...), les modalités individuelles, groupales ou collectives forment un cadre pratique en mouvement<
Si la continuité relationnelle et le rythme des séances représentent des constantes fondamentales du suivi psychothérapique éclectique, ces dernières impliquent, par effets accidentels de crise, des ajustements asymptotiques aux bouleversements des états psychiques des consultants, qui affectent transférentiellement la cure dans le sens de la discontinuité, du changement, et peut-être du côté du mouvement et de la résilience.
Les thérapies dynamiques éclectiques s'appuient sur les méthodologies cliniques<
La méthode clinique consiste ainsi à soigner la personne et non le symptôme ou la maladie, en prenant en compte la fonction protectrice et défensive des tableaux sémiologiques, dans une approche compréhensive et globale des interactions de l'individu avec son environnement.
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== Notes et références ==
↑ Douville O. (Dir.), Les méthodes cliniques en psychologie, Paris, Dunod, 2006
↑ (en) S. Jauhar, P. J. McKenna, J. Radua, E. Fung, R. Salvador and K. R. Laws, « Cognitive–behavioural therapy for the symptoms of schizophrenia: systematic review and meta-analysis with examination of potential bias », The British Journal of Psychiatry, no 204, 2014, p. 20–29
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