« SPARQL Protocol and RDF Query Language/Requêtes d'écriture » : différence entre les versions

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m Robot : Remplacement de texte automatisé (- l'utilisation + l’utilisation , - d'asile + d’asile , - s'inspirer + s’inspirer , - l'expression + l’expression , - d'usage + d’usage , - d'autre + d’autre , - d'important + d’important )
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Dans la première recommandation de SPARQL 1.0 en 2008, il n'était pas encore question de faire des requêtes en écriture. Cependant, dès 2008, des implémentations commencent à apparaître pour écrire des triplets à travers une requête comme une requête SQL et, dès lors, les développeurs trouvent enfin le moyen d'alimenter une base de données RDF en temps réel sans RDF/XML, voire sans définir une ontologie complexe.
 
Cependant, il faut garder à l'esprit que l’interopérabilité est l'objectif final de SPARQL pour faire avancer la feuille de route du Web Sémantique. Ainsi, l'utilisationl’utilisation de prédicats fantaisistes, c'est-à-dire d'ontologies fantaisistes, n'est pas conseillée à terme. Dans les prochains mois ou années, un système d'implication va apparaître pour vous aider à respecter ce critère d'interopérabilité. En attendant, dans ce chapitre, nous vous donnons les moyens de travailler comme vous le souhaitez avec vos propres prédicats, mais, si vous ne voulez pas tout refaire dans deux ans, gardez à l'esprit qu'un bon prédicat est un prédicat qui existe déjà dans une ontologie documentée (et, si possible, simple).
 
Nous allons décrire ici les requêtes qui fonctionnent dans le logiciel 4Store (utilisé dans les TP) et qui sont aussi définies dans la recommandation SPARQL 1.1 (la personne qui coordonne la recommandation de SPARQL 1.1 est aussi le principal développeur de 4Store).