« SPARQL Protocol and RDF Query Language/Requêtes de découverte » : différence entre les versions

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m Robot : Remplacement de texte automatisé (- l'application + l’application , - d'une part + d’une part ); changements de type cosmétique
m Robot : Remplacement de texte automatisé (- n'est pas + n’est pas , - Aujourd'hui + Aujourd’hui , - d'euros + d’euros , - d'agir + d’agir , - l'apparence + l’apparence )
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=== Avec SPARQL ===
Il n'estn’est pas indispensable de définir une structure de données avec SPARQL avant de commencer à enregistrer les données. Ce sont les données et les liens entre eux qui dessinent la structure de votre base de données. Les liens entre les données (les prédicats) sont des données comme les autres qui peuvent changer au gré des insertions de données.<br />
Les nouvelles données avec une structure différente ne remplacent en rien les données précédentes avec leur propre structure. Un objet peut être décrit avec deux structures différentes dans la même base de données.<br />
Le coût de mise à jour de la base de données devient nul, car l'insertion de nouvelles données ne demande pas la remise à plat du système en production.
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=== Recherche de nouvelles données ===
Un AI, en théorie, aura accès à des annuaires de bases de données. Ainsi, un AI peut, en cas de recherche de données, faire une requête en SPARQL pour trouver quelles bases de données proposent tel ou tel type de données. Actuellement, le nombre d'ontologies explose et la publication d'un annuaire n'estn’est pas pour demain, mais des prototypes, comme {{lien brisé|url=http://en.sparql.pro|titre=sparql.pro}}, commencent à illustrer des solutions pour y parvenir.
 
En attendant ces annuaires Machine2Machine, un développeur peut programmer son application pour recevoir des alertes si ses tests sont en échec. Dès lors, il pourra rechercher des données alternatives pour réécrire les requêtes SPARQL obsolètes de son application.