« Critères de reprise du sport après une rupture du ligament croisé antérieur » : différence entre les versions
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Ligne 61 :
* '''Le ''side hop test''''' : l’athlète doit effectuer un maximum de sauts sur une jambe en quinze secondes de chaque côté de deux lignes éloignées de 40 cm. Le nombre de sauts est comptabilisé. A l’aide d’une caméra, l’angle entre le tronc et le membre inférieur est mesuré. Une déviation du tronc crée des contraintes en valgus importantes.
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La commission médicale du Comité international olympique a validé ce test pour le ''screening'' des athlètes. Il s’agit d’un saut depuis une plate-forme de 35 cm de haut, avec réception en appui bipodal, suivi d’un autre saut le plus haut possible. La réception des sauts est analysée au moyen d’une caméra. Le contrôle de l’axe des jambes, la symétrie des appuis ainsi que les qualités amortissantes du quadriceps sont évaluées. Si la capacité d’absorber les forces de décélération est altérée, ce qui se caractérise par une flexion du genou insuffisante lors de la réception, les forces de cisaillements et le moment de force en valgus sur le genou sont plus importants, ce qui expose à un risque accru de récidive.
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Le sujet reste en équilibre sur un pied pendant qu’il va chercher à atteindre des points en étoile, le plus loin possible tout autour de lui, avec l’autre pied. Ce test permet d’évaluer la capacité de contrôle de l’appui monopodal par mesure de cette amplitude.
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