« Critères de reprise du sport après une rupture du ligament croisé antérieur » : différence entre les versions

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Enfin le troisième critère primordial pour un RST, le plus sécurisant, est la récupération des amplitudes articulaires de flexion et extension de genou. Que cela soit en mobilisations passives ou actives, la différence entre les deux côtés ne doit pas exister pour certains médecins, mais cela peut aller jusqu’à 15% chez d’autres. Encore une fois ici, difficile de réunir tous les médecins sur un pourcentage acceptable pour la reprise du sport. Mais il est important de mentionner qu’un léger déficit d’extension aura des implications plus importantes sur la [[biomécanique]] de course ou de sauts qu’un léger déficit de flexion. En revanche le football de haut niveau demande parfois des mouvements d’amplitudes de flexion maximales lors d’un tacle par exemple donc une récupération totale des amplitudes serait quand même préférable.
 
Les médecins s’appuient énormément sur l’avis du kinésithérapeute et du préparateur physique qui sont au centre soit de la rééducation soit des performances physiques du joueur. En revanche les entraîneurs sont très peu consultés.<ref>{{Article|langue=|auteur1=|prénom1=F.|nom1=Delvaux|prénom2=P.|nom2=Rochcongar|prénom3=O.|nom3=Bruyère|prénom4=C.|nom4=Daniel|titre=Retour au sport après plastie du ligament croisé antérieur : critères utilisés dans les clubs professionnels de football|périodique=Science & Sports|volume=30|numéro=1|date=octobre 2014|issn=|doi=10.1016/j.scispo.2014.11.001|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.1016/j.scispo.2014.11.001|consulté le=2017-05-12|pages=33–40}}</ref>
 
== Notes et références ==