« Utilisateur:Ambre Troizat/Ouvrages à propos de Saint-George » : différence entre les versions

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[[Fichier:Portrait of Chevalier de Saint-George.jpg|300px|vignette|centré|Joseph Bologne dit Chevalier de Saint-George]]
 
== Légende & mythe d'un Saint Chevalier ==
[[File:Wild Men and Moors (Detail 02 of 12).jpg|100px|vignette|gauche|[[c:File:Wild Men and Moors.jpg|Saint George and the Dragon, Wild Men and Moors tapestry]], c.1400.]]
[[File:Meister des Frankfurter Paradiesgärtleins 001.jpg|100px|vignette|gauche|Maître du Haut-Rhin.- Le Jardin de Paradis, 1410-1420]]
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* [[w:Saint Georges et le Dragon|Saint Georges et le Dragon : récension]]
 
=== Bibliographie ===
 
* 1470 - ''[[w:Paolo Uccello|Paolo Uccello]].- [[w:Saint Georges et le Dragon (Paolo Uccello)|Saint Georges et le Dragon]]'', vers 1470, [[w:National Gallery|National Gallery]] de Londres, [[d:Q16599926|Référence Wikidata]].
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* Date courante - [https://www.wikidata.org/w/index.php?search=Saint+Georges+et+le+Dragon&title=Special:Search&fulltext=1&searchToken=2px17p9i9wbci9kdsmabno9wj Recherche sur Wikidata, Mise à jour]
 
== 1718 ==
[[File:Ordres de Saint-George, 1718.png|vignette|100px|left]]
[[File:Primus Eques. Blason de Messire Guillame de Vienne Seigneur de Saint George et de Sainte Croix.png|vignette|100px|left]]
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* 1718 - Les ordres de Saint-George (George sans "s") dans {{bibliographie|Q27609088}}, [https://books.google.fr/books?id=C2ZVAAAAcAAJ&dq=Julien%20Raimond%20%2B%20Saint-George&hl=fr&pg=PA513#v=onepage&q=Julien%20Raimond%20+%20Saint-George&f=false page 513]
 
== 1748 ==
[[Fichier:Permission en 1748 pour Mme. St-Georges d’ammener Nanon et Joseph en France.jpeg|100px|vignette|gauche|1er septembre 1748, [[d:Q19223131|permission pour Mme. St-Georges d’ammener Nanon et Joseph en France]].]]
 
* [[d:Q19223131|1er septembre 1748]] - {{Bibliographie|Q19223131}}
 
== 1753 ==
[[w:1753|1753]]
 
1753 - Saint-George entre à l’académie de Nicolas Texier de la Boëssière vers 1753<ref>Annales historiques de la Révolution française'', {{p.|92}}.</ref> afin de se préparer au métier d’officier{{Référence nécessaire}}.
 
== 1756 ==
 
1756 - Début de la guerre de Sept Ans (1756-1763)
 
== 1759 ==
[[Fichier:Texier de la Boiſſiere reçu Maître en-fait-d'Armes, 14 mars 1759.png|100px|vignette|gauche|Texier de la Boiſſiere reçu Maître en-fait-d'Armes, 14 mars 1759]]
[[w:1759|1759]]
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{{Citation bloc|1759 - Le Mercredi, 14 de ce mois, le Sieur Texier de la Boiſſiere, a été reçu Maître en-fait-d'Armes. L'exercice qui devoit décider ſa réception s'eſt fait au Jeu de Paume de la Perle, rue de la Vieille Eſtrapade, en préſence de M. le Procureur du Roi & d'une nombreuſe Aſſemblée. Les Sieurs Donnadieu, de Vaucourt, & de la Salle, ont diſputé, contre le Récipiendaire les deux prix, dont le premier a été gagné au fleuret par le Sieur Donnadieu, & le ſécond a été gagné au poignard par le Sieur de la Salle ; les Combattans ont déployé toute l'adreſſe & toute la ſoupleſſe dont l'eſcrime eſt ſuſceptible.|[[d:Q23662438|La Feuille nécessaire : contenant divers détails sur les sciences, les lettres et les arts, 1759]]<ref>{{bibliographie|Q23662438}} [https://books.google.fr/books?id=mpYvAAAAMAAJ&dq=Vaucours%20%2B%20ma%C3%AEtre%20d'armes&hl=fr&pg=RA1-PA109#v=onepage&q=Vaucours%20+%20ma%C3%AEtre%20d'armes&f=false Le Mercredi, 14 de ce mois, le Sieur Texier de la Boiſſiere, a été reçu Maître en-fait-d'Armes.], 1759. </ref>}}
 
== 1760 ==
[[Fichier:Gabriel-Jacques de Saint-Aubin, A Street Show in Paris, 1760.jpg|100px|vignette|gauche|1760 - Spectacle de rue, Paris]]
[[w:1760|1760]]
 
== 1761 ==
 
=== 1761 - Naufrage de L'Utile : les esclaves oubliés de Tromelin ===
[[Fichier:Armoiries de la Compagnie des Indes Orientales.jpg|100px|vignette|gauche|Armoiries de la Compagnie des Indes Orientales]]
[[Fichier:L Utile wreck.jpg|100px|vignette|gauche]]
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* [http://archeonavale.org/gran2012/index.php/2012-02-13-18-51-03/mission-2013 Tromelin, Le carnet de la mission 2013]]
 
== 1763 ==
 
1763 - Fin de la guerre de Sept Ans (1756-1763)
 
== 1769 ==
 
* 1769 -Création du [[w:Concert des Amateurs|Le Concert des Amateurs]] à l’[[w:Hôtel de Soubise|Hôtel de Soubise]], ([[w:1769 en musique classiquee|1769]]-[[w:1781 en musique classique|1781]]). {{bibliographie|Q28534161}}
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}}
 
== 1775 ==
 
1775 - Début de la [[w:guerre d'indépendance des États-Unis|guerre d'indépendance des États-Unis]], 1775 à 1783.
 
== 1777 ==
 
* [[s:Déclaration... pour la police des noirs... Registrée en Parlement le 27... août 1777.|Déclaration pour la police des noirs. Registrée en Parlement le 27 août 1777.]]
 
== 1779 ==
 
=== 1779 - Il paraît depuis quelque temps dans le monde un mulâtre ===
 
{{Citation bloc|1779 - Il paraît depuis quelque temps dans le monde un mulâtre, nommé M. de Saint-Georges|Georges Touchard-Lafosse.- ''Apparition du chevalier de Saint Georges'' dans Chroniques de l'Oeil-de-Boeuf, 1845<ref>{{Bibliographie|Q28243565}}, 1845, [https://books.google.fr/books?id=6TNySnWtZPQC&hl=fr&pg=PA392#v=onepage&q&f=false Volume 4, Chapitre III, 1779-1781, page 392]</ref>}}
 
== 1782 ==
 
=== Bataille de Trinquemalay, 25 août - 3 septembre 1782 ===
 
[[Fichier:BattleOfTrincomaleeBySerres.jpg|100 px|vignette|gauche|La [[w:Bataille de Trinquemalay|bataille de Trinquemalay, {{date|3|septembre|1782}}, 3 septembre 1782 signe la disgrâce du Chevalier de Tromelin.]]
* Dans ''Le collier de la Reine''<ref> {{Bibliographie|Q28022312}}</ref>, Alexandre Dumas raconte l'[[s:Page:Dumas - Le Collier de la reine, 1888, tome 1.djvu/172|accueil]] de [[w:Pierre André de Suffren|Monsieur de Suffren à Versailles]], le 2 avril 1784, de retour de la [[w:bataille de Trinquemalay|bataille de Trinquemalay]], (25 août - 3 septembre 1782), durant sa [[w:Pierre André de Suffren#Suffren dans l'Océan Indien (1781-1784).|campagne dans l'Océan Indien (1781-1784)]].
 
==== 1787 : ''La Fille Garçon'' ====
 
 
{{Citation bloc|En 1787 il fit jouer au Théâtre-italien la ''Fille garçon'', opéra en 2 actes, dont la musique était du fameux St-Georges.|Michaud;- Biographie universelle ancienne et moderne, 1843, Tome 10<ref>Deux mentions, pp. [[s:Page:Michaud - Biographie universelle ancienne et moderne - 1843 - Tome 10.djvu/520|515]] & [[s:Page:Michaud - Biographie universelle ancienne et moderne - 1843 - Tome 10.djvu/521|516]]</ref>.}}
 
==== 1787, Demaillot, Saint-George.- la Fille garçon ====
 
* [https://books.google.fr/books?id=7kXmDAAAQBAJ&lpg=PT48&dq=1787%20%2B%20Demaillot%20%20%2B%20la%20Fille%20gar%C3%A7on&hl=fr&pg=PT48#v=onepage&q=1787%20+%20Demaillot%20%20+%20la%20Fille%20gar%C3%A7on&f=false Grimm, 18 août 1787]. Les paroles sont de Monsieur Demaillot qui a travaillé avec beaucoup de succès
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titre=[http://books.google.fr/books?id=O9oqZca7Pq8C&pg=PA521&dq=Fille+Gar%C3%A7on+St-Georges+Desmaillot The changing room: sex, drag and theatre]([http://muse.jhu.edu/login?uri=/journals/theatre_journal/v053/53.2homan.html *]) : {{s-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1650-1820|lieu=The changing room: sex, drag and theatre|éditeur=Routledge}}.<!-- Notice Bnf n° [Url Bnf n° de la notice].--><br />Le ''Dictionnaire lyrique ou Histoire des opéras'' attribue les paroles à « Eve ». {{ouvrage|année=1999|prénom1=Félix|nom1=Clément|prénom2=Pierre|nom2=Larousse|titre=[http://books.google.fr/books?id=RO1OlrcJcqwC&pg=PA291&dq=la+Fille+Gar%C3%A7on+op%C3%A9ra#v=onepage&q=&f=false Dictionnaire lyrique ou Histoire des opéras]. Reproduction, Fac-sim. de l'éd. de Paris, Administration du Grand dictionnaire universel, A. Boyer, Liepmannsshonn et Dufour, 1876-1881 : {{s-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1650-1820|lieu=Genève, Paris, diffusion Champion|éditeur=Slatkine reprints}}.Notice Bnf n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37079916t/PUBLIC FRBNF37079916].<br />Le ''[http://books.google.fr/books?id=xeYgW56rRdcC&pg=PA258&dq=la+Fille+Gar%C3%A7on+op%C3%A9ra#v=onepage&q=&f=false Théâtre de l'Opéra-Comique Paris : répertoire 1762-1972]'' précise le nom de l'auteur du livret : Antoine-François Eve, [http://catalogue.nla.gov.au/Search/Home?lookfor=author:%22Maillot,%20Antoine%20Francois%20Eve,%201747-1814%22&iknowwhatimean=1 1747-1814]. Il s'agit en effet de "Eve dit Demaillot (Antoine-François), auteur de l'ouvrage : {{ouvrage|année=1814|prénom1=Antoine-François|nom1=[http://catalogue.bnf.fr/servlet/autorite?ID=11902030&idNœud=1.1&host=catalogue Eve]|titre=[http://www.criminocorpus.cnrs.fr/biblio/v3/reference_inter.php?ref=31592 Tableau historique des prisons d'État en France sous le règne de Buonaparte] : {{s-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1747-1814|lieu=Paris|éditeur=Delaunay}}. Notice Bnf n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36311257p/PUBLIC FRBNF36311257].</ref>.
 
===== Le 18 août =====
 
{{Citation bloc|Le 18 août, on a donné, sur le théâtre Italien, la première représentation de la Fille Garçon, comédie en deux actes et en prose, mêlée d'ariettes. Les paroles sont de M. [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119020308/PUBLIC Desmaillot], qui a travaillé avec quelque succès pour nos petits théâtres des boulevarts<!--orthographe d’époque--> et du Palais-Royal. La musique est de M. de St-Georges, mulâtre plus célèbre par son prodigieux talent pour l'escrime, et par la manière très distinguée dont il joue du violon, que par la musique de deux opéra comiques, ''Ernestine'' et ''la Chasse'', qui ne survécurent pas à leur première représentation.<br />Le fond de cette pièce ne mérite pas qu'on en parle. Quant à la musique, quoique mieux écrite qu'aucune autre composition de M. de St-Georges, elle a paru également dépourvue d'invention ; les divers morceaux qui la composent ressemblent, et par les motifs, et même par les accompagnements, à des morceaux trop connus. Ceci rappelle une observation que rien n'a encore démentie, c'est que si la nature a servi d'une manière particulière les mulâtres, en leur donnant une aptitude merveilleuse à exercer tous les arts d'imitation, elle semble cependant leur avoir refusé cet élan du sentiment et du génie, qui produit seul les idées neuves et les conceptions originales. Peut-être aussi ce reproche fait à la nature ne tient-il qu'au petit nombre des hommes de cette race à qui les circonstances ont permis de s'appliquer à l'étude des arts.|[[d:Q27514761|1830]] - {{bibliographie|Q27514761}}, Tome treizième, 1786 — 1787<ref>[https://books.google.fr/books?id=z1UHAAAAQAAJ&dq=Correspondance%20litt%C3%A9raire%2C%20philosophique%20%2B%20Saint-Georges&hl=fr&pg=PA448#v=onepage&q=Correspondance%20litt%C3%A9raire,%20philosophique%20+%20Saint-Georges&f=false p. 448] : * 1813 - {{bibliographie|Q27516261}}, [https://books.google.fr/books?id=KyMQAAAAYAAJ&dq=%22Correspondance%20litt%C3%A9raire%2C%20philosophique%20et%20critique%22%20Ernestine&hl=fr&pg=PA362#v=onepage&q&f=false p. 362]</ref>}}
 
===== Au mois d'août 1787 =====
 
{{Citation bloc|Au mois d'août 1787, il donna encore, avec [[Ève Demaillot|Demaillot]], auteur des paroles, ''la Fille garçon'', comédie mêlée d'[[ariettes]], qui eut un peu plus de succès. La musique, mieux écrite qu'aucune autre des compositions de Saint-George, parut également dépourvue d'invention. On en a pris occasion de faire une observation qu'aucun exemple ne paraît avoir démenti jusqu'à présent, c'est que, ''si la nature a favorisé d'une manière particulière les [[mulâtre]]s'', en leur donnant une aptitude singulière pour les arts d'imitation ; ''elle semblerait leur avoir refusé cet éclat d'imagination, de génie, qui seul fait exceller dans les arts créateurs''. Les concertos composés par Saint-George, et surtout le menuet qui porte son nom, eurent plus de succès que ses œuvres dramatiques, et obtinrent pendant longtemps une très-grande vogue.|[[Louis-Gabriel Michaud]].}}
 
===== Mme de Rosanne =====
 
"Mme de Rosanne has lost her husband and son in a war and, in order to protect her surviving".
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</poem>
 
===== 1800 - Ménégault =====
 
* 1800 - Ménégault.- Le Garçon fi11e et la Fille garçon, comédie en vers, ([https://books.google.fr/books?id=Oj2exWLT_x8C&dq=M%C3%A9n%C3%A9gault%20%2B%20Fille%20gar%C3%A7on&hl=fr&pg=PA1#v=onepage&q=M%C3%A9n%C3%A9gault%20+%20Fille%20gar%C3%A7on&f=false Le Garçon fille, ou la Fille garçon. Comédie en un acte et en vers, 1800]. <https://archive.org/stream/bibliothquedram06solegoog#page/n213/mode/2up>.
 
== 1783 ==
[[Fichier:Faujas, Montgolfier - Description des expériences de la machine aérostatitique, 1783-1784.png|100px|vignette|gauche]]
 
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** Description des expériences de la machine aérostatique de MM. de Montgolfier, et de celles auxquelles cette découverte a donné lieu ; Suivie...<br />* De recherches sur la hauteur à laquelle est parvenu le ballon du Champ-de-Mars. Sur la route qu'il a tenue ; sur les différents degré de pesanteur de l'air dans les couches de l'atmosphère ;<br />* D'un mémoire sur le gaz inflammable & sur celui qu'ont employé MM. de Montgolfier ; sur l'art de faire les Machines aérostatiques, de les couper, de les remplir, & sur la manière de dissoudre la gomme élastique, &c, &c. ;<br />* D'une lettre sur les moyens de diriger ces machines, & sur les différents usages auxquels elles peuvent être employées.<br />* Ouvrage orné de neuf planches en taille douce, représentant les diverses Machines qui ont été construites jusqu'à ce jour, particulièrement celle de Versailles, & celle dans laquelle des hommes ont été enlevés jusqu'à la hauteur de 324 pieds, &c, &c.
 
== 1786 ==
[[Fichier:Thomas Baldwin The Aironaut, Airopaidia, containing the narrative of a balloon excursion from Chester, 1786.png|100px|vignette|gauche]]
 
Ligne 204 :
** ARt. XI. Airopaidia : Containing the Narrative of a Balloon Excursion from Chester, the 8th of September 1785, taken from Minutes made during the Voyage : Hints on the Improvement of Balloons, and Mode of Inflation by Steam : Means to prevent their Descent over Water: Occasional Enquiries into the State of the Atmosphere, favouring their Direction : With various philosophical Observations and Conječtures. To which is subjoined, Mensuration of Heights by the Barometer, made plain, with extensive Tables. The whole serving as an Introdućtion to Aereal Navigation. By Thomas Baldwin, Esq. A. M., 8vo. 7s.6d. Boards. Chester, printed: Sold by Lowndes, London. 1786<ref>[https://books.google.fr/books?id=svNdAAAAcAAJ&hl=fr&pg=PA217#v=onepage&q&f=false Titre entier via Google livre]</ref>.
 
== 1789 ==
[[Fichier:Daniel Orme, W. Denton - Olaudah Equiano (Gustavus Vassa), 1789.png|100px|vignette|gauche|Olaudah Equiano (Gustavus Vassa)]]
 
Ligne 213 :
 
 
=== 1789 : Saint-George serait mort d'un coup de pistolet ===
 
{{Citation bloc|Londres le 18 avril 1789 : on écrit de Paris que le chevalier de St George a été tué d'un coup de pistolet ; on ajoute qu il est tombé au premier feu le nom de son adversaire ne nous est pas encore parvenu|{{bibliographie|Q27991504}}, 1789<ref>Journal général de l'Europe ou Mercure national et étranger, Annonces Articles et avis divers, Nouvelles politiques, Extrait des papiers Anglois, Numéro 51, Mardi 28 avril 1789 [https://books.google.fr/books?id=kylGAAAAcAAJ&dq=the%20Chevalier%20St.%20George%20%2B%20london&hl=fr&pg=RA1-PA133#v=onepage&q=the%20Chevalier%20St.%20George%20+%20london&f=false page 133]</ref>.}}
 
== 1790 ==
 
* 1790 {{Ouvrage
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{{Citation bloc|in 1790, Giornovichi (Janovick) was accompanied by the "Creole" violinist, composer, and swordsman Joseph Boulogne, chevalier de Saint-Georges, whose mother was a black woman from Guadeloupe, and who gave …|Peter Fryer.- Staying Power: The History of Black People in Britain, 1984<ref>Peter Fryer.- [https://books.google.com/books?isbn=0861047494 Staying Power: The History of Black People in Britain], 1984, [https://books.google.fr/books?id=J8rVeu2go8IC&lpg=PA429&dq=Giornovichi%20%2B%20Saint-George&hl=fr&pg=PA429#v=onepage&q=Giornovichi%20+%20Saint-George&f=false page 429]</ref>.}}
 
=== 1790-1796 - Lamothe, compagnon indéfectible de Saint-George ===
[[Fichier:The French royal family in circa 1822 by Gautier.png|100px|vignette|gauche|Après la Révolution, Lamothe fut attaché à la maison du duc de Berry.]]
 
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* {{Citation bloc|1796 - Saint-Georges et Lamothe étaient Oreste et Pylade ; on ne les voyait jamais l'un sans l'autre. Lamothe, célèbre cor de chasse de cette époque, eût aussi été le premier tireur d'armes, disait-on, s'il n'y avait pas eu un Saint-Georges. [..] Plus tard il partit avec Lamothe pour Saint-Domingue qui était en pleine révolution. On fit courir le bruit qu'ils avaient été pendus dans une émeute ; mais ce bruit était heureusement faux, et les deux amis revinrent sains et saufs en France. Nous ajouterons que Saint-Georges y mourut en 1801, suivant les uns, en 1799, suivant les autres, dans un état voisin de l'indigence. Quant à Lamothe, il fut attaché à la maison du [[w:Charles-Ferdinand d'Artois|duc de Berry]]<ref>Charles-Ferdinand d’Artois, duc de Berry, né à Versailles le 24 janvier 1778 et mort assassiné à Paris le 13 février 1820, prince de la maison de Bourbon, fils de Charles-Philippe de France, comte d’Artois, futur Charles X, et de Marie-Thérèse de Savoie.</ref>. Après l'horrible catastrophe de ce prince, il alla à [[w:Munich|Munich]]<ref>Capitale du Land de Bavière en Allemagne</ref> où il vivait encore en 1823.|Gazette musicale de Paris, Volume 8<ref>Gazette musicale de Paris, [https://books.google.fr/books?id=eusqAAAAYAAJ&dq=Chevalier%20de%20Saint-George%20%2B%20imitation%20%2B%20musique&hl=fr&pg=PA363#v=onepage&q&f=false Volume 8]</ref>}}
 
== 1791 ==
 
* Saint-George se présenta, en juin 1791, à Tournai, sous le prétexte d'y donner des concerts d'amateurs, mais en effet avec la mission d'attacher, s'il était possible, quelques émigrés au parti d'Orléans.
 
== 1792 ==
[[Fichier:French-Liberty-British-Slavery-Gillray.jpeg|100px|gauche|vignette|James Gillray (1756–1815).- Un sans culotte en 1792]]
[[w:1792|1792]]
 
== Texte à modifier ==
 
<span style="font-size:20px;">'''Texte à modifier'''</span>
 
=== Gendarmes de la garde du Roi ===
 
En 1761, il fut admis dans les [[Gendarme de la garde|gendarmes de la garde du Roi]]{{Référence nécessaire}}<ref>Selon Pierre Bardin, Joseph de Saint-George, écuyer, demeurant rue Saint-André des Arts, est inscrit sur les registres des gendarmes de la garde du Roi au {{1er}} juillet 1764 et non en 1761 comme d’autres biographes l’ont mentionné. {{ouvrage|année=2006|prénom1=Pierre|nom1=Bardin|titre=[http://books.google.fr/books?id=IjHiGAAACAAJ&dq=Pierre+Bardin Joseph, sieur de Saint-George : Le Chevalier noir] : {{s-|XVIII|e}} : 1739-11799|lieu=Paris|éditeur=Guénégaud}}.Notice Bnf n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40973268c/PUBLIC FRBNF40973268], {{p.|58-60}}</ref>. Quand [[François-Joseph Gossec|Gossec]] lui dédie ses trios en 1766, ''Monsieur de Saint-George'' est [[écuyer (gentilhomme)|écuyer]] et [[gendarmerie|gendarme]] du roi<ref>
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La question reste en suspens de savoir si Saint-George a participé à la [[Guerre d'indépendance des États-Unis|guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique]]. Celle-ci a débuté juste au moment où Saint-George perd son régiment.
 
=== Contrôleur ordinaire des guerres ===
 
Le 10 mai 1763 Georges de Bologne achète pour son fils une charge de [[Conseiller du roi]] et contrôleur ordinaire des guerres, une [[sinécure]] de l'administration de l'armée<ref> [http://books.google.fr/books?id=_5rC7WEjkwsC&printsec=frontcover#v=onepage&q&f=false Hiérarchies sociales et ennoblissement : les commissaires des guerres de la maison du roi, 1691-1790]</ref>, qui lui donne droit au titre d’écuyer sans la noblesse<ref>[https://books.google.fr/books?id=XZhAAAAAcAAJ&pg=PA291&lpg=PA291&dq=%22contrôleurs+des+guerres%22+anoblissant&source=bl&ots=MMP2elW623&sig=G_G2EIA3DmHKCCJUvNXo71nUvbs&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjA6YDorp_MAhXL6RQKHakWDakQ6AEIODAJ#v=onepage&q=%22contrôleurs%20des%20guerres%22%20anoblissant&f=false Borel d'Hauterive, ''Annuaire de la pairie et de la noblesse de France'', 1845, {{p.|291}}.]</ref> et le 8 juin en la Grande Chancellerie de France, les magistrats donnent officiellement leur agrément à cette vente. Une dispense lui a été octroyée. On peut présumer que Georges de Bologne a fait jouer à plein l’article 59 du Code Noir selon lequel « les affranchis ont les mêmes droits, privilèges et immunités dont jouissent les [[Gens de couleur libres|personnes nées libres]] ». Joseph de Saint-George conservera cette charge pendant onze années.
 
=== La décennie 1789 - 1799 ===
[[Fichier:The Duke of Orléans in 1785 by Joshua Reynolds (British Royal Collection).jpg|vignette|alt=tableau : Philippe d'Orléans|Philippe d'Orléans par Sir [[Joshua Reynolds]].]]
[[Fichier:Manuscrit déclaration des droits de l'homme et du citoyen.jpg|vignette|right|[[Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789|Déclaration des droits de l'homme et du citoyen]]. Assemblée nationale, 20, 21, 25 et 26 août 1789, sanctionné par [[Louis XVI]]<ref>Manuscrit. Estampe, Saint-Omer scripsit ; James sculpsit, {{Gallica|http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40251840j}}</ref>.]]
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Au début de la Révolution française, Saint-George séjourne en Angleterre. Revenu en France, il revient peu à peu aux fonctions militaires des débuts de sa vie active. D'abord enrôlé dans la [[Garde nationale (France)|Garde nationale (Révolution française)]] de Lille puis à la tête d'une légion qu'il a suscité, il va consacrer les dix dernières années de sa vie à la Révolution française et mettre en œuvre toutes les compétences qu'il a forgé précédemment.
 
==== Garde nationale à Lille ====
 
Installé à [[Lille]], Saint-George s’enrôle dans la [[Garde nationale (France)|Garde nationale]] avec le grade de [[Capitaine (France)|capitaine]]. Il est alors au service du duc d'Orléans qui l'envoie à [[Tournay]] aux environs du 13 juin 1791. Les émigrés l'obligent à quitter la ville<ref>Saint-George. An 1791. Est obligé, par les émigrés, de quitter la ville de Tournai, 173.'' {{ouvrage|année=1802|prénom1=Girardin|nom1=(''Libraire'')|titre=[http://books.google.fr/books?lpg=RA1-PA465&dq=Saint-Georges+Tournay+Moniteur+universel&pg=RA1-PA465&id=WtUTAAAAYAAJ&ots=d-VVS0wzpQ Révolution française, ou Analyse complette et impartiale du Moniteur] : suivie d'une table alphabétique des personnes et des choses, Tome second, L — Z : {{s-|XVIII|e}} : 1787-1799|lieu=Paris|éditeur=Publié par Girardin}}. Notice Bnf n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb305105255/PUBLIC FRBNF30510525]</ref>.
{{Citation bloc|Engagé dans quelques intrigues politiques au commencement de la révolution, par ses relations avec le Palais-Royal, Saint-George fut envoyé à [[Tournay|Tournai]], au mois de juin 1791, par le duc d'Orléans, sous prétexte d'y donner un concert, mais en réalité pour essayer de rattacher quelques émigrés aux intérêts du prince. Il ne réussit pas dans cette mission, et reçut même l'ordre de quitter la ville.|François-Joseph Fétis<ref name="Fétis1877SG">{{ouvrage|année=1864|prénom1=François-Joseph|nom1=Fétis|titre=[http://books.google.fr/books?id=LM09AAAAcAAJ&dq=Saint-George&lr&pg=PA12#v=onepage&q&f=false Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique], vol. 7 : {{sp-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1745-1864|lieu=Paris|éditeur=Firmin-Didot et C°}}. {{BNF|30432158r}}. {{Gallica|http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k697249.image.r=Saint-George.f373.langFR}}</ref>.}}
 
==== 1792-1793 : Légion franche des Américains ====
 
La [[monarchie]] étant abolie le 21 septembre 1792<ref>[[s:Procès-verbal de la proclamation de l’abolition de la royauté (dans Histoire parlementaire de la Révolution française)|La Convention nationale décrète que la royauté est abolie en France]].</ref>.
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Vendredi 17 mai 1793, les soldats de la [[Légion des Américains]] publient une ''{{Citation|Adresse à la Convention, à tous les Clubs et sociétés patriotiques pour les nègres détenus en esclavage dans les colonies françaises}}''. Une note à la fin du fascicule précise la date de l'adresse et le nom des rédacteurs : "Paris, le 17 mai 1793, l'an deuxième de la République Française. J. [[Labuissonniere]]. Narcisse, lieutenant des hussards américains. Hellot, ''idem''. [[Saint-George Milscent]]<ref>Né à Grande Rivière, Saint Domingue. Joseph Bologne de Saint-George est alors sous le coup d'une arrestation.</ref>, maréchal-des-logis. [[Lapais]], ''idem''. [[Ferant]], adjudant [et al.] Approuvé par tous les braves républicains"<ref name="AdresseLégionAméricains1793">{{ouvrage|année=17 mai 1793|prénom1=Soldats de la |nom1=Légion des Américains|titre=[url google Adresse à la Convention nationale, à tous les clubs et [[sociétés patriotiques]] pour les Nègres détenus en esclavage dans les colonies françaises de l'Amérique, sous le régime de la République], 15 pages : {{sp-|XVIII|e|-|XX|e}} : 1793-1968|lieu=Paris|éditeur=Imprimerie de [[Guillaume-François Galletti]]}}. {{BNF|}}, {{Gallica|Url}}. vol. 5 de [http://www.google.fr/search?tbs=bks:1&tbo=p&q=+bibliogroup:%22Traite+des+Noirs+et+esclavage%22&source=gbs_metadata_r&cad=3 Traite des Noirs et esclavage], EDHIS, 1968</ref>. ''Ce texte est un véritable manifeste en faveur de l'abolition immédiate de l'esclavage dans les colonies'' et propose un projet de société<ref>{{ouvrage|année=2000|prénom1=Laënnec|nom1=Hurbon|titre=[http://books.google.fr/books?id=-Qurbdl0IvEC&lpg=PA36&dq=Julien%20R%C3%A9mond%20Saint-Domingue&pg=PA25#v=onepage&q&f=false L'insurrection des esclaves de Saint-Domingue : 22-23 août 1791]: {{sp-|XVIII|e|-|XXI|e}} : 1793-2000|lieu=Paris|éditeur=Khartala}}. {{Bnf|371860985}}</ref>.
 
==== L'Affaire Dumouriez ====
 
L'affaire [[Charles-François Dumouriez|Dumouriez]] est l'un des plus complexes épisodes de la Révolution française. Elle se déroule à partir d'avril 1793, sous la [[Terreur (Révolution française)|Terreur]], et oppose le général [[Charles-François Dumouriez|Dumouriez]] à la Convention alors que Saint-George commande la place de Lille. L'enjeu est l'établissement d'une monarchie constitutionnelle, après la décapitation du roi Louis XVI. Mais Dumouriez a des intérêts personnels à défendre : la diplomatie ennemie lui propose le gouvernement de la Belgique. En défendant la ville de Lille contre les troupes envoyées par Dumouriez, Saint-George provoque l'échec des plans du général de l'[[Armée du Nord (Révolution française)|armée du Nord]]<ref>« Il (Dumouriez) envoya ordre au général Miaczinsky, qui était à Orchies, de se présenter avec sa division devant Lille, d'y entrer, de faire arrêter les commissaires de la convention et les principaux clubistes, et, dès que cela serait fait, de se rendre à Douai, d'en chasser le général Moreton, d'y faire reconnaître, ainsi qu'à Lille, le vœu unanime de l'armée pour la constitution, et de se rendre ensuite par Cambray à Péronne, où il devait prendre poste. Ce malheureux officier général ne connut pas assez l'importance de sa mission, la confia à tout le monde, entre autres au fameux mulâtre Saint-George, colonel d'un régiment de hussards, qui le trahit, l'attira dans Lille avec une très-petite escorte : dès qu'il fut entré, on ferma la porte sur lui, on l'arrêta, et il fut conduit à Paris, où il a été décapité: Cet infortuné Polonais avait, en 1770, été un des chefs de la confédération de Pologne, à l'époque où Dumouriez était chargé, par la cour de France, de la diriger. Il avait été pris par les Russes dans un combat ; il était ensuite venu réclamer des indemnités en France ; et le général n'ayant pas pu réussir à les lui faire obtenir, lui avait fait avoir le grade de maréchal de camp, la permission de lever un corps franc, et l'avait employé très-utilement à l'armée. »<br />{{ouvrage|année=1823|prénom1=Charles François|nom1=Du Périer Dumouriez|prénom2=Saint-Albin|nom2=Berville|prénom3=François|nom3=Barrière|titre=[http://books.google.fr/books?id=tb4WAAAAQAAJ&pg=PA139&dq=fameux+mulâtre+Saint-George,+colone La vie et les mémoires du général Dumouriez], Charles François Du Périer Dumouriez. vol. 4 of La vie et les mémoires du général Dumouriez: avec des notes et des éclaircissements historiques : {{s-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1739-1823|lieu=Paris|éditeur=Baudouin Frères, Collection des mémoires relatifs à la révolution française}}. Notice Bnf n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36283087t/PUBLIC FRBNF36283087].<br />Voir l'affaire Dumouriez dans l’ancien Moniteur {{ouvrage|année=1860|prénom1=Léonard-Charles-André-Gustave|nom1=Gallois, notes explicatives et édition scientifique|prénom2=Alexandre|nom2=Ray,tables et édition scientifique|titre=Réimpression de l’ancien Moniteur : seule histoire authentique et inaltérée de la révolution française depuis la réunion des États-généraux jusqu’au consulat (mai 1789-novembre 1799). Tome ? du lundi 1{{er}} avril 1793 au 30 juin 1793 (An 2 de la République française) : {{s-|XVIII|e}} : 1793|lieu=Paris|éditeur=Publié par H. Plon}}.<br />« Dumouriez vit alors qu'il n'avait plus de temps à perdre ; il fit partir à l'instant le général Miacsinski, avec sa division, pour aller prendre possession de Lille. Il espérait que le colonel Saint-George, qui commandait un régiment de la garnison, lui livrerait la place. Mais les représentants du peuple y étaient : le général fut arrêté, et la division qu'il commandait enlevée et dispersée. » {{ouvrage|année=1842|prénom1=Philippe|nom1=Le Bas|titre=[http://books.google.fr/books?pg=PA793&dq=Chevalier+de+Saint-George+duel&lr=&id=kxEsAAAAIAAJ#v=onepage&q=Chevalier%20de%20Saint-George%20duel&f=false L'Univers: histoire et description de tous les peuples], ''Dictionnaire encyclopédique de la France'', tome sixième : {{s-|XIX|e}} : 1836-1863|lieu=Paris|éditeur=F. Didot frères}}. Notice Bnf n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30758677s/PUBLIC FRBNF30758677]</ref>. Cette période est, avec toute la rigueur militaire de l'époque, la mieux renseignée de la vie de Saint-George. De très nombreux récits existent qui retracent les « événements de Lille » et leurs conséquences.
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{{Citation bloc|Durant la [[Terreur (Révolution française)|Terreur]], il fut arrêté et ne fut mis en liberté que le [[Chute de Robespierre|9 thermidor]]. Il rentra dans la vie privée et mourut à l'âge de cinquante quatre ans, le 12 juin 1799.|[[Louis Mortimer Ternaux]]<ref name="Ternaux"/>.}}
 
== 1793 ==
 
=== Décret relatif à la formation des légions. Adopté le 29 avril 1792 ===
 
1793 - {{bibliographie|Q25938185}}.
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toucheront pendant la durée de la présente guerre seulement, outre les appointemens du
 
=== Mercredi 6 mars 1793 ===
 
{{Citation bloc|Liege 1er mars Nous sommes désolés Maëstricht est assiégé on y fait un carillon d'enfer toutes les troupes des environs ont le bonheur de s'y montrer et nous qui espérions de nous signaler particulièrement pour prouver à la nation qui nous a reconnus pour François que nous l'étions aussi de fait par tous les sentimens qui caractérisent ce peuple nous sommes ici à répandre des larmes de rage à frapper de nos sabres nus sur les tables sans en pouvoir faire usage contre les ennemis de cette patrie qui nous a adoptés pour ses enfans. Nous en mangeons l'argent le fusil au crochet et les chevaux à l'écurie. Ce qui nous fend le cœur c'est que notre corps est d'une couleur à être remarquée nous nous faisions une fête d'entendre nos braves frères d'armes au sortir de la victoire nous embrasser en nous disant Vous êtes dignes de nous nous vous avons vus dans le chemin de la gloire Et point du tout. Notre colonel absent Hercule seroit-il donc aux pieds d'Omphale ? Des François armés contre les tyrans attendent à Liège leur colonel c'est en dire assez au brave Saint-Georges. NB Cette lettre est d un hussard du nord.|Bulletin des amis de la vérité. Publié par les directeurs de l'Imprimerie du Cercle social, N° 66, Mercredi 6 mars, l'an second de la République (1793), page 4<ref>{{Bibliographie|Q27158766}}, [https://books.google.fr/books?id=EiFhAAAAcAAJ&dq=Imprimerie%20du%20Cercle%20Social%20%2B%20Saint-George&hl=fr&pg=PA67-IA1#v=onepage&q=%20dire%20assez%20au%20brave%20Saint-Georges&f=true N° 66, page 3-4.]</ref>.}}
 
=== Dimanche 7 avril 1793 ===
 
{{Citation bloc|Me voici depuis hier matin , avec la division à laquelle j'étois attaché , hors de l'armée de Dumouriez, et sous les ordres du comité de sûreté et du commandant de Lille, et par conséquent de la Convention.<br />Depuis qu'il a levé le masque, Dumouriez a fait conduire Beurnonville et les commissaires à Tournay : c'est tout ce que nous savons ici , car la communication avec son armée est absolument rompue.<br />Voici comment je suis venu ici d'Orchies , avant-hier matin. Miazensky rccut une lettrc de Dumouriez , qui lui faisoit part de ses projets , et lui ordonnoit d'aller à Lille , s'emparer des députés qui pourroient s'y trouver. Il n'a communiqué cette lettre qu'à Saint-Georges , qui s'est trouvé là , et qui , partant tout de suite-, aura sûrement prévenu la municipalité de Lilie. Miazensky , sans consulter personne , est parti avec une parti dc sa division. Arrivé à la porte de Lille , il a été arrêté ct l'est encore. J'étois resté , avec l'autre partie de la division , à Orchies , pour la défense de la frontière. Je reçus, dans la journée , avec l' ordre , l'annonce d'une suspension d'armes avec les Autrichiens , ct , en mêmetenps , la nouvelle de l' arrestation des commissaires et des projets de Dumouriez. La nuit, je me suis rendu ici, d'après les ordres que je reçus le soir. Nous restons campés et cantonnés devant Lille , déterminés à la défense de la République , et faire la guerre à tous les tyrans.|Saint-George par E. Reynier, Bulletin des amis de la vérité<ref>{{Bibliographie|Q27158766}}, [https://books.google.fr/books?id=EiFhAAAAcAAJ&dq=Lille%20%2B%20Maison%20de%20l%E2%80%99Egalit%C3%A9%20%2B%20saint-George&hl=fr&pg=PA98#v=onepage&q&f=false N° 98, Dimanche 7 avril, l'an second de la République (1793), page 4.]</ref>.}}
 
=== 12 septembre 1793 ===
 
{{Citation bloc|— Dénonciation contre un particulier de la rue Neuve-de-l'Égalité<ref>Ancienne rue de Bourbon- Villeneuve, aujourd'hui [http://www.openstreetmap.org/#map=17/48.86860/2.34855 rue d'Abukir].</ref>, qui s'est engagé dans les armées de la République et est resté à Paris, gardant son uniforme et ses armes.<br />[...]<br />
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Les gens de la police n'étant pas tous également bien sûrs, il ne les faut pas charger indistinctement de la poursuite de cette affaire.|Paris pendant la Terreur ː Rapports des agents secrets du Ministre de l'intérieur, publiés pour la Société d'histoire contemporaine, Rapport de Soulet (F<sup>7</sup> 3688<sup>3</sup>)<ref>1910-1978 - {{Bibliographie|Q27166448}}, [https://archive.org/stream/parispendantlate01carouoft#page/84/mode/2up p. 84-85].</ref>}}
 
=== 22 septembre 1793 ===
[[Fichier:P1100952 Paris II rue Saint-Denis n°224 ancienne Maison des Dames de Saint-Chaumont rwk.JPG|100px|vignette|gauche|Ancienne Maison des Dames de Saint-Chaumont]]
 
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Au Jardin-Égalité, depuis le n°1 jusqu'au n° 9 ou 10, il y a un club d'aristocrates, et l'on y joue à des jeux prohibés.|Paris pendant la Terreur ː Rapports des agents secrets du Ministre de l'intérieur, publiés pour la Société d'histoire contemporaine, Rapport de Monic (F<sup>7</sup> 3688<sup>3</sup>)<ref>1910-1978 - {{Bibliographie|Q27166448}}, [https://archive.org/stream/parispendantlate01carouoft#page/168/mode/2up/search/fameux p. 168].</ref>}}
 
=== Affaire du Général Miaczinski ===
 
==== 28 décembre 1793 ====
<poem>
Jugement du 28 décembre 1793.
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</poem>
 
== 1794 ==
 
* 1794 - {{bibliographie|Q28168008}}, sur l'affiliations aux sociétés ou la question de la formation des partis politiques (?)
** 1870 - {{bibliographie|Q28168270}}. Cf. Discours de M. SILLERY sur les sociétés populaires et sur la lettre de M. La Fayette au Corps législatif, dans laquelle ce ... Copie de la lettre écrite par la Société des Amis de la liberté et de l' égalité au président de la Convention nationale (''préciser cette bibliographie'').
 
== 1795 ==
[[Fichier:Henri-Nicolas Van Gorp - La femme à la lorgnette.jpg|100 px|vignette|gauche|[[w:Henri-Nicolas Van Gorp|Henri-Nicolas Van Gorp]] - Femme à la lorgnette, mode & décors sous la Convention nationale, c.1795-avant 1819, Rouen, Musée des Beaux-Arts]]
[[w:1795|1795]]
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* [https://arts-lubies.blogspot.fr/2012/10/la-mode-feminine-vue-dans-la-peinture.html Voir les questions de l'émergence de la mode]
 
== 1799 ==
[[w:1799|1799]]
 
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{{Citation bloc|Le commissaire de police de la Section de [[w:Montreuil (Seine-Saint-Denis)|Montreuil]] est de permanence le duodi 22 prairial de l'an 7 — 10 juin 1799, au lieu de : 10 juin 1700. Voir l’article de Pierre Bardin : «[http://halleyjc.blog.lemonde.fr/2009/01/09/une-trouvaille-de-monsieur-pierre-bardin-sur-la-mort-du-chevalier-de-saint-georges/ 22 Prairial de l’an 7 (10 juin 1799)] ») lorsque, à huit heures du soir, il voit entrer quatre personnages à la mise soignée, qui viennent déposer une requête après avoir décliné leur identité.<br />Le premier à se présenter est le citoyen [[w:Jean-Pierre Gomard|Jean-Pierre Gomard]], professeur en fait d'armes, demeurant rue du Bout du Monde, {{numéro|18}}, Division de Brutus. Le second, le citoyen [[w:François Philibert Menissier|François Philibert Menissier]] fils, professeur en fait d'armes, demeurant [[w:Rue d'Aboukir|rue Neuve-Saint-Eustache]], {{numéro|12}}<ref>La [[w:Rue d'Aboukir|rue Neuve-Saint-Eustache]] se situe entre la [[w:rue Montmartre|rue Montmartre]] et la [[w:rue des Petits-Carreaux|rue des Petits-Carreaux]], Cf. [http://www.openstreetmap.org/#map=18/48.86739/2.34511 OpenStreetMap].</ref>, Division de Brutus, puis le chef d'escadron [[Charles François Talmet]], du {{9e}} régiment de hussards demeurant à Monceaux près Paris, canton de Clichy, enfin le citoyen [[Pierre Nicolas Beaugrand]], employé en retraite (il fut chef de bureau à l'Assemblée Nationale), demeurant à Paris rue Neuve des Petits Champs, {{numéro|16}}, Division de la Butte des Moulins.<br />Tous déclarent « que le citoyen Joseph Bologne dit Saint George, chef de brigade du treizième régiment de chasseurs à cheval, est décédé d'aujourd'hui à une heure de relevée, rue Boucherat {{numéro|13}}, division du Temple et enregistré à la municipalité du sixième arrondissement, son corps ayant été porté aujourd'hui dans une bière au Temple de la Liberté et de l'Égalité du huitième arrondissement. Comme les déclarants ont connu parfaitement le défunt, qu'ils étaient étroitement liés d'amitié avec lui, ils désirent exhumer le corps du dit défunt pour le mettre dans un cercueil de plomb. Ils se sont donc présentés devant nous à l'effet de pouvoir parvenir à remplir l'exécution de leurs sentiments, si toutefois rien n'est contraire au principe des lois, affirmant le tout pour être sincère et véritable et ont signé avec nous après lecture faite :<br />Gomard, Beaugrand, Talmet chef d'escadron, Menessier fils, Pillecat commissaire de police.<br />Une expédition sera faite et transmise à l'administration centrale et municipale à l'effet de statuer à cet égard ce que de droit"|Transcription du texte communiqué par Pierre Bardin<ref>Documents consultés : * Archives de la police, Aa 173. Section de Montreuil Procès-verbal des commissaires de police. * Mémoire de la [[Henriette Lucy Dillon|marquise de la Tour du Pin]]. Le temps retrouvé - Mercure de France - 1979. * Pierre Bardin [http://www.ghcaraibe.org/bul/ghc222/p5791.rtf A propos de Saint George]. Consulté le 2 août 2009. * Bill Zick, Africlassical.com, [http://halleyjc.blog.lemonde.fr/2009/05/01/saint-georges-death-exhumation-obituaries-sur-le-tres-beau-site-africlassica-de-bill-zick/ Le Chevalier de Saint-Georges (1745-1799)]. Afro-French Composer, Violinist & Conductor. France's Best Fencer & Colonel of Black Legion. Consulté le 29 août 2009 * [http://chevalierdesaintgeorges.homestead.com/Page1.html#41 42 Exhumation]. Consulté le 29 août 2009</ref>.</ref>}}
 
=== Le Journal de Paris du 14 juin 1799 (26 prairial an VII) ===
 
* {{Citation bloc|Une brève, parue dans le Journal de Paris du 26 prairial an VII (14 juin 1799), signale que "''Saint-Georges, célèbre par sa supériorité dans les armes, la danse, l'équitation, la musique, est mort à Paris, rue Boucherat, le 21 prairial, à l'âge de 60 ans''"|Citation de Luc Nemeth dans "''Un état-civil chargé d'enjeux : Saint-George, 1745-1799''"<ref>{{Bibliographie|Q28199453}}. Extrait du ''Journal de Paris'', 26 prairial an VII, 14 juin 1799, {{p.|1171}}. Une première recherche de cette citation sur le net le 28 avril 2010 n'avait pas donné de résultats autres que des liens pointant vers l'article de Luc Nemeth. Le résultat est identique à ce jour, 12 janvier 2017.</ref>.}}
 
=== The European Magazine, 1799 ===
 
* {{Citation bloc|At Paris, aged 60 years and upwards, the Chevalier St. George, celebrated for fencing and other bodily exercises.|Philological Society of London.- The European Magazine: And London Review, Death abroad, Volume 35, 1799,<ref>Philological Society of London.- The European Magazine : And London Review, Death abroad, Volume 35, 1799, [https://books.google.fr/books?id=_SYoAAAAYAAJ&hl=fr&pg=RA8-PT118#v=onepage&q&f=false page 431]</ref>}}
 
== 1810 - Georgette Ducrest.- Mémoires sur l'impératrice Joséphine ==
 
[[Fichier:Pauline Bonaparte.jpg|100px|vignette|gauche|[[w:François Joseph Kinson|François Joseph Kinson]].- Pauline Bonaparte, princesse Borghese, duchesse de Guastalla, 1808]]
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=== Michaud, Biographie universelle, ancienne et moderne, 1825 ===
 
{{Citation bloc|La journée du [[w:Chute de Robespierre|9 thermidor]] (27 juillet 1794), le rendit à la liberté. Saint-George ressentit alors les atteintes d'une maladie de [[w:vessie|vessie]] : mais, par suite de son insouciance habituelle, il y fit peu d'attention ; il cacha même un [[w:ulcère|ulcère]] qui était la source de son mal, et y succomba le 12 juin 1799, à l'âge de cinquante-quatre ans.|[[Joseph-François Michaud]], [[w:Louis-Gabriel Michaud|Louis Gabriel Michaud]].- Saint-George (Le chevalier de), 1825<ref>{{bibliographie|Q28225207}} dans {{bibliographie|Q28224887}}, 1825, [https://books.google.fr/books?id=VbIFAAAAQAAJ&dq=Biographie%20universelle%2C%20ancienne%20et%20moderne%20Saint-George&hl=fr&pg=PA579#v=onepage&q&f=false page 579].</ref>.}}
 
=== Le Magasin pittoresque, 1833 ===
 
* {{Citation bloc|12 juin 1799. — Mort du chevalier Saint-George. Outre son habileté extraordinaire dans tous les exercices du corps, et surtout dans l'escrime, il excellait dans la musique. Il a composé plusieurs partitions et plusieurs concertos. Lorsqu'on 1792 les Prussiens envahirent le sol de la France, Saint-George fit des prodiges de valeur à la tête d'un corps de cavalerie qu'il avait levé et conduit, en qualité de colonel, à l'armée du Nord. Il était mulâtre.|12 juin 1799. — Mort du chevalier Saint-George, Le Magasin pittoresque, 1833<ref>[https://books.google.fr/books?id=GQeK-bDYtfYC&dq=Chevalier%20de%20Saint-George%20%2B%20imitation%20%2B%20musique&hl=fr&pg=PA151#v=onepage&q&f=false page 151].</ref>.}}
 
=== Fétis, Biographie universelle, 1837 ===
 
{{Citation bloc|Privé de tous ses revenus par les événements politiques, il passa ses dernières années dans un état voisin de la misère. Un ulcère à la vessie le conduisit au tombeau le 12 juin 1799, à l'âge de cinquante-quatre ans.|François-Joseph Fétis.- Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, 1837<ref>{{bibliographie|Q28221253}}, 1837, [https://archive.org/stream/biographieuniver008ft#page/12/mode/2up/search/George page 12]</ref>}}
 
== 1807 ==
 
[[Fichier:Henry Moses, Joseph Collyer - End of Slave Trade, 1807.png|100px|vignette|gauche|Commémoration de l'Abolition de la traite esclavagiste, [[w:Abolition de l'esclavage au Royaume-Uni#Mobilisation parlementaire et interdiction de la traite (1807)|Parlement britannique, 1807]]]]
 
== 1819 ==
[[Fichier:Burney - Saint George, M De, a Greek gentleman, Rees's Cyclopaedia, Vol 31.png|100px|vignette|gauche|Burney.- Saint George, M. De, a Greek gentleman, Rees's Cyclopaedia, Vol 31, 1819]]
 
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{{Citation bloc|1837 - Jullien, qui fut le Musard de la fin du {{S|XVIII}}, conduisait un orchestre de bal d'une manière fort distinguée ; il partageait la vogue avec un mulâtre nommé Hullin.|Georges Touchard-Lafosse - 1837<ref>{{bibliographie|Q28239200}}, [https://books.google.fr/books?id=5i1IAQAAMAAJ&hl=fr&pg=PA309#v=onepage&q=Hullin&f=false page 309]</ref>}}
 
== 1840 ==
 
=== Roger de Beauvoir.- Le chevalier de Saint-Georges, œuvre créée en 1840 ===
 
==== Œuvre (1840) ====
 
[http://www.wikidata.org/entity/Q23541390 Le chevalier de Saint-Georges]
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{{bibliographie|Q29113372}}
 
==== Série (1840) ====
 
[http://www.wikidata.org/entity/Q29111757 Le chevalier de Saint-Georges]
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==== Edition (1840) ====
 
[http://www.wikidata.org/entity/Q23591344 Le chevalier de Saint-Georges]
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{{bibliographie|Q29113492}}
 
==== Adaptation théâtrale (1840) ====
 
[http://www.wikidata.org/entity/Q28123257 Le Chevalier de Saint-Georges, comédie mêlée de chant, en trois actes],
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{{bibliographie|Q28123257}}
 
==== Traduction en allemand (1840) ====
Edition
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{{bibliographie|Q23681251}}
 
==== Autres dates de publication (Edition) ====
 
'''1846''' - http://www.wikidata.org/entity/Q29113597Le chevalier de Saint-Georges
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{{bibliographie|Q23591937}}
 
==== Autres dates de publication (Livre) ====
 
'''1856'''
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{{bibliographie|Q29114047}}
 
== 1844 ==
 
* 1783-1844 - Duel au fleuret & blessures : [https://books.google.fr/books?id=JF855R26AbgC&dq=Duel%20%2B%20fleuret%20%2B%20blessures%20%2B%20Chevalier%20de%20Saint-George%20%2B%20Les%20Beaux-arts%20illustration%20des%20arts%20et%20de%20la%20litt%C3%A9rature&hl=fr&pg=PA3#v=onepage&q&f=false Un souvenir de Saint-Georges], Les Beaux-arts illustration des arts et de la littérature
** [http://publicdomainreview.org/2016/12/07/the-many-lives-of-the-medieval-wound-man/ The Many Lives of the Medieval Wound Man]
 
== 1845 ==
 
==== Georges Touchard-Lafosse.- Apparition du chevalier de Saint Georges, 1845 ====
 
{{Citation bloc|'''Apparition du chevalier de Saint Georges'''.- Il paraît depuis quelque temps dans le monde un mulâtre, nommé M. de Saint-Georges, dont les talents extraordinaires font beaucoup de bruit. C'est un homme grand, admirablement fait, et dont les traits, malgré leur teinte brune, ont de la noblesse, un certain charme, beaucoup d'expression surtout. On assure que les dames apprécient ce demi-nègre, moins parce qu’il excelle à monter à cheval, à tirer des armes, à jouer du violon et à patiner, que parce qu’il est doué, dit-on, d'une vertu herculéenne que notre sexe passe pour rechercher dans ces temps d'incontinence. M. de Saint-Georges, en qualité de virtuose, a été admis à faire de la musique avec la reine; il en fait cependant davantage avec madame de Montesson, M. le duc d'Orléans l'ayant attaché à sa maison en qualité d'[[s:Page:RogerDeBeauvoir-LeChevalierDeSaint-georgesEdition2V31840.djvu/121|officier des chasses]].<br />
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On se rappellera peut-être, car ces particularités frappent on ne sait trop pourquoi, que Monsieur se vanta très-haut, le lendemain de ses noces, d'avoir mérité une réputation pareille à celle que mon sexe accorde à M. de Saint-Georges. Depuis lors, l'opinion publique s'est inscrite en faux contre cette jactance, jusqu'au point de dire hautement que, dans les derniers temps encore, Madame se trouvait à peu près dans l'état de pureté où nous l'en•voya l'honnête monarque savoyard. On attribuait ce défaut de culture d'un terrain en apparence très-propre au rapport, à une cause plus foncièrement fâcheuse que celle qui retarda longtemps la postérité du roi ; cause à laquelle les postures de l'abbé ne pouvaient sans doute remédier. Tout à coup la nature a paru se révéler chez son altesse royale, du moins à en juger par sa conversation intime : ses courtisans assurent que les propos de ce prince sont très-vifs, très-amoureux, très-ardents. Madame affirme de son côté à ses dames que c’est une éloquence toute de phrases; et ce qui le prouverait un peu, c’est qu'on a démenti la grossesse de cette princesse, dont les flatteurs de son époux s'étaient plu à répandre le bruit.|Georges Touchard-Lafosse.- Chroniques pittoresques et critiques de l'Oeil de bœuf, Volume 4, G. Barba, 1845<ref>{{Bibliographie|Q28243565}}, 1845, Chapitre III, 1779-178O-1781], ''Apparition du chevalier de Saint Georges'', [https://books.google.fr/books?id=6TNySnWtZPQC&hl=fr&pg=PA392#v=onepageq&f=false page 392]</ref>.}}
 
== 1846 ==
 
{{Citation bloc|On the story, founded as it is on the well-known “Chevalier de St. Georges<ref>Il s'agit d'une adaptation de "{{bibliographie|Q28123257}} (1840)", tiré du [[d:Q23591344|roman éponyme]] de [[w:Roger de Beauvoir|Roger de Beauvoir]]</ref>,” rendered so popular by the fine acting of Lafont at the French Plays, it is unnecessary to dwell. The author has adhered closely to the original piece, only changing the …|The Illustrated London News - Volume 9 - Page 393<ref>[https://books.google.com/books?id=W9FCAQAAIAAJ The Illustrated London News] - Volume 9 - Page 393</ref>.}}
 
== 1852 ==
 
1852 - Voir : St. George ; The Chevalier St. George dans George Dubourg.- The Violin: Some Account of that Leading Instrument, 1852. L'ouvrage n'a pas d'entrée pour Saint-George compositeur, chef d'orchestre & musicien mais donne des "''Hints''", "''Anecdotes''" à son propos, en relation avec d'autres musiciens de son époque : [https://books.google.fr/books?id=7y0DAAAAQAAJ&hl=fr&pg=PA93#v=snippet&q=St.%20George&f=false St. George] ; [https://books.google.fr/books?id=7y0DAAAAQAAJ&hl=fr&pg=PA93#v=snippet&q=Saint-George&f=false Saint-George] ; [https://books.google.fr/books?id=7y0DAAAAQAAJ&hl=fr&pg=PA191#v=snippet&q=The%20Chevalier%20St.%20George&f=false The Chevalier St. George]<ref>{{bibliographie|Q28464762}}, 1852</ref>
 
== 1857 ==
{{Citation bloc|SAINT-GEORGES (N..., dit le chevalier de) était à la fin du siècle dernier l'un des amateurs les plus renommés dans l'art de l'escrime. Son teint basané révélait son origine; il était né à La Guadeloupe, des amours d'une mulâtresse libre avec '''M. Boillongne de Préminville''', riche colon. Le père et protecteur du jeune Georges, devenu fermier général, l'amena en France, lui donna une éducation distinguée, et le fit entrer, sous le nom pompeux de chevalier de Saint-Georges, dans les mousquetaires. À la suppression de ce corps, il devint écuyer de madame de Montesson et capitaine des gardes du duc de Chartres. Habile entre tous dans l'art de manier l'épée, Saint-Georges n'était pas un duelliste ; il eût été par trop dangereux d'avoir avec lui ce qu'on appelle une affaire d'honneur. Livré aux intrigues qui agitaient alors le Palais-Royal, ami intime des Biron (Lanzun), des Custines, des Sillery, il accompagna à Londres, en 1791, le duc d'Orléans dans son exil déguisé sons l’apparence d'une mission diplomatique. Là il eut, en présence du prince de Galles, un assaut d'armes célèbre avec le chevalier d'Éon de Beaumnont, et fut touché. À son retour, il trouva la société entièrement changée. Son art avait cessé d’être en honneur ; on ne se battait plus à l'épée, et le tir au pistolet n'avait pas encore acquis la vogue qu’il a de nos jours. Des salles d'armes Saint-Georges passa sur le terrain des combats véritables, et contribua à la défense de nos frontières. Il leva une espèce de corps franc, dont il se fit le colonel, et le conduisit à l'armée du nord, sous les ordres de Dumouriez. Après la défection de son général, il le dénonça, afin d’éviter les soupçons qui atteignirent un grand nombre de ses compagnons d'armes. Il n'en fut pas moins arrêté comme suspect, en 1794, et se vit à la veille de comparaître devant le terrible tribunal. ''Pare celte botte-là'', lui dit Fouquier-Tinville en lui remettant son acte d'accusation. Le 9 thermidor ayant lui peu de jours après, Saint-Georges fut mis en liberté sans jugement. Il mourut en 1801, dans une situation obscure, mais aisée.|William Duckett (Fils).- Dictionnaire de la conversation et de la lecture<ref>William Duckett (Fils).- [https://books.google.fr/books?id=eQo7AAAAcAAJ&dq=Le%20duc%20de%20Chartres%20nomme%20en%20ce%20jour%20M.%20le%20chevalier%20de%20Saint-Georges%20capitaine%20de%20ses%20chasses.&hl=fr&pg=PA677#v=onepage&q=Le%20duc%20de%20Chartres%20nomme%20en%20ce%20jour%20M.%20le%20chevalier%20de%20Saint-Georges%20capitaine%20de%20ses%20chasses.&f=false Dictionnaire de la conversation et de la lecture], Volume 15, 1857.</ref>}}
 
== 1859 ==
 
* 1859 {{Ouvrage
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}}
 
== 1871 ==
 
{{Citation bloc|Saint-George (Le chevalier de), né à la Guadeloupe, 1745-1799, mulâtre, fils de M. de Boulogne, fermier général fut élevé à Paris, entra dans les mousquetaires, devint capitaine des gardes du duc de Chartres et s'attacha à sa fortune. En 1792, il leva, comme colonel, un régiment de chasseurs à cheval, et combattit courageusement sous Dumouriez. Ses dernères années furent malheureuses. Il avait brillé dans le monde par son adresse incroyable dans tous les exercices du corps, par la vivacité de son esprit enjoué et par la bonté de son cœur. Habile musicien, il composa plusieurs opéras-comiques, ''Ernestine''. ''la Chasse'', ''la Fille-Garçon'', des sonates, des concertos, un menuet, qui eurent du succès.|Louis Grégoire.- Dictionnaire encyclopédique d'histoire, de biographie, de mythologie et de géographie, Garnier, 1871, page 1718<ref>Louis Grégoire.- Dictionnaire encyclopédique d'histoire, de biographie, de mythologie et de géographie, Garnier, 1871, [https://books.google.fr/books?id=_ethAAAAcAAJ&dq=Le%20duc%20de%20Chartres%20nomme%20en%20ce%20jour%20M.%20le%20chevalier%20de%20Saint-Georges%20capitaine%20de%20ses%20chasses.&hl=fr&pg=PA1718#v=onepage&q=Le%20duc%20de%20Chartres%20nomme%20en%20ce%20jour%20M.%20le%20chevalier%20de%20Saint-Georges%20capitaine%20de%20ses%20chasses.&f=false 1718]</ref>.}}
 
== 1875 ==
 
{{Citation bloc|''Pare cette botte-là'', lui dit [[w:Antoine Fouquier-Tinville|Fouquier-Tinville]] en lui remettant son acte d'accusation.|Dictionnaire de la conversation et de la lecture, Volume 15, 1875<ref>[https://books.google.fr/books?id=ZrMcAAAAMAAJ&dq=Boillongne%20de%20Pr%C3%A9minville&hl=fr&pg=PA677#v=onepage&q=Boillongne%20de%20Pr%C3%A9minville&f=false Dictionnaire de la conversation et de la lecture, Volume 15, 1875]</ref>.}}
 
== 1876 ==
 
* {{Citation bloc|De Saint-Georges (le chevalier), 1{{er}} violon des Concerts des Amateurs à Paris, mort à Paris le 12 juin 1799|Édouard-Georges-Jacques Gregoir.- Notice biographique sur François Joseph Gossé dit Gossec, 1876<ref>Citation de Saint-George parmi les élèves de François-Joseph Gossé dit Gossec, {{bibliographie|Q28217209}}, 1876, [https://books.google.fr/books?id=wG_NAAAAMAAJ&hl=fr&pg=RA2-PA259-IA2#v=onepage&q=Fran%C3%A7ois-Joseph%20Goss%C3%A9&f=false page 265], publié dans {{bibliographie|Q28216728}}, page [https://books.google.fr/books?id=wG_NAAAAMAAJ&dq=Journal%20de%20Paris%20%2B%20juin%201799%20%2B%20Saint-Georges&hl=fr&pg=RA2-PA314#v=onepage&q&f=false page 314]</ref>.}}
 
== 1895 ==
 
{{Citation bloc|1895 - Le mulâtre Julien, chef d'orchestre de bals et conduisant la musique aux réunions de Berthier|Mémoires du général bon Thiébault, 1895<ref>[https://books.google.fr/books?id=PfdKAQAAMAA Mémoires du général bon Thiébault]</ref>.}}
 
== 1907 ==
 
* {{Citation bloc|[[s:Page:Lara - Contribution de la Guadeloupe à la pensée française, 1936.djvu/314|1907]] - Parmi ces familles créoles dont l’histoire naturelle est un livre ouvert où chacun peut lire, il s’en trouve quelques-unes dont l’origine est entourée de mystère. Le chevalier de Saint-George est de ceux-là !|Mermeix (Gabriel Terrail) dans {{Bibliographie|Q19149609}}, 1936, [[s:Page:Lara - Contribution de la Guadeloupe à la pensée française, 1936.djvu/311|page 263]]}}
 
== 1919 ==
 
* Frederick H. Martens.-The Chevalier de Saint-George: Violinist, Jstor, January 1, 1919, [https://archive.org/details/jstor-737927 Internet Archive]
 
== 1967 ==
 
{{Citation bloc|1967 - ... (''en 1781'') : C'est le titre d'une contredanse publiée par Julien vers 1781 et dont la figure complète est ainsi composée : 1. ... 271) dit de lui : « ...le mulâtre Julien, chef d'orchestre des bals,... jouait la contredanse si merveilleusement qu'on lui demandait |Daniel Vidal.- Changements industriels et productivité: Crise et décentralisation à Reims, 1967, [https://books.google.fr/books?id=WC1bmwKf5uoC Page 163]}}
 
== 1975 ==
 
{{Citation bloc|Le nom de Saint-Georges ne figure pas dans l'état de la Maison des d'Orléans ; de plus, n'étant ... En fait, la charge de Capitaine des Gardes du Duc de Chartres était occupée par M. de Genlis... En fait, la charge de Capitaine des Gardes du Duc de Chartres était occupée par M. de Genlis. ... Saint-Georges fut nommé, par le Duc d'Orléans, Lieutenant des Chasses de Rinci ; il obitint cette charge qui lui rapportait honneur et profit, sans ... Ainsi, le Chevalier obtint, en avril 1779 — ou le {{1er}} mai de cette année — la place de Lieutenant des Chasses du Raincy ; cette place fut créée pour lui sur ...|Extraits de ''Bulletin de la Société d'histoire de la Guadeloupe''<ref>''[https://books.google.com/books?id=5cRrAAAAMAAJ Bulletin de la Société d'histoire de la Guadeloupe]''</ref>, 1975}}
 
== 1978 ==
 
{{Citation bloc|Mettez sur le front d'Othello la gaieté de don Juan, vous aurez le chevalier de Saint-Georges. Lafont a représenté ce personnage à désespérer Saint-Georges lui-même, s'il revenait en ce monde. Allez voir cette pièce, mais n'en lisez pas...| L'Artiste], 1978, page 199<ref>[https://books.google.com/books?id=4qZFAQAAMAAJ L'Artiste], 1978, page 199.</ref>.}}
 
== 1996 ==
 
* 1996 - {{bibliographie|Q28123839}}
 
== 2001 ==
 
* 2001 - {{Ouvrage
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}}
 
== 2006 ==
 
* {{Citation bloc|La surprise n'est pas mince de lire, le 25 avril 1780, qu'un « concerto de M. de Saint George sera joué par le violoniste Joseph ». ... Cet enfant est l'élève « du maître de musique Joseph César ». ... Un autre concerto du Chevalier sera interprété par un violoniste nommé Quieroly, dont nous ne savons rien, comme nous ne savons rien également d'un autre violoniste noir ... Dans le cas des trois musiciens cités, on ne peut croire à une simple imitation au regard des œuvres jouées.|Pierre Bardin.- [https://books.google.com/books?id=3j4jAQAAIAAJ Joseph de Saint George] - Page 126, 2006 - ‎Extraits}}
** {{Citation bloc|Signalons également Joseph César, symphoniste du roi de Pologne en 1764, peut-être aussi parent de Jean-Baptiste César (2). Celui-ci, ordonné prêtre en 1775, fut d'abord maître de musique de la Cathédrale de Dijon, du 1er janvier 1776|Société historique et archéologique de Langres.- [https://books.google.com/books?id=tFwSAAAAIAAJ Bulletin - Volume 11 - Page 272], 1935 - ‎Extraits}}
 
== 2007 ==
 
* 2007 - {{bibliographie|Q28216169}}
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* {{Citation bloc|2007 - ‎Le chevalier de Saint-George était un personnage aussi flamboyant que le chevalier d'Éon. Mulâtre, fils d'un planteur à la Guadeloupe, qui était aussi conseiller au Parlement de Metz<ref>Il s'agit très probablement de [[w:Pierre de Bologne|Pierre de Bologne}}.</ref>, et d'une esclave noire, il était à la fois bretteur renommé, musicien et compositeur. (...) French painter and engraver active in England when this event took place, Robineau also executed a portrait of the Prince of Wales.|{{Bibliographie|Q28373671}}<ref>Christine Rolland.- Lire en ligne : [https://books.google.fr/books?id=WbxnAAAAMAAJ&q=The+Chevalier+St.+George+%2B+Prince+of+Wales%27s+%2B+Guadeloupe&dq=The+Chevalier+St.+George+%2B+Prince+of+Wales%27s+%2B+Guadeloupe&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj0lrSgu8nRAhWFfxoKHY5XCEIQ6AEIMDAA Le Chevalier d'Eon, secrets et lumières : catalogue de l'exposition].</ref>.}}
 
== 2008 ==
 
* Gérard Lafleur, Jean-Claude Halley, Gérard Lafleur évoque le milieu dont est issu Le chevalier de Saint-George, Manifestation de la Distillerie Bologne !, [http://halleyjc.blog.lemonde.fr/2008/02/19/gerard-lafleur-evoque-le-milieu-dont-est-issu-le-chevalier-de-saint-george/ Halleyjc.blog], 19 février 2008.
 
 
== 2015 ==
 
* 2015 - {{bibliographie|Q28530735}}. [https://books.google.fr/books?id=AXbmBgAAQBAJ&lpg=PP1&hl=fr&pg=PP1#v=onepage&q=Saint-George&f=false Trois occurrences à propos de Saint-George].
 
== Sans date ==
 
* [[d:Q28008300|S.d.]] - {{bibliographie|Q28008300}}
 
== 2005 - Luc Nemeth, Etat-civil de Saint-George ==
 
 
{{Citation bloc|Abstract : Le caractère lacunaire des archives anciennes de la commune du Baillif (Guadeloupe) et la naissance illégitime de Saint-George, enfant naturel d'une esclave, expliquent en partie le flou qui a pu entourer l'état-civil de celui-ci : trois dates de naissance différentes ont pu lui être attribuées, non sans quelque bien-fondé pour chacune. Mais, en ce qui concerne les paternités qui ont été successivement mises en avant - et sans jamais de preuve à l'appui : il s'agissait au départ, pour une société incapable de concevoir qu'un mulâtre aît pu avoir du talent, d'en faire malgré lui le fils d'un aristocrate. Ce type de motivation n'a plus cours, en principe, et le vrai père est connu depuis 1972 ; mais on assiste encore à des tentatives pour brouiller les cartes.|{{bibliographie|Q28199453}}, 2005.}}
 
=== 2005 - Christine Rolland, Saint-George, fils de Pierre de Bologne ===
[[Fichier:Bologne, Nogan en Champagne.jpg|100px|vignette|gauche|Les Capizucchi-Bologne maintenu dans la noblesse, 11 février 1767]]
 
{{Citation bloc|‎Le chevalier de Saint-George était un personnage aussi flamboyant que le chevalier d'Éon. Mulâtre, fils d'un planteur à la Guadeloupe, qui était aussi conseiller au Parlement de Metz<ref>Il s'agit très probablement de [[w:Pierre de Bologne|Pierre de Bologne}}.</ref>, et d'une esclave noire, il était à la fois bretteur renommé, musicien et compositeur.|{{Bibliographie|Q28373671}}, 2007<ref>Christine Rolland.- Lire en ligne : [https://books.google.fr/books?id=WbxnAAAAMAAJ&q=The+Chevalier+St.+George+%2B+Prince+of+Wales%27s+%2B+Guadeloupe&dq=The+Chevalier+St.+George+%2B+Prince+of+Wales%27s+%2B+Guadeloupe&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj0lrSgu8nRAhWFfxoKHY5XCEIQ6AEIMDAA Le Chevalier d'Eon, secrets et lumières : catalogue de l'exposition].</ref>.}}
 
=== 2007 - Biographie de Gabriel Banat ===
 
 
* 2007 - {{bibliographie|Q28216169}}
 
== Contemporains de Saint-George à Gratien Candace [décembre 1735 - 1809 - 11 avril 1953] ==
 
* 1747-1814 - [[d:Q2853470|Desmaillot Antoine François Eve]], ''Antoine-François Ève'' dit Desmaillot
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|}
 
== Sociabilité de Saint-George ==
 
=== Culture & Education ===
 
=== Américanité de Saint-George ===
 
==== Statistiques avec Google Books Ngram Viewer ====
 
* [https://books.google.com/ngrams/graph?content=Nouveau+Monde%2CAm%C3%A9rique%2CAntilles%2CGuadeloupe%2CSaint-Domingue%2CMartinique%2CAm%C3%A9ricain%2CAntillais%2CCr%C3%A9ole%2CAm%C3%A9ricanit%C3%A9&year_start=1500&year_end=2008&corpus=19&smoothing=3&share=&direct_url=t1%3B%2CNouveau%20Monde%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CAm%C3%A9rique%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CAntilles%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CGuadeloupe%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CSaint%20-%20Domingue%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CMartinique%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CAm%C3%A9ricain%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CAntillais%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CCr%C3%A9ole%3B%2Cc0%3B.t1%3B%2CAm%C3%A9ricanit%C3%A9%3B%2Cc0 French, (Nouveau Monde,Amérique,Antilles,Guadeloupe,Saint-Domingue,Martinique,Américain,Antillais,Créole,Américanité), 1500-2008]
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* [[w:ht:Antiyanite|Antiyanite (Antillanité)]] ; [[w:Antillanité|Antillanité]], [https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Sp%C3%A9cial:Recherche&search=Antillanit%C3%A9&searchToken=4my91q1r5n378qvp3t3knrhw6 (Créer la page ?)]
 
==== Bibliographie (Culture & Education) ====
 
2003 - {{bibliographie|Q28609483}} Américanité
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* 1751-2005 - {{bibliographie|Q28113323}}
 
=== Les loges maçonniques ===
 
==== Loge du Contrat social ====
 
{{Citation bloc|The oldest of these was La Loge du Contrat social de st. Jean d'ecosse ... Charles Pierre-Paul, Marquis de savalette de Langes, founded this lodge in 1771|Loge du Contrat social dans {{bibliographie|Q27781200}}, 2014<ref>{{bibliographie|Q27781200}}, 2014, [https://books.google.fr/books?id=X9eUBwAAQBAJ&lpg=PA17&dq=Charles-Pierre-Paul%20Savalette%20de%20Langes%20%2B%20Chevalier%20de%20Saint-George&hl=fr&pg=PA17#v=onepage&q&f=false page 17]</ref>}}.
 
==== La Loge Olympique ====
 
"''La réforme opérée par [[w:Christoph Willibald Gluck|Gluck]] et [[w:Niccolò Vito Piccinni|Piccini]] dans la musique française vint heureusement porter remède à cet état précaire. Des œuvres plus larges, plus vraies, mieux senties, remplacèrent les pâles compositions qui avaient précédé. Des praticiens habiles se formaient de toutes parts à l'école du style sévère et des combinaisons savantes de [[w:Christoph Willibald Gluck|Gluck]]. Le [[w:Concert Spirituel|concert spirituel]] qui était alors sous la direction de '''Le Gros''', profita de toutes ces innovations, s’enrichit de tous ces progrès ; son répertoire devint plus varié, son orchestre se montra plus nombreux et plus fort ; et pour que la réforme fût entière, on améliora jusqu'aux dispositions matérielles du local : des loges furent construites, des décorations élégantes se dessinèrent, en honneur de la musique qui s'était faite plus riche et plus belle. Le concert spirituel occupait par autorisation de Louis XVI, l’emplacement où se trouve aujourd’hui la salle de spectacle aux [[w:Palais des Tuileries|Tuileries]], lorsqu’il termina vers [[w:1791|1791]] la première phase de son existence.''
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''Comme on peut le penser, le concert spirituel, une fois sa vogue déclarée n’avait pas été long-temps sans provoquer les imitations. Toute heureuse entreprise fait naître infailliblement des entreprises rivales qui visent au même succès. Ainsi, le [[w:Concert des Amateurs|concert des amateurs]] fondé en [[w:1775|1775]]<ref>"Le Concert des Amateurs est une société d’organisation de concerts musicaux en France, créée en 1769 et disparue en 1781", [[w:Concert des Amateurs|fr.Wikipédia]].</ref> à l’[[w:Hôtel de Soubise|hôtel de Soubise]], par le fermier-général de La Haye<ref>[https://books.google.fr/books?id=nkFJAAAAcAAJ&lpg=PA224&ots=YoOPK3VDVQ&dq=Charles%20Marin%20de%20La%20Haye%20des%20Fosses&hl=fr&pg=PA225#v=onepage&q=Charles%20Marin%20de%20La%20Haye%20des%20Fosses&f=false Charles Marin de La Haye] des Fosses, Ecuyer, l’un des Fermiers Généraux de S. M. depuis 1761, né le 4 mai 1736, épousa le 3 décembre 1755 Demoiselle Marie-Adélaïde-Victoire Bouret, fille d’Etienne-Michel Bouret, Ecuyer, aussi l’un des Fermiers Généraux de S. M. Administrateur Général des Postes de France, & de Dame Marie-Thérèze Tellès-Dacosta ; & de ce mariage il a deux enfans, qui suivent.<br />Etienne-marie de la Haye, Ecuyer, naquit le 11 août 1757.<br />Antoine-philippe de la Haye, Ecuyer, naquit le 3 août 1763.<br />Cf biographie contradictoire ''La Bibliothèque de [http://histoire-bibliophilie.blogspot.fr/2013/07/la-bibliotheque-de-lhotel-lambert.html l’hôtel Lambert]'' "En 1745, Marin de La Haye en était le propriétaire".<br />Vu & vérifié par Nous Chevalier, Conseiller du Roy en ses Conseils, Juge d’Armes de la Noblesse de France.</ref> ; plus lard, le [[w: Concert de la Loge Olympique|concert de la loge olympique]], puis encore le [[w:Théâtre Feydeau|concert Feydeau]] et celui de la rue de Cléry, qui attirèrent la foule en 1796 et 1802, ne furent que des modifications plus ou moins diverses du concert spirituel. Chacun de ces concerts eut d’ailleurs ses succès propres, ses jours heureux, ses résolutions habiles et son public de prédilection. Ce fut au concert des amateurs, dirigé par le vénérable [[w:François-Joseph Gossec|Gossec]]<ref>François-Joseph Gossec dirige le concert des amateurs de 1769-1773</ref>, qu'on entendit pour la première fois, les symphonies avec instruirions a vent de Toelski, de Vanhœll, de [[w:Anton Stamitz|Stamitz]] et enfin de Gossec lui-même qui introduisit dans ce genre de musique le brillant style précurseur de Haydn. Le concert de la loge olympique se distingua par un rare mérite d’exécution; le violon y brillait du plus vif éclat dans les mains de [[w:Giovanni Battista Viotti|Viotti]], Mestrino, [[w:Pierre Lahoussaye|Lahoussaye]], Gervais, Berthaume, Fodor, Jarnowik, Guenin et Blasius; le violoncelle s'honorait des deux Duport, des deux Icanson, des deux Levasseur et de l’anglais Crosdill. Parmi les instrumens à vent : [[w:Jean-Joseph Rodolphe|Rodolphe]]<ref>[https://books.google.fr/books?id=jGg5AQAAMAAJ&dq=Le%20Gros%20%2B%20Concert%20spirituel&hl=fr&pg=PA228#v=onepage&q=Le%20Gros&f=false Jean-Joseph Rodolphe] in Alexandre Choron, François Joseph Marie Fayolle Dictionnaire historique des musiciens, artistes et amateurs</ref> pour le cor, Raull et Hugot pour la flûte, Sahntin pour le haut-bois, Ozi et Devienne pour le basson, couronnaient cet ensemble merveilleux de talens du premier ordre. Les symphonies de Haydn qui avaient été apportées pour la première fois en France par le violoniste polonais Fonteski, furent exécutées dans leur véritable esprit, au concert de la loge olympique, grâce à tous ces ingénieux et habiles interprètes qui rivalisaient de mérite autant que de zèle. Haydn composa même expressément pour cette société de musiciens quelques-unes de ses symphonies qui, dans les premières éditions, portent le titre de répertoire de la loge olympique".''<ref>Le monde dramatique, Volume 6, Gregoire, 1838 ([https://books.google.fr/books?id=VnE9AAAAYAAJ&dq=Haydn%20%2B%20Concert%20Olympique&hl=fr&pg=PA307#v=onepage&q=Haydn%20+%20Concert%20Olympique&f=false 1] - [https://ahrf.revues.org/2083 2]</ref>.
 
=== Bibliographie (Contemporains de Saint-George [1735 - 1809]) ===
 
* 1782 - {{bibliographie|Q3237022}}
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* 2015 - {{bibliographie|Q27780714}}
 
== Les figures du Chevalier de Saint-George dans l'œuvre de Alexandre Dumas ==
[[Fichier:Maison Dumas Château de Monte-Cristo 01.jpg|100 px|vignette|gauche|Le château de Monte-Cristo, Maison de Alexandre Dumas, père]]
 
En 1849, un an après l'abolition de l'esclavage colonial par le [[w:Décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848|décret du 27 avril 1848]], alors que Dumas publie ''Le Collier de la Reine'', récit de la défaite de la famille royale et de la monarchie française, et ''Les mille et un fantômes'', il doit livrer le [[w:Château de Monte-Cristo|château de Monte-Cristo]] aux enchères. Il est poursuivi pour dettes et le Théâtre Historique fait faillite. Or, perdre ses biens, être poursuivi pour dettes est la situation personnelle qui conduit presque inexorablement à la condition d'esclave. Dumas n'a pas une activité de premier plan dans le mouvement pour l’abolition de l'esclavage mais, dans sa vie personnelle il joue sa tête et sa liberté tout comme les principaux personnages dans ''[[w:Le Collier de la reine|Le Collier de la Reine]]''.
 
=== Bibliographie (Les figures du Chevalier de Saint-George dans l'œuvre de Alexandre Dumas) ===
 
* 1849 - {{Bibliographie|Q28019119}}
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** 1873 - {{bibliographie|Q28019732}}
 
== Bibliographie à propos de Saint-George ==
 
==== Joseph Bologne de Saint-George (Œuvres) ====
 
* Bnf Gallica [http://cataloguelabs.bnf.fr/changerPageAdv.do?mots0=ALL%3B-1%3B0%3BSaint-Georges%2C+Joseph+Boulogne&mots1=&mots2=&mots3=&mots4=&faclocs=&facDocs=&facNots=&facSpec=&typoCarto=&typoIcono=&typoAudio=&typoMus=&langue0=LAN%3B-1&langue1=LAN%3B0&datepub=&corpus=&index=&numNotice=&listeAffinages=&nbResultParPage=10&afficheRegroup=false&affinageActif=false&pageEnCours=1&nbPage=12&trouveDansFiltre=&triResultParPage=5&critereRecherche=&pageRech=rav Saint-Georges, Joseph Boulogne]
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* 1998 - {{bibliographie|Q27554049}}
 
=== Joseph Bologne de Saint-George ===
[[Fichier:Monsieur de St-George.jpg|100px|vignette|gauche]]
 
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[[w:en:Chevalier de Saint-Georges|Joseph Bologne, Chevalier de Saint-Georges]] "''also Saint-George and Joseph Boulogne''", (25 Décember 1745 – 10 June 1799) est donné comme membre de la [[w:en:Society of the Friends of the Blacks|Society of the Friends of the Blacks]] sur en.Wikipedia.
 
==== Étymologie du prénom de Joseph ====
[[Fichier:Joseph sold into slavery and taken to Egypt, Getty edu1.png|100px|vignette|gauche|Anonyme.- [[w:Joseph (fils de Jacob)|Joseph, fils de Jacob]] vendu en esclavage et emmené en Égypte, {{s|XVII}}.]]
[[Fichier:José y la mujer de putifar de Antonio María Esquivel.JPG|100px|vignette|gauche|Joseph et la femme de Potifar, tableau d'[[w:Antonio María Esquivel|Antonio María Esquivel]], 1854.]]
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[[w:Joseph (fils de Jacob)#Étymologie du nom de Joseph|Étymologie du prénom "Joseph"]]
 
=== Les métiers de Joseph Bologne de Saint-George ===
(Ordre aphabétique)
 
==== Joseph Bologne de Saint-George, garde-chasse ====
 
* [http://theses.enc.sorbonne.fr/2015/pinoteau Henri Pinoteau.- Thèse] : [http://www.enc-sorbonne.fr/fr/positions-these/chasses-royales-louis-xvi-leur-sort-durant-revolution-splendeur-ruine-du-monde Les chasses royales sous Louis XVI et leur sort durant la Révolution : splendeur et ruine du monde des plaisirs de Sa Majesté (1774-1799)], Date de soutenance : 2015.
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la vulgarité des siennes, et de la conformité de leurs deux âges...|Roger de Beauvoir.- Le Chevalier de Saint-Georges, 1840, [[s:Page:RogerDeBeauvoir-LeChevalierDeSaint-georgesEdition2V31840.djvu/106|page 98]].}}
 
==== Joseph Bologne de Saint-George, sportif ====
 
==== L'escrime au fleuret ====
 
* 1906 - {{bibliographie|Q28020605}}
 
==== Patinage artistique ====
 
Alexandre Dumas met en scène Saint-George dans La pièce d’eau des Suisses, chap. IX, du Collier de la Reine<ref>{{Bibliographie|Q28019119}}, 1849, [https://books.google.fr/books?id=e8ULAAAAIAAJ&hl=fr&pg=PA55#v=onepage&q=La%20pi%C3%A8ce%20d'eau%20des%20Suisses&f=false page 55]. Le Collier de la Reine appartient à la série "Mémoires d’un médecin". Romans de la série : Joseph Balsamo, Le collier de la reine, Ange Pitou, La comtesse de Charny </ref>, publié en 1849 : « ''Parfois un cri d’admiration part du milieu de l’assemblée. C’est que Saint-Georges, le hardi patineur, vient d’exécuter un cercle, si parfait, qu’un géomètre en le mesurant n’y trouverait pas un défaut sensible''. »
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{{Citation bloc|Saint-Georges, le roi des gymnastes, Saint-Georges, l’élégant mulâtre, l’homme à la mode, l’homme supérieur dans tous les exercices du corps, Saint-Georges devina un rival dans ce jeune homme qui osait se lancer près de lui dans la carrière.<br />Aussi se mit-il aussitôt à voltiger autour du traîneau de la reine avec des révérences si respectueuses, si pleines de charme, que jamais courtisan solide sur le parquet de Versailles n’en avait exécuté de plus séduisantes ; il décrivait autour du traîneau les cercles les plus rapides et les plus justes, l’enlaçant par une suite d’anneaux merveilleusement soudés l’un à l’autre, de sorte que sa courbe nouvelle prévenait toujours l’arrivée du traîneau, lequel le laissait derrière ; après quoi, d’un coup de patin vigoureux, il regagnait par l’ellipse tout ce qu’il avait perdu d’avance.<br />Nul, pas même avec le regard, ne pouvait suivre cette manœuvre sans être étourdi, ébloui, émerveillé.|1849 - {{Bibliographie|Q28019119}}<br />1873 - {{bibliographie|Q28019732}}<ref>Alexandre Dumas.- Le Collier de la Reine, [https://books.google.fr/books?id=e8ULAAAAIAAJ&hl=fr&pg=PA55#v=onepage&q&f=false La pièce d'eau des Suisses, 1849], page 55 & , [https://archive.org/stream/lecollierdelare03dumagoog#page/n154/mode/2up/search/glauque La pièce d'eau des Suisses, page 155]. Ebooks gratuits : {{Bibliographie|Q28018929}}, 1965, p. 293] ; [https://www.ebooksgratuits.com/html/dumas_collier_reine_1.html#_Toc121644589 La pièce d'eau des Suisses]</ref>.}}
 
===== Le patinage au tournant du {{S|XVIII}} =====
 
Images extraites de {{bibliographie|Q28023154}}, 1813, [http://publicdomainreview.org/collections/engravings-from-a-french-ice-skating-manual-1813/ Informations sur l’ouvrage]
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</div>
 
==== Joseph Bologne de Saint-George (ouvrages à propos de) ====
 
Cf. [[Utilisateur:Ambre Troizat/Ouvrages à propos de Saint-George|Ouvrages à propos de Saint-George]]
 
== Violons & Violonistes afridescendants, 1750-1950 ==
 
=== Les Violons, le Violon ===
 
* [http://oberlin.edu/library/cons/special/goodkind.html Violin Society of America / H. K. Goodkind Collection, 1659-1996]
 
=== Violonistes afridescendants ===
 
==== José Silvestre White (1835-1918) ====
[[Fichier:José White 1856.jpg|100px|vignette|gauche|José Silvestre White (1835-1918)]]
 
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* 2016 - {{bibliographie|Q28318883}}
 
=== Achives à propos de Joseph Bologne dit Chevalier de Saint-George ===
 
* 1748 - {{bibliographie|Q19223131}}
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=== Biographie de Joseph Bologne dit Chevalier de Saint-George ===
 
* 1996 - {{bibliographie|Q28123881}}
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* 1972 - {{Bibliographie|Q28322653}}
 
=== Bibliographie (Famille & liens de parenté) ===
 
* 1830 - {{bibliographie|Q28020542}}
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* 2005 - {{bibliographie|Q28199453}}
 
=== Bibliographie (Joseph Bologne de Saint-George, Sportif) ===
 
* 1813 - {{bibliographie|Q28023154}}, [http://publicdomainreview.org/collections/engravings-from-a-french-ice-skating-manual-1813/ Informations sur l’ouvrage]
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* 1921 - {{bibliographie|Q28018752}}
 
=== Bibliographie (Saint-George entrepreneur de spectacles) ===
 
* 1884 - {{bibliographie|Q28192936}}
 
=== Bibliographie (Chevalerie de Saint-George) ===
 
* 1878 - {{bibliographie|Q27996719}}
 
=== Bibliographie (Cavalerie) ===
 
* 1874 - {{bibliographie|Q20165012}}
 
=== Bibliographie (Musicologie) ===
 
* 1852 - {{bibliographie|Q28464762}}
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* 2005 - {{bibliographie|Q28170310}}
 
==== Les arts d'imitation ====
 
* 1992 - {{bibliographie|Q28192517}}. "''[https://books.google.fr/books?id=na4wzzb7wLUC&lpg=PA20&dq=musique%20%2B%20imitation%20du%20r%C3%A9el&hl=fr&pg=PA20#v=onepage&q=musique%20+%20imitation%20du%20r%C3%A9el&f=false ... tous les efforts de Grétry ont consisté précisément à écrire une musique qui donne l'impression d'être une imatation du réel''.]"
* 1992 - {{bibliographie|Q28192767}}
 
==== La partie de chasse d'Henri IV ====
 
<div style="text-align: center;">
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* 1907 - {{bibliographie|Q28361348}}
 
=== Biographie de Joseph Bologne dit Chevalier de Saint-George ===
 
* 1996 - {{bibliographie|Q28123881}}
* 1996 - {{bibliographie|Q28123839}}
 
=== Bibliographie (Famille & liens de parenté) ===
 
* 1830 - {{bibliographie|Q28020542}}
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* 2005 - {{bibliographie|Q28199453}}
 
=== Bibliographie (Joseph Bologne de Saint-George, Sportif) ===
 
* 1813 - {{bibliographie|Q28023154}}, [http://publicdomainreview.org/collections/engravings-from-a-french-ice-skating-manual-1813/ Informations sur l’ouvrage]
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* 1921 - {{bibliographie|Q28018752}}
 
=== Bibliographie (Saint-George entrepreneur de spectacles) ===
 
* 1884 - {{bibliographie|Q28192936}}
 
=== Bibliographie (Chevalerie de Saint-George) ===
 
* 1878 - {{bibliographie|Q27996719}}
 
=== Bibliographie (Cavalerie) ===
 
* 1874 - {{bibliographie|Q20165012}}
 
=== Bibliographie (Musicologie) ===
 
* 1868-1873-1878 - {{bibliographie|Q27950242}}
* 2005 - {{bibliographie|Q28170310}}
 
==== Les arts d'imitation ====
 
* 1992 - {{bibliographie|Q28192517}}. "''[https://books.google.fr/books?id=na4wzzb7wLUC&lpg=PA20&dq=musique%20%2B%20imitation%20du%20r%C3%A9el&hl=fr&pg=PA20#v=onepage&q=musique%20+%20imitation%20du%20r%C3%A9el&f=false ... tous les efforts de Grétry ont consisté précisément à écrire une musique qui donne l'impression d'être une imatation du réel''.]"
* 1992 - {{bibliographie|Q28192767}}
 
==== La partie de chasse d'Henri IV ====
 
<div style="text-align: center;">
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* 1826 - {{bibliographie|Q28197973}}
 
=== Bibliographie (Franc-maçonnerie) ===
 
* 1975-2016 - {{Bibliographie|Q28113128}}
* 1997-1998 - {{bibliographie|Q28109022}}
 
=== Bibliographie (Fictions d'après la vie de Saint-George) ===
 
* 1840 - {{Bibliographie|Q23591344}}
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* W. L. Wesché, Wilhelm Ludwig.- [https://books.google.fr/books?id=COtSAAAAcAAJ&dq=W.%20L.%20Wesch%C3%A9%20%2B%20Wilhelm%20Ludwig%20%2B%20Der%20Chevalier%20von%20Saint-Georges&hl=fr&pg=PA670#v=onepage&q=W.%20L.%20Wesch%C3%A9%20+%20Wilhelm%20Ludwig%20+%20Der%20Chevalier%20von%20Saint-Georges&f=false Der Chevalier von Saint-Georges, traduction du français]
 
== Liste des œuvres de Joseph Bologne de Saint-George ==
 
* 2015 - {{bibliographie|Q28143744}}
 
== Discographie ==
 
[[d:Q28126249|1998]] - {{Bibliographie|Q28126249}}
 
== Références ==
{{Références}}