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[[Fichier:Clabecq JPG01.jpg|thumb|250px|Coulée de Haut-Fourneau]]
Depuis 1935, Kervran reçoit des dossiers d'intoxications mortelles par l'oxyde de carbone chez des soudeurs mais rien ne permettait de voir d'où était venu cet oxyde de carbone.<ref name="Decouverte" >Louis Corentin Kervran, A la découverte des transmutations biologiques, une explication des phénomènes biologiques aberrants, Guy Tredaniel Edition - Le Courrier du Livre, Paris, 1966, 18 cm, 192 p, ISBN 2-7039-0096-8, p 34-42</ref>.
 
En 1955, Kervran reçoit trois nouveaux dossiers d'accidents mortels dont les rapports d'autopsies montraient des intoxications au monoxyde de carbone. Ces cas se produisent lorsque des ouvriers sont exposés à du métal incandescent (hauts-fourneaux, fondeurs, soudeurs à l'arc ou au chalumeau …).
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[[Fichier:S_cerevisiae_under_DIC_microscopy.jpg|thumb|250px|Levure Saccharomyces cerevisiae]]
 
Hisatoki Komaki,<ref name="Komaki" >Hisatoki Komaki, Chef du laboratoire de Microbiologie appliquée de la Faculté des Sciences de la Nutrition de l'Université Mukogawa, à Nishinomiya, 1500 élèves en 1963</ref>, a d’abord voulu vérifier un des résultats de Louis Kervran, puis a développé ses propres expérimentations avec ses élèves.<ref name="KomakiEN" >{{en}} Prof Dr. Hisatoki Komaki, [http://www.papimi.gr/komaki.htm An Approch to the Probable Mecanism of the Non-Radioactive Biological Cold Fusion Or So-Called Kervran Effect (Part 2)], The Biological and Agricultural Research Institute, 2-6-18 Sakamoto, Otsu, Chigaken, Japan, after 1992</ref>.
 
Une première série d'expérimentations de Komaki consiste à cultiver divers microorganismes avec ou sans potassium K initial, et à mesurer l’évolution de matière sèche et de potassium K.<ref name="Komaki65" >Hisatoki Komaki, Revue de Pathologie Comparée, septembre 1965</ref>. (<ref name="PreuvesBio" /> p 116 à 119)
 
On cultive 4 microorganismes : Aspergilus niger AN, Penicil chrysogenum PC, Saccharomyces cerevisiae SC, Torulopsis utilis TU.
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[[Fichier:Tibial Fracture.jpg|thumb|250px|Fracture du tibia]]
Plusieurs études récentes montrent qu'un apport de calcium ne réduit pas le risque de fracture, même avec de la vitamine D :
* Dr Fraze Anderson : Sur 5292 personnes de {{unité|70|ans}} et plus et de moins de 58 kg, après une première fracture de moins de {{unité|10|ans}}, elles ont le même risque de 13% d'une autre fracture.<ref>Dr Fraze Anderson, Prevention of low-trauma fractures in older people, The Lancet, Volume 366, Issue 9485, Page 543, 13 August 2005
<br />.
http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(05)67088-2/fulltext#article_upsell</ref>
* Dr David Torgenson : Sur 3314 femmes de {{unité|70|ans}} et plus et ayant un ou plusieurs facteurs de risque pour la rupture de la hanche, le risque de fracture est le même avec ou sans supplémentation en calcium et/ou vitamine D3.<ref>Dr David Torgenson, Randomised controlled trial of calcium and supplementation with cholecalciferol (vitamin D3) for prevention of fractures in primary care <br />.
http://www.bmj.com/cgi/content/full/330/7498/1003</ref>
* Dr Bischoff-Ferrari : Une dose de vitamine D de 700 à 800 IU/d réduit autant le risque de fracture avec ou sans supplémentation en calcium, à plus de {{unité|60|ans}}, de 26% pour les fractures de la hanche sur 9294 personnes, de 23% pour les fractures non-vertébrales sur 9820 personnes.<ref>Fracture prevention with vitamin D supplementation: a meta-analysis of randomized controlled trials. Bischoff-Ferrari HA - JAMA - 11-MAY-2005; 293(18): 2257-64 <br />.
http://www.mdconsult.com/das/citation/body/123963542-2/jorg=journal&source=MI&sp=15522226&sid=0/N/15522226/1.html?issn=</ref>
 
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== _ 1975 Les transmutations biologiques expliquent plusieurs anomalies biologiques. ==
 
En 1959, Louis Corentin Kervran coopère à la mise en évidence de cet aspect de la matière que la physique classique ne pouvait constater à cause de la grande différence dans les conditions d'observations.<ref name="PreuvesBio" />.
 
De 1959 à 1975 Louis Corentin Kervran étudie, reproduit, documente et publie de nombreuses études sur les transmutations biologiques. Il est le chercheur emblématique de ce domaine scientifique. Il publie des livres et articles de revues ; il en parle à la radio et à la télévision.
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Il termine le livre ”Preuves en Biologie de Transmutations à Faible Energie”, à Paris en automne 1974. (<ref name="PreuvesBio" /> p 308)
 
Le 21/01/1975, l'année où parait ce livre, Louis Corentin Kervran (1901-1983) est proposé pour (mais ne reçoit pas) le Prix Nobel en médecine et physiologie par la Faculté de Médecine d'Osaka (Japon), soutenu par l'Académie de Médecine de Paris (France) et il est membre de l'Académie des Sciences de New York ({{Abréviation|USA|United States of America}}).<ref name="Nobel" >C. Louis Kervran 1901-1983, Nominated for the 1975 Nobel Prize in medecine and physiology http://www.lasarcyk.de/kervran/kervwork.htm</ref>.
 
La proposition pour le prix Nobel, en anglais, est ainsi rédigée :