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== Introduction/Généralités ==
L' '''inventaire subaquatique''' est souvent fortement associé à un support photographique et vidéo.
Pour permettre une interopérabilité et des comparaisons entre données, il doit être basé sur une standardisation des données, et sur un '''''protocole scientifique''''' clair, conçu, orienté pour répondre à des besoins scientifiques (locaux et globaux).
Il doit être basé sur un '''''protocole scientifique''''' conçu, orienté pour répondre à des besoins scientifiques (locaux et globaux), par exemple de mise à jour des inventaires et [[Système d'information géographique|SIG]] (base de données spatialisées avec distribution [[w:Taxonmie|taxonomique]] et spatiale qui donneront une importance plus grande à la troisième dimension qu'est la profondeur). Il doit aussi répondre à des besoins croissants de modélisation et/ou de test d'hypothèses biogéographiques, macroécologiques et macroévolutives, ou encore concernant la mesure des effets des pollutions, de la fragmentation écopaysagère ou des effets du changements climatiques, de la surpêche, de la pollution lumineuse ou du bruit subaquatique, etc. . Il s'agit donc d'améliorer la connaissance pure, mais aussi de fonder ou consolider des stratégies plus efficaces de conservation de la biodiversité subaquatique.▼
<br />Ces '''''besoins''''' sont d'une part d'améliorer la connaissance pure, par exemple pour mettre à jour et compléter l'inventaire général de la biodiversité, et pour apporter des compléments ou mises à jour aux inventaires et [[Système d'information géographique|SIG]] existants plus localement (base de données spatialisées) afin de documenter plus précisément la distribution [[w:Taxonmie|taxonomique]] et spatiale ...en donnant dans le cas des espèces aquatiques une importance plus grande à la ''« troisième dimension »'' qu'est la profondeur car elle influe généralement sur la température, la luminosité, el taux d'oxygène, etc.).
<br />Bien sûr, un inventaire n'est utile qu'il est ensuite correctement mis à disposition de ceux qui en ont besoin, avec d'éventuelles limitations d'accès motivées par des raisons d'éthique environnementales (protection d'espèces menacées, lutte contre le braconnage, etc). ▼
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'''Echantillonnage''' : Des prélèvements d'échantillons (faune, flore, fonge, eau, sédiment, substrat...) sont parfois nécessaires, soit pour un examen immédiat ou rapide hors de l'eau sur place (via loupe ou microscope portable, avec macrophoto dans de meilleures conditions...), soit pour être préparés puis envoyé à un laboratoire ou expert pour la détermination. Un matériel adapté (flacons, tubes, sachets, etc.) doit être emporté par les observateurs.
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''' Occurrence de taxon''' la présence/absence d'un taxon est une donnée importante, le nombre d'individus l'est aussi.
localisation à une date donnée par un ou plusieurs observateurs selon des méthodes d’observation directes (de visu) ou indirectes (empreintes, fèces,...).
'''Expertise''' : il faut plusieurs décennies pour former des experts. Il est donc nécessaire que les projets d'inventaire soient suivis par un réseau de scientifiques et d'expert (en France : ''Museum (MNHN), Agence nationale de la biodiversité, universités, DORIS, télabotanica, observatoires, CPIE, etc.'') doit pourvoir être mobilisé ; mais tant que possible uniquement pour l'identification des éléments les plus difficiles à identifier ou valider.
Les plongeurs et équipes d'inventaires peuvent être formés pour s'appuyer dans un premier temps sur des guides, des clés de détermination et des listes d'espèces potentiellement présentes dans les lieux qu'ils inventorient.
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== Éléments de méthode ==
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