« Principes du travail collaboratif » : différence entre les versions

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Pour Anne-Laure Fayard et John Weeks de Harvard, les facteurs de la proximité, de l'intimité et de la permissivité sont déterminants de l’efficacité du travail collaboratif<ref>-en- Anne-Laure Fayard et John Weeks, « Who moved my cube? », Harvard Business Review,‎ juillet 2011.</ref>.
 
En particulier, la permissivité peut se comprendre comme un respect donné à la créativité de chacun, ou encore comme un droit à la Joie :<blockquote>"La joie c'est tout ce qui consiste à remplir une puissance. (...) La méchanceté c'est quoi? C'est empêcher quelqu'un de faire ce qu'il peut. C'est empêcher quelqu'un de faire, d'effectuer sa puissance. Si bien qu'il n'y a pas de puissance mauvaise. (...) Je dirais que tout pouvoir est triste... même si ceux qui ont le pouvoir se réjouissent beaucoup de l'avoir ... C'est une joie triste"<ref>''J comme Joie'', L'Abécédaire de Gilles Deleuze, téléfilm français produit par Pierre-André Boutang et réalisé par Michel Pamart, 1988.</ref>.</blockquote>Afin que chaque contributeur garde motivation et plaisir dans son travail, un certain nombre d'interdits relevant du bon sens et, de l'éthique professionnelle et de la déontologie peuvent être dégagés afin de définir ce qui n'est pas efficace dans le cadre d'un projet de travail collaboratif.
 
Voici, Par ordre décroissant de gravité, une liste opérationnelle non exhaustive des procédés contraires aux principes démocratiques de l'argumentation, nécessairenécessaires au respect des principes du travail collaboratif et contributif :
 
*<blockquote>l'obstruction systématique ;</blockquote>