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== INFORMATIONS GENERALES AUX COACHS ==
== § C1. TECHNIQUE DE BASE : GRILLE ENNEANAIRE ET ANCRAGES ==
En principe, les participants aux séances de coaching connaissent déjà les rudiments de la méthode DMS, soit qu’ils auront lu des livres concernant cette méthode de Développement personnel Mental Sémantique, soit qu’ils suivent en parallèle le cours de l’académie, soit encore, et se sera le plus souvent le cas, parce qu’ils auront déjà participé à une séance de coaching, lors d’un stage précédent ou lors du même stage, ses stages se déroulant en soirée à heures fixes, ou lors d’un week-end, ou lors de séminaires prolongés dont la durée ne devra pas dépasser une semaine. Cependant, chaque séance devra impérativement rappeler les principes généraux de la méthode, et les raisons pour lesquelles les participants sont là pour vous écouter et pour suivre vos directives. Chaque séance se déroulera donc en deux parties : une partie relativement brève de rappel des principes et des raisons, et la seconde partie consacrée au thème de la séance proprement dite, qui se terminera par un débriefing. L’ensemble d’une séance pouvant durer environ deux heures, pas plus afin de ne pas fatiguer les participants et conserver leur attention soutenue. Deux séances consécutives, ainsi que nous pouvons l’imaginer au cours d’une après-midi entre 13 et 19 heures, devront impérativement être séparées d’une sieste réparatrice d’une durée minimale d’une demi-heure.
=== Première partie : Les principes et les raisons ===
Cette grille est le support de la méthode DMS, son utilisation c’est avérée efficace pour l’exploration mentale. Cette séance est une introduction à la méthode et sa présentation générale. Elle sera principalement consacrée à répondre aux questions des participants après une description sommaire des neufs fonctions mentales. La méditation se réduira à un exercice de visualisation, d’apprentissage et d’ancrage de cette carte heuristique en mémoire.
Pourquoi est-il nécessaire de rappeler ces données à des gens censés les connaître ? Tous simplement parce ces personnes vivent en permanence dans le cadre matérialiste ordinaire dominant notre culture occidentale, il faut donc les recentrer au début de la séance de coaching. Sinon tout le bénéfice qu’elles attendent du coaching risque d’être perdu, car elles continueront à penser selon le mode conceptuel verbal, sans pouvoir détacher leur esprit de leur corps, du milieu extérieur physique spatio-temporel qui les entoure et d’un cadre de représentation qui, constituant un blocage, ne leur permettra pas de découvrir et d’accéder aux percepts de leurs fonctions mentales pour pouvoir pratiquer réellement le yoga mental proposé par la séance. Cette première partie ne devait pas s’étendre sur plus d’un quart d’heure, sauf si ce sont des novices de la méthode et qu’ils posent des questions demandant de nombreuses explications. Le coach aura alors recours à la séance type C1 consacrée à la technique de base de la méthode : l’apprentissage de la grille ennéanaire et la réalisation de premiers ancrages, au cours de laquelle il pourra donner libre cours aux questions et réponses et réduire la seconde partie : la méditation dirigé comme bon lui semblera. Par contre, en cas de séminaires prolongés se déroulant sur plusieurs jours, cette première partie pourra se réduire à quelques minutes pour les séances qui suivront la première. Les coachs n’oublieront pas de rappeler aux participants les raisons de cette première partie de rappel qui constitue une part du recentrage. Cette première partie comprend deux phases : la formulation des principes de la méthode DMS et le rappel des raisons qui ont poussés d’entreprendre ces séances
=== Description sommaire des neuf fonctions mentales ===
==== Les principes ====
Cette partie est un exposé plus complet que ce qui est prévu de faire au début de chaque séance. Il ne s’agit pas ici de simplement recentrer des personnes mais de leur enseigner un cadre conceptuel. Des descriptifs plus complets seront trouvés dans le cours de l’ASFM.
Le principe de la méthode DMS consiste à passer du cadre matérialiste spatiotemporel que la société et les médias nous imposent, au cadre perceptuel, hors du monde propre à notre réalité mentale sémantique, puis à associer à l’outil mentaliste : la grille ennéanaire les percepts ressentis de nos fonctions mentales, afin de les distinguer et les ancrer dans notre mémoire.
==== CONSCIENCE 5 (Révéler) ====
Le coach décrira sommairement ces fonctions en commençant par la base horizontale : Conscience 5, pathologique 3, motrice 4, énergie 8, puis il remontera par le coté droit du triangle : volontaire 7, concentration 6, avant de passer au coté gauche : analytique 2, remémoration 1, pour finir au joker 9, la source de la confiance de l’être. Il dessinera la carte heuristique de la grille sur un tableau de papier ou plus rapidement encore, il la présentera sur un tableau pré imprimé, ou sur les tablettes et les Smartphones des participants.
La conscience est un contenant révélateur de sens présent dans les trois métacontextes mentaux, de veille, de rêve et l'intermédiaire propre au rêve lucide dirigé. Le flux de sens qu'elle révèle glisse rapidement dans notre mémoire.
==== Les raisons ====
C'est une fonction relativement monotone. Elle se réfléchit, c'est-à-dire devient consciente d'elle-même, par un bref geste mental de la concentration 6. Une concentration plus appuyée la charge d'énergie mentale p8. Elle n'est clairement pas le siège du moi comme certains le prétendent.
Le coach rappellera aux participants les motivations qui les ont poussés à entreprendre cette séance de coaching. Cela peut être dans l’espoir de résoudre un problème psychique, mais plus généralement c’est pour découvrir leurs fonctions mentales, mieux les exploiter, développer leur perception mentale et acquérir des techniques mentalistes. Ceci dans l’unique but de les recentrer. Il demandera aux participants s’ils ont des questions à poser et y répondra rapidement. Il renverra les questions générales concernant la méthode DMS à la fin de la séance. Enfin il présentera rapidement le thème de la séance avant de passer à la seconde partie.
==== PATHOLOGIQUE 3 (Eprouver) ====
=== Deuxième partie : La séance proprement dite ===
La fonction pathologique produit des émotions, des sentiments et du stress positif ou négatif. C'est un organe de contrôle de la liberté sans limite de la volontaire. Ataraxique, ses émissions ne sont plus que cognitives.
Ces séances consisteront en de rares exceptions près pour le coach à conduire des méditations dirigées, la méthode DMS pouvant être assimilée à une forme particulière de yoga mental. Il faudra donc comme pour le yoga retenir un lieu approprié, soit dans une salle (les salles de yoga ou de sports martiaux pourront très bien convenir, mais compte tenu du faible nombre des participants limité à douze personnes, un grand salon aménagé fera l’affaire), soit dans la nature, dans un lieu ombragé (le soleil est absolument à éviter), avec un sol herbeux (le gazon anglais de plus d’un siècle, avec tout son moelleux serait évidemment parfait, mais il est difficile à trouver dans votre environnement immédiat et à entretenir). Il faudra veiller que tous les participants disposent du nécessaire pour leur confort de méditation, donc si le lieu n’est pas spécialement aménagé, avoir des tapis de sol ou des nattes de paille de riz. Ces méditations se pratiqueront allongés sur le dos, les yeux fermés. A partir d’un certain niveau de maîtrise, ce n’est plus nécessaire, car il suffit alors de fermer les yeux assis dans un fauteuil pour se connecter au mental profond. Quant-aux ataraxiques, ils y sont connectés en permanence les yeux ouverts, mais ils n’ont bien sûr pas besoin de coaching.
Les émotions fondamentales sont peu nombreuses et s'inscrivent dans un schéma logique (voir la rosace des émotions au chapitre 4). Elles peuvent cependant se combiner et produire un grand nombre de variantes secondaires selon les produits mentaux auxquelles elles s'associent. Elles peuvent être maîtrisées et transformées consciemment afin d'en réduire l'intensité négative.
Une fois toute l’équipe bien installée, le coach dirigera la méditation qui devrait durer entre une heure et une heure et demie. Il expliquera que ce sont des méditations en pleine conscience et non des séances d’hypnose dirigée. Les méditations commenceront toujours par un exercice de respiration dans le but d’installer un mental serein, comme explicité dans la fiche § C3. Enfin, si ces fiches proposent un certain processus dans un certain cadre, le coach pourra les adapter selon les circonstances de sa propre initiative.
==== MOTRICE 4 (Mouvoir) ====
=== Le débriefing ===
La motrice assure le lien entre notre vie mentale et notre corps physique. C'est grâce à elle que nous dirigeons notre corps par son interface d'information et d'instruction avec le cerveau.
Le débriefing ou restitution ne doit pas être négligé, car cela permet au coach de se rendre compte de l’avancement des participants, et à ceux-ci de lui poser des questions et à discuter en commun. Il pourrait durer environ une demi-heure avant que le groupe ne se sépare pour aller se reposer. Dans cette partie certains participants pourraient évoquer des problèmes psychopathologiques personnels, le coach y répondra en prodiguant des conseils et en proposant des techniques de traitement propres au DMS, ce qui permettra à tous d’en profiter, car ces problèmes sont généralement récurrents et d’autres pourraient en avoir besoin. En cas de problèmes complexes, le coach prendra à part cette personne souffrante après la séance, et lui indiquera des praticiens capables selon lui de l’aider.
Cette fonction utilise peu d'énergie mentale ainsi que montre la trace de nos souvenirs en mémoire. Elle est déclenchée par un mouvement de bascule de la volontaire 7d qui lui cède sa dominance sans que la cohérence entre l'intention initiale et l'action ne cesse. Elle opère grâce à des structures comportementales qui mettent d'autres fonctions en service. Elle s'efface et même s'éloigne dans le sommeil et le rêve.
==== ENERGIE 8 (Alimenter) ====
Toute activité mentale nécessite une énergie non matérielle. Cette charge d'énergie mentale assure la pérennité du sens en mémoire.
Nous pouvons percevoir mentalement cette énergie dans les émergences opératives de nos fonctions mentales et remarquer qu'elles n'emploient pas la même quantité d'énergie, dans leurs produits émergents et dans les souvenirs que nous avons d'eux dans notre mémoire.
Nous ressentons cette énergie comme du sens quantitatif objectif. Par contre, notre estimation de sa quantité par notre jugement 7j, est imprécise et subjective.
==== VOLONTAIRE 7 (Diriger – Juger) ====
La volontaire comprend deux sous-fonctions : La direction volontaire 7d et le jugement arbitraire 7j.
La direction volontaire dirige mais ne juge pas, c'est l'organe de commande de notre être multipolaire.
Le jugement arbitraire juge mais ne dirige pas. Ces deux sous-fonctions sont très interactives.
Dans notre phase de veille, cette fonction est le plus souvent dominante et responsable de notre survie. Ses valeurs fondamentales sont la survie, la liberté et l'efficacité. Elle gère ses objectifs dans son tableau de bord. Comme elle ne dispose pas de moyens résolutoires elle fait appel à l'analytique 2.
====CONCENTRATION 6 (Fixer) ====
La concentration duplique du sens dans la durée, avec pour effet immédiat de fixer du sens dans le flux qui traverse notre conscience. Elle est comparable à un zoom en mouvement qui peut se fixer sur du sens, dirigé par notre direction volontaire 7d. Elle nous permet de voyager dans notre mémoire et dans notre champ sémantique, mais aussi de nous concentrer sur une analyse, un jugement, un produit ou une émergence opérative, voire une interaction dans une expérience mentale globale.
==== ANALYTIQUE 2 (Analyser) ====
L'analytique possède trois modalités opératives. La première STRU structure le sens, la deuxième PROP propose des solutions aux fonctions qui lui en font la demande, la troisième GEST range et gère le sens en mémoire. Cette fonction est essentielle puisqu'elle opère des résolutions de problèmes, de l'analyse logique, de l'imaginaire et du rêve. En phase de veille elle est soumise à la fonction volontaire dominante et c'est en phase de rêve qu'elle devient à son tour dominante au sommet de sa puissance et de son efficacité.
L'analytique est une fonction automatique qui produit au mieux, sur la base de l'ensemble immense de ses données, mais ses résultats ne sont pas toujours exploitables.
==== REMEMORATION 1 (Restituer) ====
La remémoration a le pouvoir d'extraire des éléments de notre mémoire et de les restituer à notre conscience. La mémoire elle-même n'étant pas une fonction mentale.
Cette fonction peut être déclenchée par notre direction volontaire 7d, dirigée par notre concentration 6 et opérée par notre analytique 2. Elle peut aussi manifester une activité involontaire et se déclencher seule quand la logique cognitive l'exige.
Les charges d'énergie de nos souvenirs sont très variable, des ordinaires aux structurants. Les affects qui les ont accompagnés jouent aussi un grand rôle, car ils sont très puissants.
==== JOKER (FOI) 9 (Inspirer) ====
Le Joker est une fonction transcendantale qui affirme péremptoirement sa foi en nous-mêmes, qu'il accompagne d'une aspiration au dépassement de soi. Il valide nos structures comportementales et intervient quand nos autres fonctions se déclarent incompétentes face à un problème.
Cette fonction joue un grand rôle pour valider toutes nos structures comportementales qui ne doivent pas souffrir d'un doute, et donc aussi dans leurs restructurations qui peuvent être opérées consciemment, sa validation de notre transcendant et de nos convictions métaphysiques n'étant somme toute qu'une de ses activités secondaires.
=== Réponses à d’éventuelles questions ===
Nous voyons de plus en plus fleurir des théories étranges où apparaissent plusieurs consciences, comme une conscience cérébrale et une conscience intuitive, une conscience perceptuelle et une conscience intime, de plus ces personnes ne parlent pas de conscience mais de véritables entités complexes conscientes, ceci dû à la polysémie généralisée qui affecte ce terme. Nous ne pouvons avoir qu’une seule conscience sinon il y aurait confusion de sens, la conscience étant une fonction intégrative de contenu, et qu’une seule entité décisionnelle sinon il y aurait entre elles conflit à mort pour la domination de notre être. S’il n’existe pas de ce genre de conflit entre nos fonctions mentales c’est que leurs capacités sont complémentaires et que leurs domaines respectifs ne se recouvrent pas : pas d’empiétement donc pas de conflit et obligation de partage des informations, rôle que tient la conscience.
Certains mystiques dualistes avancent que nous possédons trois natures : un corps, un mental intemporel et une âme immortelle. Il semble que ce qu’ils perçoivent de cette âme revienne à notre fonction transcendantale : le joker 9, qui ne peut constituer une entité en soi car elle n’a pas de moi mais un transcendant. Nous pourrions aussi considérer que nous disposons de 10 natures et non seulement trois. Soit Une nature physique et 9 hors physique, chacune de nos fonctions mentale réclamant une nature compte tenu de l'exclusion et de la singularité de leur propriétés respectives. A la différence près, que s'il y a entre les natures physique et non physique symbiose et disjonction, entre nos 9 nature-fonctions mentales, il y a partage et intrication. (Nature) n'est qu'un signe, heureusement que grâce à notre perception sensible, nous pouvons lui donner du sens et distinguer dans ce sens des nuances, notre champ sémantique se présentant comme un multi continuum de dimensions qualitatives imbriqués. Il n’y a donc pas la même relation entre les natures physique et non physique et celles qui règnent entre nos neuf fonction mentales réunies par leur nature sémantique.
Ne pas s’éterniser sur la question de l’au-delà de la mort. Nous ne pouvons rien en dire faute de données pertinentes, qui ne peuvent pas inclure, ni des rêves de vies antérieures, ni des contacts avec les esprits des morts en transe hypnotique. La réincarnation, dont la croyance rassemble un très grand nombre de personnes, semble être un processus très compliqué, donc peu probable, et nous pouvons imaginer plusieurs alternatives possibles que leur simplicité ne rend pas pour autant plus certaines, alors en parler n’est qu’une perte de temps.
=== Méditation ===
Comme dit en début de cette fiche, la méditation de cette séance sera consacrée à un exercice de visualisation de la grille ennéanaire afin de bien l’intégrer en mémoire. Il est inutile et serait très difficile d’obtenir une image visuelle parfaite de cet outil, il suffit d’en construire le sens dans une spatialité virtuelle.
Oublions le monde qui nous entoure, nous allons à présent respirer profondément neuf fois sur un rythme lent de quatre temps pour une inspiration et quatre temps pour une expiration, ne lâchez pas prise mais restez intensément conscients, ce n’est pas une séance d’hypnose. Le coach comptera neuf fois pour guider le rythme de la respiration des participants, le chiffre neuf n’est pas symbolique c’est simplement que si vous allez plus loin vous risquez de plonger les personnes que vous guidez en hypnose profonde, ce qui n’est pas le but ici. Ces respirations ont pour but d’installer un état mental serein.
La visualisation consistant à projeter volontairement une image dans le champ de notre conscience, nous commencerons par créer un espace virtuel pour la recevoir, puis nous y implanterons la structure triangulaire déterminée par les sommets 5,8 et 9. Il est très facile de visualiser les lignes fines d’un triangle équilatéral, par contre il n’en va pas de même de visualiser tous ces chiffres, nous nous contenterons donc de les projeter un par un sur le grand triangle, sans chercher à les concevoir tous ensemble. Nous commencerons par la base 5, 3, 4, 8, puis par le montant droit 7, 6, suivi du gauche 2, 1, pour finir par le sommet 9. Le coach pourra suggérer aux participants d’associer ce qu’ils ont perçu, ou mieux éprouvé, à la description de ces fonctions, à chaque chiffre. Cependant le plus important restera de localiser chaque chiffre dans cet espace virtuel. Cet exercice devra être renouvelé souvent afin que la grille s’ancre en notre mémoire. Ancrée elle restera alors dans notre mémoire proche toujours accessible.
=== Débriefing ===
Nos fonctions mentales ne se distinguent que par leurs qualités, donc leur position et la forme générale de la carte heuristique qui nous sert pour les désigner n’a par principe aucune importance, cependant cette forme triangulaire a été choisie pour ses qualités mnémotechniques, il y a aussi une certaine logique à localiser ces chiffres et ces fonctions ainsi. Nous ignorons le type exact de grille fondamentale que notre fonction analytique utilise pour les ranger au sommet de ses structures hiérarchiques, le plus probable étant une forme circulaire du type anneau correspondant à sa grille ennéanaire de complémentarité. De toute façon, l’analytique traduit les décisions de la volontaire dans ces propres formes, donc cela n’a pas beaucoup d’importance. Aussi nous vous conseillons d’adopter cette localisation adoptée par l’académie ASFM.
L’apprentissage de cette grille n’est qu’une étape obligée pour que notre fonction analytique distingue nos fonctions mentales. Quand les ressentis de ces fonctions seront à leur tour ancrés, la grille deviendra inutile.