« Métaphysique/Pour la matière » : différence entre les versions
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== Pour le monde extérieur ==
Mes modestes connaissances en physique m’amènent à penser que l’état comme la position spatiale des choses est certes déterminé par un jeu de lois, tout en restant purement accidentelle, résultat de chocs et de fusions, d’interactions, dans un étirement possible spatio-temporel qui s’étend d’une exiguïté extrême à l’indéfini, alors que l’essentiel des lois, des constantes universelles, des limites et des modèles, ont avant tout pour raison d’être d’éviter que l’espace et son contenu inerte ne sombrent dans l’indistinction, celle de l’infini, de l’aspatialité pour ce monde, et aussi celle qui surviendrait si deux particules se retrouvaient dans le même lieu spatio-temporel. Quelques exemples :
Pour un ensemble n de particules et comme λ = h/cm : G = ng = Σn γh/cλd2 = Σn mγ/d2, Si n particules de masse m d’un ensemble homogène tel que leur masse totale M = nm (par exemple des nucléons de masse m = 1,67.10-27kg pour λ = 1,323.10-15m), G = nmγ/d2 = Mγ/d2 formule familière, mais aussi G = nγh/cλd². Pour la terre avec M = 5,97.1024 kg, n = 3,58.1051 et d = 6,37.106 m, on retrouve évidemment G = 9,81ms-2, la terre se comporte comme une particule fictive de longueur d’onde λ/n. L’espace s’avère une donnée incontournable liée à l’énergie par la loi de Planck.▼
▲Pour un ensemble n de particules et comme λ = h/cm : G = ng = Σn γh/cλd2 = Σn mγ/d2, Si n particules de masse m d’un ensemble homogène tel que leur masse totale M = nm (par exemple des nucléons de masse m = 1,67.10-27kg pour λ = 1,323.10-15m), G = nmγ/d2 = Mγ/d2 formule familière, mais aussi G = nγh/cλd². Pour la terre avec M = 5,97.1024 kg, n = 3,58.1051 et d = 6,37.106 m, on retrouve évidemment G = 9,81ms-2, la terre se comporte comme une particule fictive de longueur d’onde λ/n. L’espace s’avère une donnée incontournable liée à l’énergie par la loi de Planck.
▲* À la première étape de l’expansion de cet espace, l’énergie est tellement confinée par ces contraintes formelles qu’elles agissent comme un ressort qui la divise en masse instables mais égales selon une symétrie cubique (8 Ue par Ut), icosaédrique (12 Ue par Ut), voire dodécaédrique (20Ue par Ut), d’une très grande précision.
▲* Toutes ces particules sont spatiales et ne peuvent pas occuper le même espace. Pour l’éviter deux classes de phénomènes : des collisions qui génèrent des transformations, et une série d’organisations de l’énergie (les atomes) dans des micro espaces, structurés en couches très précises, très stables, grâce à un jeu d’interactions et au principe d’exclusion de Pauli sans lequel notre univers serait chaotique.
▲* Par contre, il n’y a pas nécessairement de limite supérieure à cet espace. Comme il est variable, il peut toujours augmenter de sa limite inférieure : 1 Ue, à une taille indéfinie, mais toujours finie. C’est la loi de Zénon corrélative au paradoxe du même nom : si la cible est à l’infini (dans le facteur Y) quelle que soit la vitesse finie de la flèche, elle n’atteint jamais la cible.
▲* Le (facteur X) n’a pas d’intention mais, si la probabilité de la participation accidentelle d’une particule très stable comme le proton dans une molécule organique (un acide aminé) est extrêmement faible, elle devient une certitude si le nombre de ces particules est suffisant.
▲* En biologie nous remarquons aussi des constantes comme la structure du centrosome, de l’ADN, etc… qui sont aussi universelles que la loi de Planck. La diversité s’inscrit dans un cadre déterminé.
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