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== Rôle de la conscience 5 ==
Nous pouvons nous demander à quoi sert notre conscience, d'autant plus que ceux qui prétendent que le cerveau fait et détermine tout, ne lui accordent qu'un rôle d'observateur inutile au traitement de l'information, quand ils ne la réduisent pas à une illusion due à notre subjectivité.
 
Remarquons d'abord que nous ne pouvons avoir qu'une seule conscience en dépit des élucubrations conceptuelles imaginaires de certains. Si nous en avions deux avec des contenus différents, elles seraient contradictoires et conflictuelles. Ceci vaut aussi pour la théorie voulant que nous possédions un conscient et un inconscient, ces deux entités seraient inévitablement dans un conflit permanent pour la souveraineté de notre être.
Sans conscience, des interactions seraient encore possibles entre activités inconscientes de nos fonctions mentales, mais seraient limitées à de brefs messages pour être efficaces, c'est ce qui se passe entre notre analytique 2 et notre Pathologique 3 pour sélectionner les types et les poids des émotions, que cette dernière doit émettre pour conditionner et contraindre le libre arbitre de notre volontaire 7 responsable de notre survie. Les interactions entre neuf masses immensément complexes ne peuvent rien produire qu'encore plus de complexité paradoxale chaotique inexploitable par chacune d'entre elle. L'existence de la conscience résout ce problème : en partageant entre toutes dans le même contenu des produits sélectionnés de chacune de ces fonctions selon les priorités du vivant, afin que chacune puisse réagir à un contenu intelligible donc efficace.
 
La conscience 5 possède aussi un second rôle, celui d'assurer la simultanéité temporelle des activités des neuf fonctions. Dans la réalité physique, il n'y a pas de présent, il n'y a qu'une temporalité ou une causalité, et la simultanéité des événements, des chocs, des interactions, et leurs conséquences est réglée par les lois déterministes de la physique, même si la relativité générale et la physique quantique nous montrent que ce n'est pas si simple que nous avions pu le croire. Dans notre monde mental, il n'y a pas de telles lois déterminantes, c'est un monde qualitatif dans un non espace de liberté et d'intentions. Notre conscience 5 crée une temporalité particulière qui n'existe nulle part ailleurs dans la nature que chez les êtres vivants : un présent partagé, qui dure dans une intemporalité, toujours semblable à lui-même, que traversent les événements mentaux successifs dont il assure la simultanéité. Comme si ce présent était un point fixe immuable parcouru par des événements dont la temporalité est externe à lui-même. Sans cette simultanéité notre monde mental, temporellement indéterminé, sombrerait dans le chaotique.
Sans conscience, des interactions seraient encore possibles entre activités inconscientes de nos fonctions mentales, mais seraient limitées à de brefs messages pour être efficaces, c'est ce qui se passe entre notre analytique 2 et notre Pathologique 3 pour sélectionner les types et les poids des émotions, que cette dernière doit émettre pour conditionner et contraindre le libre arbitre de notre volontaire 7 responsable de notre survie. Les interactions entre neuf masses immensément complexes ne peuvent rien produire qu'encore plus de complexité paradoxale chaotique inexploitable par chacune d'entre elle. L'existence de la conscience résout ce problème : en partageant entre toutes dans le même contenu des produits sélectionnés de chacune de ces fonctions selon les priorités du vivant, afin que chacune puisse réagir à un contenu intelligible donc efficace.
 
La conscience 5 possède aussi un second rôle, celui d'assurer la simultanéité temporelle des activités des neuf fonctions. Dans la réalité physique, il n'y a pas de présent, il n'y a qu'une temporalité ou une causalité, et la simultanéité des événements, des chocs, des interactions, et leurs conséquences est réglée par les lois déterministes de la physique, même si la relativité générale et la physique quantique nous montrent que ce n'est pas si simple que nous avions pu le croire. Dans notre monde mental, il n'y a pas de telles lois déterminantes, c'est un monde qualitatif dans un non espace de liberté et d'intentions. Notre conscience 5 crée une temporalité particulière qui n'existe nulle part ailleurs dans la nature que chez les êtres vivants : un présent partagé, qui dure dans une intemporalité, toujours semblable à lui-même, que traversent les événements mentaux successifs dont il assure la simultanéité. Comme si ce présent était un point fixe immuable parcouru par des événements dont la temporalité est externe à lui-même. Sans cette simultanéité notre monde mental, temporellement indéterminé, sombrerait dans le chaotique.