« Philosophie de l'esprit/Compatibilité » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
→‎Compatibilité : je peux encore
Ligne 17 :
 
=== Compatibilité ===
Compte tenu de sa nature biologique, il n'est pas a démontrer que le diplosome est compatible avec la substance physique. Le mental étant sémantique, il ne peut être compatible avec la substance mentale que par sa structure géométrique. Or nous trouvons dans les architectures de la fonction analytique 2 des structures identiques, ce sont ses grilles fondamentales et en particulier sa grille de complémentarité qui est le modèle de toutes ses grilles de structuration du sens qui produisent des p2. Ces structures sont ennéanaires et se démultiplient en base 27, tout en conservant leur module fondamental de type 9, qui se trouve être le modèle des structures universelles du vivant tout comme l'atome est le modèle universel de structuration de la substance physique inerte, celui de la matière. Il y a donc une identité parfaite des structures du centriole et de celles de la fonction analytique 2. L'un comme l'autre fonctionnent à la manière d'un ordinateur, l'un est biologique, l'autre est sémantique. Le diplosome peut donc être par ses propriétés un traducteur réciproque d'un codage biologique de l'information et d'une structuration analytique du sens mental. Les formes géométriques ont la propriété d'être présentes dans les deux substances, comme ce sont des structures logiques abstraites elles sont identiques à elles-mêmes quels que soient les mondes dans lesquels elles se trouvent. C'est par elles qu'une interface physique/mental est possible.
 
=== Discussion ===
Compte tenu des connaissances actuelles en biologie, le diplosome est le meilleur et le seul candidat possible pour l'interface physique/mental qui satisfasse les critères scientifiques, et ainsi valide la thèse du dualisme de substance contre celle du physicalisme. Sa structure parce qu'elle est géométrique, donc d'une réalité abstraite, permet un encodage d'informations et de sens structuré, compatible avec les deux substances physique et mentale. Cependant, si permettre est un préalable nécessaire, et constitue une forte présomption de réalité difficilement réfutable, permettre ne constitue pas une preuve. Il reste à la biologie de montrer qu'il reçoit et code de l'information, en provenance de l'environnement extérieur à la cellule, et des intentions, des émotions, des jugements, des analyses de situation et des décisions, qui ne peuvent provenir que d'une source mentale, pour faire avancer la connaissance humaine dans ce domaine.