« Recherche:Genèse et duplication des gènes des tRNAs » : différence entre les versions

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*[[Recherche:R%C3%A9p%C3%A9tition_des_bases_dans_l%27ADN_des_procaryotes#Le_code_g%C3%A9n%C3%A9tique_d%C3%A9fini_par_la_r%C3%A9sonance_dans_l'ADN_%E2%88%92_4.3.2.3.2|Hypothèse de la résonance dans l'ADN]]: l'étude de la répétition des bases dans l'ADN m'a amené à proposer l'hypothèse de la résonance des codons dans les gènes protéiques et à expliquer le code génétique au niveau de l'ADN, ou code adénélique, par le concours de 2 forces physiques qui se complètent, la force de l'appariement et la résonance d'un triplet. Cette hypothèse sera reprise et appliquée aux gènes de tRNAs après la présentation des résultats.
*La répétition des bases dans l'ADN, surtout chez les procaryotes où 80% du génome est constitué de gènes protéiques, peut être naturellement expliquée, dans l'optique de l'évolution darwinienne, par la juxtaposition des codons. Mais dans l'hypothèse de la résonance dans l'ADN, les codons eux-mêmes, dans leur comportement vis à vis du phénomène du taux des paires GC, peuvent être considérés comme résultant du processus physique de cette résonance.
*Aussi j'ai entrepris l'étude des [[Recherche:Corrélation_entre_les_codons_dans_les_g%C3%A8nes_de_prot%C3%A9inesCorrélation_entre_les_codons_dans_les_gènes_de_protéines|corrélations entre les codons protéiques]] en fonction du taux des paires de bases GC. J'espérai ainsi dégager des propriétés uniques pour chaque codon, indépendamment du nombre de génomes et de domaines différents. Ces propriétés seraient dues à la résonance dans l'ADN. La répétition des bases et les corrélations entre codons sont étudiées à partir des données de la base de données KEGG.
*Arrivé à ce stade je me suis trouvé en compétition avec la théorie du "codon usage" <ref>https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5372738/pdf/biomolecules-07-00026.pdf</ref> qui stipule que la fréquence des codons dans les protéines est liée à la fréquence des gènes de tRNAs elle même assujettie à leur efficacité dans la traduction. Donc l'hypothèse de la résonance dans l'ADN se trouvait reléguée au second plan.
*C'est en cherchant à dépasser cet handicap que je me suis mis à étudier les gènes de tRNAs de la base gtRNAdb. Article sur l'invalidation du "codon usage" <ref>https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29859934</ref>.