« Recherche:L'espace hypercomplexe/Grain spatio-temporel (GSP) » : différence entre les versions

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=== Le paradoxe des jumeaux ===
Soit J<sub>1</sub> le jumeau non-mobile et J<sub>2</sub> le jumeau mobile. On a bien (J<sub>1</sub> , J<sub>2</sub>) cs-connectés. Il existe donc un ''milieu'' entre les deux de décalage nul (confusion de la localisation à partir de l'un ou l'autre, par exemple main dans la main). Ce milieu est ''réel''. L'intervalle qui les sépare est 2-hypercomplexe. Et tant que cet intervalle est 2-hypercomplexe, il est « mesurable ». Ils sont dans le même espace-temps : la distance dans l'espace et le temps est la même pour les deux, '''quelque soit la mobilité''' puisque la durée aller est égale à la durée retour pour le ''milieu''. Ceci, bien sûr, dans le cas d'un repère '''absolument fixe'''.
 
 
== [[w:Datation_relative#Le_principe_d'inclusion|Principe d'inclusion]] ==
<center>'''Le principe d'exclusion signifie que nul autre que soi ne peut occuper le site égocentrique où nous nous exprimons par notre Je'''<ref>Stéphane {{pc|Leymarie}}, ‎Gerard {{pc|Sautre}}, ‎Guy {{pc|Soll}}, ''Relations de travail et organisations'', chez Peter Lang, 2006, page 84</ref></center><br>
 
Ce qui suppose, contradictoirement, que « ''le site égocentrique'' » soit '''inclus''' dans le contexte. Sinon, comment s'exprimer ?
 
Il faut bien comprendre ici que l'''inclusion'' d'un espace-temps n'est possible que dans un autre <u>plus ancien</u>, dont nous ne savons rien d'autre qu'il existait AVANT, et que la connexion originelle (pour l'ET considéré) se rapporte à poser un pont entre un espace AVANT et l'ET APRÈS. Encore faut-il que « la place soit libre » !
 
 
=== L'opérateur (ni-ni) ===
Nous appellerons généralement '''contexte''' ou '''environnement''' ou '''milieu''' l'espace AVANT dans lequel on peut observer une origine α, et éventuellement une fin ω. Nous excluons directement les cas extrèmes pour lesquels ce contexte serait absolument vide (vierge) ou absolument plein (complet). Et nous considérerons le cas intermédiaire de cette cs-connexion : (ni-vierge ; ni-complet). Et nous remarquons :<br><br>
<center>''∃E, non-dénombrable, E = (ni-vierge ; ni-complet) : ET ⊂ E, ET dénombrable''</center><br>
 
Nous retrouvons bien ici ce que nous avions exprimé précédemment par {plasma}} et {magma}. Les "objets" cs-connectés du {magma} étant des espaces hypercomplexes, ils n'ont alors (ni-origine ; ni-fin).<br><br>
<center>''∀(α , {½} , ω) : α , {½} et ω ∈ {ni-AVANT ; ni-APRÈS}''</center><br>
 
Ce résultat apparait contradictoire avec celui exprimé supra. Sauf à bien comprendre que l'environnement d'un espace-temps est justement un non-espace-temps et que l'origine α et la fin ω sont des singularités (ni-plasmiques ; ni-magmatiques), mais que le champ sémantique qui leur donne sens, les transforme en soit-plasmique, soit-magmatique. On définit donc un opérateur (ni-ni) par : <br><br>
<center>{{Encadre|contenu=''∀(x , y) non-hypercomplexe : x , y ∈ (ni-plasma ; ni-magma)<br>
''∀(x , y) hypercomplexe : (x , y) ∈ {plasma} ∨ (x , y) ∈ {magma}''}}</center><br>
 
Dire que (x , y) est hypercomplexe est équivalent à dire que (x , y) est un espace-temps. Nous pouvons déduire que, dans un environnement donné, les objets x et y sont sur une interface d'objets cs-connectables. Et nous nous approchons de la notion de « voisinage » dès lors que l'on peut cs-connecter deux objets de l'environnement. Pour fixer l’idée, nous dirons que deux objets situés de part et d'autre d'une rivière seront « voisins » si un pont existe. Sinon, cela reste des éléments plasmiques (non connectés).
 
 
=== Superposition ===
 
== Mobilité restreinte - Mobilité générale ==