« Recherche:L'espace hypercomplexe/Mobilité restreinte » : différence entre les versions

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Soit donc <math>E</math> un ensemble non-dénombrable sur lequel on définit un '''champ sémantique''' par l'opérateur logique ¬ (non). Cet espace (<math>E</math>, ¬) est <u>singularisable</u>, c'est-à-dire que chaque élément est '''unique''' et peut-être différencié de tout autre. Reste à les identifier. Puis à les habiller.<br><br>
 
<center>'''Être ou ne pas être'''</center><br><
 
Cet ensemble est éminemment contradictoire, puisque, s'il existe, il n'existe également pas. Il n'a ni-début, ni-fin, sans grain spatio-temporel qui serait l'objet α induisant un objet ω. Et que, si l'on considère ni l'un, ni l'autre, il faut également considérer non-(ni l'un ; ni-l'autre). Ce qui, en l'occurrence, conduirait à considérer (soit-l'un ; soit-l'autre) puisque l'opérateur associé à (ni-ni) correspond naturellement à non-(ni-ni) = (soit-soit). Mais alors, qui suis-je moi-même ? L'intelligence naturelle suprême ? Ou la folie extrême ? Et vous, lecteur, qui êtes-vous vous-même ? N'est-ce pas là une forme de jugement dernier à savoir s'il faut détruire cette recherche qui est le fond de ma vie, ou la construire. La fin d'une histoire, ou son commencement ?<br><br>
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== Dépendance ==
Soit donc (<math>E</math>, ¬, α), α étant un GSP de la forme plasmique ]α — ε , α + ε[ équivalente, un ensemble sémantique muni d'une origine identifiée et inclus dans <math>E</math>. Cet ensemble est un modèle de Kripke, inclus dans un cadre, pour lequel le GSP α a pour fonction de '''connecter''' des objets singularisés. Il sera donc la référence originelle du modèle que l'on peut « projeter » numériquement sur ]0 — ε , 0. + ε[. On note que cette projection n'a ni-origine, ni-fin, qu'elle est séparable en deux parties contradictoires AVANT et APRÈS et qu'elle contient un « milieu » virtuel.
 
On pose ε = ξ(α), la consistance de l'origine. Et on a :<br><br>
<center>''ξ(α) = 0 : (<math>E</math>, ¬, α) est un modèle virtuel 0-hypercomplexe de consistance nulle''</center>
<center>''ξ(α) < 1 : (<math>E</math>, ¬, α) est un modèle imaginaire non-observable''</center>
<center>''ξ(α) = 1 : (<math>E</math>, ¬, α) est un modèle réel 1-hypercomplexe de consistance nulle, par équivalence''</center><br>
 
L'objet singulier "1" représente un espace « fini » (complet), donc dénombrable, équilibré sur α (0). Il est donc élément du modèle dépendant de α. Le couple d'objets singuliers (α , ω) projetable sur [0 , 1] définit un espace-temps hypercomplexe pour lequel ω est aussi une référence possible induisant [ω , α) projetable sur [0 , 1]. Et donc la correspondance plasmique de ω est de la forme ]ω — ξ(ω) , ω + ξ(ω)[, avec ξ(ω) = ξ(α). Et ainsi, le modèle (<math>E</math>, ¬, ω) est équivalent au modèle (<math>E</math>, ¬, α) avec α dépendant de ω. Nous dirons : <br><br>
<center>{{Encadre|contenu=∀x ∈ <math>E</math>, ξ(x) = 1 : (α et x) sont inter-dépendants dans un même espace-temps}}</center><br>
 
On peut donc les étudier sous la forme d'un objet global 2-hypercomplexe projetable symétriquement sur [−1 , 0 , +1]
 
 
 
== Topologie quantique ==