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=== Quantique ? ... ou continu ? ===
Nous noterons {λ} = {λ<sub>i</sub>, i ∈ {1, 2, 3, 4}} les valeurs complexes de λ dans le [[w:Sens_de_rotation|sens trigonométrique]]. Considérés deux à deux, ces valeurs sont cs-connectables dans (<math>E</math>, ¬, ξ). Il existe donc un ''milieu'' (réel ou imaginaire). En l'occurrence 0 (réel ou imaginaire). On déduit naturellement que les intervalles qui les séparent sont des '''grandeurs continues''' dans un continuum. En conséquence, le plus petit objet observable est obtenu pour ξ = 1. Le ''saut quantique''intervient pour déclencher l'équivalence consistance-taille, ce qui ne nuit pas à la continuité tant que nous sommes sur l'axe Δ.<br><br>
<center>''∀(α , ω) ∈ ( <math>E</math>, ¬, ξ) : [α , ω] est n-hypercomplexe ⇔ d(λ<sub>iα</sub> , λ<sub>iω</sub>) = nξ + ε, ε 0-hypercomplexe''</center><br>
 
L'ensemble des valeurs intermédiaires (des sauts quantiques) est donc dénombrable et dépend à une unité près du seuil de variabilité de ε (AVANT ou APRÈS le milieu). Par conséquent : br><br>
<center>{{Encadre|contenu='''Dans un espace-temps, l'écart entre deux objets non-mobiles est n-hypercomplexe à la consistance minimale près.}}</center><br>
 
Si on « zoome fois p », la consistance minimale est divisée par p, mais la taille hypercomplexe aussi. Par conséquent, nous avons toujours ε 0-hypercomplexe (ε < 1/p). Simplement, la taille n'est pas np mais np + q, q étant la partie entière de ε/p.
 
 
=== Directions hypercomplexes ===
Si nous considérons les couples complexes cs-connectés (λ<sub>i</sub> , λ<sub>j</sub>), i ≠ j, nous singularisons 4 DA. Ces 4 DA sont confondues dans le cas de couples de consistance inférieure à 1. Nous les identifierons donc comme distinctes les unes des autres et susceptibles d'une cs-connexion dans l'ensemble indénombrable des droites du plan. Elles seront ainsi observables à partir d'une certaine consistance (l'épaisseur du trait par exemple) ou d'un certain ''zoom fois p''. Nous allons les ''habiller'' pour définir une '''géométrie hypercomplexe différentielle'' du « plan complexe ».
 
Pour expliciter ce travail, nous définirons un objet mobile (par exemple la pointe d'un stylo) qui reliera les deux horizons λ<sub>i</sub> et λ<sub>j</sub>, qu'il nous faudra « atteindre », mais non « dépasser » pour ne pas risquer de nous trouver « hors horizon » et générer un ε non contrôlable. Nous partons de λ<sub>1</sub>, point non mobile fixe de notre contexte sur lequel (à la consistance près) nous « marquons » notre GSP. Nous décidons d'aller vers λ<sub>2</sub>. Sans impulsion dynamique nous restons statique. Choisissons une ''rapidité'' ρ ∈ {—1 , 0 , +1}. Naturellement ρ = +1 pour mettre en évidence un APRÈS. Dès lors, v = 1, nous ouvrons un espace-temps pour lequel distance = temps et nous déclenchons un « chronomètre » qui mesurera le temps par un dispositif circulaire quelconque (tour). Nous observons que nous franchissons l'axe imaginaire au niveau 1 = 2π. Nous voyageons vers notre point d'arrivée, à proximité duquel il faudra réduire la rapidité d'un cran pour que notre mobilité soit nulle : ρ = +1 + —1 = 0. Mission accomplie. Connexion établie. Analysons le résultat :
 
== Mobilité générale ==