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=== Directions hypercomplexes ===
Si nous considérons les couples complexes cs-connectés (λ<sub>i</sub> , λ<sub>j</sub>), i ≠ j, nous singularisons 4 DA. Ces 4 DA sont confondues dans le cas de couples de consistance inférieure à 1. Nous les identifierons donc comme distinctes les unes des autres et susceptibles d'une cs-connexion dans l'ensemble indénombrable des droites du plan. Elles seront ainsi observables à partir d'une certaine consistance (l'épaisseur du trait par exemple) ou d'un certain ''zoom fois p''. Nous allons les ''habiller'' pour définir une '''géométrie hypercomplexe différentielle'' du « plan complexe ».
 
Pour expliciter ce travail, nous définirons un objet mobile (par exemple la pointe d'un stylo) qui reliera les deux horizons λ<sub>i</sub> et λ<sub>j</sub>, qu'il nous faudra « atteindre », mais non « dépasser » pour ne pas risquer de nous trouver « hors horizon » et générer un ε non contrôlable. Nous partons de λ<sub>1</sub>, point non mobile fixe de notre contexte sur lequel (à la consistance près) nous « marquons » notre GSP. Nous décidons d'aller vers λ<sub>2</sub>. Sans impulsion dynamique nous restons statique. Choisissons une ''rapidité'' ρ ∈ {—1 , 0 , +1}. Naturellement ρ = +1 pour mettre en évidence un APRÈS. Dès lors, v = 1, nous ouvrons un espace-temps pour lequel distance = temps et nous déclenchons un « chronomètre » qui mesurera le temps par un dispositif circulaire quelconque (tour). Nous observons que nous franchissons l'axe imaginaire au niveau 1 = 2π. Nous voyageons vers notre point d'arrivée, à proximité duquel il faudra réduire la rapidité d'un cran pour que notre mobilité soit nulle : ρ = +1 + —1 = 0. Mission accomplie. Connexion établie. L'écart est n-hypercomplexe à ξ près. Analysons le résultat :<br><br>
<center>''∀x, x = (ni-λ<sub>1</sub> ;ni-λ<sub>2</sub>), x ENTRE λ<sub>1</sub> et λ<sub>2</sub> : t(x) = cste<br>d(λ<sub>2</sub> — λ<sub>1</sub>) représente la <u>distance spatiale</u> parcourue par x (postulat d'Euclide)''</center><br>
 
Il en sera de même pour un trajet entre λ<sub>3</sub> et λ<sub>4</sub>.
 
La cs-connexion ouvre donc une '''direction spatiale''' S à double sens de « longueur 2ξ » (un ξ AVANT et un ξ APRÈS l'origine).
 
En reprenant l'expérience entre λ<sub>2</sub> et λ<sub>3</sub> (puis λ<sub>4</sub> et λ<sub>1</sub>), nous ouvrons une '''direction temporelle''' T à double sens de « longueur 2ξ ».
 
Dans la '''direction spatio-temporelle''' Δ, les mobiles évoluent simultanément de λ<sub>1</sub> vers λ<sub>3</sub> et de λ<sub>3</sub> vers λ<sub>1</sub> sur un trajet « objectif » de « longueur » 4π = 2ξ.
 
La « quatrième dimension » est celle portée par les trajets λ<sub>2</sub> vers λ<sub>4</sub> (puis λ<sub>4</sub> vers λ<sub>2</sub>). Cette direction Δ<sub>s</sub> est <u>orthogonale</u> à Δ par configuration géométrique unitaire. Elle représente le trajet « subjectif » du mobile de « durée » 4π = 2ξ.
 
La configuration géométrique idéale de la mobilité entre deux horizons fixes est donc celle d'un « carré parfait » de centre Ω (origine), muni de ses deux diagonales. Le « déplacement » cs-connecté (intelligent, δ = 0) s'exprime par un système de « coordonnées », quadruplet [λ<sub>1</sub> = 2kπ , λ<sub>2</sub> = 2k , λ<sub>3</sub> = i2k , λ<sub>4</sub> = i2kπ].
 
On vérifie que ces coordonnées se projettent globalement en un 2-hypercomplexe, de ''milieu'' réel 0, comprenant une partie AVANT l'origine 1-hypercomplexe et une partie symétrique APRÈS 1-hypercomplexe de milieu imaginaire vérifiant la structure géométrique élémentaire hypercomplexe, même à l'''instant'' origine.
 
 
== Conclusion ==
Nous désignerons par Σ la signature d'une connexion intelligente dans un espace-temps. L'image de Σ dans une géométrie hypercomplexe est un « carré parfait » de côté n, de centre Ω, muni de deux repères d'axes orthogonaux réels et imaginaires, corrélés objectivement et subjectivement par un système de coordonnées hypercomplexes : <br><br>
<center>''∀χ ∈ (<math>E</math>, ¬, (α , ω), ξ), (α , ←χ→ , ω) : χ ∈ (ℂ , Δ , {λ<sub>i</sub>} , i ∈ {1 , 2 , 3 , 4}, ξ) ∧ Σ(λ<sub>i</sub>) = 0''</center><br>
 
Nous notons que l'identification d'un couple (α , ω) dans <math>E</math> définit une géométrie hypercomplexe peuplée d'éléments dénombrables (complète et complétable), tandis que son absence (ou sa non-précision) définit un espace vectoriel hypercomplexe peuplé d'éléments indénombrables (incomplet et non-complétable). Le couple identifié (α , ω) est un élément fondateur géométrique, y compris le cas particulier α = ω qui serait un 0-hypercomplexe de consistance inférieure à 1 ou un 1-hypercomplexe de consistance 0 (un point par exemple, ou <math>\sqrt[]{2}</math>). D'une manière générale, toutes les figures géométriques identifiées sont hypercomplexifiables et tous les [[w:Nombre_constructible|nombres constructibles]] également : ce sont bien sûr des aboutissements de l'intelligence naturelle que l'on peut observer.
 
== Mobilité générale ==