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<noinclude>{{Recherche transmutations biologiques}}</noinclude>
 
Les== expérimentationsÉtude dedes [[w:en:Biological transmutation|transmutations biologiques]] {{en}} apportent un constat, mais pas de théorie confirmée.==
 
=== Diversité des expérimentations ===
Comment expliquer les transmutations biologiques ?<br />
Quelles hypothèses expliquent quels aspects du phénomène ?<br />
Que reste-t-il à expliquer ?
 
[[Fichier:Paillasse chimie.jpg|thumb|250px|Laboratoire de chimie|]]
== Quelques repères théoriques ou expérimentaux ==
 
Les expérimentations sont très variées, elles ont déjà étudié : homme, souris, homard, plante [[v:fr:Tillandsia|Tillandsia|]], fruits secs, graines, [[v:fr:Bacteria|bactéries|]], [[v:fr:levure|levures|]] et [[v:fr:moisissure|moisissures|]].
=== Évolution du concept de conservation de la matière ===
 
Les expérimentations ont exploré des variations de natures différentes, dont :
Au {{s|18}} la vie vient de la "force vitale" qui peut "créer de la matière".
* variation d’espèces végétales pour les fruits secs de Lucie Randoin
* variation d’espèces microbiennes (bactéries, levures et moisissures), pour les microorganismes de Komaki<ref name="KomakiFR" >Hisatoki Komaki et Takiko Fujimoto, 29 microorganismes dont Aspergilus, Penicil, Saccharomyces et Torulopsis modifient K, Mg, Fe, Ca. Converge en 72 heures.
Komaki, H., Formation de protéines et variations minérales par des microorganismes en milieu de culture, avec ou sans potassium, avec ou sans phosphore. <br />
Revue de Pathologie Comparée et de Médecine Expérimentale, mars 1969, num 69 p. 83.</ref> (<ref name="PreuvesBio" /> {{p.}} 117 à 129)
* taux de [[v:fr:magnésium|magnésium|]] alimentaire, pour les souris de Kervran
* cultures en conditions normales et anormales (avec ou sans [[v:fr:Phosphore|phosphore|]] ou [[v:fr:Potassium|potassium|]]), pour les microorganismes de Komaki<ref name="KomakiEN" >An Approach to the Probable Mechanism of the Non-Radioactive Biological Cold Fusion Or So-Called Kervran Effect (Part 2)
Prof Dr. Hisatoki Komaki, The Biological and Agricultural Research Institute. 2-6-18 Sakamoto; Otsu, Shiga-ken, Japan <br />
http://www.papimi.gr/komaki.htm</ref>
* adaptation de l’espèce étudiée aux conditions de l’expérimentation, pour les bactéries sur radio-isotopes de V.I. Vysotskii<ref name="Vysotskii" >Vysotskii V., and al. Successful Experiments On Utilization Of High-Activity Waste In The Process Of Transmutation In Growing Associations Of Microbiological Cultures. in Tenth International Conference on Cold Fusion. 2003. Cambridge, MA, LENR-CANR.org</ref>
* évolution au cours du temps, pour les microorganismes de Komaki, la limitation thermique P/Na de Kervran et la variation de masse de graines en germination de Hauschka et Volkamer.
* méthodes et techniques de mesures, destructives ou non, analyses de cendres, spectroscopie de flamme, spectrophotométrie d'absorption atomique, décroissance de radioactivité
* variation du type de preuve (composition chimique variable entre les éléments entrants et sortants, variation de masse totale, réduction apparente de radioactivité)
 
=== Caractéristiques des transmutations biologiques ===
En 1777, Antoine Lavoisier expose que : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme». Il considère alors le nombre des atomes et leur permanence.
 
Les transmutations biologiques sont l’ensemble des fusions et fissions de noyaux atomiques contrôlées par des organismes biologiques :
Mais dés 1795, des expériences montrent qu'en biologie il n'y a pas toujours conservation des éléments chimiques.
* Les réactions constatées en biologie sont basées pour la plupart sur des fusions et fissions avec l’hydrogène, l’oxygène ou le carbone et concernent au moins : H, C, N, O, Na, Mg, Al, Si, P, S, K, Ca, Mn, Fe.
* Plusieurs de ces réactions sont réversibles, c’est-à-dire réalisées aussi dans l’autre sens par d’autres processus biologiques.
* Seuls certains isotopes sont concernés et les isotopes produits sont tous stables.
* Lors de ces réactions atomiques nucléaires biologiques, les chercheurs n’ont pas réussi à détecter les rayonnements habituellement produits par les réactions à haute énergie (alpha, bêta, gamma, rayons X).
* Elles n’utilisent que des interactions nucléaires dites à faible énergie.
* Elles s’accompagnent d’une variation de masse en accord avec l’énergie moyenne de liaison.
* Ces réactions sont lentes.
* Elles se produisent lors de processus biologiques.
* L’effet thermique résiduel est très faible et ne gène pas les êtres vivants et, dans un cas, limite l'hyperthermie (Na > K).
* Louis Kervran propose de noter ces réactions suivant cet exemple Mg + O :=: Ca (<ref name="PreuvesBio" >Preuves en Biologie de Transmutations à Faible Énergie, Louis C. Kervran, Paris 1975, Maloine, ISBN 2-224-00178-9.</ref> p 111)
* Elles respectent le principe de conservation de la matière, elles y intègrent la correspondance masse-énergie (e=mc2) de la relativité et modifient le principe d’invariance qui devient : Dans les transmutations biologiques, les réactions physico-chimiques conservent le nombre de nucléons mais modifient la composition en éléments chimiques.
* Elles se produisent peut-être, par un processus semblable, lors de processus géologiques, ou lors d'un phénomène voisin appelé "Fusion Froide" (Cold Fusion). Dans ces cas les conditions sont très différentes en pressions et températures et ne sont pas compatibles avec la vie.
 
Des contemporains de Louis Kervran les appelaient "Effet Kervran" et lui les appellaient « transmutations à faible énergie » (<ref name="PreuvesBio" /> p 9 à 15) ou "nuclido-biologiques" (<ref name="PreuvesBio" /> p 111).
Vers 1896 à 1919, les chercheurs comprennent que la radioactivité nucléaire dite forte permet la modification de composition chimique et de masse globale.
 
=== Liste de transmutations biologiques connues ===
De 1934 à 1940 Hauschka mesure des modifications de masse biologique globale.
 
Ce tableau regroupe les expérimentations pour chaque élément chimique, ce qui permet de repérer facilement :
Vers 1959, quelques chercheurs comprennent que les organismes biologiques sont capables d’utiliser des transmutations à faible énergie, donc de provoquer des variations de composition chimique et de masse globale, et plus tard le prouvent par une grande diversité d'expériences sur des espèces très diverses. Dans tous ces cas, il y a conservation globale des nucléons et de l'énergie. Et en biologie, il n'y a pas de radioactivité mesurable.
* les diverses réactions dans lesquelles un élément est impliqué
* les divers organismes ou fonctions biologiques produisant un élément par transmutation
* la diversité d'espèces ou de fonctions utilisant cet élément par transmutation
* des confirmations d'expérimentations
 
En triant ce tableau, on peut voir qu’il concerne, le 27 juillet 2012, 16 travaux de 15 chercheurs, portant sur 15 éléments chimiques, 18 organismes ou fonctions biologiques (les bactéries, levures et moisissures étant regroupées), dont plusieurs confirmations.
=== Apports théoriques des expérimentations ===
 
Il y a des fusions ou des fissions avec H ou O, et même une fusion ou fission ou transfert dans le cas 2 N > C + O.
Les expérimentations apportent les particularités suivantes, que la théorie devra expliquer :
* les microorganismes peuvent étendre leur capacité de transmutation à des éléments chimiques de très grandes masses atomiques (140 u.m.a. dans l'expérience de V. I. Vysotskii).
* les transmutations biologiques peuvent partir d'éléments radioactifs instables vers des éléments stables.
* La question de la direction du proton qui quitte un noyau d'azote N exactement en direction de l'autre N, dans la réaction 2 N :=: C + O.
* La question de la direction de séparation des parties fissionnées et de leur vitesse de séparation existe aussi dans les autres fissions biologiques, car les parties doivent rester dans des positions telles qu’elles ne soient pas perdues lors de la réaction chimique et qu’elles s'intègrent bien à des molécules utiles.
* On comprend aussi que la "catalyse" des transmutations biologiques englobe à la fois la maîtrise d'une réaction chimique où un atome apparait ou disparait, et la maîtrise fine de la séparation d'un noyau dans les deux parties voulues (et non d'autres fissions possibles), et leur positionnement après séparation par rapport aux molécules en cours de réactions chimiques.
* Dans beaucoup de transmutations, il faut une petite quantité initiale d'un élément pour en former ensuite beaucoup plus.
 
Ce tableau de réactions déjà observées suit ce guide de rédaction :
=== Caractéristiques des réactions et recherches théoriques ===
* Les lignes représentent des expérimentations déjà exposées dans la partie chronologique de ce livre et qui comportent une référence à une source précise qui décrit précisément l'expérimentation.
* Si une expérimentation produit ou réduit plusieurs éléments chimiques, ils sont représentés chacun par une ligne.
* Le tableau est trié d’abord par numéro atomique A de l'élément produit ou réduit, puis par ordre chronologique des expérimentations.
* Si une information n’est pas bien définie dans la source de référence, le champ est marqué d'un « ? ».
* '''Réaction de transmutation''' : fidèle aux conclusions du chercheur, sinon partielle avec « ? ».
* '''Élément produit ou réduit''' : élément chimique que le chercheur considère comme produit, augmenté ou réduit.
* '''Organisme ou fonction biologique''' : celui (ou celle) expérimenté par le chercheur.
* '''Remarque''' : décrit en quelques mots la réaction et ses particularités.
* '''Voir''' : année de publication de l'expérimentation, et nom du ou des chercheurs.
 
{| class="wikitable center sortable"
Les conditions de réalisation sont très différentes pour les transmutations biologiques et pour la physique nucléaire des particules accélérées. Ce qui explique (<ref name="PreuvesBio" >Preuves en Biologie de Transmutations à Faible Energie, Louis C. Kervran, Paris 1975, Maloine, ISBN 2-224-00178-9.</ref> p 265 à 283) :
|-
* que les chercheurs en physique nucléaire n’ont pas pu apercevoir les transmutations biologiques
! Réaction de <br /> transmutation || Élément <br /> produit <br /> ou réduit || Organisme ou fonction biologique || Remarque || Voir
* et que les transmutations biologiques utilisent des mécanismes et une théorie différents à découvrir et préciser.
|-
| 2 N > C + O || <sub>7</sub>N > <sub>6</sub>C || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1962 L'azote surchauffé et respiré produit du monoxyde de carbone|1962 L'azote surchauffé et respiré produit du monoxyde de carbone]] || L'azote peut produire du monoxyde de carbone || 1962 Kervran
|-
| Na + O > K || <sub>8</sub>O || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1959 La transformation de sodium en potassium limite notre température|1959 La transformation de sodium en potassium limite notre température]] || La transformation de sodium en potassium limite notre température || 1959 Prohuza
|-
| 2 N > C + O || <sub>8</sub>O || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1962 L'azote surchauffé et respiré produit du monoxyde de carbone l'azote surchauffé et respiré par l'homme|Louis Corentin Kervran et son époque#1962 L'azote surchauffé et respiré produit du monoxyde de carbone]] || l'azote surchauffé et respiré par l'homme produit du monoxyde (de carbone || 1962 Kervran
|-
| Mg + O > Ca || <sub>8</sub>O || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1967 Les souris produisent du calcium à partir de magnésium les souris pour produire du calcium|Louis Corentin Kervran et son époque#1967 Les souris produisent du calcium à partir de magnésium les souris pour produire du calcium]] || peuvent utiliser de l'oxygène || 1967 Kervran
|-
| Na > ? || <sub>11</sub>Na || [[v:fr:Recherche:LENR/Recherches récentes#2003 Des bactéries marines Marinobacter produisent du cuivre, du manganèse et du zinc|Des bactéries marines Marinobacter produisent du cuivre, du manganèse et du zinc des bactéries marines Marinobacter]] || diminution du sodium || 2003 Biberian
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| ? > Mg > ? || <sub>12</sub>Mg || [[v:fr:Recherche:LENR/#1850 : Variation de la quantité de magnésium dans des plantes pousse des plantes|1850 : Variation de la quantité de magnésium dans des plantes pousse des plantes]] || variation de la quantité de magnésium || 1850 Circa, Lauwes et Gilbert
|-
| ? > Mg || <sub>12</sub>Mg || [[v:fr:Recherche:LENR/#1873 : Des graines et des plantes augmentent potassium, phosphore, magnésium, calcium et soufre graines et jeunes plantes, poussant dans de l'eau distillée|1873 : Des graines et des plantes augmentent potassium, phosphore, magnésium, calcium et soufre graines et jeunes plantes, poussant dans de l'eau distillée]] || le magnésium augmente || 1873 Herzeele
-
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| Mg + O > Ca || <sub>12</sub>Mg || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1967 Les souris produisent du calcium à partir de magnésium les souris pour produire du calcium|1967 Les souris produisent du calcium à partir de magnésium les souris pour produire du calcium]] || peuvent utiliser du magnésium || 1967 Kervran
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| P > ? || <sub>15</sub>P || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1959 la germination de graines de vesce modifie les taux de P, K, et Ca germination de graines de vesce|1959 la germination de graines de vesce modifie les taux de P, K, et Ca germination de graines de vesce]] || diminue le phosphore || 1959 Baranger
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| ? > P || <sub>15</sub>P || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1969 Le homard produit du calcium, du phosphore et du cuivre le homard forme sa carapace|1969 Le homard produit du calcium, du phosphore et du cuivre le homard forme sa carapace]] || produit du phosphore || 1969 Kervran
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| ? > S || <sub>16</sub>S || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1940 : variations de masse en vase clos de graines de cresson|1940 : variations de masse en vase clos de graines de cresson]] || les graines de cresson cultivées sans souffre en forment || 1844 Vogel
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| ? > K || <sub>19</sub>K || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1959 la germination de graines de vesce modifie les taux de P, K, et Ca germination de graines de vesce|1959 la germination de graines de vesce modifie les taux de P, K, et Ca germination de graines de vesce]] || augmente le potassium || 1959 Baranger
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| Ca > K + H || <sub>19</sub>K || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1959 Le salpètre produit du potassium le salpêtre produit du potassium|1959 Le salpètre produit du potassium le salpêtre produit du potassium]] || fission de calcium en potassium || 1959 Kervran
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| ? > K || <sub>19</sub>K || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1965 Des bactéries, levures et moisissures produisent du potassium ou du phosphore bactéries, levures et moisissures|1965 Des bactéries, levures et moisissures produisent du potassium ou du phosphore bactéries, levures et moisissures]] || produisent du potassium || 1965 Komaki
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| ? > Ca || <sub>20</sub>Ca || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1799 : La poule produit du calcium les poules pour calcifier les œufs|1799 : La poule produit du calcium les poules pour calcifier les œufs]] || peuvent produire du calcium || 1799 Vauquelin
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| ? > Ca || <sub>20</sub>Ca || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque##1822 : L'incubation des œufs augmente le carbonate de calcium incubation d'œufs de poules|1822 : L'incubation des œufs augmente le carbonate de calcium incubation d'œufs de poules]] || formation de calcium || 1822 Prout
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| Mg + O > Ca || <sub>20</sub>Ca || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1967 Les souris produisent du calcium à partir de magnésium les souris avec supplément de chlorure de magnésium|1967 Les souris produisent du calcium à partir de magnésium les souris avec supplément de chlorure de magnésium]] || produisent du calcium || 1967 Kervran
|-
| K + H > Ca || <sub>20</sub>Ca || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1972 L'avoine convertit du potassium en calcium.|1972 L'avoine convertit du potassium en calcium]] || convertit en calcium || 1972 Zündel
|-
| Cu > Cu || <sub>29</sub>Cu || [[v:fr:Recherche:LENR/De la force vitale à la radioactivité#1799 : La poule produit du calcium|1799 : La poule produit du calcium]] || la coquille des oeufs vient du calcium || 1799 Vauquelin
|-
| eau > bois || eau > bois || [[v:fr:Recherche:LENR/De la force vitale à la radioactivité#Entre 1579 et 1644, un saule transmute de l'eau en bois|Entre 1579 et 1644, un saule transmute de l'eau en bois]] || le saule transmute l'eau en bois || 1610 van Helmont
|-
| poids = poids || poids = poids || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1777 : Antoine Lavoisier et la conservation de la matière|1777 : Antoine Lavoisier et la conservation de la matière]] || En 1777, Lavoisier propose deux lois : le poids total de matière et des éléments est invariable || 1777 Lavoisier
|-
| > Ca || <sub>20</sub>Ca || [[v:fr:Recherche:LENR/Louis Corentin Kervran et son époque#1799 : La poule produit du calcium|1799 : La poule produit du calcium]] || La poule forme la coquille de ses œufs en calcium || 1799 Vauquelin
|}
 
=== Les variations de masses ===
Des réactions atomiques nucléaires se produisent aussi lors de processus géologiques, mais dans des conditions encore différentes de pressions et températures, donc peut-être par des mécanismes différents.
 
Il y a 2 variations de masses différentes, correspondant aux deux propositions de Lavoisier de 1777.
Au moins 20 chercheurs ont participé aux recherches théoriques sur les transmutations biologiques et Kervran décrit l’histoire détaillée de la formation de la théorie de Costa entre 1963 et 1974.
 
==== La variation de masse totale ====
Les réactions sont entre isotopes stables de la forme Z ± H, ou Z ± He, ou Z ± O, ou autres.
 
Lavoisier : Dans un système fermé, dans lequel se produisent (uniquement) des réactions chimiques, le poids total de matière est invariable.
Lors des réactions atomiques nucléaires biologiques, on n’a pas réussi à détecter les rayonnements habituellement produits par les réactions à haute énergie (alpha, bêta, gamma, rayons X).
 
C'est à ce type de mesure de masse que correspond la variation de masse biologique globale isolée qu'ont observé Hauschka puis Volkamer. Cette variation de la masse globale ne contredit pas le principe de conservation de la matière, au sens du nombre de nucléons, qui ne change pas lors des transmutations biologiques, car l’écart vient de la variation d’énergie de liaison des nucléons dans les noyaux fusionnés ou fissionnés.
Les variations de masse sont d’environ 0,01 à 0,03 unité de masse atomique par atome. Ce niveau d’énergie est intermédiaire entre énergie "chimique" et énergie "nucléaire classique".
 
La plupart des éléments chimiques composant les êtres vivants ont des noyaux atomiques plus légers que celui du fer. Statistiquement, lors des fusions atomiques de ces éléments, l'énergie moyenne de liaison des nucléons augmente car les nucléons sont alors plus souvent dans des noyaux plus liés, et la masse apparente moyenne des noyaux augmente. Les fissions ont statistiquement l'effet inverse. La variation de masse totale n'est que la différence, un résidu, de toutes les variations positives et négatives que provoquent les transmutations, biologiques et autres. Même si cette variation montre que des transmutations existent, elle n’est pas très pertinente pour leur compréhension.
== Quelques hypothèses ==
 
Dans les graines de cresson d'eau étudiées par Hauschka, l’augmentation statistique de masse à l'époque de la pleine lune indique que les fusions sont alors dominantes. Les fissions y semblent dominantes autour de la nouvelle lune.
=== 1964 Simili-Frittage de Kervran ===
 
==== Les variations de masses d'éléments chimiques ====
[[w:Corentin Louis Kervran|Louis Kervran]], à la recherche d’une explication des phénomènes qu’il observe, essaie deux approches :
 
Lavoisier : Le poids total de chaque élément qui compose les substances est inchangé.
D’une part, il expose des caractéristiques de réactions qui ressemblent à un "frittage" des noyaux atomiques.
 
C'est ce type de mesure de masse qui a servi de base dans la plupart des expériences. Pour chaque élément chimique étudié, on mesure ou l’on évalue la masse de toutes les entrées possibles de cet élément, puis on laisse vivre l’organisme étudié, puis on mesure ou l’on évalue la masse de toutes les sorties. On ajuste éventuellement les entrées et sorties pour tenir compte des effets parasites des matériels d’expériences (dilution des parois, capture dans les filtres et autres). La différence entre le total des entrées et le total des sorties montre que la masse, donc le nombre d’atomes de l’élément a varié, donc que des atomes de cet élément se sont formés (ou ont disparu et sont sous d’autres formes). La seule explication disponible en 2009 provient des fusions et fissions de la physique atomique qui permettent la formation ou la disparition d’atomes d’un élément.
D’autre part, pour expliquer l’absence de rayonnements détectables, il incite Olivier Costa de Beauregard à formuler une théorie et celui-ci propose une interaction proton neutrino.
 
== Problématique et enjeux de la recherche ==
Cette partie "frittage" cite Kervran à partir d’un article de presse<ref name="Frittage" >Louis Kervran, Un nouveau schéma du noyau atomique, cité par François Derrey, La Terre cette inconnue, La planète de la vie, {{p.}}237, Encyclopédie Planète, Paris, 1964</ref>{{,}}<ref name="Takashita" >{{ja}} Site Japonais de Kazumichi Takashita, auteur du livre en japonais "La vérité du Frittage" http://homepage2.nifty.com/cosmo-formalism/index.htm</ref>{{,}}<ref name="Frittagenifty" >photographie de l’article [http://homepage2.nifty.com/cosmo-formalism/sakusaku/org/Image.0_1.jpg Louis Kervran, Un nouveau schéma du noyau atomique], La planète de la vie, {{p.}}237, Encyclopédie Planète, Paris, 1964</ref> (plus synthétique que<ref name="PreuvesBio" />{{,}} {{p.}}11 à 22).
 
Le domaine des transmutations biologiques est très peu étudié par les chercheurs. Surtout à cause de la contradiction entre la théorie actuelle des phénomènes nucléaires et les expérimentations en transmutation biologique. Mais aussi parce qu’il ne semble pas actuellement valorisant ou attrayant financièrement.
* "On avait admis que le noyau de l’atome était un amas sphérique d’un mélange de protons et de neutrons, dont on calculait la masse et le rayon en fonction de l’hypothèse de départ. On calculait aussi, sur ces bases, l’énergie moyenne de liaison des nucléons (protons et neutrons)."
* "Or, une telle structure était incompatible avec les résultats que j’observais sur plus de six mille expériences. Je ne pouvais tenter une expérience sur le plan de la structure atomique qu’en supposant des éléments préfabriqués - frittés - ensemble. Autrement dis, j’estimais que la notion d’énergie moyenne n’avait plus de sens - pas plus que le nombre moyen d’animaux dans un troupeau établi en comptant les éléphants... et leurs puces.Je concevais le noyau de l’atome comme formé d’assemblages de nucléons très fortement liés entre eux pour constituer des entités spécifiques, parce que mes expériences conduisaient à reconnaître que les déplacements observés étaient ceux de noyaux d’hydrogène, de carbone, d’oxygène, et parfois, de lithium (s’il en existe d’autres, je n’ai pu, à ce jour, les mettre en évidence). Je pouvais déterminer l’énergie de déplacement d’un noyau d’oxygène dans un tel ensemble."
* "Après la publication de mes travaux, les Américains mettaient en évidence des interférences dans un diagramme de diffraction d’un noyau atomique et conclurent que ceci montrait la rotation de particules dans le noyau, qui n’était donc pas une masse de nucléons - jointifs - tournant d’un bloc. On pensa que cette observation pouvait justifier l’hypothèse déjà émise de couches concentriques de nucléons semblables aux couches concentriques d’électrons."
* "Mais cette construction - en pellure d’oignon - ne permettait pas de comprendre pourquoi il se déplaçait surtout H, C, O et, plus rarement, Li. Par la suite, les Américains admirent l’hypothèse de "grappes" de nucléons, le modèle ainsi défini ayant reçu le nom de cluster model."
 
Les difficultés des chercheurs semblent être :
Après ces citations de Kervran, l’article se termine par : "Si les hypothèses contenues dans ce texte devaient être vérifiées dans l’avenir. Il s’agirait d’une des plus importantes découvertes du demi-siècle. Une nouvelle science en naitrait, aussi importante que la radioactivité ou la physique des quanta. Ces vérifications sont en cours ; malheureusement, tous ces travaux ont lieu à l’étranger. La science française ignore absolument Louis Kervran."
* Un domaine non financé par les organismes de recherche
* Des sujets de recherches dont les budgets ne semblent pas suffisants
* Le risque de se marginaliser par des sujets d'études peu répandus
* Le risque de se déconsidérer en se reliant à des concepts scientifiquement rejetées depuis longtemps
 
Les principales difficultés théoriques semblent être :
Par la formule « en pelure d’oignon », [[w:Corentin Louis Kervran|Kervran]] évoque la structure du noyau en polyèdres concentriques<ref name="MoonNuclearModel" >{{en}} Laurence Hecht, [http://www.21stcenturysciencetech.com/articles/moon_nuc.html Advances in Developing the Moon Nuclear Model], 21st Century Science & Technology</ref> proposée par Robert James Moon<ref name="RobertMoon" >{{en}} [http://www.21stcenturysciencetech.com/articles/drmoon.html Who Was Robert J. Moon?], 21st Century Science & Technology</ref> à partir des travaux de [[w:Maria Goeppert-Mayer|Maria Goeppert-Mayer]], prix Nobel de Physique nucléaire, sur les [[w:Nombre magique (physique)|nombres magiques en physique nucléaire]], et appelée "madone de l’oignon" par [[w:Wolfgang Ernst Pauli|Wolfgang Pauli]]<ref name="Demers" >Pierre Demers, [http://www.er.uqam.ca/nobel/c3410/gqajuin2.html Système du Québécium]</ref>.
* La barrière coulombienne car si les protons ne peuvent pas s'approcher d'un noyau, à cause de la répulsion des charges électriques de l'autre noyau, la fusion n’est pas possible aux faibles énergies qui ne permettent pas une vitesse d'approche suffisante.
* L'équilibre énergétique dans le respect de l'énergie moyenne de liaison car la variation de cette énergie au cours des fusions et fissions biologiques ne peut pas s'expliquer à partir des seuls apports de l'énergie chimique, et sans observation de radiations.
 
Pourtant, depuis deux siècles, des dizaines de chercheurs ont montré par des milliers d'expérimentations élémentaires que ce phénomène se produit dans grande diversité de types d'expérimentations, de méthodes de mesures et d'organismes étudiés.
=== 1974 Hypothèse des neutrinos d’Olivier Costa de Beauregard ===
 
Donc, ou bien toutes ces expérimentations sont erronées, ou bien les théories actuelles sont insuffisantes, les chercheurs doivent rester humbles en ce qui concerne les limites des théories actuelles hors de leur domaine de validité et il doivent continuer à expérimenter et à chercher des hypothèses jusqu'à ce qu'une théorie confirmée devienne l'interprétation standard des transmutations biologiques.
En 1974, à l'instigation de Louis Kervran, Olivier Costa propose des réactions entre proton et neutrino pour expliquer le niveau d'énergie intermédiaire entre radioactivité et chimie
<ref name="Costa1974" >Olivier Costa de Beauregard, NOTE FINALE, p 285 à 298, 7 décembre 1974, dans : Preuves en Biologie de Transmutations à Faible Energie, Louis C. Kervran, Paris 1975, Maloine S.A. Editeur, ISBN 2-224-00178-9.</ref>.
 
L'enjeu est important, car il s'agit de mieux comprendre la biologie des êtres vivants, de mieux cultiver les végétaux, de mieux nous nourrir, de mieux nous soigner, de mieux comprendre la physique atomique et corpusculaire. Il ne s'agit donc pas d'un savoir annexe ou marginal, mais fondamental, utile et essentiel à l'écologie, à la santé, à la science.
Cette radioactivité ne concerne que des isotopes stables. Elle se manifeste par la fusion de deux noyaux, ou la fission inverse. Le phénomène s’accompagne de l’échange de deux neutrinos d’énergies différentes et deux protons d’énergies différentes, l’un libre et l’autre lié dans un noyau. Deux neutrinos sont émis ou l’un est émis et l’autre reçu. Ces réactions sont lentes et leur flux semble compatible avec celui des neutrinos sur Terre.
 
En 1974, Olivier Costa propose ces réactions pour conserver le spin :
* L’interaction de proton + neutrino vers proton’ + neutrino’
* L’interaction de proton vers proton’ + neutrino + antineutrino
 
Cette hypothèse expliquerait l'origine de l'énergie nécessaire à la réaction, mais pas le mécanisme de l’ensemble de la réaction.
 
=== 1975 Hypothèse des sphérons de Linus Pauling ===
 
En 1975, [[w:Linus Pauling|Linus Pauling]], deux fois prix Nobel, et Arthur B. Robinson, proposent l'hypothèse des sphérons sur la structure du [[w:Noyau atomique|noyau atomique]]<ref name="spherons">{{en}} Linus Pauling and Arthur B. Robinson, [http://rparticle.web-p.cisti.nrc.ca/rparticle/AbstractTemplateServlet?calyLang=fra&journal=cjp&volume=53&year=&issue=19&msno=p75-245 Rotating Clusters in Nuclei], CNRC, Revue canadienne de physique, 53(19): 1953–1964 (1975), doi:10.1139/p75-245</ref>, qui pourrait bien constituer l’explication des « transmutations biologiques »<ref name="spheronstrans">Linus Pauling, [http://www.amessi.org/Linus-Pauling-et-la-Medecine?calendrier_mois=2&calendrier_annee=2008 Linus Pauling et la Médecine Orthomoléculaire], AMESSI, samedi 23 juillet 2005</ref>.
 
Dans cette hypothèse :
* La structure du noyau atomique peut contenir un manteau et un amas (cluster) tournant composé de sphérons.
* Un sphéron est soit un hélion (particule alpha), soit une paire de protons ou de neutrons. Le diamètre d'un sphéron est d'environ 3.2 fm.
* Si le manteau le permet, l'amas tournant se déplace à l'intérieur, sinon il glisse à la surface.
* L'amas tournant contient un nombre pair de protons quand le noyau atomique contient un [[w:Nombre magique (physique)|nombre magique]] de protons, et il en est de même pour les neutrons.
* Lorsque le nombre N de neutrons croît, pour certaines valeurs de N, la structure du noyau change et le rayon du cœur augmente d'un demi-diamètre de sphéron. L'amas tournant passe alors à l'intérieur du manteau et son rayon R se réduit d'un demi-diamètre de sphéron.
* Pour les lanthanides, l'amas tournant contient le nombre d'hélions n2 ou p2 nécessaires selon la différence entre Z et N.
* Pour les actinides, l'amas tournant contient tous les nucléons au-dessus de 208Pb, avec p10n16 comme maximum.
* Le rayon R de rotation de l'amas tournant est calculé pour un nombre magique de protons et de neutrons, ou pour un nombre magique à 2 près pour un hélion (particule alpha).
 
Cette hypothèse expliquerait une disposition éventuellement favorable aux transmutations biologiques, mais pas le mécanisme de l’ensemble de la réaction, ni l'énergie nécessaire.
 
=== 1978 Hypothèse MgATP de Solomon Goldfein ===
 
En 1978, Solomon GOLDFEIN proposa l'Adénosine triphosphate de Magnésium (MgATP) qui permettrait d'expliquer à la fois le lieu, le type de réalisation par effet cyclotron et le transfert d'énergie des transmutations biologiques<ref>{{en}} Solomon GOLDFEIN, [http://www.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a056906.pdf Biological Transmutation, Energy Development From Elemental Transmutations In Biological Systems] U.S. Army Mobility Equipment Research & Development Command, Ft. Belvoir, VA, Report 2247 (May 1978) dtic</ref>.{{,}}<ref>{{en}} Solomon GOLDFEIN, [http://rexresearch.com/goldfein/goldfein.htm Biological Transmutation, Energy Development From Elemental Transmutations In Biological Systems] U.S. Army Mobility Equipment Research & Development Command, Ft. Belvoir, VA, Report 2247 (May 1978), rexresearch</ref>
 
Louis Kervran rapporte cette hypothèse (<ref name="TBphys1982">Corentin Louis Kervran, Transmutations biologiques et physique moderne, Maloine, Paris, 1982, 205 p, 24 cm, ISBN 2-224-00831-7</ref> p. 125 à 131), et la résume ainsi : « L'étude de Goldfein considère une chaine de 10 ions Mg++. Les électrons de la chaine Mg++ interviennent pour créer un champ électrique oscillant, conduisant à une résonance. Un ion H+, introduit entre les composants du sandwich de molécules OH et Oγ, aboutit sous l'impulsion du dipôle à une trajectoire en hélice circulaire de diamètre 30 Angströms. Finalement selon l'hypothèse on arriverait à une vitesse de rotation de H+ relativiste par un effet cyclotron, tel que H+ incident franchirait la barrière de potentiel et pénétrerait le noyau d'un atome, comme dans le cas ou K recevant un proton donnerait un atome, <sub>19</sub>K + <sub>1</sub>H → <sub>20</sub>Ca »<br />
« Certaines cellules comportent plus de 7000 mitochondries. »
 
=== 1994 Hypothèse de l'espace quantique ===
 
La "théorie de l'espace quantique" (QST en anglais), qui a été élaborée en 1994 par F. Santandrea, pourrait donner un point de vue unificateur pour la science physique toute entière, y compris le domaine de la LENR, banalement nommée fusion froide<ref name="QstJONP2012">F. Santandrea, Pr. U. Abundo, [http://www.journal-of-nuclear-physics.com/?p=748 The “Quantum Space Theory” could explain the LENR], Journal Of Nuclear Physics, 3 octobre 2012.</ref>.
 
L'hypothèse de Widom-Larsen, essentiellement basée sur la coopération d'électrons dans la matière condensée (selon la théorie de G. Preparata) peut être considérée comme un cas particulier, sous certaines conditions, des prévisions de la QST<ref name="QstJONP2012"/>.
 
Selon la QST, les électrons confinés dans la matière condensée "perdraient naturellement leur l'identité". Et les propriétés de l'espace permettraient et contrôleraient l’existence et le comportement des électrons, donnant ainsi une cohérence naturelle aux hypothèses de Widom-Larsen<ref name="QstJONP2012"/>.
 
Dans cette nouvelle approche de l'espace et de la structure des particules, ces dernières deviennent une expression stable des fréquences de résonances de l'espace, l'électron lui-même et les particules de la matière condensée sont généralement des «objets électromagnétiques" constitués d'ondes stationnaires dans l'espace quantique conçu selon l'hypothèse QST<ref name="QstJONP2012"/>.
 
=== 2011 Mini-atomes instables sous la contrainte d'un cristal ===
 
Un [[Une histoire des transmutations biologiques/Recherches de domaines liés#2011 Générateur thermique à fusion nickel hydrogène|générateur thermique]] en cours de commercialisation est basé sur la fusion de nickel et d'hydrogène vers du cuivre.
 
Dans ce cadre, selon une hypothèse uniquement intuitive de Focardi et Rossi, sous la contrainte du cristal de nickel, les protons de l'hydrogène diffuseraient facilement dans le cristal et ses électrons se diffuseraient avec les électrons de conductivité du cristal. Une série de mini-atomes instables d'hydrogène pourraient se former et fusionner avec les atomes de nickel, surpassant la barrière de Coulomb ; ils devraient avoir une dimension de 10<sup>-14</sup> m, distance à laquelle les forces de cohésion du noyau permettraient la fusion. L'annihilation de beta+ et beta- conduirait à l'émission de photons gamma de haute énergie, ce que les mesures semblent accréditer<ref name="RossiNiHhypothese">{{en}} Focardi et Rossi, [http://www.journal-of-nuclear-physics.com/?p=338 Hydrogen/Nickel cold fusion probable mechanism], January 14th 2011, Bologne Italie, Journal of Nuclear Physics</ref>.
 
=== Hypothèses diverses ===
 
À la recherche d'une explication des transmutations biologiques, ou d'autres phénomènes, plusieurs chercheurs ont proposé des hypothèses :
* La structure du noyau en polyèdres concentriques proposée par [[w:Maria Goeppert-Mayer|Maria Goeppert-Mayer]], Robert James Moon et Laurence Hecht<ref>{{en}} Laurence Hecht, [http://www.21stcenturysciencetech.com/moonsubpg.html The Moon Model of the Nucleus], 21st Century Science & Technologie</ref> expliquerait les nombres magiques mais pas la facilité de déplacement privilégiée de certains éléments, décrite par Kervran comme un "frittage".
* Après les publications de Kervran, "les Américains" proposèrent des "grappes" de nucléons (cluster model).
* Depuis, d'autres approches sont apparues avec la fusion froide (effondrement électro-nucléaire, effet quantique, pico-gravité...)
 
== Histoire des sciences ==
 
Comment les théories scientifiques évoluent-elles ?
 
Où en sont les transmutations biologiques dans cette évolution ?
 
== Utiliser les transmutations biologiques ==
 
Santé des os par la silice.<br />
 
limitation thermique
 
Déchets atomiques, <br />
 
alimentation équilibrée
 
engrais plus complets, <br />
 
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== Notes et Références ==
== Notes et références ==
<references />
<references/>
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