« DMS 2/Analytique (3) » : différence entre les versions

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== MonographieMONOGRAPHIE n°49 Structure de l’analytique (3) ==
=== Interprétation des représentations de l’analytique ===
[[File:Evolution mentale.png|thumb|Evolution des interprétations analytiques]]
En accumulant en mémoire les expériences conscientes qu’il structure grâce à ses moyens (modalités, opérateurs, formes élémentaires, etc…) 2/ conceptualise : dès qu’un élément p2e est reconnu pour avoir déjà été vécu, se forme un concept de catégorie cp2 en mémoire accessible des p2 post-e, concept que 2/ a créé en conscience et qui dès lors peut faire l’objet d’une expérience consciente. C’est le cercle vertueux entre conscience et mémoire accessible résultant d’un pouvoir opératif de l’analytique. A force de structurer et de cumuler ces mêmes concepts 2/ crée des concepts de plus en plus complexes, des tableaux de sens qui aboutissent à des représentations du monde extérieur, de son monde mental et de lui-même de plus en plus sophistiquées qui accroissent son pouvoir de structuration. Il crée d’autant plus de représentations que la fonction volontaire en est friande parce qu’elles enrichissent ses critères de décision, la rende plus efficace, qu’elle en est consciente par 7j et comme elle est volontaire, naturellement elle en redemande toujours plus.
Les bonobos comme les perroquets conceptualisent les fruits qu’ils mangent et leur environnement et avant eux d’autres animaux le font. Ils savent compter jusqu’à un certain point, ils sont une meilleure mémoire immédiate que nous-mêmes, mais ils ne sont pas conscients de conceptualiser (du moins, ils ne nous le montrent pas), nous oui. Aussi nos représentations s’enrichissent de celles de ce même pouvoir de conceptualiser, du pouvoir opératif de l’analytique, de la nature de ses produits p2, il se révèle à lui-même à la fois son pouvoir analytique et ses produits tels qu’ils existent en lui-même, mais il ne révèle pas tout de lui-même.
 
2/ opère en pré-conscience, c’est-à-dire hors de toute conscience, et il ne livre pas en conscience toutes ses opérations et tous ses produits, en particulier toute sa réalité architecturale qu’il ne cesse de construire. Les produits qu’il ne livre pas et qu’il charge de p8 en les produisant, parce qu’ils sont chargés restent en mémoire sans passer par la conscience et constituent une mémoire non post-e, c’est-à-dire une mémoire des produits qui n’ont pas été conscients. Mais livrés ou pas livrés, ces produits ont la même nature, ce sont des p2, et il les a produits avec son même pouvoir opératif parce qu’il n’en a pas d’autres. Toutes ses opérations, conscientes ou non utilisent ses mêmes opérateurs logiques, valeurs logiques, modèles élémentaires, parce qu’il n’en a pas d’autres.
Les bonobos comme les perroquets conceptualisent les fruits qu’ils mangent et leur environnement et avant eux d’autres animaux le font. Ils savent compter jusqu’à un certain point, ils sont une meilleure mémoire immédiate que nous-mêmes, mais ils ne sont pas conscients de conceptualiser (du moins, ils ne nous le montrent pas), nous oui. Aussi nos représentations s’enrichissent de celles de ce même pouvoir de conceptualiser, du pouvoir opératif de l’analytique, de la nature de ses produits p2, il se révèle à lui-même à la fois son pouvoir analytique et ses produits tels qu’ils existent en lui-même, mais il ne révèle pas tout de lui-même.
En conceptualisant son propre pouvoir opératif, ses propres opérateurs, ses modèles formels, tels qu’ils apparaissent dans ses opérations conscientes et leurs produits, il construit des concepts complexes qui aboutissent à la représentation de ses propres opérations, qui conscientes ou non sont les mêmes, et parce qu’elles sont les mêmes, il conceptualise aussi ses opérations non conscientes et leurs produits, les p2 non post-e donc sa réalité architecturale qu’il ne cesse de construire, qui aboutit à une représentation de sa mémoire inaccessible et sa propre réalité architecturale telle que l’AGP, l’AFM, le TGM.
 
La différence de cette représentation de lui-même et ses représentations du monde, c’est que le monde n’appartient pas à sa nature, alors que lui-même appartient à sa propre nature et que le concept d’un concept reste non seulement un concept mais reste identique à lui-même. Donc cette représentation de lui-même est identique à sa propre nature, à ses propres p2, cp2, ap2, si elle est faillible l’erreur ne se situe pas dans la nature même du sens, d’un concept, d’une architecture mais uniquement dans la forme de cette architecture. Le contenu quand il existe est bon mais l’architecture est souvent mauvaise et perfectible. Dans une représentation telle que l’AGP, le contenu est donc bon même s’il reste incomplet parce que 2 n’a pas nécessairement conceptualisé tous ses moyens, mais l’architecture peut être mauvaise, sa réalité beaucoup plus complexe, mais même plus complexe elle reste une architecture. Donc même si les choses ne sont pas tout à fait à leur place, et les concepts plus complexes, parce que le sens reste du sens, ces représentations de la réalité de l’analytique possèdent une efficacité pratique, de même qu’avec une mauvaise arbalète on peut atteindre une cible.
2/ opère en pré-conscience, c’est-à-dire hors de toute conscience, et il ne livre pas en conscience toutes ses opérations et tous ses produits, en particulier toute sa réalité architecturale qu’il ne cesse de construire. Les produits qu’il ne livre pas et qu’il charge de p8 en les produisant, parce qu’ils sont chargés restent en mémoire sans passer par la conscience et constituent une mémoire non post-e, c’est-à-dire une mémoire des produits qui n’ont pas été conscients. Mais livrés ou pas livrés, ces produits ont la même nature, ce sont des p2, et il les a produits avec son même pouvoir opératif parce qu’il n’en a pas d’autres. Toutes ses opérations, conscientes ou non utilisent ses mêmes opérateurs logiques, valeurs logiques, modèles élémentaires, parce qu’il n’en a pas d’autres.
 
En conceptualisant son propre pouvoir opératif, ses propres opérateurs, ses modèles formels, tels qu’ils apparaissent dans ses opérations conscientes et leurs produits, il construit des concepts complexes qui aboutissent à la représentation de ses propres opérations, qui conscientes ou non sont les mêmes, et parce qu’elles sont les mêmes, il conceptualise aussi ses opérations non conscientes et leurs produits, les p2 non post-e donc sa réalité architecturale qu’il ne cesse de construire, qui aboutit à une représentation de sa mémoire inaccessible et sa propre réalité architecturale telle que l’AGP, l’AFM, le TGM.
 
La différence de cette représentation de lui-même et ses représentations du monde, c’est que le monde n’appartient pas à sa nature, alors que lui-même appartient à sa propre nature et que le concept d’un concept reste non seulement un concept mais reste identique à lui-même. Donc cette représentation de lui-même est identique à sa propre nature, à ses propres p2, cp2, ap2, si elle est faillible l’erreur ne se situe pas dans la nature même du sens, d’un concept, d’une architecture mais uniquement dans la forme de cette architecture. Le contenu quand il existe est bon mais l’architecture est souvent mauvaise et perfectible. Dans une représentation telle que l’AGP, le contenu est donc bon même s’il reste incomplet parce que 2 n’a pas nécessairement conceptualisé tous ses moyens, mais l’architecture peut être mauvaise, sa réalité beaucoup plus complexe, mais même plus complexe elle reste une architecture. Donc même si les choses ne sont pas tout à fait à leur place, et les concepts plus complexes, parce que le sens reste du sens, ces représentations de la réalité de l’analytique possèdent une efficacité pratique, de même qu’avec une mauvaise arbalète on peut atteindre une cible.
 
=== Incompatibilité de l’analytique et de la logique ===
J’ai longtemps cru que l’analytique était une fonction logique, que la logique était son ‘’bébé’’, son trésor, en fait, il n’en est rien. J’ai toujours voulu faire ‘’rentrer’’ les ‘’carrés‘’ de la logique dans les ‘’rondelles’’ de 2, en fermant les yeux sur les incohérences, en louvoyant pour éviter de les confronter. Certains de leurs outils se ressemblent tout en restant fondamentalement différents, l’association n’est pas l’appartenance, la dissociation n’est pas la disjonction (ou). 2 est un excellent géomètre, mais un très mauvais algébriste, un mauvais logicien. Il ne sait pas ce que c’est que le négatif, quand il distingue une chose elle est présente, elle n’est autre chose que du sens, et le flou fait partie de la nature même du sens, quand il descend son échelle de flou, il bute sur l’indistinction, sur l’absence, et derrière ou plus bas, il n’y a rien. La négation du sens, il ne sait pas ce que c’est sinon la négation de l’existence du sens, son inexistence. Pour lui l’indistinct, l’absence, l’inexistence, c’est le même concept, de même que le distinct, la présence, l’affirmation de l’existence, c’est le même concept, et comme le concept d’un concept est le même concept, l’affirmation (oui) de la présence (P) du distinct (L), c’est toujours du distinct (L), oui º P º L. Ces trois signes ne signalent que des nuances de sens du concept de la présence d’un sens. Un sens a des nuances, c’est ce qui fait le charme de son flou et le flou de son sens. De même que la négation (non), l’absence (A) et l’indistinct ( @ ) sont des nuances du concept de l’absence d’un sens, non º A º @. Ces deux concepts, fondamentaux pour 2 sont opposés mais pas des opposés symétriques car si l’absence d’une présence est une absence, l’absence d’une absence n’est pas une présence mais toujours une absence, toujours rien. De même que l’absence, la négation, l’indistinction d’une négation, d’une distinction, d’une indistinction comme de tout autre concept c’est toujours rien. De ce fait la négation d’un concept (comme l’absence) peut être le même concept. C’est la deuxième tautologie ou axiome de 2 : (l’absence de l’absence d’un concept est une absence) à ces deux tautologies correspondent deux contradictions :
* ° le concept d’un concept est L du même concept,
* ° l’absence de l’absence d’un concept est L de l’absence du même concept.
Toujours fausses dans lesquelles on peut remplacer absence par négation ou indistinction. Les sens vrai et faux apparaissent alors comme catégories des tautologies et des contradictions dans les cases de 2, et comme simples concepts ils sont associés au pétale des valeurs logiques. Il ne faut pas confondre ces valeurs logiques avec les opérateurs de 2/ tels que U, Di U, etc… car 2 ne peut pas opérer (non, A, @) sur les G(w) de la mémoire, dès qu’un G(w) a été distingué comme (ma huppe) il ne peut disparaître de ma mémoire que s’il perd son p8. S’il peut annuler une duplication c’est en la confondant 2/Co avec son G(w) original, et il ne peut confondre son G(w) original qu’avec lui-même, c’est une opération nulle.
 
Il en est de même de l’inversion. L’inversion est un concept qui oppose un concept (un G(w)) à tout ce qu’il n’est pas au sein du tout (la mémoire m pour 2), et la mémoire (m) à rien, ce serait une opération dangereuse que 2 ne peut pas opérer. Par contre il peut construire en permutant des éléments comme les faces et les sommets d’un polyèdre, passer du cube à l’octaèdre, et de l’octaèdre au cube, le tétraèdre donne un tétraèdre symétrique et le dodécaèdre (12 faces pentagonales et 20 sommets) donne enfin l’icosaèdre (20 faces triangulaires et 12 sommets).
Toujours fausses dans lesquelles on peut remplacer absence par négation ou indistinction. Les sens vrai et faux apparaissent alors comme catégories des tautologies et des contradictions dans les cases de 2, et comme simples concepts ils sont associés au pétale des valeurs logiques. Il ne faut pas confondre ces valeurs logiques avec les opérateurs de 2/ tels que U, Di U, etc… car 2 ne peut pas opérer (non, A, @) sur les G(w) de la mémoire, dès qu’un G(w) a été distingué comme (ma huppe) il ne peut disparaître de ma mémoire que s’il perd son p8. S’il peut annuler une duplication c’est en la confondant 2/Co avec son G(w) original, et il ne peut confondre son G(w) original qu’avec lui-même, c’est une opération nulle.
2 et la logique bivalente sont donc incompatibles, pas dans un sens absolu puisqu’on y trouve des coïncidences mais parce que l’une est une méthode et l’autre une fonction mentale qui applique d’autres principes même si on pourrait, puisque l’objectif de la logique est d’offrir la possibilité de représenter tous les mondes possibles, et qu’il n’y a pas une logique mais des logiques comme il y a des géométries non euclidiennes, en donnant à cette logique les axiomes de 2 lui donner la possibilité de représenter les possibles du monde de 2. C’est pourquoi, si j’ai signalé cette fonction par le mot « analytique » qui désigne une section des mathématiques, parce qu’il me fallait en trouver un, je préfère utiliser le signe 2.
 
2 ne peut opérer sur ses G(w) ni la négation, ni l’absence, ni l’indistinction, son pouvoir opératif général n’est pas réversible : (2/ (non A @) G(w) Þ (non A @)) u Ca (cat (faux)), seules les opérations de ses opérateurs tels que U et Ո, Du et Co le sont. C’est-à-dire qu’elles permettent par leur succession de revenir à l’état initial, mais ces opérations ne concernent que des assemblages, elles ne détruisent pas les produits G(w) de la distinction de 2/. A noter que Se ne supprime ou ne réduit que les espaces dupliqués par Ae, comme Co avec Du, pas les modèles de ces espaces virtuels. Ces opérations sont symétriques. On pourrait considérer qu’un groupe de sens dissocié soit la négation partielle d’un groupe de sens associé, la négation ne portant que sur l’association, mais là encore la double négation ne s’applique pas, la réitération de Ո ne donnant rien. Ces opérations ne présentent aucun danger, elles se portent sur des ensembles finis et ne peuvent créer que des ensembles finis. Di a l’apparence d’une division qui distribue des G(w) sur une architecture finie, en général régulière. Mais il est impossible à Di de répartir quelque chose sur une absence d’architecture, c’est-à-dire sur rien, donc impossible de diviser par zéro. Pas possible non plus de répartir ou d’associer rien sur une architecture ou l’une de ses cases, donc de multiplier par zéro.
Il en est de même de l’inversion. L’inversion est un concept qui oppose un concept (un G(w)) à tout ce qu’il n’est pas au sein du tout (la mémoire m pour 2), et la mémoire (m) à rien, ce serait une opération dangereuse que 2 ne peut pas opérer. Par contre il peut construire en permutant des éléments comme les faces et les sommets d’un polyèdre, passer du cube à l’octaèdre, et de l’octaèdre au cube, le tétraèdre donne un tétraèdre symétrique et le dodécaèdre (12 faces pentagonales et 20 sommets) donne enfin l’icosaèdre (20 faces triangulaires et 12 sommets).
L’inversion est exclue comme toutes les opérations dangereuses que 7dj pourrait imaginer, 2 ne peut pas créer d’autres opérateurs au-delà de ceux qu’il possède déjà, pas plus qu’il ne peut modifier ses axiomes.
Les propositions de 2 ne sont pas nécessairement utiles ou raisonnables. Il ne juge pas ce qu’il produit, c’est à 7j de juger ce qui est exploitable ou non. 2 n’a pas d’intention, il n’affirme rien comme vrai, ne nie rien comme faux, sinon ce qui est conforme ou non aux propriétés de son architecture, qui se borne à dire que la catégorie des tautologies est cat (vrai) et celle des contradictions cat (faux).
2 et la logique bivalente sont donc incompatibles, pas dans un sens absolu puisqu’on y trouve des coïncidences mais parce que l’une est une méthode et l’autre une fonction mentale qui applique d’autres principes même si on pourrait, puisque l’objectif de la logique est d’offrir la possibilité de représenter tous les mondes possibles, et qu’il n’y a pas une logique mais des logiques comme il y a des géométries non euclidiennes, en donnant à cette logique les axiomes de 2 lui donner la possibilité de représenter les possibles du monde de 2. C’est pourquoi, si j’ai signalé cette fonction par le mot « analytique » qui désigne une section des mathématiques, parce qu’il me fallait en trouver un, je préfère utiliser le signe 2.
 
2 ne peut opérer sur ses G(w) ni la négation, ni l’absence, ni l’indistinction, son pouvoir opératif général n’est pas réversible : (2/ (non A @) G(w) Þ (non A @)) u Ca (cat (faux)), seules les opérations de ses opérateurs tels que U et Ո, Du et Co le sont. C’est-à-dire qu’elles permettent par leur succession de revenir à l’état initial, mais ces opérations ne concernent que des assemblages, elles ne détruisent pas les produits G(w) de la distinction de 2/. A noter que Se ne supprime ou ne réduit que les espaces dupliqués par Ae, comme Co avec Du, pas les modèles de ces espaces virtuels. Ces opérations sont symétriques. On pourrait considérer qu’un groupe de sens dissocié soit la négation partielle d’un groupe de sens associé, la négation ne portant que sur l’association, mais là encore la double négation ne s’applique pas, la réitération de Ո ne donnant rien. Ces opérations ne présentent aucun danger, elles se portent sur des ensembles finis et ne peuvent créer que des ensembles finis. Di a l’apparence d’une division qui distribue des G(w) sur une architecture finie, en général régulière. Mais il est impossible à Di de répartir quelque chose sur une absence d’architecture, c’est-à-dire sur rien, donc impossible de diviser par zéro. Pas possible non plus de répartir ou d’associer rien sur une architecture ou l’une de ses cases, donc de multiplier par zéro.
 
L’inversion est exclue comme toutes les opérations dangereuses que 7dj pourrait imaginer, 2 ne peut pas créer d’autres opérateurs au-delà de ceux qu’il possède déjà, pas plus qu’il ne peut modifier ses axiomes.
 
Les propositions de 2 ne sont pas nécessairement utiles ou raisonnables. Il ne juge pas ce qu’il produit, c’est à 7j de juger ce qui est exploitable ou non. 2 n’a pas d’intention, il n’affirme rien comme vrai, ne nie rien comme faux, sinon ce qui est conforme ou non aux propriétés de son architecture, qui se borne à dire que la catégorie des tautologies est cat (vrai) et celle des contradictions cat (faux).
 
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