« Approche géostratégique des espaces maritimes d'aujourd'hui/Annexe/ZEE » : différence entre les versions
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== Principales ZEE ==
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|+Liste des États en fonction de leur ZEE<ref>Dans le cas où les délimitations n'auraient pas encore fait l’objet d'accords entre les États concernés, les surfaces indiquées sont des estimations, basées généralement sur l’[[w:Équidistance|équidistance]] ; ces estimations peuvent comprendre la surface des [[eaux intérieures]] et des [[eaux archipélagiques]], et celle de la [[mer territoriale]] ; elles ne comprennent pas les éventuelles extensions du [[plateau continental (géophysique)|plateau continental]] au-delà de la limite des ZEE).</ref>
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|Portugal||{{formatnum:1727408}}<ref>Le Portugal obtiendra une extension de sa ZEE au-delà des 350 milles si le protocole des [[Açores]] est confirmé par les Nations unies.</ref>||{{formatnum:92090}} ||{{formatnum:1819498}}
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La France doit sa grande surface maritime à ses territoires (départements et collectivités) d'outre
L'Australie a revendiqué
▲La France doit sa grande surface maritime à ses territoires (départements et collectivités) d'outre mer et de certains « cailloux » perdus au milieu des mers. En effet, la Polynésie assure à la France la plus grande partie de cet immense domaine océanique avec une ZEE de près de cinq millions de km². La ZEE de la France couvre approximativement 8 % de la surface de toutes les ZEE du monde.
▲L'Australie a revendiqué, à la Commission des Nations unies sur les limites du plateau continental, une ZEE de 200 milles marins ({{Unité|370|{{Abréviation|km|kilomètre}}}}) à partir de son territoire en Antarctique. Néanmoins, l'Australie maintient son droit d'explorer et d'exploiter la masse d'eau et les fonds marins dans sa ZEE.
== Conflits liés aux ZEE ==
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