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→‎1862 : Capissuchi de Bollogne, gens d'église, XVII-XIXème
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{{Citation bloc|'''BOLLOGNE (Antoine Capissuchi, de), évêque de Digne''', né au hameau du Plan, commune de Barcelonnette, d'une famille originaire de Bologne, en Italie, entra dans l'Ordre des pères Minimes. Il était procureur du couvent de Mâcon, quand il fut élevé sur le siége de Digne, en 1602. Son épiscopat ne fut qu'une longue suite de procès contre le chapitre , les habitants et la commune de Digne. Les chagrins qu'il en eut altérèrent sa santé. Il mourut au village de Tanaron, le 24 novembre 1615, aussi peu regretté que pouvait l'être un plaideur de cette force, comme l'a dit malicieusement l'historien Papon.<br>'''BoLLOGNE (Louis Capissuchi, de), frère et successeur du précédent, aumônier du roi Louis XIII''', était dans la Gascogne, quand il apprit la mort d'Antoine. Il se mit aussitôt en route pour venir prendre possession du siége de Digne. Une hémiplégie survenue pendant son voyage, ne lui permit pas de recevoir l'onction épiscopale.<br>Louis mourut à Nogent, en février 1628, à son retour de Digne où on l'avait transporté pour y prendre les eaux thermales.<br>BOLLOGNE (Raphaël Capissuchi, de), natif de Mondovi en Piémont, coadjuteur de son oncle Louis depuis 1616, lui succéda en 1628. Ce fut sous son épiscopat que les religieuses Ursulines vinrent de Montélimart s'établir à Digne , en 1642, où elles restèrent jusqu'en 1790.<br>Raphaël avait porté les armes dans sa jeunesse. Il assista à l'Assemblée générale du clergé en 1635. Son grand âge et ses infirmités l'obligèrent à demander un coadjuteur en 1653; il vécut néanmoins encore dix ans, n'étant mort qu'en 1664.<br>'''BOLLOGNE (Étienne Capissuchi, de), frère et oncle des précédents, chapelain ordinaire du roi Henri III''', administra les derniers sacrements à ce prince, lorsqu'il fut assassiné par Jacques Clément, en 1589.<br>Étienne était abbé de Livry, dans le diocèse de Paris. Il permuta ce riche bénéfice avec Claude Coquelet qui se démit de l'évêché de Digne en faveur d'Antoine de Bollogne, en 1602.<br>'''BoLLOGNE (Jean-Joseph Capissuchi, de)''', de la même famille que les précédents, docteur de Sorbonne, né au Sauze, près de Barcelonnette, le 6 février 1762, fut successivement, à son retour de l'émigration, curé de Roumoules, d'Oraison , de Valensole, supérieur du Grand-Séminaire à Digne, depuis la fin de décembre 1824, jusqu'au milieu de 1828, et vicaire-général du diocèse, depuis le 27 avril 1825 jusqu'à sa mort arrivée le 16 janvier 1834.<br>L'abbé de Bollogne avait su se concilier l'estime et l'affection des populations, au milieu desquelles il exerça son ministère, par ses mœurs simples et douces. Il aimait surtout à s'entourer des jeunes enfants pour les former à la pratique des devoirs religieux.<br>Ce fut lui qui conduisit en 1829, de Clermont à Digne, les religieuses ursulines qui sont venues faire revivre l'ancienne communauté de cet ordre fondée en 1642, sous l'épiscopat de Raphaël de Bollogne.|Biographie des hommes rémarquables des Basses-Alpes ou dictionnaire historique des tous les personnages de ce département gui se sont signales depuis les temps les plus réculés jusqu'à nos jours: Pas une société & gens & lettre, Repos, 1850<ref>[https://books.google.fr/books?id=XrM6AAAAcAAJ&pg=PA46 Bollogne, page 46]</ref>}}
 
== Les Boulogne & Saint-George(s) ==
 
=== [[w:Pierre de Bologne|Pierre de Bologne II (1706 - 1792)]] ===
 
De BoLogne Pierre est Sécrétaire du Roi et Audiencier au Parlement de Metz. Poète lyrique, Pierre de Bologne est auteur de poésies diverses et odes sacrées qui ont été imprimées entre [[w:1745|1745]] et [[w:1821|1821]]. Les Académies de [[w:La Rochelle|La Rochelle]], d'[[w:Angers|Angers]], de [[w:Marseille|Marseille]] en [[w:France|France]] et l'Académie des Inestricati de [[w:Bologne|Bologne]] en [[w:Italie|Italie]], l'avaient admis au nombre de leurs membres<ref>Bibliographie dans Johann Samuel Ersch.- ''Das gelehrte Frankreich oder Lexicon der französischen'', Volume 1, 1797, [https://books.google.fr/books?id=zLhZAAAAcAAJ&dq=Ode%20au%20Roy%20%2B%20Pierre%20de%20Bologne&hl=fr&pg=PA155#v=onepage&q=Ode%20au%20Roy%20+%20Pierre%20de%20Bologne&f=false page 155].</ref>.
 
{{Citation bloc|Bologne (Pierre de), poëte lyrique français, né à la Martinique en 1706, mort à Angoulême vers 1789. Il était issu de la famille bolonaise des Capizupi, qui, dans le seizième siècle, s'était fixée en Provence. Il embrassa de bonne heure la profession des armes ; et, après avoir fait contre l'Autriche toutes les campagnes du Rhin et des Pays-Bas, il fut réformé à la paix d'Aix-la-Chapelle. Établi à Angoulême, où il se maria, il consacra ses loisirs à la culture de la poésie : "Bologne, dit Sabatier, est, après Pompignan, celui de tous nos poétes actuels qui a le mieux réussi dans l'ode sacrée. Sa poésie se distingue par la pureté, l'élégance, l'harmonie, le naturel, et l'aisance de la versification". Bologne aurait pu, en venant à Paris, obtenir, par la publicité, la réputation dont ses talents le rendaient digne ; mais il préféra à la renommée l'obscurité de sa province. Les Académies de la Rochelle, d'Angers, de Marseille, et des Inestricati de Bologne, l'avaient admis au nombre de leurs membres. On a de Pierre de Bologne : Amusements d'un Septuagénaire, ou contes, anecdotes, bons mots, naivetés, mis en vers, Paris, 1789, in-8°;— Poésies diverses, Angoulême et Paris, 1746, in-8°; — Odes sacrées; ibid., 1758, in-12. La réunion de ces deux recueils forme les (Euvres de Bologne, publiées en 1769, in-8°. Sabatier, les Trois siècles littéraires.|{{Bibliographie|Q28375590}}, 1862<ref>[https://books.google.fr/books?id=hlFEI9HWs4kC&hl=fr&pg=PA513#v=onepage&q&f=false page 513]</ref>.}}
 
==== Œuvres poétiques ====
 
* 1738 : {{ouvrage|année=1738|prénom1=Pierre|nom1=de Bologne|titre=Ode sur la tempête qui ravagea les îles de l'Amérique le {{date|9|août|1738}}. Ode sur le psaume super flumina Babilonis : {{XVIIIe siècle}}|lieu=|éditeur=}}.{{Référence nécessaire}}<!--Non trouvé sur le Web ni à la BNF.<br />"''Heures nouvelles, en vers français, à l'usage des pieux amateurs de la poésie, contenant la messe et autres prières, ornées de vignettes en taille douce. Par de Bologne; Nancy, impr. d'Hœner; Paris, (Persan), 1822, in-12. — Un autre Bologne a publié : Odes sacrées, 1758, in-12''" in {{ouvrage|année=1860|prénom1=François Marie|nom1=Pérennès|prénom2=Gustave|nom2=Brunet|prénom3=Jacques-Paul|nom3=[http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119160622/PUBLIC Migne]|prénom4=et|nom4=al.|titre=[http://books.google.fr/books?id=6KQPAAAAIAAJ&pg=PT451&dq=Heures+nouvelles+en+vers+fran%C3%A7ais+Pierre+de+Bologne Dictionnaire de bibliographie catholique] : présentant l'indication et les titres complets de tous les ouvrages qui ont été publiés dans les trois langues grecque, latine et française, depuis la naissance du christianisme, en tous pays, mais principalement en France, pour et sur le catholicisme : {{XIXe siècle}}|lieu=Paris|éditeur=Publié par J.P. Migne}}. Notice BNF n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31080330x/PUBLIC FRBNF31080330].--~~~~-->
* [[1745]] : {{ouvrage|année=1745|prénom1=Pierre|nom1=de Bologne|titre=Ode au Roy par M. de Bologne : {{XVIIIe siècle}}-{{XIXe siècle}} : 1650-1820|lieu=S. l.|éditeur=Publication : Thiboust}}. Notice BNF n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39375865k/PUBLIC FRBNF39375865].
* 1746 - {{bibliographie|Q28374645}}
[[Fichier:Pierre de Bologne, Odes sacrées, 1758.jpg|100px|vignette|gauche|1758]]
* 1758 - {{bibliographie|Q28374191}}. L'édition est annoncée en ces termes dans la correspondance de Grimm et Diderot :
{{Citation bloc|''Un Américain, M. de Bologne, vient de donner un recueil de poésie sacrées<ref>Odes sacrées, 1758, in-12</ref>, suivi de poésies diverses dont quelques-unes sont latines. Je ne crois pas que ce poête se trouve jamais placé à côté du grand Rousseau dans les cabinets où il y aura du choix. Ce recueil a déjà été imprimé, il reparaît considérablement augmenté. Vous trouverez à la fin la traduction du premier livre de Télémaque en vers latins''. ([[w:Melchior Grimm|Grimm]] & [[w:Denis Diderot|Diderot]])<ref>{{ouvrage|année=1877-1882|prénom1=Grimm|nom1=& Diderot|titre=[http://books.google.fr/books?ei=70GRTND-OoyAOL-n1eYM&ct=result&id=ag2RW1F7YfQC&dq=1758+Correspondance+litt%C3%A9raire%2C+philosophique+et+critique+Odes+sacr%C3%A9es%2C+par+M.+de+Bologne&q=Odes+sacr%C3%A9es%2C+par+M.+de+Bologne#search_anchor Correspondance littéraire, philosophique et critique], par Grimm, Diderot, Raynal, Meister, etc., revue sur les textes originaux... par Maurice Tourneux. Tome 3 : {{sp-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1758-1882|lieu=Paris|éditeur=Tourneux, Maurice (1849-1917)}}.{{BNF|311827671}}, {{Gallica|http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5784275j.image.hl.r=Odes+sacr%C3%A9es+Pierre+de+Bologne.f446.langFR}}.</ref>.}}
* 1758 - Les deux Recueils réunis
* 1769 - Oeuvres N Ed 12 3 L : {{ouvrage|année=1769|prénom1=Pierre|nom1=de Bologne|titre=Œuvres de Pierre de Bologne comprenant : Amusements d'un Septuagénaire, ou contes, anecdotes, bons mots, naïvetés, mis en vers, Poésies diverses, Odes sacrées : {{XVIIIe siècle}} : |lieu=|éditeur=}}.
[[Fichier:Pierre de Bologne.- Amusemens d'un septuagénaire, 1786.png|100px|vignette|gauche|1786]]
* 1786 - {{bibliographie|Q24026474}}
 
==== 1711-1774 - [[w:Georges de Bologne Saint-Georges|Georges de Bologne Saint-Georges]] ====
 
[[w:Georges de Bologne Saint-Georges|Georges de Bologne Saint-Georges]], [[w:1711|1711]]-[[w:1774|1774]]<ref>{{Date|26|décembre|1774}}, mort de Georges de Bologne au [[w:Baillif|Baillif]], en [[w:Guadeloupe|Guadeloupe]], acte de décès de la Paroisse de Saint-Dominique du [[w:Baillif|Baillif]]. N.B. : l'actuelle église Saint Dominique à Baillif a été construite en béton par [[w:Ali Tur|Ali Tur]] en [[w:1929|1929]].</ref> est un colon de la [[w:Guadeloupe|Guadeloupe]], originaire de l'[[w:Angoumois|Angoumois]]. Fils de Pierre de Bologne I{{er}}, major de régiment de [[w:Longvilliers|Longvillers]]<ref>''Il n'y a jamais eu, aux îles ou en France, de régiment portant ce nom.''{{ouvrage|année=2006|prénom1=Pierre|nom1=Bardin|titre=[url google Joseph, sieur de Saint-George: le chevalier noir] : {{sp-|XVIII|e|-|XXI|e}} : 1745-2006|lieu=Paris|éditeur=Guenegaud,}}.{{BNF|40973268c}}. Voir l'historique de la [https://books.google.fr/books?id=qTPCEWnvqtkC&dq=Jeanne%20de%20Boulogne&hl=fr&pg=PA887#v=onepage&q=Jeanne%20de%20Boulogne&f=false seigneurie de Longvillers]</ref>
 
=== Le fermier général, M. de Boulogne ===
[[Fichier:Boston Tea Party cph.3b53084.jpg|100px|vignette|gauche|Boston Tea Party, 16 décembre 1773]]
[[Fichier:Arrêt du Conseil d'Etat du Roi nomme Bollongne 15 mai 1785 02.png|100px|vignette|gauche|Arrêt du Conseil d'Etat du Roi nomme Bollongne 15 mai 1785]]
 
* '''1719''' - [https://books.google.fr/books?id=X7OGQwAACAAJ&dq=%22fermier+g%C3%A9n%C3%A9ral%22+%2B+%22de+Boulogne%22&hl=fr&sa=X&ved=0CCAQ6AEwAGoVChMImbLiuru_xwIVgTkUCh2GYwUH Mémoire pour le sieur de Boulogne, fermier du duché de Lorge et acquéreur d’une partie de la forêt de Quintin], 1719
* '''1719''' - Mémoire pour le sieur de Boulogne, fermier du duché de Lorge et acquéreur d’une partie de la forêt de Quintin, ... contre monsieur le duc de Lorge, 1719 {{BNF|}}
* '''1773''' - [https://books.google.fr/books?id=jH2ICV0lLoUC&dq=duch%C3%A9%20de%20Lorge&hl=fr&pg=PA55#v=onepage&q&f=false Journal politique, ou Gazette des gazettes], Lutton, 1773
: [https://books.google.fr/books?id=jH2ICV0lLoUC&hl=fr&pg=PA1#v=onepage&q&f=false Mars 1773], [https://books.google.fr/books?id=jH2ICV0lLoUC&pg=PA55&dq=duch%C3%A9+de+Lorge&hl=fr&sa=X&ved=0CDYQ6AEwBGoVChMIj9qu9O-_xwIVQm8UCh0lXQGN#v=onepage&q=duch%C3%A9%20de%20Lorge&f=false page 55] : Par lettres-patentes du 25 du mois dernier, le roi a fait une nouvelle érection du duché hérédiditaire de Quintin-Lorge, sur la démission du duc de Lorge, en faveur du comte de Lorge, son gendre, menin de Mgr. le dauphin, à l’effet de jouir dès-à-présent, des titre, rang, honneurs & prérogatives attachés à la dignité de duc. En conséquence, la comtesse de Lorge a eu l'honneur d’être présentée à S. M., ainsi qu’à la famille royale, par la duchesse de Lorge, sa mere, sous le nom de duchesse de Quintin, & elle a pris le tabouret le même jour.
* '''1785''' - Image Arrêt du conseil d'Etat qui nomme le sieur de Boullongne, conseiller d'Etat ordinaire, pour être chargé, en qualité de commissaire de Sa Majesté de la suite des affaires concernant la Compagnie des Indes, établie par arrêt du 14 avril 1785. Éditeur Imp. royale (Paris), 1785. Identifiant : ark:/12148/btv1b86256971.}}
:L’ancienne comté-baronnie de Quintin, située en Basse-Bretagne, fut érigée, en 1691, en duché, sous le titre de Quintin, en faveur de Guy de Durfort de Lorge, maréchal de France, qui continua de porter le nom de Maréchal de Lorge jusqu'à sa mort. En 1706, Guy-Nicolas de Durfort de Lorge, fils unique de ce dernier, & ayeul paternel de la comtesse de Lorge, obtint des lettres-patentes qui changèrent le titre de duché de Quintin en duché de Lorge.
* '''1786''' - baron de Castelnau.- Réflexions ou lettres ... à lady Sophie F*** sur le gout, 1786 ; ... https://books.google.fr/books?id=VYcUAAAAQAAJ ... pas droit d’en porter, doit être regardé comme perturbateur du repos publict les gardes du Sr. Boulogne de Préminville, méritaient d’être regardés comme tels, ...
* '''1789''' - Il s’agit d’un Tavernier de Boulogne, comme l’indique ce texte :
:[https://books.google.fr/books?id=vOdQAAAAcAAJ Collection de décisions nouvelles et de notions relatives, 1789], Jean Baptiste Denisart, ‎Armand-Gaston Camus, ‎Jean B. Bayard, 1789.
:Le I3 mars I713, le duc de Lorge passa au sieur [https://books.google.fr/books?id=vOdQAAAAcAAJ&dq=duch%C3%A9%20de%20Lorge&hl=fr&pg=PA155#v=onepage&q&f=false Tavernier de Boulogne], & au sieur Tavernier de Ste. Croix (''frère du précédent''), un bail de son duché de Quintin, situé en Bretagne, moyennant 30,000 livres par année, au paiement desquelles les deux freres ...
* '''1970''' - [http://www.worldcat.org/search?q=au%3AChaussinand-Nogaret%2C+Guy.&qt=hot_author Guy Chaussinand-Nogaret]. Les financiers de Languedoc au {{s|XVIII|e}}. Paris, S. E. V. P. E. N., 1970.- [https://books.google.fr/books?id=bX-xk8tE2DUC Les financiers de Languedoc au {{s|XVIII|e}}], page 262, 1970, http://www.worldcat.org/search?q=no%3A301490591 - ‎Extraits : Les Boullongne de Préminville qui essaient encore, timidement, après 1775, de rester des hommes d’affaires, ressentent cruellement les effets de leur passivité. Originaire du Beauvaisis, Guillaume Tavernier de Boullongne, fermier général en 171 5, laissa une jolie fortune à son fils ... fils [[w:Jean-Baptiste Tavernier-Boullongne|Jean-Baptiste ''Tavernier-Boullongne'']], filleul de Madame de Pompadour, conseiller au Parlement de Paris, puis trésorier à l’Extraordinaire ...
:Bergeron Louis. Les financiers de Languedoc au {{s|XVIII|e}} (note critique). In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 26e année, N. 2, 1971. pp. 407-409. doi : 10.3406/ahess.1971.422365, http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1971_num_26_2_422365
:Dulong-Sainteny Claude. Guy Chaussinand-Nogaret. Les financiers de Languedoc au {{s|XVIII|e}}. Paris, S. E. V. P. E. N., 1970. (École pratique des hautes études, VIe section, Centre de recherches historiques. Affaires et gens d’affaires, XXXV.). In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1971, tome 129, livraison 1. pp. 188-191. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_1971_num_129_1_449892_t1_0188_0000_3, 23 août 2015
* '''2008''' - Christophe Luraschi.- [https://books.google.fr/books?isbn=2840495341 Conrad-Alexandre Gérard (1729-1790]: artisan de l’indépendance américaine, page 369, 2008 - Extraits : ... (princesse Christine de), 291 SAXE (Marie-Josph de) dauphine de France, 9,31,62 SCHOEPFLIN (Jean-Daniel), 22, 28, ... TAVERNIER DE BOULLONGNE (Jean-Baptiste), 95 TAVERNIER DE BOULLONGNE DE PRÉMINVILLE (Philippe), ...
* [http://universal_lexikon.deacademic.com/216391/Boullongne Distinguer les Boullongne]
* [http://www.pastellists.com/genealogies/tavernier.pdf Distinguer les Tavernier]
* [https://books.google.fr/books?id=DGNeAAAAcAAJ&lpg=PA52&ots=u-F1x7ov9i&dq=Boullongne%20de%20Pr%C3%A9minville&hl=fr&pg=PA52#v=onepage&q&f=false Boulogne de Preminvílle], à sa Terre de Magnanville, près Mantes.
* Le fermier général [[w:Jean-Baptiste Tavernier-Boullongne|Jean Baptiste Tavernier de Boullongne de Préminville]], Seigneur de Magnanville (1749-1794), filleul de Madame de Pompadour, franc-maçon et collectionneur d’instruments musicaux. Son [https://books.google.fr/books?id=fIPj8NRvuNAC&lpg=PA202&dq=Jean-Baptiste%20Tavernier%20de%20Boullongne%20de%20Pr%C3%A9minville&hl=fr&pg=PA202#v=onepage&q&f=false épouse Louise de Walckiers (1756-1796)]. Cf. [https://books.google.fr/books?id=PhVQWLWig4IC&lpg=PA213&dq=Jean-Baptiste%20Tavernier%20de%20Boullongne%20de%20Pr%C3%A9minville&hl=fr&pg=PA213#v=onepage&q=Jean-Baptiste%20Tavernier%20de%20Boullongne%20de%20Pr%C3%A9minville&f=falseMusée du fer - Page 213] pour distinction entre 3 Tavernier de Boullongne, [https://books.google.fr/books?id=PhVQWLWig4IC&lpg=PA40&ots=4zZTF63MvX&dq=Boullongne%20de%20Pr%C3%A9minville&hl=fr&pg=PA40#v=onepage&q&f=false Musée du fer].
 
=== Jean de Boullongne (1690-1769), contrôleur des finances ===
 
Cf. [[Utilisateur:Ambre Troizat/BologneGuadeloupe#Jean de Boullongne (1690-1769), contrôleur des finances|Jean de Boullongne (1690-1769), contrôleur des finances.]]
 
=== Jean de Bologne comte de Montfort (c. 1422] ===
 
{{Citation bloc|'''1841''' - Liste des gouverneurs du Dauphiné, depuis la réunion de cette contrée à la France en 1549 jusquüi leur suppression en 1790.<br />Aymar de Poitiers, comte de Valentinois , dauphinois, nommé en 1549.<br />Jean de Bologne, comte de Montfort, nommé en 1555.<br />...<br />Gilbert de la Fayette, maréchal de France, nommé en 1422.|Annuaire statistique de la Cour royale de Grenoble et du département de l'Isère, Chez Baratier Frères et Fils<ref>Annuaire statistique de la Cour royale de Grenoble et du département de l'Isère pour l'année 1841, Chez Baratier Frères et Fils, [https://books.google.fr/books?id=QNNbDOcQQoQC&dq=Saint-Andr%C3%A9%20%2B%20Dauphin%C3%A9%20%2B%20%22Jean%20de%20Bologne%22&hl=fr&pg=PA227#v=onepage&q=Saint-Andr%C3%A9%20+%20Dauphin%C3%A9%20+%20%22Jean%20de%20Bologne%22&f=false page 227].</ref>.}}
 
=== Jean-Baptiste Tavernier de Boullongne ===
 
{{Citation bloc|Boullongne (Jean-Baptiste Tavernier de), intendant des finances, contrôleur général (1757-1759)|Archives de la Marine (France), 1769<ref>Archives de la Marine (France), ‎E(tienne Taillemite, ‎Archives nationales (France).- [https://books.google.com/books?id=fC8XAQAAMAAJ Inventaire des Archives de la marine]. Série B., f 1769 : III, 335. VII, 432, 444,1969, Page 51</ref>.}}
 
=== Guillaume-Pierre de Boullongne-Tavernier, {{S|XVIII}} ===
 
{{Citation bloc|Tavernier de Boullogne (Guillaume Pierre), trésorier général de l’extraordinaire des guerres|Arrêts du Conseil du Roi, règne de Louis XVI<ref>[https://books.google.fr/books?id=DjtmAAAAMAAJ Arrêts du Conseil du Roi, règne de Louis XVI, Schmauch, B. 12 mai 1776-31, Archives nationales (France), Page 608, 1978, {{BNF|34296454m}}.</ref>.}}
 
{{Citation bloc|Il est ordonné à M. Guillaume-Pierre Tavernier de Bonlogne, trésorier général de l’Extraordinaire des guerres de payer comptant, si fait n’a été, aux sieurs Receveurs et Administrateurs de l'Hôtel-Dieu de Châteandun, la somme de cent soixante-douze livres treize sols, pour le montant des journées de l’augmentation de solde accordée par Sa Majesté au dit Hôtel-Dieu, des soldats, cavaliers et dragons qui y ont été traités pendant Tannée 1759, à raison de trois sols de supplément par chaque journée, laquelle somme de cent soixante-douze livres treize sols lui sera passée et allouée dans la dépense de ses comptes par Messieurs de la chambre des comptes h Paris, que nous prions ainsy de le faire sans difficulté.|M. A. Lamoureux.- Un hospice mixte avant la Révolution : Hôtel-Dieu de Châteaudun, Vve Rozier, Paris, 1900 {{BNF|30730403b}}.}}
 
==== 1919 ====
 
{{Citation bloc|Ce jeune homme, dont le nom était Guillaume-Pierre, avait eu une jeunesse quelque peu aventureuse. II avait commence sa fortune, avec son frere dont nous parlerons tout a l’heure, comme simple munitionnaire de l’armée du Marechal de Saxe. Puis il était allé aux Colonies où il avait eu d’une négresse de la Guadeloupe, le 25 décembre 1745, un fils connu sous le nom du Chevalier de Saint- Georges, qui joua un certain rôle au {{s|XVIII|e}}, mais sur lequel les détails precis font défaut...|Amede Caix de Saint-Aymour, 1919<ref>Amede Caix de Saint-Aymour (comte de).- Une famille d’artistes et de financiers aux XVIIe et XVIII siecles, les Boullongne, [https://archive.org/stream/CaixSaintAymourFamilleArtistesfinanciersXvii-xviiieLesBoullongne p.92].</ref>}}
 
==== 1975 ====
 
{{Citation bloc|... un historien de premier mérite, Alfred Chuquet — au fermier général Philippe-Guillaume de Boullongne-Tavernier, dit de Préninville. ... Le père du Chevalier appartenait à la branche des Boullongne du Beauvaisis, qui avaient une origine commune avec les illustres ... Il se prénommait Guillaume-Pierre. ... Il avait commencé sa fortune comme simple munitionnaire de l’armée du Maréchal de Saxe.|Bulletin de la Société d'histoire de la Guadeloupe, 1975<ref>[https://books.google.com/books?id=Nht7AAAAMAAJ Bulletin de la Société d'histoire de la Guadeloupe], 1975.</ref>.}}
 
==== 2001 ====
 
{{Citation bloc|Il réfute Jean de Bologne comme père et propose Guillaume-Pierre de Boullongne-Tavernier, ancien [[w:Munitionnaire|munitionnaire]]<ref>{{ouvrage|titre=Dictionnaire de l’armée de terre|sous-titre= ou, Recherches historiques sur l’art et les usages militaires des anciens et des modernes|volume = 3|auteurs =Étienne Alexandre baron Bardin, Nicholas Charles Victor Oudinot (duc de Reggio) |éditeur = Librairie militaire, maritime et polytechnique de J. Corréard |année= 1851 |pages= 5 337 |passage= 3 747|lire en ligne=http://books.google.fr/books?id=1hZEAAAAYAAJ&pg=PA3748}}.</ref> de l’armée du maréchal de Saxe, qui fit un long séjour à la Guadeloupe où il avait acheté, en 1738, une plantation, entre...|Vincent Podevin-Bauduin, ‎Archives de la Guadeloupe, ‎Laure Tressens.- Le fleuret et l’archet : le chevalier de Saint-George, 2001.}}
 
==== 2002 ====
 
Sylvie Chalaye confirme cette paternité dans un article paru en juin 2002 :
 
{{Citation bloc|Né en esclavage, aux alentours de Noël 1739, d’une mère sans doute raflée sur les côtes du Sénégal, Joseph est l’unique fils de Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne, dit Monsieur de Boulogne, un aristocrate désargenté venu redorer son blason aux colonies, comme c’était courant à cette époque, où à la Caraïbe, fortunes se faisaient et se défaisaient aussi vite<ref>{{ouvrage|année=2002|prénom1=Sylvie|nom1=Chalaye|titre=[http://www.revues-plurielles.org/_uploads/pdf/13_11_4.pdf Le Chevalier de Saint-George], Un héros des Lumières par deux fois oublié : {{s-|XVIII|e}} : 1745-1799|lieu=Paris|éditeur=L’arbre à Palabres, {{numéro|11}}, 2002}}.</ref>.}}
 
{{Citation bloc|Fils d’une noire et d’un contrôleur général, le comte de Boulogne, il vit à Paris ... Jean de Boulogne ou Boullongne (1690-1769), contrôleur général des finances en 1757-1759, descendant d’une famille de peintres, les Boullongne, mais un planteur, cousin éloigné du contrôleur, Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne.|L’Intermédiaire des chercheurs et curieux
https://books.google.fr/books?id=vUtcAAAAMAAJ, 2002<ref>[https://books.google.fr/books?id=vUtcAAAAMAAJ L’Intermédiaire des chercheurs et curieux], 2002</ref>.
 
==== 2005 - 2009 ====
 
Alain Guédé attribue la paternité de Saint-George à [[w:Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne|Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne]] dans un article publié le {{1er}} septembre 2005<ref>Fr.Wikipédia.- [[w:Joseph_Bologne_de_Saint-George#Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne ?|Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne]]</ref>. Cette attributionn de paternité au même [[w:Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne|Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne]] est reprise dans un article paru le 27 août 2009,<ref>(cf.[http://www.pastellists.com/Genealogies/Tavernier.pdf Tavernier] {{ouvrage|année=2009|prénom1=Alain|nom1=Guédé|titre=[http://www.humanite.fr/2009-08-27_Idees-Tribune-libre-Histoire_Saint-George-un-Noir-pour-sauver-la Portrait]. 220 ans après la Révolution française. Saint-George, un Noir pour sauver la République : {{s-|XVIII|e}} : 1745-1799|lieu=Paris|éditeur=L'Humanité}}. L’article est publié dans la rubrique Idées - Tribune libre -Histoire du journal L'Humanité. Signé ''Alain Guédé Journaliste, président du Concert de monsieur de Saint-George'', le même texte est repris par ''[http://pyepimanla.blogspot.com/2009/08/saint-george-un-noir-pour-sauver-la.html Pyepimanla-histoire Pyepimanla-histoire]'' le jeudi 27 août 2009 sous le titre : ''Saint-George, un Noir pour sauver la République''. Un lien pointe vers la page de l'Humanité ; un titre principal et un chapeau ont été ajoutés : '''''L'histoire des Antilles et de l’Afrique'''. L'histoire et la sociologie de la Caraïbe, des Antilles et du monde noir <sup>(''sic''. Lire noir)</sup>. Naviguons dans le passé de la Martinique, de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Réunion et de l’Afrique''. L’article est accompagné d’un pastiche du portrait de Joseph Bologne de Saint-George. {{Lien web|url=http://pyepimanla.blogspot.com/2009/08/saint-george-un-noir-pour-sauver-la.html|titre=L'histoire des Antilles et de l’Afrique. L'histoire et la sociologie de la Caraïbe, des Antilles et du monde noiR<sup>(''sic''. Lire noir)</sup>. Naviguons dans le passé de la Martinique, de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Réunion et de l’Afrique. Saint-George, un Noir pour sauver la République|auteur=|année=27 août 2009|éditeur=Pyepimanla|site= pyepimanla.blogspot.com| consulté le =26 décembre 2009}}</ref>.
[[Fichier:Godefroi1099.jpg|100px|vignette|gauche|Godefroi dans son château roulant à l’assaut de Jérusalem, 15 juillet 1099]]
 
{{Citation bloc|Son père, [[w:Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne|Guillaume-Pierre Tavernier de Boullongne]], est le lointain descendant des [[w:Liste des comtes de Boulogne|comtes de Boulogne]] qui, sous les croisades<ref>"Godefroy de Bouillon, duc de Basse-Lotharingie et son frère Baudouin de Boulogne ont rejoint l’expédition, ainsi que le frère du roi, Hugues de Vermandois, Robert de Normandie et Étienne de Blois. Bohémond, fils aîné de Robert Guiscard, décide lui aussi de se croiser. Le départ est fixé au 15 août 1096", [[w:Croisades#L’appel du pape Urbain II et la prédication de la première croisade|L’appel du pape Urbain II et la prédication]] de la [[w:Première croisade|première croisade]].</ref>, ont donné un [[w:Godefroy de Bouillon|roi de Jérusalem]]<ref>"Fils de sainte Ide de Boulogne, héritier des ducs de Basse-Lotharingie et d’Eustache II, comte de Boulogne, du royaume de France, Godefroy de Bouillon est un descendant de Charlemagne et, comme son illustre ancêtre, un personnage de légende. Il appartient à un clan de ducs, comtes et évêques, à un groupe aristocratique qui gouverne la Lotharingie depuis 950 au moins", [[w: Godefroy de Bouillon#Premières années|Godefroy de Bouillon]], ancètre de Joseph Bologne de Saint-George ?</ref>. Au fil des siècles, les revers de fortune ont contraint la famille à émigrer vers le Beauvaisis où elle vécut chichement. Guillaume-Pierre et son frère s’enrôlent alors comme « munitionnaires » (fournisseurs) dans la milice du maréchal de Saxe qui sauvera le royaume à la [[w:Bataille de Fontenoy|bataille de Fontenoy]]. Ils accumulent très vite un copieux magot. L’aîné, Philippe Guillaume, l’investit en achetant la charge de fermier général du Poitou. Le cadet, lui, prend la direction du pays de l’or noir. Ce pays où quiconque n’est pas étouffé par les scrupules peut faire rapidement fortune. Guillaume-Pierre choisit la Guadeloupe. Régulièrement frappée par les cyclones et les tremblements de terre, l'île souffre de deux autres handicaps aux yeux des esclavagistes : son accès est souvent barré par les pirates et son seul port, la Basse-Terre, n’est doté d’aucune protection contre les tempêtes. En conséquence, l'île est peu alimentée par les navires négriers. Ceux-ci privilégient la Martinique et Saint-Domingue où les esclaves sont soumis à une violence inouïe de la part des planteurs<ref>{{Lien web|url=http://www.africultures.com/index.asp?no=3893&menu=revue_affiche_article|titre=Saint-George, le musicien que Mozart enviait|auteur=Alain Guédé|année=1 septembre 2005|éditeur=Africultures|site=africultures.com| consulté le=26 décembre 2009}}.</ref>. (Alain Guédé)}}
 
;Bibliographie : [https://www.google.fr/search?tbm=bks&hl=fr&q=Beauvaisis#q=Beauvaisis+%2B+Saint-George&hl=fr&tbm=bks&start=10 Beauvaisis + Saint-George]
 
* 1704 - [[w:Denis Simon|Denis Simon]], [[w:Antoine Loysel|Antoine Loisel]], [[w:Pierre Louvet|Pierre Louvet]].- Supplément a l'histoire du Beauvaisis, Volumes 1 à 3, G. Cavelier, 1704
* 1858-1864 - Ch. Brainne.- Les hommes illustres du département de l’Oise : Bibliothèque du Beauvaisis, A. Desjardins, Beauvais, 1858-1864, {{BNF|373099653}}.
* 1898 - Pierre César Renet.- Beauvais & le Beauvaisis dans les temps modernes, Imprimerie professionnelle, 1898. "''Les chevaliers portaient un ruban bleu au cou, au bout duquel pendait l’image de Saint-Georges (Encycl. du xvm° siècle, art Blason ; L. Geliot, p. 596). Quand même on aurait voulu peindre sur le drapeau les insignes de l’ordre détachés de la ...''"
 
== 2015 ==