« Utilisateur:Ambre Troizat/Ouvrages à propos de Saint-George » : différence entre les versions
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<br />{{ouvrage|année=2000|prénom1=Laurence|nom1=Senelick|
titre=[http://books.google.fr/books?id=O9oqZca7Pq8C&pg=PA521&dq=Fille+Gar%C3%A7on+St-Georges+Desmaillot The changing room: sex, drag and theatre]([http://muse.jhu.edu/login?uri=/journals/theatre_journal/v053/53.2homan.html *]) : {{s-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1650-1820|lieu=The changing room: sex, drag and theatre|éditeur=Routledge}}.<!-- Notice Bnf n° [Url Bnf n° de la notice].--><br />Le ''Dictionnaire lyrique ou Histoire des opéras'' attribue les paroles à « Eve ». {{ouvrage|année=1999|prénom1=Félix|nom1=Clément|prénom2=Pierre|nom2=Larousse|titre=[http://books.google.fr/books?id=RO1OlrcJcqwC&pg=PA291&dq=la+Fille+Gar%C3%A7on+
===== Le 18 août =====
{{Citation bloc|Le 18 août, on a donné, sur le théâtre Italien, la première représentation de la Fille Garçon, comédie en deux actes et en prose, mêlée d'ariettes. Les paroles sont de M. [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119020308/PUBLIC Desmaillot], qui a travaillé avec quelque succès pour nos petits théâtres des boulevarts<!--orthographe d’époque--> et du Palais-Royal. La musique est de M. de St-Georges, mulâtre plus célèbre par son prodigieux talent pour l'escrime, et par la manière très distinguée dont il joue du violon, que par la musique de deux opéra comiques, ''Ernestine'' et ''la Chasse'', qui ne survécurent pas à leur première représentation.<br />Le fond de cette pièce ne mérite pas qu'on en parle. Quant à la musique, quoique mieux écrite qu'aucune autre composition de M. de St-Georges, elle a paru également dépourvue d'invention ; les divers morceaux qui la composent ressemblent, et par les motifs, et même par les accompagnements, à des morceaux trop connus. Ceci rappelle une observation que rien n'a encore démentie, c'est que si la nature a servi d'une manière particulière les mulâtres, en leur donnant une aptitude merveilleuse à exercer tous les arts d'imitation, elle semble cependant leur avoir refusé cet élan du sentiment et du génie, qui produit seul les idées neuves et les conceptions originales. Peut-être aussi ce reproche fait à la nature ne tient-il qu'au petit nombre des hommes de cette race à qui les circonstances ont permis de s'appliquer à l'étude des arts.|[[d:Q27514761|1830]] - {{bibliographie|Q27514761}}, Tome treizième, 1786 — 1787<ref>[https://books.google.fr/books?id=z1UHAAAAQAAJ&dq=Correspondance%
===== Au mois d'août 1787 =====
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===== 1800 - Ménégault =====
* 1800 - Ménégault.- Le Garçon fi11e et la Fille garçon, comédie en vers, ([https://books.google.fr/books?id=Oj2exWLT_x8C&dq=
== 1783 ==
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Dès lors, je fus heureux.
J'avais écouté Saint-George avec une attention extrême, et j'avoue que le dénouement de cette histoire si extraordinaire me parut singulier, et que ma raison ne put l'admettre ; je préférai croire à un cas plus naturel : c'est que pendant onze mois, et à la suite d'une, catastrophe horrible, sa raison avait failli et qu'elle lui était revenue quand la nature l'avait voulu. C'est de cette manière que l'on devrait expliquer un grand nombre d'histoires extraordinaires qui rentreraient dans le cas d'une maladie ordinaire.|Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, Lamothe-Langon.- Extraits des mémoires du prince de Talleyrand-Perigord : ancien évêque d'Autun, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, Chapitre VII, Volume 2<ref>Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, Lamothe-Langon.- Extraits des [https://books.google.fr/books?id=_ZkXtAduyesC&dq=
Cf. "Talleyrand & l'abolition de la traite au congrès de Vienne (1814-1815)", Londres, 1790
Portrait de Saint-George.− La bague talisman et la vision mystérieuse, anecdocte de 1783
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Saint-George imite-t-il alors l'entreprise de la [[guerre d'indépendance des États-Unis]] ? Utilise-t-il le modèle des milices formées de gens de couleur usuel dans les colonies ? La formation et le commandement de cette légion est-elle le pendant de sa candidature à la direction de l'Opéra — et qui va tourner tout aussi mal ? Plusieurs légions se sont formées dans la même période et Saint-George semble bénéficier de l'aide de [[Julien Raimond]] en sus des subventions du gouvernement.
Après la [[Journée du 10 août 1792|Révolution du 10 août 1792]] et le renversement de la [[monarchie]] constitutionnelle, [[Julien Raimond]] vint à l'assemblée avec une députation de citoyens de couleur le 7 septembre 1792<ref>{{ouvrage|année=2000|prénom1=Laënnec|nom1=Hurbon|titre=[http://books.google.fr/books?id=-Qurbdl0IvEC&lpg=PA24&dq=Julien%20Raimond&pg=PA24#v=onepage&q&f=false L'insurrection des esclaves de Saint-Domingue: 22-23 août 1791] : {{sp-|XVIII|e|-|XXI|e}} : 1791-2000|lieu=Paris|éditeur=Karthala}}. {{BNF|371860985}}.</ref>. La députation demandait l'abolition de l'esclavage mais aussi la formation d'une [[légion]] de [[gens de couleur|soldats de couleur]] pour défendre la révolution<ref>{{ouvrage|année=1995|prénom1=Marcel|nom1=Dorigny|prénom2=Association pour l'étude|nom2=de la colonisation européenne|titre=[http://books.google.fr/books?id=jm24AAAAIAAJ&q=Julien+Raimond+
Par décret de la Convention Nationale en date du 6 décembre 1792, an {{1er}} de la République Française<ref>6 décembre 1792 : Publication du décret relatif à l'organisation de la [[13e régiment de chasseurs à cheval|légion franche des Américains]] (L. XII, 322.— B. XXVI.21). {{ouvrage|année=1824|prénom1=France|nom1=Conseil d'Etat|titre=[http://books.google.fr/books?id=PUEUAAAAYAAJ&pg=PT174Tables générales des lois, arrêtés, décrets], ordonnances du roi, arrêts et avis du conseil d'état et réglemens d'administration publiés depuis 1789, vol. 1 : {{s-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1789-1824|lieu=Paris|éditeur=Ménard et Desenne fils}}.<br />{{ouvrage|année=1834|prénom1=Jean-Baptiste|nom1=Duvergier|titre=[http://books.google.fr/books?id=XkIUAAAAYAAJ&pg=RA4-PA6 Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlemens avis du Conseil d'état], ordonnances du roi, arrêts et avis du conseil d'état et réglemens d'administration publiés depuis 1789, vol. 1 : {{s-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1788-1824|lieu=Paris|éditeur=A. Guyot et Scribe}}. Notice Bnf n° [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30391495m/PUBLIC FRBNF30391495]</ref>, est organisée la [[13e régiment de chasseurs à cheval|Légion franche des Américains]]. Saint-George devient [[colonel]] de cette légion quelquefois dite ''Légion Franche des Américains et du Midi'' qui est devenue de nos jours le [[13e régiment de chasseurs à cheval|{{13e}} régiment de chasseurs à cheval]]<ref>[[Légion#Un corps d'armée|Légion du Midi ou des Américains]]<br />« De retour à Paris, il organisa un corps de chasseurs à cheval, dont il fut le colonel, et qu'il conduisit à l'armée du Nord. Il s'y distingua par sa bravoure. » Dans {{ouvrage|année=1877|prénom1=François-Joseph|nom1=Fétis|titre=[http://books.google.fr/books?id=LM09AAAAcAAJ&dq=Saint-George&lr&pg=PA12#v=onepage&q&f=false Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique], vol. 8 : {{sp-|XIX|e|-|XIX|e}} : 1835-1877|lieu=Paris|éditeur=Firmin-Didot et C°}}. {{BNF|38779780q}}.<br /> Le titre exact de cette légion est {{ouvrage|année=1792|prénom1=Pierre-Henri-Marie|nom1=Lebrun Tondu|prénom2=DominiqueJoseph|nom2=Garat|prénom3=Convention|nom3=nationale|prénom4=''Légion franche''|nom4=''des Américains'' :|titre=[http://books.google.fr/books?id=YuslGwAACAAJ&dq=
{{Citation bloc|C'était le moment des enrôlements volontaires, et la France présentait au monde un spectacle qui pouvait passer pour un exemple. […] La France sentit la main de la Mort qui s'étendait sur elle, et, par une puissante et terrible contraction, déjà les pieds dans son linceul, elle s'élança hors de son tombeau. […] Jamais nation n'avait été si près de sa perte que l'était la France de 1792, […] Saint-Georges avait été nommé colonel de la [[13e régiment de chasseurs à cheval|légion franche de cavalerie des Américains du Midi]].|[[Alexandre Dumas]]<ref>[http://www.dumaspere.com/pages/bibliotheque/chapitre.php?lid=m3&cid=3&highlight=Saint-Georges&pos=2214#res Alexandre Dumas, fils.]</ref>.}}
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Je vous annonce, mon cher concitoyen, que je reçois à l'instant la nouvelle que nos troupes ont repris [[Saint-Amand]] et le camp de Moulde, et que ce camp va être rétabli. Votre ami et concitoyen, Saint-George. ([[Convention nationale]], 20 septembre 1792<ref>{{ouvrage|année=1840|prénom1=A.|nom1=Ray|titre=[http://books.google.fr/books?id=z5IFAAAAQAAJ&pg=PA74#v=onepage&q&f=false Réimpression de l'ancien Moniteur : depuis la réunion des États-généraux jusqu'au Consulat (mai 1789 - novembre 1799)] vol. 14 : {{sp-|XVIII|e|-|XIX|e}} : 1650-1840|lieu=Paris|éditeur=Au Bureau central}}.</ref>.
Elle sera à [[Révolution liégeoise|Liège]] le 11 novembre 1792<ref name="Bardin2006"/> et sera sous le commandement de [[Charles-François Dumouriez|Dumouriez]] au moment du contrôle des commissaires de la [[Convention nationale|Convention]]. Après l'affaire [[Charles-François Dumouriez|Dumouriez]], en avril 1793, alors que [[Julien Raimond]] et la [[Société des citoyens de couleur]] demandent un décret abolissant l'[[esclavage]] et que le mouvement révolutionnaire s'accélère à [[Saint-Domingue (colonie française)|Saint-Domingue]], la légion des Américains reçoit l’ordre de se dissoudre<ref>{{Citation|Lille, le 6 brumaire. — Le thermomètre de l'esprit public est ici au plus haut degré d'élévation. Il ne manquait à cette ville qu'une armée révolutionnaire, qui vient d'être organisée par les soins des patriotes. Il y a d'autant plus à compter sur son zèle et la fermeté de ses principes, que les officiers qui la commandent, sont de vrais [[Jacobinisme|Jacobins]].<br />Le corps dit de Saint-Georges, 18{{e}} des chasseurs, était le seul dont la composition pût ne pas inspirer toute confiance. Il n'a pas échappé à la surveillance du ministre de la guerre, qui vient de lui donner pour chef un vrai sans-culotte.}}<br />''Gazette nationale'' ou ''Le Moniteur universel'' {{numéro|52}}. Duodi, {{3e}} décade de Brumaire, l'an 2. (mardi 12 novembre 1793, ''vieux style''.) {{ouvrage|année=1860|prénom1=Léonard-Charles-André-Gustave|nom1=Gallois|titre=[http://books.google.fr/books?id=MQY7AAAAcAAJ&pg=PA393 Réimpression de l'ancien Moniteur], seule histoire authentique et inaltérée de la Révolution française, depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat: (mai 1789 - novembre 1799) : {{s-|XVIII|e}} : 1789-1799|lieu=Paris|éditeur=Plon}}. {{BNF|304776465}}</ref>.}}
{{Citation bloc|SERRE, jeudi 16 mai 1793, au nom du comité de la guerre — Citoyens, vers les premiers jours de septembre dernier, 1792, il fut créé une légion dite [[Légion|légion des Américains]] ; la première compagnie de ce corps fut réellement composée d’hommes de couleur. Cette compagnie intéressante pour tous les vrais amis de l’humanité et de l’égalité, a fait la guerre dans la Belgique avec un courage et une discipline au-dessus de tout éloge ; elle a reçu l’ordre de s’embarquer pour les colonies ; elle, vous en demande la révocation, et se fonde sur ce que la plupart de ces citoyens ont encore leurs maîtres ou leurs agents dans les colonies. Ils craignent que leur dévouement au maintien de la liberté, à la défense de leur patrie adoptive, n’ait servi qu’à les replonger dans les fers. « Car, disent-ils, nous n’avons à opposer aux réclamations de nos ci-devant maîtres que la déclaration des droits de l’homme, et malheureusement dans les colonies la déclaration des droits de l’homme n’est point faite pour nous. Votre comité de la guerre vous propose le décret suivant : Sur le rapport de son comité de la guerre, la Convention nationale décrète : {{Citation|Que le ministre de la guerre emploiera ailleurs que dans les colonies la première compagnie des chasseurs de la légion dite des Américains du Midi. En conséquence, l’ordre que le ministre a donné pour le transport de cette compagnie dans l’île de Saint-Domingue, demeure révoqué.}}|D’après [[Alexandre Ray]] & [[Léonard-Charles-André-Gustave Gallois]]<ref name="Serre">Publié dans la Gazette Nationale ou Le Moniteur Universel, jeudi 16 mai 1793. {{ouvrage|année=1840|prénom1=Léonard-Charles-André-Gustave|nom1=Gallois|prénom2=Alexandre|nom2=Ray,|titre=[http://books.google.fr/books?id=DZsFAAAAQAAJ&pg=PA400&dq=SERRE,+au+nom+du+
Vendredi 17 mai 1793, les soldats de la [[Légion des Américains]] publient une ''{{Citation|Adresse à la Convention, à tous les Clubs et sociétés patriotiques pour les nègres détenus en esclavage dans les colonies françaises}}''. Une note à la fin du fascicule précise la date de l'adresse et le nom des rédacteurs : "Paris, le 17 mai 1793, l'an deuxième de la République Française. J. [[Labuissonniere]]. Narcisse, lieutenant des hussards américains. Hellot, ''idem''. [[Saint-George Milscent]]<ref>Né à Grande Rivière, Saint Domingue. Joseph Bologne de Saint-George est alors sous le coup d'une arrestation.</ref>, maréchal-des-logis. [[Lapais]], ''idem''. [[Ferant]], adjudant [et al.] Approuvé par tous les braves républicains"<ref name="AdresseLégionAméricains1793">{{ouvrage|année=17 mai 1793|prénom1=Soldats de la |nom1=Légion des Américains|titre=[url google Adresse à la Convention nationale, à tous les clubs et [[sociétés patriotiques]] pour les Nègres détenus en esclavage dans les colonies françaises de l'Amérique, sous le régime de la République], 15 pages : {{sp-|XVIII|e|-|XX|e}} : 1793-1968|lieu=Paris|éditeur=Imprimerie de [[Guillaume-François Galletti]]}}. {{BNF|}}, {{Gallica|Url}}. vol. 5 de [http://www.google.fr/search?tbs=bks:1&tbo=p&q=+bibliogroup:%22Traite+des+Noirs+et+esclavage%22&source=gbs_metadata_r&cad=3 Traite des Noirs et esclavage], EDHIS, 1968</ref>. ''Ce texte est un véritable manifeste en faveur de l'abolition immédiate de l'esclavage dans les colonies'' et propose un projet de société<ref>{{ouvrage|année=2000|prénom1=Laënnec|nom1=Hurbon|titre=[http://books.google.fr/books?id=-Qurbdl0IvEC&lpg=PA36&dq=Julien%
==== L'Affaire Dumouriez ====
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=== Dimanche 7 avril 1793 ===
{{Citation bloc|Me voici depuis hier matin , avec la division à laquelle j'étois attaché , hors de l'armée de Dumouriez, et sous les ordres du comité de sûreté et du commandant de Lille, et par conséquent de la Convention.<br />Depuis qu'il a levé le masque, Dumouriez a fait conduire Beurnonville et les commissaires à Tournay : c'est tout ce que nous savons ici , car la communication avec son armée est absolument rompue.<br />Voici comment je suis venu ici d'Orchies , avant-hier matin. Miazensky rccut une lettrc de Dumouriez , qui lui faisoit part de ses projets , et lui ordonnoit d'aller à Lille , s'emparer des députés qui pourroient s'y trouver. Il n'a communiqué cette lettre qu'à Saint-Georges , qui s'est trouvé là , et qui , partant tout de suite-, aura sûrement prévenu la municipalité de Lilie. Miazensky , sans consulter personne , est parti avec une parti dc sa division. Arrivé à la porte de Lille , il a été arrêté ct l'est encore. J'étois resté , avec l'autre partie de la division , à Orchies , pour la défense de la frontière. Je reçus, dans la journée , avec l' ordre , l'annonce d'une suspension d'armes avec les Autrichiens , ct , en mêmetenps , la nouvelle de l' arrestation des commissaires et des projets de Dumouriez. La nuit, je me suis rendu ici, d'après les ordres que je reçus le soir. Nous restons campés et cantonnés devant Lille , déterminés à la défense de la République , et faire la guerre à tous les tyrans.|Saint-George par E. Reynier, Bulletin des amis de la vérité<ref>{{Bibliographie|Q27158766}}, [https://books.google.fr/books?id=EiFhAAAAcAAJ&dq=Lille%20%2B%20Maison%20de%20l%E2%80%
=== 12 septembre 1793 ===
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{{Citation bloc|On dit que l'on a arrête le nommé Saint-Germain<ref>Sans doute A.-L.-C. Saint-Germain, marquis d'Apchon, ex-maréchal
de camp, condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire le 18 germinal an II (cf. {{Bibliographie|Q26205619}}, t. II, [https://archive.org/stream/histoiredutribu07wallgoog#page/n225/mode/2up p. 217])<br /><small>Saint-Germain d'Apchon (A.-L.-C.. marquis de), maréchal des camps et armées du roi, etc., né à Paris en 1749.<br />Issu d'une famille distinguée, il embrassa la carrière militaire, parcourut rapidement les grades inférieurs et se trouvait maréchal de camp au moment où la révolution éclata. Il ne prit aucune part ostensible aux troubles qui la suivirent, fut néanmoins arrèté en 1793, resta détenu pendant plusieurs mois dans les prisons de la capitale, et se vit enfin traduit au redoutable tribunal de Fouquier et de Coffinhal, qui le condamna à mort comme conspirateur le 7 avril 1794 (''18 germinal an II'') à l'âge de quarante-cinq ans</small>. {{Bibliographie|Q26721416}} [https://books.google.fr/books?id=0PPZWseNiFIC&hl=fr&pg=PA223#v=onepage&q&f=false deuxième édition, t.III, 1816, p. 223].<br />Antoine-Louis-Claude Marquis de Saint-Germain-d'Apchon, Maréchal des Camps & Armées du Roi, Lieutenant-Général de la Province de Bourgogne au Baillage du Mâconnais, Seigneur Comte de Saint-Trivier en Bresse, a donné procuration à Claude-Marie Palluat de Jalamodes, ancien Capitaine en premier au Corps des Carabiniers, Chevalier de l’Ordre Royal & Militaire de St. Louis, {{Bibliographie|Q27506815}}, [https://books.google.fr/books?id=CFncyzHPsEkC&dq=A.-L.-G.%20Saint-Germain%20%2B%20marquis%20d'Apchon%20%2B%20ex-
</ref>au service dans l'armée de la République. Le fameux Saint-Georges<ref>Cf. ci-dessus, [https://archive.org/stream/parispendantlate01carouoft#page/84/mode/2up/search/Georges p. 84, note 4]. Le «chevalier de Saint-Georges » (1745-1799 ?), le fameux escrimeur et auteur dramatique. Il avait servi sous Dumouriez à l'armée du Nord. Arrêté comme suspect, il ne fut mis en liberté que le [[w:Chute de Robespierre|9 thermidor an II]] (27 juillet 1794). </ref>, un nommé Petit<ref>Cf. ci-dessus, [https://archive.org/stream/parispendantlate01carouoft#page/84/mode/2up/search/fameux p. 85].</ref>, se disant employé dans les vivres, maison du bureau de loterie, n" 12, le nommé Morel<ref>Pas de renseignements</ref>, rue Saint-Chaumont<ref>11 n'y avait pas de rue de ce nom. Monic veut probablement parler de la [[w:Rue de Tracy|rue de Tracy]], ou du passage de Sourdis (aujourd'hui [[w:Passage Lemoine|passage Lemoine]]), qui longeaient tous deux la [[w:Rue Saint-Denis (Paris)#Bâtiments remarquables et lieux de mémoire|maison des Filles Saint-Chaumont]] ou de l’Union-Chrétienne, ou ''[http://www.poitiers.catholique.fr/leglise-diocesaine/la-vie-consacre/vie-apostolique/union-chretienne-de-saint-chaumond/ Union Chrétienne de Saint Chaumond]'' (Cf. {{Bibliographie|Q27507344}}, [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6461115x/f17.image Quarier Palais Royal] & [https://books.google.fr/books?id=UDIBAAAAQAAJ&hl=fr&pg=PP11#v=onepage&q&f=false Montmartre] ; [https://books.google.fr/books?id=UDIBAAAAQAAJ&dq=Union%
France, condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire, le 17 mai 1793, pour s'être associé à la trahison de Dumouriez.</ref>, — leur correspondance était chez une femme nommée Sainte-Foy<ref>cf. ci-dessus, [https://archive.org/stream/parispendantlate01carouoft#page/84/mode/2up/search/Georges p. 85].</ref>, maison du n° 148, au Jardin-Égalilé, mais les papiers furent enlevés aussitôt que le Jardin-Égalité fut traqué pour la première fois — devraient être arrêtés aussi. Peut-être chez ces trois individus y trouverait-on de quoi découvrir d'autres traîtres.<br />
Au Jardin-Égalité, depuis le n°1 jusqu'au n° 9 ou 10, il y a un club d'aristocrates, et l'on y joue à des jeux prohibés.|Paris pendant la Terreur ː Rapports des agents secrets du Ministre de l'intérieur, publiés pour la Société d'histoire contemporaine, Rapport de Monic (F<sup>7</sup> 3688<sup>3</sup>)<ref>1910-1978 - {{Bibliographie|Q27166448}}, [https://archive.org/stream/parispendantlate01carouoft#page/168/mode/2up/search/fameux p. 168].</ref>}}
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{{Citation bloc|La Révolution, en chassant des églises les sépultures et en faisant la guerre aux morts, ainsi qu'aux vivants, avait fait tomber en désuétude le respect dont la religion entourait les restes de l'homme : le culte des tombeaux avait disparu avec celui des autels. Ce fut un pieux sentiment et une généreuse émulation qui provoquèrent la restauration de ce colle consolant. M. G. de Pixerécourl, plus que personne, a toujours éprouvé celte touchante sollicitude pour le dernier asile de ceux qu'il a aimés, et dans ce moment même, après (trente ans de séparation, il se souvient de Dalayrac, pour lui faire élever, dans le cimetière de Fontenay-sur-Bois, un monument digne de l'artiste, de l'ami, et pour faire frapper une médaille en son honneur| René-Charles Guilbert Pixérécourt, Charles Nodier et P. L. Jacob, Catalogue des livres rares et précieux et de la plus belle condition, composant la bibliothèque de M. G. de Pixérécourt<ref>{{Bibliographie|Q28223033}}, 1839-1840</ref>.}}
Retrouver aujourd'hui la dernière demeure de Saint-George est un jeu de piste dans lequel se sont investis des généalogistes. Ainsi, Pierre Bardin a publié une copie dactylographiée d'un document concernant l'inhumation du chevalier de Saint-George qui serait enterré au ''Temple de la Liberté et de l’Égalité'', appelé auparavant l’[[w:Église Sainte-Marguerite (Paris)|église Sainte Marguerite]]<ref>L'[http://books.google.fr/books?id=Nakx_gLPlFEC&dq=%22Temple%20de%20la%
{{Citation bloc|Le commissaire de police de la Section de [[w:Montreuil (Seine-Saint-Denis)|Montreuil]] est de permanence le duodi 22 prairial de l'an 7 — 10 juin 1799, au lieu de : 10 juin 1700. Voir l’article de Pierre Bardin : «[http://halleyjc.blog.lemonde.fr/2009/01/09/une-trouvaille-de-monsieur-pierre-bardin-sur-la-mort-du-chevalier-de-saint-georges/ 22 Prairial de l’an 7 (10 juin 1799)] ») lorsque, à huit heures du soir, il voit entrer quatre personnages à la mise soignée, qui viennent déposer une requête après avoir décliné leur identité.<br />Le premier à se présenter est le citoyen [[w:Jean-Pierre Gomard|Jean-Pierre Gomard]], professeur en fait d'armes, demeurant rue du Bout du Monde, {{numéro|18}}, Division de Brutus. Le second, le citoyen [[w:François Philibert Menissier|François Philibert Menissier]] fils, professeur en fait d'armes, demeurant [[w:Rue d'Aboukir|rue Neuve-Saint-Eustache]], {{numéro|12}}<ref>La [[w:Rue d'Aboukir|rue Neuve-Saint-Eustache]] se situe entre la [[w:rue Montmartre|rue Montmartre]] et la [[w:rue des Petits-Carreaux|rue des Petits-Carreaux]], Cf. [http://www.openstreetmap.org/#map=18/48.86739/2.34511 OpenStreetMap].</ref>, Division de Brutus, puis le chef d'escadron [[Charles François Talmet]], du {{9e}} régiment de hussards demeurant à Monceaux près Paris, canton de Clichy, enfin le citoyen [[Pierre Nicolas Beaugrand]], employé en retraite (il fut chef de bureau à l'Assemblée Nationale), demeurant à Paris rue Neuve des Petits Champs, {{numéro|16}}, Division de la Butte des Moulins.<br />Tous déclarent « que le citoyen Joseph Bologne dit Saint George, chef de brigade du treizième régiment de chasseurs à cheval, est décédé d'aujourd'hui à une heure de relevée, rue Boucherat {{numéro|13}}, division du Temple et enregistré à la municipalité du sixième arrondissement, son corps ayant été porté aujourd'hui dans une bière au Temple de la Liberté et de l'Égalité du huitième arrondissement. Comme les déclarants ont connu parfaitement le défunt, qu'ils étaient étroitement liés d'amitié avec lui, ils désirent exhumer le corps du dit défunt pour le mettre dans un cercueil de plomb. Ils se sont donc présentés devant nous à l'effet de pouvoir parvenir à remplir l'exécution de leurs sentiments, si toutefois rien n'est contraire au principe des lois, affirmant le tout pour être sincère et véritable et ont signé avec nous après lecture faite :<br />Gomard, Beaugrand, Talmet chef d'escadron, Menessier fils, Pillecat commissaire de police.<br />Une expédition sera faite et transmise à l'administration centrale et municipale à l'effet de statuer à cet égard ce que de droit"|Transcription du texte communiqué par Pierre Bardin<ref>Documents consultés : * Archives de la police, Aa 173. Section de Montreuil Procès-verbal des commissaires de police. * Mémoire de la [[Henriette Lucy Dillon|marquise de la Tour du Pin]]. Le temps retrouvé - Mercure de France - 1979. * Pierre Bardin [http://www.ghcaraibe.org/bul/ghc222/p5791.rtf A propos de Saint George]. Consulté le 2 août 2009. * Bill Zick, Africlassical.com, [http://halleyjc.blog.lemonde.fr/2009/05/01/saint-georges-death-exhumation-obituaries-sur-le-tres-beau-site-africlassica-de-bill-zick/ Le Chevalier de Saint-Georges (1745-1799)]. Afro-French Composer, Violinist & Conductor. France's Best Fencer & Colonel of Black Legion. Consulté le 29 août 2009 * [http://chevalierdesaintgeorges.homestead.com/Page1.html#41 42 Exhumation]. Consulté le 29 août 2009</ref>.</ref>}}
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== 1844 ==
* 1783-1844 - Duel au fleuret & blessures : [https://books.google.fr/books?id=JF855R26AbgC&dq=Duel%20%2B%20fleuret%20%2B%20blessures%20%2B%20Chevalier%20de%20Saint-George%20%2B%20Les%20Beaux-arts%20illustration%20des%20arts%20et%20de%20la%
** [http://publicdomainreview.org/2016/12/07/the-many-lives-of-the-medieval-wound-man/ The Many Lives of the Medieval Wound Man]
Ligne 809 :
== 1875 ==
{{Citation bloc|''Pare cette botte-là'', lui dit [[w:Antoine Fouquier-Tinville|Fouquier-Tinville]] en lui remettant son acte d'accusation.|Dictionnaire de la conversation et de la lecture, Volume 15, 1875<ref>[https://books.google.fr/books?id=ZrMcAAAAMAAJ&dq=Boillongne%20de%
== 1876 ==
* {{Citation bloc|De Saint-Georges (le chevalier), 1{{er}} violon des Concerts des Amateurs à Paris, mort à Paris le 12 juin 1799|Édouard-Georges-Jacques Gregoir.- Notice biographique sur François Joseph Gossé dit Gossec, 1876<ref>Citation de Saint-George parmi les élèves de François-Joseph Gossé dit Gossec, {{bibliographie|Q28217209}}, 1876, [https://books.google.fr/books?id=wG_NAAAAMAAJ&hl=fr&pg=RA2-PA259-IA2#v=onepage&q=Fran%C3%A7ois-Joseph%
== 1895 ==
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==== Statistiques avec Google Books Ngram Viewer ====
* [https://books.google.com/ngrams/graph?content=Nouveau+Monde%
* [https://books.google.com/ngrams/graph?content=New+World%2CAmerica%2CWest+Indies%2CAmerican%
* [[w:ht:Antiyanite|Antiyanite (Antillanité)]] ; [[w:Antillanité|Antillanité]], [https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=
==== Bibliographie (Culture & Education) ====
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==== Les arts d'imitation ====
* 1992 - {{bibliographie|Q28192517}}. "''[https://books.google.fr/books?id=na4wzzb7wLUC&lpg=PA20&dq=musique%20%2B%20imitation%20du%
* 1992 - {{bibliographie|Q28192767}}
Ligne 1 235 :
==== Les arts d'imitation ====
* 1992 - {{bibliographie|Q28192517}}. "''[https://books.google.fr/books?id=na4wzzb7wLUC&lpg=PA20&dq=musique%20%2B%20imitation%20du%
* 1992 - {{bibliographie|Q28192767}}
Ligne 1 263 :
* 1840 - {{Bibliographie|Q23591344}}
* 1840 - {{Bibliographie|Q28123257}}
* W. L. Wesché, Wilhelm Ludwig.- [https://books.google.fr/books?id=COtSAAAAcAAJ&dq=W.%20L.%
== 1861 ==
Ligne 1 292 :
[[Fichier:Pierre de Bologne, Odes sacrées, 1758.jpg|100px|vignette|gauche|1758]]
* 1758 - {{bibliographie|Q28374191}}. L'édition est annoncée en ces termes dans la correspondance de Grimm et Diderot :
{{Citation bloc|''Un Américain, M. de Bologne, vient de donner un recueil de poésie sacrées<ref>Odes sacrées, 1758, in-12</ref>, suivi de poésies diverses dont quelques-unes sont latines. Je ne crois pas que ce poête se trouve jamais placé à côté du grand Rousseau dans les cabinets où il y aura du choix. Ce recueil a déjà été imprimé, il reparaît considérablement augmenté. Vous trouverez à la fin la traduction du premier livre de Télémaque en vers latins''. ([[w:Melchior Grimm|Grimm]] & [[w:Denis Diderot|Diderot]])<ref>{{ouvrage|année=1877-1882|prénom1=Grimm|nom1=& Diderot|titre=[http://books.google.fr/books?ei=70GRTND-OoyAOL-n1eYM&ct=result&id=ag2RW1F7YfQC&dq=1758+Correspondance+
* 1758 - Les deux Recueils réunis
* 1769 - Oeuvres N Ed 12 3 L : {{ouvrage|année=1769|prénom1=Pierre|nom1=de Bologne|titre=Œuvres de Pierre de Bologne comprenant : Amusements d'un Septuagénaire, ou contes, anecdotes, bons mots, naïvetés, mis en vers, Poésies diverses, Odes sacrées : {{XVIIIe siècle}} : |lieu=|éditeur=}}.
Ligne 1 306 :
[[Fichier:Arrêt du Conseil d'Etat du Roi nomme Bollongne 15 mai 1785 02.png|100px|vignette|gauche|Arrêt du Conseil d'Etat du Roi nomme Bollongne 15 mai 1785]]
* '''1719''' - [https://books.google.fr/books?id=X7OGQwAACAAJ&dq=%22fermier+
* '''1719''' - Mémoire pour le sieur de Boulogne, fermier du duché de Lorge et acquéreur d’une partie de la forêt de Quintin, ... contre monsieur le duc de Lorge, 1719 {{BNF|}}
* '''1773''' - [https://books.google.fr/books?id=jH2ICV0lLoUC&dq=
: [https://books.google.fr/books?id=jH2ICV0lLoUC&hl=fr&pg=PA1#v=onepage&q&f=false Mars 1773], [https://books.google.fr/books?id=jH2ICV0lLoUC&pg=PA55&dq=
* '''1785''' - Image Arrêt du conseil d'Etat qui nomme le sieur de Boullongne, conseiller d'Etat ordinaire, pour être chargé, en qualité de commissaire de Sa Majesté de la suite des affaires concernant la Compagnie des Indes, établie par arrêt du 14 avril 1785. Éditeur Imp. royale (Paris), 1785. Identifiant : ark:/12148/btv1b86256971.}}
:L’ancienne comté-baronnie de Quintin, située en Basse-Bretagne, fut érigée, en 1691, en duché, sous le titre de Quintin, en faveur de Guy de Durfort de Lorge, maréchal de France, qui continua de porter le nom de Maréchal de Lorge jusqu'à sa mort. En 1706, Guy-Nicolas de Durfort de Lorge, fils unique de ce dernier, & ayeul paternel de la comtesse de Lorge, obtint des lettres-patentes qui changèrent le titre de duché de Quintin en duché de Lorge.
Ligne 1 315 :
* '''1789''' - Il s’agit d’un Tavernier de Boulogne, comme l’indique ce texte :
:[https://books.google.fr/books?id=vOdQAAAAcAAJ Collection de décisions nouvelles et de notions relatives, 1789], Jean Baptiste Denisart, Armand-Gaston Camus, Jean B. Bayard, 1789.
:Le I3 mars I713, le duc de Lorge passa au sieur [https://books.google.fr/books?id=vOdQAAAAcAAJ&dq=
* '''1970''' - [http://www.worldcat.org/search?q=au%3AChaussinand-Nogaret%2C+Guy.&qt=hot_author Guy Chaussinand-Nogaret]. Les financiers de Languedoc au {{s|XVIII|e}}. Paris, S. E. V. P. E. N., 1970.- [https://books.google.fr/books?id=bX-xk8tE2DUC Les financiers de Languedoc au {{s|XVIII|e}}], page 262, 1970, http://www.worldcat.org/search?q=no%3A301490591 - Extraits : Les Boullongne de Préminville qui essaient encore, timidement, après 1775, de rester des hommes d’affaires, ressentent cruellement les effets de leur passivité. Originaire du Beauvaisis, Guillaume Tavernier de Boullongne, fermier général en 171 5, laissa une jolie fortune à son fils ... fils [[w:Jean-Baptiste Tavernier-Boullongne|Jean-Baptiste ''Tavernier-Boullongne'']], filleul de Madame de Pompadour, conseiller au Parlement de Paris, puis trésorier à l’Extraordinaire ...
:Bergeron Louis. Les financiers de Languedoc au {{s|XVIII|e}} (note critique). In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 26e année, N. 2, 1971. pp. 407-409. doi : 10.3406/ahess.1971.422365, http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1971_num_26_2_422365
Ligne 1 322 :
* [http://universal_lexikon.deacademic.com/216391/Boullongne Distinguer les Boullongne]
* [http://www.pastellists.com/genealogies/tavernier.pdf Distinguer les Tavernier]
* [https://books.google.fr/books?id=DGNeAAAAcAAJ&lpg=PA52&ots=u-F1x7ov9i&dq=Boullongne%20de%
* Le fermier général [[w:Jean-Baptiste Tavernier-Boullongne|Jean Baptiste Tavernier de Boullongne de Préminville]], Seigneur de Magnanville (1749-1794), filleul de Madame de Pompadour, franc-maçon et collectionneur d’instruments musicaux. Son [https://books.google.fr/books?id=fIPj8NRvuNAC&lpg=PA202&dq=Jean-Baptiste%20Tavernier%20de%20Boullongne%20de%
== Les Boulogne & Saint-George(s) ==
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=== Jean de Bologne comte de Montfort (c. 1422] ===
{{Citation bloc|'''1841''' - Liste des gouverneurs du Dauphiné, depuis la réunion de cette contrée à la France en 1549 jusquüi leur suppression en 1790.<br />Aymar de Poitiers, comte de Valentinois , dauphinois, nommé en 1549.<br />Jean de Bologne, comte de Montfort, nommé en 1555.<br />...<br />Gilbert de la Fayette, maréchal de France, nommé en 1422.|Annuaire statistique de la Cour royale de Grenoble et du département de l'Isère, Chez Baratier Frères et Fils<ref>Annuaire statistique de la Cour royale de Grenoble et du département de l'Isère pour l'année 1841, Chez Baratier Frères et Fils, [https://books.google.fr/books?id=QNNbDOcQQoQC&dq=Saint-
=== Jean-Baptiste Tavernier de Boullongne ===
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