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Ceci pose un problème linéaire aux extrémités : ε<sub>0</sub> = ε<sub>p</sub> ? ε<sub>12</sub> = ε<sub>f</sub> ? Pour le résoudre, nous considérons les ε comme des 0-hypercomplexes de consistance inférieure à 1 (mais non nulle). Ce qui correspond à la loi de stabilité et aux règles d'hypersymétrie sur la trajectoire, et on raisonne, non plus sur l'élément seul, mais sur la paire d'éléments qui en résulte. Ceci revient à dire que l'on ne remplit pas un volume avec quelque chose, mais qu'on remplace un contenu (rien) par un autre (tout).<br><br>
<center>''Soit [α , ω] une unité de volume : [α , ω] = {ε<sub>p</sub>, ε<sub>0</sub> , ε<sub>f</sub>}<br>ε<sub>p</sub>|Δ = δ<sub>0</sub> , ε<sub>0</sub>|Δ = δ<sub>6</sub> , ε<sub>f</sub>|Δ = δ<sub>12 : d(δ<sub>0</sub> → δ<sub>12</sub>) = +1 , d(δ<sub>12</sub> → δ<sub>0</sub>) = —1''</center><br>
 
 
Dans les deux cas nous avons bien : ε<sub>p</sub> < ε<sub>0</sub> < ε<sub>f</sub> et 0 < <math>d = \overline{d}</math> < 12.
 
Les projections sont toutes les deux sur le plan normal en ε<sub>0</sub> avec une valeur ''ί'' opposée, inférieure à 1 et non nulle. C'est une position neutre qui respecte la règle (ni-dans un sens ; ni-dans l'autre) ou (soit-dans un sens ; soit-dans l'autre) que nous choisirons comme '''origine de la numérotation''' spatiale.<br><br>
<center>{{Encadre|contenu=Un ensemble ''dénombrable'' est spatialement '''numérotable''' si leles milieumilieux des unités adjacentes sont à distance 1.<br><center>{ε<sub>p.1</sub> , ε<sub>0.1</sub> , ε<sub>f.1</sub>} ∪ {ε<sub>p.2</sub> , ε<sub>0.2</sub> , ε<sub>f.2</sub>} ⇒ d(ε<sub>0.1</sub> , ε<sub>0.2</sub>) = +1 (resp.—1)</center>}}</center><br>
 
Ceci confère un statut ''identique'' à chacun des ε, chacun d'eux ayant un « triple visage ». On peut comprendre la différence entre un remplissage anarchique (non intelligent) et un remplissage méthodique (intelligent) qui répertorie les objets dans un volume minimal. le problème du représentant de commerce en est un parfait exemple.
 
 
==== Statut temporel ====
Ceci confère un statut ''identique'' à chacun des ε.
nous pouvons reproduire un schéma identique attaché à une boucle. La différence étant la considération cyclique qui différencie les éléments du pourtour et les répète « régulièrement » (à intervalles réguliers). Autrement dit, si nous avons choisi un point pivot, celui-ci est « systématiquement » point final, et le point stationnaire « diamétralement opposé ». La numérotation est étroitement liée au nombre de passages en ce point. Sans espace conjoint, le cercle est « vicieux » et l'évolution nulle. Avec un espace infini, l'évolution est infinie. Avec des horizons infiniment éloignés, on ne peut boucler un cycle (maitriser l'espace-temps) : ''operare rotas''. Ni revenir en arrière : ''sator erarepo''.
 
À partir du point milieu, la quantité de temps nécessaire pour rejoindre le point de départ (resp. arrivée) est la même. Il <u>devrait</u> donc être possible d'atteindre n'importe quel point intermédiaire en « déconnectant » l'avance spatiale corrélée.
 
=== Enchainement continu ===