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Jusqu'à présent, nous étions dans un monde sémantique construit sur l'opérateur ¬, enfermés sur une trajectoire reliant deux horizons en correspondance réciproque qui délimitaient un continuum ENTRE, permettant de classer des valeurs intermédiaires de la forme (ni-l'un ; ni-l'autre). L'ensemble correspondant à TOUTES les possibilités (les deux horizons + les valeurs intermédiaires) se définissait par (ni-l'un ; ni-l'autre) ∨ (soit-l'un ; soit-l'autre). Cette définition exclusive tient compte de toutes les possibilités sémantiques axiales éventuellement complétables à partir du moment où l'expansion est « restreinte » sur un axe logique. L'ensemble des valeurs intermédiaires est ainsi un '''ensemble infini non-fini'''. On peut toujours le compléter « de l'intérieur », mais il reste dénombrable, numérotable, raccordable et consolidable. Il existe une infinité de ''gris'' entre ''blanc'' et ''noir'' mais la liste reste exhaustive dès lors que nous avons défini une quantité minimale distinctive sur un nuancier. Chaque nuance occupe une position spécifique sur Δ.
 
Or, nous nous plaçons dans un cas où la ''logique'' sémantique n'a plus cours habituel, puisque « l’étape suivante » ne peut plus entrer dans notre monde sémantique (l'horizon « fin » est EN-DEHORS de l'axe) : [α , ?[ que nous utiliserons par analogie sémantique sous la forme [α<sub>n</sub> , x[, x étant « défini » par ''ί'' = — 1/12 ∧ Θ = π/2 qui traduit l'idée que ''le retour est tout de même possible en α'' mais que ''l'arrivée en x est impossible'' car x est non-raccordable et ne peut servir de point de basculement. Or, <br><br>
<center>''[α<sub>n</sub> , x[ ∈ [α<sub>n</sub> , b<sub>n</sub>] = {α<sub>n</sub> , g<sub>n</sub> , b<sub>n</sub>} = [α<sub>n</sub>] ∪ ]α<sub>n</sub> , g<sub>n</sub>[ ∪ [g<sub>n</sub>] ∪ ]g<sub>n</sub> , b<sub>n</sub>[ ∪ [b<sub>n</sub>]<br>avec d(α<sub>n—1</sub> , α<sub>n</sub>) = d(g<sub>n—1</sub> , g<sub>n</sub>) = d(b<sub>n—1</sub> , b<sub>n</sub>) = 1 (consolidation)''</center><br>
 
Ce qui permettrait de déduire que le dernier maillon comporte une partie consolidée et une partie non-consolidée mais susceptible de l'être. Si nous considérons que :<br><br>
<center>''[α<sub>n</sub> , x[ = [α<sub>n</sub>] ∪ ]α<sub>n</sub> , g<sub>n</sub>[ ∪ [g<sub>n</sub>] ∪ ]g<sub>n</sub> , x[ ∪ [x[''</center><br>
 
Nous dirons, par comparaison :<br><br>
<center>''[α<sub>n</sub>] ∪ ]α<sub>n</sub> , g<sub>n</sub>[ ∪ [g<sub>n</sub>] est la partie consolidée<br>]g<sub>n</sub> , x[ ∪ [x[ est la partie non consolidée''</center><br>
 
Ainsi, [α<sub>n</sub> , x[ est globalement (ni-consolidée ; ni-non-consolidée) ou (soit-l'un ; soit-l'autre).
 
 
=== Caractéristique du point stationnaire ===
Conformément au chapitre précédent, la trajectoire au point stationnaire, centre de gravité du maillon n est parallèle à Δ. Nous sommes hors de l'espace-temps, mais devrions y retomber en b<sub>n</sub> (théoriquement) puisque nous sommes sur la partie consolidée. L'angle initial de la partie non-consolidée est 0. L'évolution sur cette partie mène à un angle de π/2 (espace imaginaire parallèle à Δ'). Autrement dit, nous quittons progressivement la direction causale Δ pour suivre celle de Δ'. La projection des positions intermédiaires sur Δ se réduit et l'intervalle tend vers 0.
 
Avant le point stationnaire, nous avons π/2 < Θ < 0. Au point stationnaire, nous avons Θ = 0. Après le point stationnaire, nous avons 0 < Θ < π/2. La trajectoire étant continue, nous pouvons décrire le point stationnaire du dernier maillon comme '''point d'inflexion'''.
 
== Unité de charge ==